799 resultados para probleemgerichte coping


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This study analyzed stability and consistency of coping among adolescents. The objectives were twofold: a) to analyze temporal stability and cross-situational consistency of coping responses after a 17- month interval, taking into account gender, age and type of stressor. b) To analyze the relative weight of contextual versus dispositional factors in predicting future coping. A cohort of 341 adolescents (51% girls and 49% boys aged between 12 and 16) were assessed twice by means of the Coping Responses Inventory - Youth. The results indicated that the coping responses were quite stable over time at the group level, but with important within-subject differences. Girls showed slightly more stability than boys. Among the girls, Avoidance coping showed as much stability as consistency and Approach coping showed more stability than consistency. Among the boys, Avoidance coping showed more stability than consistency, and Approach coping showed both low stability and low consistency. Among the boys, the coping used at Time 1 barely predicted that used at Time 2; in contrast, among the girls, the type of coping used in the past, especially Avoidance coping, predicted the coping that would be used in the future.

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Many studies on spirituality in psychosis have shown that, compared to a nonclinical population, patients make more use of spiritual beliefs/religious practices to deal with their problems. Our research question was to test whether attachment to spiritual figures could be a good explanation for religious coping strategies in patients with psychosis. First, adult attachment was investigated in 28 patients with chronic psychosis and 18 controls, using the Adult Attachment Interview. Diagnostic evaluations were performed with the Structured Clinical Interview for the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (4th edition, Text Revision) Axis I disorders and symptomatic evaluation with the Brief Psychiatric Rating Scale. Results also show a high prevalence of insecure avoidant attachment in patients, and suggest that a significant part of religious coping might be explained by the theory of attachment (64% of the patients, 78% of controls). The implications of these results are interpreted in light of correspondence and compensation hypotheses.

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The question of how to quantify insufficient coping behavior under chronic stress is of major clinical relevance. In fact, chronic stress increasingly dominates modern work conditions and can affect nearly every system of the human body, as suggested by physical, cognitive, affective and behavioral symptoms. Since freshmen students experience constantly high levels of stress due to tight schedules and frequent examinations, we carried out a 3-center study of 1,303 students from Italy, Spain and Argentina in order to develop socioculturally independent means for quantifying coping behavior. The data analysis relied on 2 self-report questionnaires: the Coping Strategies Inventory (COPE) for the assessment of coping behavior and the Zurich Health Questionnaire which assesses consumption behavior and general health dimensions. A neural network approach was used to determine the structural properties inherent in the COPE instrument. Our analyses revealed 2 highly stable, socioculturally independent scales that reflected basic coping behavior in terms of the personality traits activity-passivity and defeatism-resilience. This replicated previous results based on Swiss and US-American data. The percentage of students exhibiting insufficient coping behavior was very similar across the study sites (11.5-18.0%). Given their stability and validity, the newly developed scales enable the quantification of basic coping behavior in a cost-efficient and reliable way, thus clearing the way for the early detection of subjects with insufficient coping skills under chronic stress who may be at risk of physical or mental health problems.

