952 resultados para Le Clézio, J.M. G. (Jean-Marie Gustave), 1940-


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Cover-title: Sur la catastrophe de Monseigneur le duc d'Enghien.

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Includes bibliographical references.

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By E.F.A.M. Miel. Cf. Querard. Les supercheries littéraires dévoillées, t. 3, c. 79.

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El periplo de Hannón, frente a las propuestas que lo interpretan como una obra literaria, creemos que recoge un periplo auténtico, que sólo alcanzó cabo Juby y algunas de las Islas Canarias. Las refundaciones cartaginesas fueron todas en la Mauretania fértil, en los 7 primeros días de la expedición. Desde el islote de Kérne, en la expedición primó una primera exploración de evaluación, indicativo de que se trataba de apenas 2 o 3 barcos, con una tripulación limitada, que evitaban enfrentamientos con la población local. Los intérpretes Lixítai parecen conocer todos los puntos explorados, el río Chrétes, los etíopes del Alto Atlas costero, el gran golfo caluroso que finalizaba en el Hespérou Kéras, el volcán Theôn Óchema, o las gentes salvajes que denominaban Goríllai. Probablemente la mayor sorpresa fuese encontrar un volcán activo, emitiendo lava, que pudo ser la razón última para redactar este periplo. La falta de agua, alimentos y caza como razón para finalizar la expedición exploratoria sólo es comprensible en un trayecto corto que alcanzó hasta el inicio del desierto del Sahara. Otro tanto sucede con la ausencia de ríos importantes al Sur del río Chrétes, una clara prueba de que no se alcanzaron latitudes ecuatoriales y que los barcos se fueron alejando de la costa norteafricana.

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L’objectif de cet essai est de formuler des recommandations afin de diminuer le gaspillage alimentaire dans les épiceries québécoises. Le gaspillage alimentaire est une problématique mondiale de plus en plus considérée comme une préoccupation prioritaire par le public, les entreprises et les instances nationales et internationales. Les causes du gaspillage alimentaire sont multiples et le phénomène se produit dans toutes les régions du monde, à toutes les étapes de la chaîne agroalimentaire, de la production agricole à la consommation. Le gaspillage alimentaire engendre de lourdes conséquences environnementales, économiques et sociales. Il participe à l’insécurité alimentaire et contribue aux changements climatiques et à l’épuisement des ressources, en plus de ©nérer des coûts économiques pour la production d’aliments qui ne seront pas consommés. S’attaquer à la problématique du gaspillage alimentaire signifie donc s’attaquer à tous ces impacts négatifs. Au Québec, l’intérêt envers le phénomène du gaspillage alimentaire s’accroît, mais les solutions structurées tardent à se mettre en place. Les épiceries ont un important rôle à jouer dans la réduction du gaspillage alimentaire puisqu’elles influencent, en amont et en aval, tous les acteurs de la chaîne agroalimentaire. L’étude du marché agroalimentaire québécois et des différentes initiatives locales et étran¨res de lutte au gaspillage alimentaire met en évidence trois grandes solutions structurées de réduction du gaspillage dans les épiceries : le don alimentaire, la vente de produits déclassés et la révision du système de dates de péremption des aliments. L’analyse du fonctionnement de ces solutions et de leur mise en Å“uvre dans le contexte des épiceries québécoises permet d’identifier les contraintes et les éléments à considérer pour réduire le gaspillage alimentaire de façon concrète et efficace. Ainsi, en respect d’une hiérarchie des modes de gestion des aliments qui favorise la réduction à la source et le détournement avant l’élimination, les recommandations formulées suggèrent de : réviser le système des dates de péremption pour améliorer la distinction entre les notions de fraîcheur et de salubrité des aliments; promouvoir et faciliter la vente de fruits et légumes déclassés dans les épiceries en diminuant les critères esthétiques exi©s qui conduisent à un important gaspillage de denrées comestibles; mettre en place des incitatifs économiques pour réduire les contraintes financières et logistiques reliées au don alimentaire pour les épiceries et les organismes de redistribution; et valoriser les résidus alimentaires par la biométhanisation ou le compostage pour limiter les impacts environnementaux du gaspillage alimentaire. Les recommandations soulignent également l’importance d’étudier le phénomène et de documenter la problématique, afin de suggérer des solutions toujours plus efficaces et adaptées à chaque groupe d’acteurs et chaque étape de la chaîne agroalimentaire.

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Le problème de la pauvreté au Québec n'est pas un fait inhérent à notre société contemporaine. Déjà, sous le Régime français, la colonie avait dû faire face à divers malaises sociaux dont notamment la pauvreté. Pour tenter de les endiguer, les dirigeants de la colonie se servirent du modèle d'assistance français, datant du 17e siècle, sous influence féodale et ecclésiale, pour le reproduire en Nouvelle-France. Ainsi, aux 17e et 18e siècles, la responsabilité des malades et des pauvres incomba aux réseaux de solidarité que constituaient la famille et la paroisse. Durant cette période, l'action de l'Église, grâce à des institutions telles que les Hôtels-Dieu et les hôpitaux ©néraux et celle de l'État, par sa politique subventionnaire, ne constituèrent toutefois qu'une intervention supplétive. Cependant, les débuts de l'industrialisation au 19e siècle, l'exode rural qui s'ensuivit ainsi que l'instabilité économique et l'immigration des populations britanniques, révélèrent l'insuffisance de la structure d'aide mise en place pour secourir les pauvres et les malades. Fondées à partir de 1830, différentes associations charitables se confrontèrent, elles aussi, à des problèmes d'ordre financier. À cause de sa situation névralgique comme institution sociale, l'Église s'assura graduellement, à partir de 1840, le contrôle des associations de charité mais surtout celui de l'administration de l'assistance au Québec. Et comme le dit si bien Jean-Marie Fecteau: «la charité devient, de plus en plus, affaire de religion et de groupe ethnique. Au cours de la décennie 1840, le mouvement s'amplifie.» En 1867, l'Acte de l'Amérique du Nord britannique attribua à la province de Québec, par l'article 92, la pleine juridiction en matière de bien-être et de santé sauf ce qui concerne les hôpitaux de la marine. La reformulation du code municipal en 1871 conféra aux municipalités, mais seulement à titre discrétionnaire, la charge de l'assistance directe et celle de soutenir les institutions de charité. [...]

