922 resultados para uterine cervix
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Tesis (Doctor en Medicina) U.A.N.L.
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L’objectif de la présente étude était d’évaluer un test d’estérase leucocytaire (LE) pour le diagnostic de l’endométrite subclinique chez les vaches Holstein en période postpartum. Les tests effectués à partir d’échantillons provenant soit de l’endomètre (UtLE) ou du col utérin (CxLE) ont été comparés à la cytologie endométriale (CE). Par ailleurs, deux méthodes d’évaluation des lames ont été comparées. Deux cent quatre vingt-cinq vaches Holstein de 5 troupeaux laitiers commerciaux ont été évaluées entre 21 et 47 jours en lait (JEL). Soixante sept vaches ont été diagnostiquées avec une endométrite clinique suite à un examen transrectal et vaginoscopique et ont été exclues de l’étude. Deux cent dix-huit vaches ont eu des prélèvements pour la CE et le test LE. La fonction ovarienne a été déterminée à la palpation transrectale. La banque de données utilisée pour chacune des vaches a été effectuée à partir du logiciel DSA (Dossier de Santé Animale) laitier. Le pourcentage de neutrophiles était significativement corrélé avec les scores de LE utérin et cervical. L’activité de CxLE et UtLE diminuait significativement avec les JEL, mais n’était pas associée au risque de gestation à 90 JEL (n= 186). Le pourcentage de neutrophiles mesuré à la CE entre 32 et 47 JEL était associé significativement au risque de gestation à 90 JEL (n=94, P=0.04). Pour la même période, selon une analyse de survie, les vaches avec >2,6% de neutrophiles à la CE étaient définies comme étant atteintes d’une endométrite subclinique avec une prévalence de 56%. Les résultats indiquent que le test d’estérase utérin ou cervical a une bonne concordance avec le pourcentage de neutrophiles à la CE. Une endométrite subclinique diagnostiquée par cytologie endometriale entre 32 et 47 JEL est associée à une réduction du risque de gestation au premier service.
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L’implantation retardée ou diapause embryonnaire décrit l'arrêt ou le retardement pendant l'embryogenèse. Chez le vison, la diapause est corrélée avec une sécrétion pituitaire insuffisante de la prolactine, ayant pour résultat la différentiation incomplète du corpus luteum et réduction de la progestérone. Des études antérieures suggèrent que le blastocyste de vison en diapause demeure dans un état de quiescence ou se développe lentement. Pour élucider ceci, la réplication de l'ADN a été étudiée. Les résultats démontrent synthèse de l’ADN et prolifération cellulaire dans les embryons au stade de morula, avant la diapause et dans les blastocystes après la réactivation. La réplication de l'ADN a été également détectée dans des blastocystes en diapause et en diapause prolongée. L'implantation est considérée comme une interaction bidirectionnelle entre le blastocyste et l'utérus. Il a été montré que les prostaglandines sont importantes pour la vascularisation de l’utérus au moment de l’implantation et peuvent réactiver l'utérus des visons après la diapause. La concentration protéinique et la localisation de la phospholipase citosolique A2 (CPLA2) et de la cyclooxygenase 2 (COX2) ont été étudiées dans l'utérus de vison. L’expression de la CPLA2 et COX2 étaient sur-régulées au moment de l'implantation. Il est connu que la prolactine active les corpus luteum des visons. L'idée de un lien entre la prolactine et la voie de signalisation des prostaglandines a été testée en mesurant les récepteurs de prolactine. Les résultats montrent une augmentation de l’expression des récepteurs de prolactine à l'implantation suggérant que la prolactine pourrait activer la voie de prostaglandine à l'utérus par son propre récepteur. La conclusion, les embryons pendant la diapause ne sont pas arrêtées complètement et les protéines liées à la voie de prostaglandine sont implique dans la réactivation de l'utérus.
