268 resultados para Artiste éducateur


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le sujet de ma thèse porte sur l'éducation. Et celle-ci possède plusieurs facettes, dans la pratique comme théoriquement, qui peuvent être traitées différemment. J'ai plutôt retenu une question qui m'habite, depuis plusieurs années, qui est celle de la liberté comme la visée première de l'éducation par rapport aux autres fins utilitaristes que nos sociétés libérales assignent à l'éducation. Notons cependant que la liberté reste inhérente à toute notion d'éducation, tant il est vrai que qui dit "éduquer" pense à un choix des valeurs par l'éducateur, pour l'éduqué, sans toujours tenir compte de son point de vue. Ce qui veut dire que la question de la liberté se pose, déjà là, dès que le problème de l'éducation est approché. J'ai trouvé en parcourant l'histoire de la pensée, aussi bien en philosophie comme en histoire de l'éducation, que les questions que nous nous posons aujourd'hui par rapport à la liberté en éducation ont été plus ou moins bien abordées par les modernes. C'est par le biais des concepts, qu'ils ont réussis à mettre dans le débat, qu'on peut bien reconnaître leur apport incontournable autour de cette question aussi bien au niveau moral que politique. Il s'agit entre autres concepts de: devoir, responsabilité, respect, universalité, autrui, culture, nature etc. J'invite les éducateurs actuels d'aller revisiter les temps modernes pour trouver tant soit peu des ébauches de réponses à cette épineuse question de la liberté en éducation. Il ne s'agit pas d'un retour, mais d'un recours aux modernes. D'où l'intitulé de mon travail: Les retombées des idées libertaires des philosophes modernes sur la liberté en éducation aujourd'hui. Tout en y allant par la méthode phénoménologico-herméneutique, j'ai divisé mon travail en quatre grandes parties. Dans la première, je pose d'abord la question épistémologique par rapport au problème de l'éducation en philosophie et par rapport à la philosophie de l'éducation comme une des sciences de l'éducation. J'essaie de montrer là que l'éducation a toujours été un problème philosophique, et qu'aujourd'hui les éducateurs ont besoin de notre apport, celui de la philosophie à leurs questions. Cette approche me permet d'aller voir ce que les philosophes modernes ont pensé de l'éducation, et de l'éducation par rapport à la liberté. J'ai fait à ce niveau un choix de certains philosophes en les situant dans trois grandes traditions occidentales à savoir: les traditions française avec Rousseau, anglaise avec Locke, et allemande avec Kant et Fichte. En parcourant les différentes conceptions de cette époque moderne, par rapport à la question qui nous concerne, j'analyse aussi les points de vue de Pestalozzi et de Hegel. La troisième partie s'évertue à faire le lien entre ce temps moderne et mon "aujourd'hui "que je situe à partir de Mai 68 marqué par la relativisation des valeurs morales. La quatrième partie tente de répondre à la question de savoir qu'est ce que nous avons retenu des philosophes modernes, et qu'est-ce que nous en faisons pour affronter ce problème réel de la liberté en éducation. C'est là que j'évoque les questions éthiques possibles autour de l'autonomie de l'éduqué par rapport à l'éducateur, par rapport à son milieu, j'entends par là comment l'éduqué devrait-il vivre sa liberté vis-à-vis de la société qui a ses lois et ses règles, vis-à-vis de ses copains que sont ses frères et soeurs en famille ou ses collègues à l'école, mais aussi par rapport à la nature qui nous conditionne avec ses priorités écologiques, par rapport à la mondialisation qui pose le problème du multiculturalisme, et par rapport enfin aux questions spirituelles qui occupent, depuis