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Le processus de vieillissement entraîne une augmentation et une complexification des besoins de soins. Or, la proportion de personnes vieillissantes dans le monde et en Suisse s'accroit. Les professionnels de la santé ne disposent pas des moyens économiques et humains pour couvrir l'ensemble des besoins de soins. Les proches aidants contribuent de manière importante à la couverture des besoins. Cette contribution devient un élément central de la politique du maintien à domicile. Cependant, l'engagement à long terme des proches aidants auprès de leur parent peut influencer négativement leur état de santé. Pour une même classe d'âge, la population des proches aidants déclare un niveau de fatigue plus élevée que le reste de la population. Dans ce contexte, la fatigue est définie comme le résultat de l'ambivalence entre la demande en soins et les ressources dont dispose le proche aidant. L'hospitalisation du parent, qu'elle soit ou non liée à la fatigue, constitue un moment de crise pour le proche aidant. Face à cette crise, l'aidant mettra en oeuvre des stratégies de coping telles que conceptualisées dans la théorie transactionnelle du stress. Dans le cadre de la théorique intermédiaire de la transition de Meleis, le coping est un indicateur de processus de la transition qui doit permettre d'appréhender la transition vécue par l'aidant à l'occasion de l'hospitalisation du parent. Avec un devis corrélationnel descriptif, cette étude décrit les caractéristiques de l'échantillon de proches aidants, et du rôle qu'ils assument. Elle décrit le degré de fatigue et les styles de coping utilisés, et explore la relation entre la fatigue et le coping du proche aidant à l'occasion de l'hospitalisation du parent. Deux questionnaires auto-administrés ont été complétés par 33 participants. Cette étude a permis de dégager les résultats suivants : le score moyen de fatigue dans cet échantillon indique une fatigue légère selon la classification établie par Piper. Les participants mettent en avant l'influence du rôle d'aidant sur leur fatigue, ainsi que l'influence de leur propre santé et des contraintes économicoprofessionnelles. Le score moyen de fatigue varie en fonction de la nature de l'aide fournie. Il est significativement plus élevé lorsque le proche aidant soutient son parent dans les activités de la vie quotidienne (AVQ). Le style de coping mobilisé préférentiellement dans cet échantillon est le coping centré sur le problème, suivi du coping centré sur la recherche du soutien social, et enfin le coping centré sur l'émotion. Les aidants soutenant leur proche dans les AVQ mobilisent plus le coping centré sur l'émotion que ceux qui n'offrent pas ce type d'aide. Les principales sources de stress nommées par les participants sont l'état de santé du parent, son hospitalisation, et la rencontre avec le système de santé. Dans cet échantillon, nous n'avons pas observé de corrélation entre le degré de fatigue et les trois styles de coping. Des limites liées à la petite taille de l'échantillon amènent à la prudence quant à la généralisation des résultats de cette étude.

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Problématique. Le vieillissement de la population continuera à transformer la démographie. Sa conséquence est une augmentation des besoins de santé chez les personnes âgées que le système sanitaire ne peut couvrir à lui seul. La contribution conséquente des aidants familiaux constitue un pilier nécessaire et essentiel du maintien à domicile. Or, les exigences du rôle d'aidant peuvent dépasser ses capacités et conduire à une hospitalisation. Ces sources de stress, auxquelles s'ajoutent les manifestations de la maladie du proche et des difficultés de collaboration avec les professionnels de santé, peuvent générer un sentiment d'impuissance chez l'aidant. Ce dernier s'ajuste à ce stress par des stratégies de coping, influencées par le degré de contrôle perçu, dont le niveau le plus bas est l'impuissance. But. Explorer la relation entre le sentiment d'impuissance et le coping chez l'aidant à l'occasion de l'hospitalisation du proche. Méthode. Cette étude corrélationnelle descriptive a été conduite auprès de 33 aidants familiaux dont le proche est hospitalisé, recrutés selon un échantillonnage de convenance. Le questionnaire auto-administré comportait trois1 instruments : (a) questionnaire sociodémographique, (b) Ways of Coping Checklist-R, (c) sous-échelle d'impuissance de l'Empowerment Scale (allant de 1 à 4, quatre correspondant à un faible degré d'impuissance). Des comparaisons de moyennes et des corrélations de Pearson ont été effectués. Résultats. L'échantillon est constitué de 45,45 % d'hommes aidants, âgés en moyenne de 61 ans. Les participants viennent en aide à des proches âgés en moyenne de 79 ans. Pour la plus grande part, les aidants assistent leurs proches pour les activités instrumentales de la vie quotidienne. La moitié de l'échantillon fournit de 1 à 5 heures d'aide par semaine. Les participants se sentent relativement peu impuissants (M = 2,55). Cependant, plus l'âge des aidants augmente, plus l'impuissance augmente (r = -0,45 ; p < 0,0106). L'impuissance est plus élevée chez les hommes que chez les femmes (M = 2,40 vs M = 2,67 ; p = 0,0270). Dans cet échantillon, il n'y a pas de différence de sentiment d'impuissance selon que les aidants fournissent ou non une aide pour les activités de la vie quotidienne (AVQ), ni selon le nombre d'heures d'aide fournies par semaine. Le style de coping privilégié par les aidants est le coping centré sur le problème, puis sur la recherche de soutien social et finalement sur l'émotion. Les aidants fournissant de l'aide dans les AVQ privilégient le coping centré sur l'émotion alors qu'il n'existe pas de différence pour les deux autres styles de coping. Aucune relation entre l'impuissance et le coping n'apparaît. Conclusions. Malgré les limites de l'étude, notamment liées à la mesure de l'impuissance, les présents résultats sont compatibles avec les études antérieures. Il est néanmoins préconisé d'approfondir les connaissances utiles au renforcement du rôle infirmier auprès des aidants familiaux. Cela doit contribuer à préserver la santé de l'aidant, son rôle auprès du proche et le maintien à domicile de ce dernier.