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En 1972, à l'occasion d'un cours sur les tiers partis politiques au Québec, nous avions eu à rédiger une brève étude sur le Parti Socialiste du Québec, étude qui s'était alors entièrement basée sur quelques articles des revues Parti Pris et Cité Libre ainsi que sur le journal Le Devoir des années 1963 à 1967. C'est à ce moment que notre intérêt fut éveillé et qu'il nous sembla que l'histoire du PSQ (1) pourrait constituer le sujet de notre thèse de maîtrise, pourvu, bien sûr, que de nouvelles sources de documentation s'avèrent accessibles. Or, une rencontre avec Fernand Daoust, Secrétaire ©néral de la FTQ, confirma notre intention. Avec une ©nérosité incomparable, ce dernier mit à notre disposition, non seulement les documents qu'il avait accumulés, alors qu'il occupait successivement les postes de délégué NPD-Québec au Sous-comité du Programme et de Président du Conseil Provisoire du PSQ, mais aussi ceux de Jean-Marie Bédard, président du PSQ dans les dernières années d'existence de ce parti. Le présent travail s'appuie donc largement sur des sources primaires : documents du parti et articles publics par les journaux et revues de l'époque. On serait peut-être tenté de nous reprocher d'avoir négli© les sources orales, facilement disponibles pourtant. Or, cette omission a été intentionnelle et ce, pour deux raisons. Premièrement, les documents originaux nous fournissaient une récolte de renseignements inédits qui nous apparut suffisamment abondante pour étoffer notre thèse, et deuxièmement, nous avons craint que le manque de recul historique n'entache les témoignages d'une certaine partialité. Nous avons choisi de laisser les documents parler d'eux-mêmes. Le texte qui suit se veut donc avant tout un exposé d'un moment de l'histoire politique du Québec. Il aurait pu se limiter à l'étude des étapes vécues par le Parti Socialiste du Québec dans les années 1963 à 1968. En quelques chapitres, nous aurions pu relater successivement les origines, la mise sur pied, l'action politique et la dissolution de ce tiers parti et déjà, nous aurions eu les éléments de la thèse classique d'histoire politique. Cependant, pour mieux saisir l'effort de devenir du PSQ, il nous a semblé intéressant et même nécessaire de soulever, en parallèle aux événements principaux qui ont fait l'histoire de ce parti, trois hypothèses. La première est que le PSQ n'avait aucune chance de réussite, parce qu'au moment de son apparition sur la scène politique québécoise, les conjonctures historique, sociale et politique non seulement ne joueraient pas en sa faveur, mais seraient même les facteurs externes de son échec. Les deux autres hypothèses portent sur les facteurs internes de cet échec ; elles sont inhérentes au dualisme de l'idéologie du PSQ. […] 1) PSQ: sigle qui fut adopté officieusement par les membres du Parti Socialiste du Québec, qu'on retrouve dans tous les documents et que nous utiliserons tout au long de notre travail.

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"Le magasin de la mémoire est volontiers plus fourni de matière que n'est celui de l'invention" disait Montaigne dans ses Essais. Lointaine et proche, plurielle et éclatée, la présence sérafade qui traverse l’histoire et la culture de Bragance et de tout le Nord Est du Portugal convoque aujourd’hui comme hier, ici comme là-bas les thèmes de l’errance, de l’exil et du passage des frontières, soient-elles ©ographiques, politiques ou langagières. Cette édition du Forum de l’APEF - Association Portugaise d’Études Françaises réalisée à Bragance est l’occasion de réfléchir aux multiples enjeux (littéraires, politiques, éthiques) de telles notions, d’abord associées à un peuple historiquement contraint à l’exode, mais dont le destin peut servir de (pré)figuration à d’autres expériences exiliques, notamment dans notre actualité. Qu’elles convoquent la mémoire individuelle et collective en tant que fonds d’un vécu, d’une blessure, voire d’un trauma, quelles configurations prennent-elles aujourd’hui dans les oeuvres d’art et de langage? Quelles constructions symboliques, imaginaires, mythiques suscitent-elles? Quelle vision de l’histoire du présent et de celle de l’avenir traduisent-elles? Étendre ce questionnement aux littératures de langue française, prétendant moins à l’exhaustivité qu’à faire connaître, à même les oeuvres, le regard et les paroles singulières d’auteurs et acteurs tels que Jean-Marie Le Clézio, Tayeb Salih ou Leonora Miaono, Benjamin Stora, Leila Sebba ou Laura Acabo, Julien Gracq, Milan Kundera ou Patrick Modiano, tel est le fil conducteur de la trentaine de communications qui rythment nos deux journées de travail. Le but commun qui nous anime est de porter sur une littérature conçue au carrefour des langues et des cultures des analyses différentes mais complémentaires, car finalement aucune objectivation n’est juste et chaque parole, parce qu’elle s’élève de ce lieu intranquille et subjectif qu’est le langage est avant tout un acte de liberté.