que l'humanité existe, le mental de l'homme. Je propose pour comprendre la liberté par rapport à l'autre, ou à "autrui", la lecture de Ricoeur et de Levinas. Et au niveau méthodologique, je trouve qu'il serait adapté aujourd'hui d'engager la discussion avec les éduqués, comme Habermas le suggère, pour que l'autorité soit quelque chose de construit avec eux et non quelque chose qui leur vient d'ailleurs. Je veux fonder une pédagogie de la communication et du dialogue (entre éduqué et éducateur). Je dégage aussi quelques limites des idées modernes par rapport à l'époque actuelle.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Un travail consacré à la sculpture d'ornement implique de s'intéresser à un corps de métier qui n'a guère laissé de trace dans l'historiographie, les sculpteurs d'ornement. A Genève, un seul représentant de cette spécialité est passé à la postérité : Jean Jaquet (1754-1839). L'activité de celui-ci, couvrant les dernières décennies du XVIIIe et les premières années du XIXe siècle, apparaît par conséquent comme un moment de perfection de la sculpture d'ornement dans l'histoire de la République. Comment Jaquet, ce simple entrepreneur en décoration, est-il parvenu à acquérir une forme de notoriété et à entrer dans l'histoire de l'art genevoise ? En quoi son parcours professionnel se distingue-t-il de celui des autres sculpteurs d'ornement actifs à Genève au XVIIIe siècle, ses émules obscurs ? Afin de discuter ces questions, j'ai procédé en trois temps.D'abord, il a fallu se donner les moyens de connaître l'arrière-plan socio-professionnel. Un important travail de dépouillement de sources notamment des registres des permissions de séjour accordées par la Chambre des Etrangers - a permis de se faire une idée des rouages de l'entreprise de décoration, de l'activité des ateliers et de leur succession dans le temps. L'étude de la production reste néanmoins problématique. Le corpus de décorations conservées du XVIIIe siècle est en effet mal identifié et l'absence de documentation historique rend périlleuse toute tentative de classement par ateliers ou par tranches chronologiques. En raison de ces lacunes, il n'a pas paru opportun de chercher à présenter une vision globale de la décoration intérieures au XVIIIe siècle à Genève, ni de proposer une nouvelle carte des attributions. La deuxième partie de la thèse suit par conséquent un principe simple. En raison de l'omniprésence de Jaquet dans l'historiographie, elle analyse la manière dont le corpus de ses oeuvres a été constitué au fil des XIXe et XXe siècle. En d'autres termes, elle vise à déconstruire les mécanismes de l'attribution et à interroger la pertinence de ses critères. Une telle démarche permet de redessiner les contours de la production de décoration à Genève et d'en saisir les enjeux. Les ateliers ont-ils chacun leur manière propre - leur style propre ? Celui-ci se fonde-t-il sur l'expression d'une personnalité artistique autonome ? Ou leur production est-elle avant tout déterminée par une demande sociale stéréotypée, fondée sur la reproduction de modèles convenus ? Sans minimiser l'importance de Jaquet dans la décoration genevoise du XVIIIe siècle, ni la qualité de son travail, la deuxième partie de ce travail vise à révéler certaines faiblesses dans le système des attributions. Indirectement, cela permet de se faire une idée de l'apport d'autres entrepreneurs en ornement.Les deux premières parties posent les bases d'un discours critique sur les producteurs et leurs oeuvres. La troisième analyse, du XIXe au XXIe siècle, les modalités de la promotion et de la réception de Jaquet, en d'autres termes la construction de son image. Grâce à son ambition, le sculpteur s'est hissé au-dessus de sa condition. Parmi les