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These study analysed gender specificity in coping behaviours by taking into account the types of problem faced by Spanish adolescents attending school. It was focused on the ten problems most frequently reported by participants (828 adolescents, 355 boys, and 473 girls; Mage = 14.07, SD = 1.34), which were classified using a multi-axial classification system. Coping was examined as a two separate measures of approach and avoidance coping, and as a combined measure indicating the predominant use of coping, and total coping effort. A MANCOVA and subsequent univariate tests were conducted to analyse the specificity of coping according to problem and gender, controlled by age. The results showed that the percentage of types of problems reported by adolescents differed according to gender. The influence of gender on coping was scarcely relevant when the type of problem was controlled for. There were no gender differences when the predominant type of coping was considered, but when a total coping effort measure was analysed girls showed more coping efforts than boys to face interpersonal relationship problems and personal illness. Keywords: adolescence, coping, gender differences, stressors.

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This study analyses the types of coping strategies used by internationally adopted children, and explores the relation between these strategies and personal strengths and difficulties. The Kidcope checklist (Spirito, Stark, & Williams, 1998) and the Strengths and Difficulties Questionnaire (SDQ; Goodman, 1997) were administered to a sample of 35 Spanish adoptees (25.7% boys and 74.3% girls, aged 8-12 years) and their parents. Self-reported problems were categorised and their relation with coping strategies and psychological adjustment was explored. Results indicated that adopted children report problems of interpersonal nature. The content of the problems mainly refers to relationships and health, illness, or accidents. Parents reported that children were generally well-adjusted and they had no problems outside the normal range. International adoptees used mainly control-oriented coping strategies. Escape-oriented coping was linked to parents' ratings of total difficulties, with self-criticism accounting for the highest percentage of the variance.

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Background: Studies have found higher levels of insecure attachment in individuals with schizophrenia. Attachment theory provides a framework necessary for conceptualizing the development of interpersonal functioning. Some aspects of the attachment of the believer to his/her spiritual figure are similar to those between the child and his/her parents. The correspondence hypothesis suggests that early child-parent interactions correspond to a person's relation to a spiritual figure. The compensation hypothesis suggests that an insecure attachment history would lead to a strong religiousness/spirituality as a compensation for the lack of felt security. The aim of this study is to explore attachment models in psychosis vs. healthy controls, the relationships between attachment and psychopathology and the attachment processes related to spiritual figures. Methods: Attachment models were measured in 30 patients with psychosis and 18 controls with the AAI (Adult Attachment interview) in relationship with psychopathology. Beliefs and practices related to a spiritual figure were investigated by qualitative and quantitative analyses. Results: Patients with psychosis showed a high prevalence of insecure avoidant attachment. Spiritual entities functioned like attachment figures in two thirds of cases. Interviews revealed the transformation of internal working models within relation to a spiritual figure: a compensation process was found in 7 of the 32 subjects who showed a significant attachment to a spiritual figure. Conclusions: Attachment theory allows us to highlight one of the underlying dimensions of spiritual coping in patients with psychosis.

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In the philosophical literature, self-deception is mainly approached through the analysis of paradoxes. Yet, it is agreed that self-deception is motivated by protection from distress. In this paper, we argue, with the help of findings from cognitive neuroscience and psychology, that self-deception is a type of affective coping. First, we criticize the main solutions to the paradoxes of self-deception. We then present a new approach to self-deception. Self-deception, we argue, involves three appraisals of the distressing evidence: (a) appraisal of the strength of evidence as uncertain, (b) low coping potential and (c) negative anticipation along the lines of Damasio's somatic marker hypothesis. At the same time, desire impacts the treatment of flattering evidence via dopamine. Our main proposal is that self-deception involves emotional mechanisms provoking a preference for immediate reward despite possible long-term negative repercussions. In the last part, we use this emotional model to revisit the philosophical paradoxes.

