Sex differences in quality of life in stroke survivors. Data from the Tinzaparin in Acute Ischaemic Stroke Trial (TAIST)

Introduction: Female sex is predictive of poor functional outcome in stroke, even after correction for prognostic factors. Poor quality of life (QoL) is observed in stroke survivors, with lower scores seen in the most disabled patients. We used data from the TAIST trial to assess the relationship between sex and QoL after ischaemic stroke. Methods: TAIST was a randomised controlled trial assessing the safety and efficacy of tinzaparin versus aspirin in 1,484 patients with acute ischaemic stroke. QoL was measured at 180 days post randomisation using the short-form 36 health survey which assesses QoL across eight domains. The relationship between sex and each domain was assessed using ordinal regression, both unadjusted and adjusted for key prognostics factors. Results: Of the 1,484 patients randomised into TAIST, 216 had died at 180 days post randomisation. 1,268 survivors were included in this analysis, 694 males (55%), 574 females (45%). Females tended to score lower than males across all QoL domains (apart from general health); statistically significant lower scores were seen for physical functioning (odds ratio (OR) 0.58, 95% confidence interval (CI) 0.47-0.72), vitality (OR 0.79, 95% CI 0.64-0.98) and mental health (OR 0.75, 95% CI 0.61-0.93). The results for physical functioning and mental health remained significant after adjustment for prognostic variables (OR 0.73, 95% CI 0.58-0.92; OR 0.76, 95% CI 0.60-0.95 respectively). Conclusions: QoL, in particular physical function and mental health domains, is lower in female patients after stroke. This difference persists even after correction for known prognostic factors such as age and stroke severity.

Work-related discussions between French rheumatologists and their rheumatoid arthritis patients

International audience

Home based exercise programme for knee pain and knee osteoarthritis: randomised controlled trial

Objectives To determine whether a home based exercise programme can improve outcomes in patients with knee pain. Design Pragmatic, factorial randomised controlled trial of two years' duration. Setting Two general practices in Nottingham. Participants 786 men and women aged >45 years with self reported knee pain. Interventions Participants were randomised to four groups to receive exercise therapy, monthly telephone contact, exercise therapy plus telephone contact, or no intervention. Patients in the no intervention and combined exercise and telephone groups were randomised to receive or not receive a placebo health food tablet. Main outcome measures Primary outcome was self reported score for knee pain on the Western Ontario and McMaster universities (WOMAC) osteoarthritis index at two years. Secondary outcomes included knee specific physical function and stiffness (scored on WOMAC index), general physical function (scored on SF­36 questionnaire), psychological outlook (scored on hospital anxiety and depression scale), and isometric muscle strength. Results 600 (76.3%) participants completed the study. At 24 months, highly significant reductions in knee pain were apparent for the pooled exercise groups compared with the non­exercise groups (mean difference –0.82, 95% confidence interval –1.3 to –0.3). Similar improvements were observed at 6, 12, and 18 months. Regular telephone contact alone did not reduce pain. The reduction in pain was greater the closer patients adhered to the exercise plan. Conclusions A simple home based exercise programme can significantly reduce knee pain. The lack of improvement in patients who received only telephone contact suggests that improvements are not just due to psychosocial effects because of contact with the therapist.

Qualidade do sono, atividade física e funcionamento físico de pessoas idosas independentes

O objetivo deste estudo foi analisar associações entre a qualidade do sono, a atividade física e o funcionamento físico (aptidão física e atividades da vida diária (AVD)) de pessoas idosas independentes. Metodologia: A amostra incluiu 437 pessoas idosas independentes (143 homens e 294 mulheres; 65-103 anos). A qualidade do sono e as AVD foram avaliadas através de questionário, a atividade física através de acelerometria e a aptidão física através do Senior Fitness Test. Resultados: A análise da regressão logística tendo como variável dependente a qualidade do sono e como variáveis independentes a atividade física, a aptidão física e as AVD, revelou que as AVD foi a única variável explicativa da discriminação entre má e boa qualidade do sono. O aumento de um ponto nas AVD correspondeu a uma diminuição de 91,4% na probabilidade de ter uma má qualidade de sono. Os resultados não foram alterados quando se incluiu no modelo o género, a idade ou o escalão etário. Conclusões: Um melhor funcionamento físico parece estar associado a uma melhor qualidade do sono em pessoas idosas. A obtenção de 19 pontos nas AVD revelou ser discriminatória da qualidade do sono de pessoas idosas.