entrepreneurs en décoration actifs à Genève, il est en effet le seul à avoir séjourné à l'étranger, fréquenté les académies, enseigné le dessin et fait quelques incursions dans le domaine de la sculpture figuriste. Par conséquent, il est aussi le seul à avoir une place dans l'histoire des Beaux-Arts, puis, à partir de la fin du XIXe siècle, dans celle des Arts décoratifs à Genève. Ni artiste de talent universel, ni ouvrier, Jaquet est un représentant de première qualité d'une catégorie professionnelle particulière, composée d'individus auxquels les historiens de l'art ne portent qu'un intérêt limité, parce qu'ils sont à la charnière des arts mécaniques et des arts libéraux.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Depuis une trentaine d'années, les représentations de la figure de Jésus se sont multipliées en photographie. De la séquence narrative du photographe américain Duane Michals (Christ in New York, 1981) au chemin de croix de Wim Delvoye (Viae Crucis, 2006), en passant par la série I.N.R.I. (1997-98) de Bettina Rheims, les Photographies apocryphes (1994-98) d'Olivier Christinat, les Seven Bible Scenes (1998) de Rauf Mamedov, Ecce homo (1996-98) d'Elisabeth Ohlson, Jesus is my Homeboy (2003) de David LaChapelle ou encore South Soudan (2006) de Vanessa Beecroft, l'intérêt pour la figure christique dans le champ profane est incontestable. Le phénomène dépasse d'ailleurs les frontières géographiques, culturelles et confessionnelles.¦Cette thèse de doctorat réunit un important fonds iconographique qui démontre l'intérêt actuel pour la figure du Christ et la grande diversité des démarches et des profils des artistes. Cet important corpus est analysé selon trois perspectives. La première partie est consacrée au médium photographique, à ses liens étroits avec la sainte Face depuis le cliché du suaire de Turin en 1898, et depuis l'ambitieux projet photographique (1898) de Fred Holland Day qui incame le Christ dans ses nombreuses réinterprétations de la vie de Jésus.¦La deuxième partie de ce travail interroge l'emploi des formules iconographiques chrétiennes archétypales et questionne les références christiques utilisées par les artistes au travers de poses, d'attitudes, de gestes repris de chefs-d'oeuvre de l'art religieux, tant dans le domaine de la photographie d'art que dans la publicité ou la photographie de presse. L'usage du texte, la place des Ecritures dans les projets actuels sont aussi abordés, notamment autour de la question de la possibilité de raconter la vie de Jésus et des stratégies de mises en scène employées pour traduire les récits en images.¦Enfin, la dernière partie porte plus particulièrement sur les usages de la figure de Jésus, souvent alter ego de l'artiste, mais surtout porte-parole. À la suite des luttes socio- politiques des années 1970, la figure de Jésus est réinvestie par les minorités et Jésus incarne alors les combats d'artistes qui se réapproprient la représentation du Christ pour qu'elle corresponde à l'image qu'ils voient dans leur propre miroir (ex. Renee Cox, Yo Mama's Last Supper, 1996). Cet usage revendicateur, souvent doublé d'un goût non dissimulé pour la provocation (ex. Andres Serrano, Piss Christ, 1987), a souvent suscité la polémique. La question de la réception des oeuvres constitue un point essentiel de cette recherche qui tâche d'analyser la figure christique au miroir de la photographie contemporaine et qui conclut que le Christ est en réalité miroir des artistes eux-mêmes.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Ex-libris "S. Cornelii Compend. Congr. S. Mauri", XVIIe s., f. 1. Compiègne.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Ancien possesseur : Gautier, Judith (1845-1917)