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Arrière-plan: les cellules tumorales circulantes (CTC) sont détectables dans de nombreux cancers et peuvent être utiles cliniquement pour le pronostic de la maladie, pour mesurer la récidive et pour prédire la sensibilité aux medicaments chimiothérapeutiques. Au cours des dernières années, l’études des CTC dans de nombreux cancers tels que le cancer du sein, du poumon, du côlon et de la prostate a grandement évolué. Alternativement, il y peu d'études à ce sujet concernant le cancer du col de l’utérus (CCU). Objectifs: Notre objectif est d’optimiser le processus d'enrichissement des CTC dans le CCU et la détection moléculaire des biomarqueurs E6 et E7. Matériel et Méthodes: Dans l’optique de mimer la présence de CTC dans le sang, nous avons dilué des cellules cancéreuses CaSki VPH16-positif provenant d’un CCU dans du sang humain prélevé sur des volontaires sains. Les CaSki ont été collectées suite à une centrifugation par densité avec le Ficoll, la lyse des globules rouges (RBC) et la lyse des RBC combinée avec un enrichissement positif et négatif à l’aide de marqueurs de surface cellulaire. Les CTC ont été détectées par la mesure d’expression des oncogènes E6 et E7 du virus du papillome humain (VPH), de la cytokératine 19 (CK19) et de la cycline p16INK4 en utilisant la technique quantitative en temps réel de Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction (qRT-PCR). Pour valider notre méthode de détection des CTC in vivo, nous avons recruté dix patientes atteintes d’un CCU VPH16 positif et six contrôles sains. Résultats: Dans le modèle de dilutions de cellules CaSki, la lyse des RBC seule ou combinée avec l'enrichissement négatif ou positif suggèrent des limites de détection de 1 CTC par mL de sang pour tous les biomarqueurs moléculaires utilisés. La sensibilité de détection est accrue lors de l'utilisation de l’enrichissement positif et négatif en réduisant le bruit de fond causé par les monocytes sanguins. Contrairement aux oncogènes E6 et E7, les marqueurs CK19 et p16INK4A ont été détectés chez des individus sains, les niveaux d'expression de base appropriés doivent donc être déterminés avec précision par rapport aux patientes CCU. Le gradient de densité par Ficoll a une limite de détection de seulement environ 1000 cellules par mL de sang. Enfin, les CTC ont été détectées dans 2/10 patientes en utilisant le marqueur CK19. Cependant, ces patientes étaient négatives pour les oncogènes E6/E7. Le marqueur p16INK4A était exprimé au même niveau dans tous les échantillons (CCU et normaux). Conclusion: Notre étude suggère que les oncogènes E6 et E7 du VPH16 sont les marqueurs biologiques les plus sensibles et spécifiques en qRT-PCR pour détecter les CTC dans le modèle de dilution de cellules de CCU dans le sang. Chez les patientes atteintes d’un CCU de stade précoce, seulement CK19 a révélé la présence potentielle de CTC, ce qui suggère que ces cellules sont rares à ce stade de la maladie. Mots clés: cancer du col de l’utérus, cellules tumorales circulantes, RT-qPCR, E6 et E7, CK19, p16INK4A, enrichissement immunomagnétique, détection moléculaire.
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El cáncer de cuello uterino, es una de las principales causas de morbimortalidad por cáncer a nivel mundial, el cual se perfila como un problema de salud pública; que gracias a la introducción de la toma de citología cervico vaginal como prueba de tamizaje, para detección temprana de cáncer de cuello uterino, ha venido en descenso. La sociedad Americana de Cáncer en estado Unidos, estima 11.270 casos nuevos para el 2009 y a nivel mundial, casi 500.000 casos nuevos (1,2). Actualmente, según las últimas estadísticas del Instituto Nacional de Cancerología 2009, comprende un 19,1% de casos nuevos. En el siguiente estudio se realizó un análisis descriptivo de concordancia, entre la citología cervico vaginal anormal, con el reporte de colposcopia y el estudio histológico (biopsia de cérvix); así como las principales alteraciones citológicas, según la clasificación de Bethesda que se presentan en las pacientes que son remitidas a la consulta de Ginecología Oncológica de la clínica Colombia. Los resultados obtenidos del estudio, nos mostró una concordancia kappa pobre a débil entre las variables: citología cervico vaginal anormal, colposcopia y biopsia de cérvix, en la Clínica Universitaria Colombia. Se recomienda realizar nuevos estudios de concordancia, previa modificación del informe de colposcopia de la CUC, para así poder unificar todos los conceptos, con el sistema de Bethesda, y el histológico y obtener un mejor resultado de concordancia.