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The study aimed to identify different patterns of gambling activities (PGAs) and to investigate how PGAs differed in gambling problems, substance use outcomes, personality traits and coping strategies. A representative sample of 4989 young Swiss males completed a questionnaire assessing seven distinct gambling activities, gambling problems, substance use outcomes, personality traits and coping strategies. PGAs were identified using latent class analysis (LCA). Differences between PGAs in gambling and substance use outcomes, personality traits and coping strategies were tested. LCA identified six different PGAs. With regard to gambling and substance use outcomes, the three most problematic PGAs were extensive gamblers, followed by private gamblers, and electronic lottery and casino gamblers, respectively. By contrast, the three least detrimental PGAs were rare or non-gamblers, lottery only gamblers and casino gamblers. With regard to personality traits, compared with rare or non-gamblers, private and casino gamblers reported higher levels of sensation seeking. Electronic lottery and casino gamblers, private gamblers and extensive gamblers had higher levels of aggression-hostility. Extensive and casino gamblers reported higher levels of sociability, whereas casino gamblers reported lower levels of anxiety-neuroticism. Extensive gamblers used more maladaptive and less adaptive coping strategies than other groups. Results suggest that gambling is not a homogeneous activity since different types of gamblers exist according to the PGA they are engaged in. Extensive gamblers, electronic and casino gamblers and private gamblers may have the most problematic PGAs. Personality traits and coping skills may predispose individuals to PGAs associated with more or less negative outcomes.

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Problématique. Le cancer digestif est une maladie qui s'accompagne de nombreux décès. L'annonce d'un tel diagnostic engendre une crise existentielle composée d'un sentiment de finitude de la vie. Des réactions psychosociales accompagnent cette mauvaise nouvelle. Un concept particulier appelé le transitoriness est omniprésent. La personne lutte pour continuer à vivre. Elle adopte des stratégies de coping pour s'ajuster aux difficultés imposées par ce sentiment de finitude de vie. But. Décrire le niveau de sentiment de finitude de vie et les stratégies de coping utilisées face à l'annonce du diagnostic d'un cancer digestif et explorer la présence d'associations entre les variables. Méthode. Cette étude descriptive corrélationnelle a été conduite auprès de 40 personnes hospitalisées pour une intervention chirurgicale, recrutées selon un échantillonnage de convenance. Le protocole de recherche a été avalisé par le comité cantonal d'éthique. Les données ont été recueillies par un formulaire de données sociodémographiques et de santé ainsi que deux instruments de mesure : le SEKT (Subjektive Einschätzung von Krankheitssituation und Todesnähe) a permis de mesurer le sentiment de finitude de vie et le JCS (Jalowiec Coping Scale) a été employé pour recueillir les stratégies de coping. Les deux instruments de mesure n'étant pas disponibles en français, une procédure de traduction et retraduction a été effectuée et avalisée par un comité d'expert. Des analyses descriptives et corrélationnelles ont été réalisées. Résultats. L'échantillon est composé majoritairement d'hommes (51%), âgés entre 56- 74 ans (52,5%), mariés (45%) et avec enfants âgés de plus de 20 ans (60%). Il apparaît une forte proportion de personnes d'une autre nationalité (40%) que la suisse et avec une formation obligatoire (40%). Le sentiment de finitude de vie est présent: 62% réalisent que le cancer représente une menace pour leur vie. Les préoccupations autour de la mort sont « quelquefois » présentes (32,5%). Les personnes se sentent « un peu » à « proche » de la mort et le score total de la proximité est de M = 3,37 (ĒT= 1,77 ; rang: 0-8). Le style de coping privilégié est l'optimisme (M = 2,10), puis l'indépendance (M = 1,95) et l'affrontement de la situation (M =1,80). Aucune relation entre le sentiment de finitude de vie et le score total de coping n'apparaît, si ce n'est une probabilité p< 0,08 entre le sentiment de finitude de vie et les styles de coping expression des émotions et indépendance. La relation entre le sentiment de finitude de vie et la variable sociodémographique la nationalité présente une probabilité marginale (p= 0,058). Certains facteurs sociodémographiques influencent l'utilisation des différentes stratégies de coping : affrontement de la situation (p= 0,0007), coping palliatif (p= 0,0449) et niveau de formation; optimisme et genre (p= 0,0424) ; expression des émotions et âge (p= 0,045); indépendance et nationalité (p= 0,0319); soutien social et nombre d'enfants (p= 0,0016). Conclusion. Les professionnels de la santé doivent être sensibilisés aux spécificités du transitoriness et aux facteurs influençant l'utilisation de stratégies de coping efficaces afin de détecter les personnes vulnérables et de cibler leurs interventions de soins pour diminuer le risque de détresse et son impact sur la qualité de vie du patient.