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Au XVIe siècle, le constructeur de bâtiments est un maçon et un sculpteur qui a acquis son métier par apprentissage ; au XXe siècle, l'architecte est un concepteur féru d'ingénierie, bardé de diplômes et qui est considéré comme un artiste. Les études réunies dans cet ouvrage et issues d'un colloque tenu à l'Université de Lausanne en 2007, éclairent l'évolution de cette profession en Suisse romande. Formation, carrière, clientèle, culture visuelle, contextes politique et économique sont autant de voies explorées afin de cerner la figure de l'architecte dans un cadre géographique restreint dont dépend étroitement le succès, ou l'échec, professionnel

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

F. A-B. Bifolium contenant la fin de l’office du Saint Esprit ; cf. le même texte aux ff. 156-156v. XVe siècle. Copie inachevée dont les initialesont été laissées en blanc. Le f. B réglé est blanc. La justification est la même que celle du corps du manuscrit.F. 1-12v. Calendrier écrit à l’encre rouge et bleue et à l’or: nombreux saints méridionaux, en particulier de la vallée du Rhône et du Languedoc : « Fulcrani ep. [Lodevensis] » (13 févr.) ; « translatio s. Pauli » (20 février) ; « translatio s.Augustini » (28 février) ; « Pauli archi. Narbo[nensis] » (22 mars) ; « translatio b. Ferreoli [ ?] (1er avril) ; « Baudilii mart. [Nemausiensis] (20 mai) ; « Quiterie (21 mai) ; « Eutropii [ep. Arausicani] (27 mai) ; « translatio s. Saturnini » (22 juin) ; « Petri de Lucemburgo » (5 juillet) ; « Roqui mart. [Montispessulani] » (16 août) ; « Ludovici regis fratris [ep. Toletani]» (19 août) ; « Privati conf. [ep. Gabalitanus (Gévaudan)] » (21 août) ; « Fereoli mart. [Viennae] (18 sept.) ; « Apolinaris ep. [Valentinensis] » (10 oct.) ; « Firmini ep. [Ucetensis] » (11 oct.] ; « Florencii ep. [Arausicani] » (17 oct.] ; « Amancii ep. [Ruthenensis] » (5 nov.) ; « Restituti ep. [Tricastini] » (8 nov.) ; « Rufi ep. [Avenionensis] » (14 nov.) ; « Pauli ep. [Narbonensis] » (11 déc.) ; « Dominici conf. [de Silos] » (20 déc.). Mentions zodiacales et de comput, parmi lesquelles on note une « renovatio indicionum », le 24 septembre. F. 13-17. Extraits des quatre Evangiles : Io (13-14) ; Lc (14-15) ; Mt (15-16v) ; Mc (16v-17).F. 17v-71. [Horae beatae Mariae virginis secundum usum romanum]. [Ad matutinas], psaumes répartis selon les jours de la semaine (18-32v) ; — « In laudibus » (32v-42v) ; — « Ad primam » (43-46v) ; — « Ad tertiam » (46v-49) ; — « Ad sextam » (49v-52) ; « Ad IXa » (52-55) ; — « Ad vesperas » (55-60) ; — « Ad comple[c]torium » (60-64) ; — Antiennes, psaumes, leçons et répons pour les différents temps de l’année (64v-71) .F. 71-77v. Messe votive. « Missa beate Marie virginis ». « Salve sancta parens... » F. 78-85. Prières et hymnes. [Septem gaudia spiritualia b. Mariae virginis], incomplet des quatre premiers vers par lacune matérielle. « [Gaude flore virginali...] et sanctorum decoratum//...-... per eterna secula » (AH, XXXI, n° 198) ; « O sponsa Dei electa// Esto nobis via recta... » ; « ...Oratio. Domine Jhesu Christe qui beatissimam gloriosam virginem...-... pervenire mereamur » ; « Gaudia. Gaude virgo mater Christi// Que per aurem concepisti// ...-... perhemni gaudio. » (AH, XXIV, n° 57) ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, XXVI-XXVII ; « ... Oratio. Deus qui beatissimam virginem Mariam in consceptu... pervenire. Per... » ; « Gaudia beate Marie spiritualia. Gaude stirpe regis nata// Ab angelo saluta[ta]...