Identification of patients at risk of poor outcomes following hip or knee arthroplasty

Les arthroplasties totales de la hanche (ATH) et du genou (ATG) sont souvent offertes aux patients atteints de dégénérescence articulaire sévère. Bien qu’efficace chez la majorité des patients, ces interventions mènent à des résultats sous-optimaux dans de nombreux cas. Il demeure difficile d’identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux à l’heure actuelle. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser la gamme de soins et de services offerts et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie. Ce mémoire a comme objectifs : 1) de réaliser une revue systématique des déterminants associés à la douleur et aux incapacités fonctionnelles rapportées par les patients à moyen-terme suivant ces deux types d’arthroplastie et 2) de développer des modèles de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles suivant l’ATH et l’ATG. Une revue systématique de la littérature identifiant les déterminants de la douleur et de la fonction suivant l’ATH et l’ATG a été réalisée dans quatre bases de données jusqu’en avril 2015 et octobre 2014, respectivement. Afin de développer un algorithme de prédiction pouvant identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux, nous avons aussi utilisé des données rétrospectives provenant de 265 patients ayant subi une ATH à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de 2004 à 2010. Finalement, des données prospectives sur 141 patients recrutés au moment de leur inclusion sur une liste d’attente pour une ATG dans trois hôpitaux universitaires à Québec, Canada et suivis jusqu’à six mois après la chirurgie ont permis l’élaboration d’une règle de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles. Vingt-deux (22) études d’une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été incluses dans la revue. Les principaux déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH incluaient: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, un indice de la masse corporelle plus élevé, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, une scolarité plus faible, une arthrose radiographique moins sévère et la présence d’arthrose à la hanche controlatérale. Trente-quatre (34) études évaluant les déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATG avec une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été évaluées et les déterminants suivant ont été identifiés: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, un plus grands niveau d’anxiété et/ou de symptômes dépressifs, la présence de douleur au dos, plus de pensées catastrophiques ou un faible niveau socioéconomique. Pour la création d’une règle de prédiction clinique, un algorithme préliminaire composé de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle ainsi que de trois questions du WOMAC préopératoire a permis l’identification des patients à risque de résultats chirurgicaux sous-optimaux (pire quartile du WOMAC postopératoire et percevant leur hanche opérée comme artificielle avec des limitations fonctionnelles mineures ou majeures) à une durée moyenne ±écart type de 446±171 jours après une ATH avec une sensibilité de 75.0% (95% IC: 59.8 – 85.8), une spécificité de 77.8% (95% IC: 71.9 – 82.7) et un rapport de vraisemblance positif de 3.38 (98% IC: 2.49 – 4.57). Une règle de prédiction clinique formée de cinq items du questionnaire WOMAC préopratoire a permis l’identification des patients en attente d’une ATG à risque de mauvais résultats (pire quintile du WOMAC postopératoire) six mois après l’ATG avec une sensibilité de 82.1 % (95% IC: 66.7 – 95.8), une spécificité de 71.7% (95% IC: 62.8 – 79.8) et un rapport de vraisemblance positif de 2.9 (95% IC: 1.8 – 4.7). Les résultats de ce mémoire ont permis d’identifier, à partir de la littérature, une liste de déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH et l’ATG avec le plus haut niveau d’évidence à ce jour. De plus, deux modèles de prédiction avec de très bonnes capacités prédictives ont été développés afin d’identifier les patients à risque de mauvais résultats chirurgicaux après l’ATH et l’ATG. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser leur prise en charge et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie.

Identification of patients at risk of poor outcomes following hip or knee arthroplasty