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Introducción: La infección por un tipo de Virus del Papiloma Humano de alto riesgo (VPH-AR), es el factor principal en el desarrollo de Cáncer de Cérvix (CC). La carga viral puede modular esta asociación, por lo que resulta importante su cuantificación y el establecimiento de su relación con lesiones precursoras de CC. Metodología: 60 mujeres con lesiones escamosas intraepiteliales (LEI) y 120 mujeres sin LEI, confirmadas por colposcopia, fueron incluidas en el estudio. Se determinó la carga viral de 6 tipos de VPH-AR, mediante PCR en tiempo real. Se estimaron OR crudos y ajustados para evaluar la asociación entre la carga viral de cada tipo y las lesiones cervicales. Resultados: 93.22% de mujeres con LEI y 91.23% de mujeres negativas, fueron positivas para al menos un tipo de VPH. VPH-18 y VPH-16 fueron los tipos más prevalentes, junto con VPH-31 en mujeres sin LEI. No se encontraron diferencias estadísticamente significativas de las cargas virales entre éstos dos grupos, aunque se observó un mayor carga viral en lesiones para algunos tipos virales. Una mayor frecuencia de lesiones se asoció a infecciones con carga baja de VPH-16 (ORa: 3.53; IC95%: 1.16 – 10.74), en comparación a mujeres con carga alta de VPH-16, (ORa: 2.63; IC95%: 1.09 – 6.36). En infecciones por VPH-31, la presencia de carga viral alta, se asoció con una menor frecuencia de lesiones (ORa: 0.34; IC95%: 0.15 – 0.78). Conclusiones: La prevalencia tipo-específica de VPH se corresponde con las reportadas a nivel mundial. La asociación entre la carga viral del VPH y la frecuencia de LEI es tipo específica y podría depender de la duración de la infección, altas cargas relacionadas con infecciones transitorias, y bajas cargas con persistentes. Este trabajo contribuye al entendimiento del efecto de la carga viral en la historia natural del CC; sin embargo, estudios prospectivos son necesarios para confirmar estos resultados.
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In the pregnant mouse uterus, small leucine-rich proteoglycans (SLRPs) are drastically remodeled within a few hours after fertilization, suggesting that ovarian hormone levels modulate their synthesis and degradation. In this study, we followed by immunoperoxidase approach, the presence of four members of the SLRP family (decorin, lumican, biglycan, and fibromodulin) in the uterine tissues along the estrous cycle of the mouse. All molecules except fibromodulin, which predominates in the myometrium, showed a striking modulation in their distribution in the endometrial stroma, following the rise in the level of estrogen. Moreover, notable differences in the distribution of SLRPs were observed between superficial and deep stroma, as well as between the internal and external layers of the myometrium. Only biglycan and fibromodulin were expressed in the luminal and glandular epithelia. All four SLRPs were found in cytoplasmic granules of mononucleated cells. The pattern of distribution of the immunoreaction for these molecules in the uterine tissues was found to be estrous cycle-stage dependent, suggesting that these molecules undergo ovarian hormonal control and probably participate in the preparation of the uterus for decidualization and embryo implantation. In addition, this and previous results from our laboratory suggest the existence of two subpopulations of endometrial fibroblasts that may be related to the centrifugal development of the decidua. Anat Rec, 292:138-153, 2009. (c) 2008 Wiley-Liss, Inc.