-... et celorum mansio » (AH, XXXI, n° 182) ; « Oratio. Consolator mitissime Deus... sempiternis perfrui. Per... » ; « Alia oratio. Deus qui Gabrielem archangelum... mereamur habere. Qui... » ; « Devota oratio ad beatam virginem Mariam. Obsecro te domina... et michi famulo tuo pauperrimo N. ... » (Leroquais, Livres d’heures, II, 346-347).F. 85v blanc.F.86-91v. [Horae Trinitatis].F.91v-93v. Messe votive. « Missa de Trinitate ».F. 93v-97. « Devota oratio. Deus omnipotens propicius esto michi peccatori, custos mei omnibus diebus et horis vite mee, Deus Abraham... Omnes sancti angeli et archangeli Dei succurrite et subvenite michi peccatori... horis vite mee » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, II, 396 ; — « O bone Jhesu illumina oculos meos ne unquam obdormiam... impietatem peccati mei » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, XXX-XXXI ; — « Omnipotens, sempiterne et clementissime Deus qui Ezechie regi ... merear et optinere. Per... », à la forme masculine ; cf. Leroquais, Livres d’heures, II, 438 ; — « Oratio. Omnipotens sempiterne Deus te supplices exoramus ut celesti... consequantur. Per... » (Corpus orationum, VI, n° 4076).F. 97v blanc.F. 98-108. [Psaumes de la pénitence]. F. 108-117v. « Letania ». A noter parmi les confesseurs, la séquence inattendue de trois évêques de Toul honorés en Lorraine : « ... s. Mansuete, s. Gerarde, s. Aper ». Parmi les saintes : « ... s. Martha, s. Eulalia... s. Radegundis... ». — Oraisons diverses : « Propicius esto, parce nobis Domine... ut michi indigno famulo tuo N... exaudire digneris » ; — ... « Omnipotens sempiterne Deus miserere michi indigno famulo tuo N.... perficiat. Per... » ; — « Pie et exaudibilis domine Jhesu Christe Deus noster clementiam tuam... digneris eternam » ; cf. Leroquais, Psautiers, I, 25 ; — « Pietate tua quesumus Domine nostrorum solve vincula delictorum et intercedente pro nobis... virgine Dei genitrice Maria cum beatis apostolis tuis Petro et Paulo atque Andrea... eternam concede. Per... » (Corpus orationum, VI, n° 4227)...F. 118-145. [Officium mortuorum secundum usum romanum]F. 145-147v. Messe votive. « Missa pro omnibus fidelibus defunctis ». F. 148-151. [Horae sancti Spiritus].F. 151-153v. Messe votive. « Missa de sancto Spiritu », incomplet de la fin par lacune matérielle.F. 154-156v. [Horae omnium sanctorum], incomplet du premier feuillet.F. 156v-159v. Messe votive. « Missa de omnibus sanctis. F. 160-162v. [Horae sancti Sacramentis], incomplet du début par lacune matérielle. F. 162v-164v. Messe votive. « Missa de corpore Christi ».F. 164v-169v. Prières et hymnes. « ... salutatio sacratissimi corporis domini nostri Jhesu Christi. Ave Jhesu Christe verbum Patris filius [Virginis] agnus Dei...-... requies nostra vita perhemnis » ; cf. ms NAL 3211, 342 ; — « Alia oratio. Salve sancta caro Dei per quam salvi...-... da michi sedem justorum. Qui... » (ed. Leroquais, Livres d’heures, II, 348) ; — In elevatione corporis Christi. Anima Christi sanctifica me // Corpus Christi salva me... secula seculorum. Amen » ; (ed. Leroquais, Livres d’heures, II, 340 variantes) ; — « Alia. Ave verum corpus natum... o pia... ora pro nobis » (AH, LIV, n° 257) ; — « Alia devota oratio. Domine Jhesu Christe qui hanc sacratissimam carnem tuam... et periculis et in eternum » ; cf.ms NAL 3203, 26v ; — « Dum volueris communicare dic orationem. Omnipotens et misericors Deus ecce accedo ad sacratissimum accedo inquam infirmus ad medicum...-... tutela finalis in morte. Qui... » ; — « Alia oratio ante communionem. Domine sancte Pater, omnipotens eterne Deus, da mihi corpus et sanguinem... in infinita secula... » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, II, 108 ; — « Post communionem. Gratias tibi ago Domine sancte pater omnipotens eterne Deus qui me peccatorem indignum famulum tuum saciare... et gaudium sempiternum... » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, 51 ; — « Post communionem ad beatam Virginem. Serenissima Virgo et inclita mater nostri Jhesu Christi, sancta Maria regina celi et terre que eundem creatorem... hodie veracis [incomplet de la fin par lacune matérielle] ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, 156, 299.F. 170-173. [Horae sanctae Crucis], incomplet du début.F. 173-178. Messe votive. « Missa in honore sancte Crucis ». « Crucem tuam adoramus et veneramur domine Jhesu Christe, et per ipsam tuam sanctissimam recolimus passionem...