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Problématique. Les proches aidants jouent un rôle primordial de soutien auprès des personnes atteintes de schizophrénie. La symptomatologie et les perturbations du fonctionnement psychosocial des personnes atteintes de cette maladie peuvent entraîner un fardeau extrêmement élevé pour leur entourage. Les approches psycho-éducatives sont reconnues pour favoriser des stratégies de coping ayant comme impact d'atténuer la détresse des proches aidants et d'améliorer les relations interpersonnelles entre le proche aidant et la personne souffrant de schizophrénie. Buts: décrire et explorer les stratégies de coping chez les proches aidants de personnes atteintes de schizophrénie. Méthode: cette étude descriptive exploratoire a été menée auprès de 45 proches aidants, recrutés selon un échantillonnage de convenance. Ils ont rempli deux auto-questionnaires : (a) le questionnaire sociodémographique et (b) le Family Coping Questionnaire. Des statistiques descriptives de distributions et des analyses corrélationnelles bivariées ont été effectuées. Résultats: les résultats montrent que les stratégies de coping centrées sur le problème et les stratégies de coping centrées sur le maintien social sont plus utilisées que celles appartenant au coping centré sur l'émotion. Cependant, les stratégies de coping centré sur l'émotion sont encore souvent utilisées. Conclusion: malgré les limites de cette étude liées à la taille de l'échantillon, les résultats sont compatibles avec les études antérieures. Il semble important de poursuivre des recherches dans ce domaine pour mieux comprendre les associations entre les représentations de la maladie et les stratégies de coping. Il semble aussi crucial de développer, auprès des proches aidants, les interventions qui leur permettent une meilleure gestion des émotions.

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Avhandlingen studerar hur långtidsarbetslösa klarar av sin situation, hurdant socialt kapital och informationsbeteende de har, samt granskar hur de ovannämnda faktorerna är relaterade till varandra. Därtill undersöks om det finns skillnader mellan finsk- och svenskspråkiga långtidsarbetslösa på de här tre livsområdena. I undersökningen består socialt kapital av sociala relationer, deltagande i organisatoriska aktiviteter samt känslan av tillhörighet med olika grupper och samfund. Gällande informationsbeteende är fokus på vardaglig informationssökning, vilka källor som används, och hurdana problem man stöter på när man söker information. Som mest påfrestande upplevdes arbetslösheten av män, som var i början eller mitten av sin arbetskarriär. De äldre (över 55 år) verkade på många sätt klara av arbetslöshetssituationen bättre än de yngre, som drabbades hårdare av ekonomiska problem och stress. Kvinnor kunde bättre än män bibehålla en positiv inställning, de hade t.ex. starkare sociala nätverk som stöd, medan mäns sociala relationer i högre grad verkade vila på en arbetsgemenskap, som blev allt svagare i och med utdragen arbetslöshet. Yngre män upplevde också ofta att deras hälsa hade försämrats, när den för kvinnor och äldre arbetslösa i genomsnitt blev bättre. När arbetslösas bemästring av arbetslöshetssituationen, sociala relationer och informationssökning granskades, framgick att människor som var aktiva på ett livsområde också var aktiva på andra livsområden. I de flesta fall framkom inte några större skillnader mellan finsk- och svenskspråkiga arbetslösa. Beträffande informationssökning var de upplevda problemen ändå av diametralt motsatt karaktär – för svenskspråkiga åsamkade för lite tillgänglig information ofta problem, medan problemet för de finskspråkiga var att hitta det väsentliga i informationsflödet. Finskspråkiga kände sig också mera fast anknutna till sin boendemiljö och det finska samhället i stort, svenskspråkiga hade däremot i genomsnitt bredare och tätare sociala nätverk.