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AZEVEDO, George Dantas de et al. Raloxifene therapy does not affect uterine blood flow in postmenopausal women: a transvaginal Doppler study. Maturitas, Amsterdam, v.47, n.3, p.195-200, 2004
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A quantitative, descriptive, cross-sectional and retrospective study, using technical procedures of document consultation from secondary sources and health household survey with application form for face to face inter views, with the assent nº.039/2011 from the Ethics Committee of the Federal University of Rio Grande do Norte. The aim of this study was to analyze the cervix cancer control in the area47 of the Health Family Centre Nova Natal II. The cancer cervix is the second most common cancer among women worldwide. In Brazil screening for early detection and treatment of disease has been poorly done and follow-up to reduce mortality has not been executed. From a total of1170women belonging to area 47, who under went screening by the Pap test in the period from 2005 to 2010,was elected a sample of 38 women with positive cervical changes, over 18 years old. The calculation of frequency analysis of socio demographic and clinical and epidemiological selected variables with the results of cervical changes, using the X2 test and taking as significance level of p<0.05 was not statistically significant. The predominant age range was 25 to 64 years (68.9%), most no white women (60.5%), predominantly with primary education (57.9%), most married (68.4%) and housewives (68.4%) with early age of sexual activity (86.8%), the minority smokers (13.2%), with a sexual partner (36.8%). At the time of interview, 42.1% of the women voiced complaint of discharge, while only 2.6% reported bleeding. In relation to the occurrence of STDs (including HPV), 10.5% of women reported being a carrier. The use of oral contraceptives was 32.3% of women, from 2 to 4 years (44.4%). The result of the last screening test performed, showed prevalence of immature squamous metaplasia (55.3%), followed by intraepithelial low- grade lesion (including the cytopathologic HPV effect and cervical intra epithelial neoplasia grade I) (31.6%); intraepithelial high-grade lesion (including cervical intraepithelial neoplasia grade II and III) (7.9%), atypical squamous non neoplastic cells (5.3%). There was no squamous cell carcinoma and adenocarcinoma. Most women received information about the action that should be done after the last screening test result (55.3%), but how to perform follow, most women did not report having done so (55.3%). The follow-up group of women studied, with varying degrees of cervical abnormalities, should only be completed with the discharge by cure, established inconsecutive negative cytology, a goal that is not being achieved in the area 47 of the Health Family Centre of Nova Natal II
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Cancer of the cervix (cervical cancer) is the second most prevalent cancer among Brazilian women. The high rates of cervical cancer in Brazil justify the implementation of effective strategies to control this, which include actions to promote health, primary prevention, early detection, screening, treatment and palliative care. Despite the existence of the National Programme for Control of the CCU there was no reduction in the incidence and mortality of this disease in Brazil. The Family Health Strategy (FHS) has the potential to facilitate such control and, in this context, one should consider that nurses play a central role. The study aimed to know the general intervention strategies used by nurses FHS of Natal / RN in CCU control, and how specific: analyzing the knowledge of these nurses on the CCU, the actions developed in the ESF for the control of CCU and identify the difficulties faced by them to perform it. This is a descriptive exploratory quantitative developed through a structured interview guide with 106 nurses who have experience in controlling the CCU in FHS teams of Natal / RN. Data analysis was performed using descriptive statistic s. The results pointed to actions taken in the FHS to control the CCU, collection of cervical cancer screening, health education activities, nursing consultation, referral of suspected cases for medical monitoring and active women with abnormal test result . The actions that were not mentioned by the nurses included: forming groups of prevention and health promotion; expand coverage of exams and office hours of consultations, establishment of alternatives to end the pent-up demand in the health units, participation in treatment or rehabilitation process users with the CCU; interventions for pain management, alliances and partnerships with schools, in dustry and the use of protocols. This study can be seen that the practice nurses partially shares to the CCU in Natal / RN. The participants of this study, when asked about the CCU, specifically for signs and symptoms of disease and risk factors in general showed important gaps. Difficulties such as lack of materials for collection of Pap smear; inadequate physical space in the Health Units; pent-up demand in the service, delay in arrival of the test results; obstacles in the actions of referral and counter-referral and cultural factors make the CCU control is compromised. It is believed in this research contributed to a reflection on the importance of the role of nurses in the development of the ESF control actions CCU, pointing out the factors that affect these. It is important to involve all nurses who comprise the ESF as knowledgeable of the risk factors, signs and symptoms, and existing tools for the early detection of cervical cancer in the pursuit of quality improvement actions to promote women`s health, contributing in planning future interventions that may reduce mortality from this disease in Natal / RN.