-...defunctis vitam et gloriam sempiternam... » ; — « Alia oratio. Domine Jhesu Christe plasmator tocius creature, rex glorie obsecro miserere mei quia locutus sum... semper benedictus... » ; — « Alia oratio. Domine Jhesu Christe qui voluisti pro redemptione mundi nasci et circumcidi... ego miserrimus, vilissimus, nequissimus atque indignissimus peccator...-... latronem crucifixum. Qui... » ; — « Alia oratio. Precor te, piissime domine Jhesu Christe, per illam eximiam caritatem qua tu rex celestis... mihi tribuere digneris. Qui... » ; — « Alia oratio. Deus propicius esto michi peccatori. Quid est Jhesus nisi salvator ergo Jhesus per te ipsum redemptus sum... miserere michi Deus » ; — « Dic totum deinde dic oracionem. Tribulacionem nobis [sic], quesumus, Domine propicius respice... clementer averte. Per... ». F. 178-200. « ... suffragia sanctorum ». « ... de Trinitate » ; — « De sancto Michaele archangelo » ; — « De sancto Johanne Baptista » ; — « De sancto Petro et Paulo » ; — « De sancto Andrea apostolo » ; — « De sancto Johanne evangelista » ; — « De sancto Jacobo minori » ; — « Sanctorum Philippi et Jacobi » ; — « De innocentibus » ; — « De apostolis et evvangelistis » ; — « De sancto Stephano » ; — « De sancto Laurencio » ; — « De sancto Eutropio... Eutropium martyrem tuum (f. 183v)... » ; — « De sancto Georgio » ; — « De sancto Blasio » ; — « De sancto Dyonisio » ; — « De sancto Yppolito » ; — « De sancto Christophoro » ; — « De sancto Sebastiano. Omnipotens sempiterne Deus qui meritis beati Sebastiani martyris gloriosissimi quemdam pestem epydimie generalem hominibus mortiferam revocasti, presta supplicibus tuis ut qui hanc orationem super se portavit aut in domibus vel mansionibus scriptam aut alias de ea in tuo nomine memoriam habuerint sive in die aut in nocte legerint a simili a peste et morbo epydimie sub ejus confidencia ad te confugerint ipsius meritis et precibus ab ipsis peste et morbo epydimie et ab omnibus nocumentis venenosis necnon ab omnibus periculis corporis et anime atque a subitanea et improvisa morte et ab omnibus inimicis visibilibus et invisibilibus singulis diebus et noctibus horis atque momentis liberemur. Per Dominum. Pater noster. Ave Maria. Credo. Salva regina. Ave stella matutina, rosa sine spinis, cum reliquis ». — « Unius martyris communis » ; — « De martyribus communis » ; — « De sancto Martino » ; — « De sancto Nicholao » ; — « De sancto Anthonio » ; — « De sancto Lazaro » ; — « De sancto Restituto... Deus qui per merita beati Restituti confessoris atque pontificis a multorum oculis dolorem sanas, labem removes et visum clarificas... (189v-190) » ; — « Unius confessoris » ; — « De confessoribus communis » ; — « De beata Maria Magdalena prosa. Gaude pia Magdalena // Spes salutis // Vite vena // Lapsorum fiducia // Gaude dulcis advocata // ... » ; — « De beata Catherina. Gaude virgo Catherina /// Quam refecit lux divina // Ter quaternis noctibus //... » ; — « De beata Lucia » ; — « De beata Apollonia » ; — « De beata Agatha » ; — « De virginibus » ; — « De omnibus sanctis » ; — « De pace » ; — « De sancto Petro de Lucemburgo » ; le suffrage commence par la prière attribuée à s. Pierre de Luxembourg : « Deus pater qui creasti // Mundum et illuminasti // Suscipe...-... requiescant in pace. Amen » ; cf.ms NAL 3196, 152.F. 200v-204, feuillets réglés blancs.