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Uterine leiomyomas are extremely common, benign, smooth muscle tumors that represent a significant public health problem. Although there have been few molecular studies of uterine leiomyomas, most of them have reported a very low frequency of loss of heterozygosity (LOH) in different regions of the genome. The detection of LOH has been used to identify genomic regions that harbor tumor suppressor genes and to characterize different tumor types. We have used a set of 15 microsatellite polymorphism markers to examine the frequency of allele loss in a panel of 64 human uterine leiomyomas matched to normal DNAs. The markers were chosen from regions involved in losses identified by comparative genomic hybridization in a subset of uterine leiomyomas described in a previous report. DNA from tumors and normal tissue was amplified by the polymerase chain reaction and subsequently analyzed using an ABI Prism 377 DNA automated sequencer. The frequency of LOH observed was low, except for the markers D15S87 (15q26.3), D7S493 (7p15.3), and D7S517 (7p22.2). No changes in microsatellite size were detected in our samples. These results provide useful clues for identifying putative tumor suppressor genes associated with a subset of uterine leiomyomas. (C) 2004 Wiley-Liss, Inc.
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This study was undertaken to evaluate the association between the expression of CD31 in the tumor and the histopathologic findings in patients with carcinoma of the cervix. This study included prospectively 30 women, aged 46.6 +/- 10.7 years, with stage IB squamous cell carcinoma of the cervix submitted to radical hysterectomy from November 2001 to September 2002. Samples from the tumor were taken and immunohistochemically evaluated by a monoclonal antibody for CD31. Clinicopathologic characteristics such as stage, tumor size, grade of differentiation, lymphatic vascular space invasion (LVSI), parametrial involvement, and status of pelvic lymph nodes were also recorded. The clinical stage (FIGO) was IB1 in 22 patients (73.3%) and IB2 in 8 patients (26.7%). The expression of CD31 was significantly associated with tumor size and the presence of LVSI, but not with grade of differentiation and vaginal or parametrial involvement (P= 0.03, P= 0.032, P= 0.352, P= 0.208, and P= 0.242, respectively). on univariate analysis, the presence of pelvic lymph node metastasis was influenced by LVSI (P= 0.003) and CD31 expression (P= 0.032). However, on multivariate analysis, the presence of LVSI (P= 0.007) was the only independent predictor of pelvic lymph node metastasis. The CD31 expression in tumor is significantly associated with LVSI and tumor size in patients with early-stage squamous cell carcinoma of the cervix.
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Genomic imprinting is defined as a gamete of origin-specific epigenetic modification of DNA leading to differential gene expression in the zygote. Several imprinted genes have been identified and some of them are associated with tumor development. We investigated the expression and the imprinting status of IGF2 and H19 genes in 47 uterine leiomyomas. Using allelic transcription assay, we detected the expression of the IGF2 gene in 10 of a total of 15 informative cases. No loss of imprinting, as determined by the finding of biallelic expression, was detected in any case. The expression of H19 gene was detected in 10 of 20 informative cases and the imprinting pattern was also maintained in all of them. Our data suggest that alterations in IGF2 and H19 genes expression by loss of imprinting do not occur in uterine leiomyomas. (C) 1999 Academic Press.