Les arthroplasties totales de la hanche (ATH) et du genou (ATG) sont souvent offertes aux patients atteints de dégénérescence articulaire sévère. Bien qu’efficace chez la majorité des patients, ces interventions mènent à des résultats sous-optimaux dans de nombreux cas. Il demeure difficile d’identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux à l’heure actuelle. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser la gamme de soins et de services offerts et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie. Ce mémoire a comme objectifs : 1) de réaliser une revue systématique des déterminants associés à la douleur et aux incapacités fonctionnelles rapportées par les patients à moyen-terme suivant ces deux types d’arthroplastie et 2) de développer des modèles de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles suivant l’ATH et l’ATG. Une revue systématique de la littérature identifiant les déterminants de la douleur et de la fonction suivant l’ATH et l’ATG a été réalisée dans quatre bases de données jusqu’en avril 2015 et octobre 2014, respectivement. Afin de développer un algorithme de prédiction pouvant identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux, nous avons aussi utilisé des données rétrospectives provenant de 265 patients ayant subi une ATH à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de 2004 à 2010. Finalement, des données prospectives sur 141 patients recrutés au moment de leur inclusion sur une liste d’attente pour une ATG dans trois hôpitaux universitaires à Québec, Canada et suivis jusqu’à six mois après la chirurgie ont permis l’élaboration d’une règle de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles. Vingt-deux (22) études d’une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été incluses dans la revue. Les principaux déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH incluaient: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, un indice de la masse corporelle plus élevé, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, une scolarité plus faible, une arthrose radiographique moins sévère et la présence d’arthrose à la hanche controlatérale. Trente-quatre (34) études évaluant les déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATG avec une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été évaluées et les déterminants suivant ont été identifiés: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, un plus grands niveau d’anxiété et/ou de symptômes dépressifs, la présence de douleur au dos, plus de pensées catastrophiques ou un faible niveau socioéconomique. Pour la création d’une règle de prédiction clinique, un algorithme préliminaire composé de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle ainsi que de trois questions du WOMAC préopératoire a permis l’identification des patients à risque de résultats chirurgicaux sous-optimaux (pire quartile du WOMAC postopératoire et percevant leur hanche opérée comme artificielle avec des limitations fonctionnelles mineures ou majeures) à une durée moyenne ±écart type de 446±171 jours après une ATH avec une sensibilité de 75.0% (95% IC: 59.8 – 85.8), une spécificité de 77.8% (95% IC: 71.9 – 82.7) et un rapport de vraisemblance positif de 3.38 (98% IC: 2.49 – 4.57). Une règle de prédiction clinique formée de cinq items du questionnaire WOMAC préopratoire a permis l’identification des patients en attente d’une ATG à risque de mauvais résultats (pire quintile du WOMAC postopératoire) six mois après l’ATG avec une sensibilité de 82.1 % (95% IC: 66.7 – 95.8), une spécificité de 71.7% (95% IC: 62.8 – 79.8) et un rapport de vraisemblance positif de 2.9 (95% IC: 1.8 – 4.7). Les résultats de ce mémoire ont permis d’identifier, à partir de la littérature, une liste de déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH et l’ATG avec le plus haut niveau d’évidence à ce jour. De plus, deux modèles de prédiction avec de très bonnes capacités prédictives ont été développés afin d’identifier les patients à risque de mauvais résultats chirurgicaux après l’ATH et l’ATG. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser leur prise en charge et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie.

Concurrent validity of the Swedish version of the life-space assessment questionnaire

BACKGROUND: The Life-Space Assessment (LSA), developed in the USA, is an instrument focusing on mobility with respect to reaching different areas defined as life-spaces, extending from the room where the person sleeps to mobility outside one's hometown. A newly translated Swedish version of the LSA (LSA-S) has been tested for test-retest reliability, but the validity remains to be tested. The purpose of the present study was to examine the concurrent validity of the LSA-S, by comparing and correlating the LSA scores to other measures of mobility. METHOD: The LSA was included in a population-based study of health, functioning and mobility among older persons in Sweden, and the present analysis comprised 312 community-dwelling participants. To test the concurrent validity, the LSA scores were compared to a number of other mobility-related variables, including the Short Physical Performance Battery (SPPB) as well as "stair climbing", "transfers", "transportation", "food shopping", "travel for pleasure" and "community activities". The LSA total mean scores for different levels of the other mobility-related variables, and measures of correlation were calculated. RESULTS: Higher LSA total mean scores were observed with higher levels of all the other mobility related variables. Most of the correlations between the LSA and the other mobility variables were large (r = 0.5-1.0) and significant at the 0.01 level. The LSA total score, as well as independent life-space and assistive life-space correlated with transportation (0.63, 0.66, 0.64) and food shopping (0.55, 0.58, 0.55). Assistive life-space also correlated with SPPB (0.47). With respect to maximal life-space, the correlations with the mobility-related variables were generally lower (below 0.5), probably since this aspect of life-space mobility is highly influenced by social support and is not so dependent on the individual's own physical function. CONCLUSION: LSA was shown to be a valid measure of mobility when using the LSA total, independent LS or assistive LSA.

Relación entre la calidad del sueño y la calidad de vida del personal de salud en una institución de salud de iv nivel en caracas 2016

Introducción: La relación entre el sueño y la calidad de vida constituye una de las problemáticas de gran importancia en el ámbito de las condiciones de trabajo de funcionarios y personal médico de las unidades prestadoras de servicios hospitalarios. Estudios han evidenciado una relación entre la calidad del sueño y la calidad de vida y la falta de sueño se ha asociado con errores en los procedimientos y lesiones ocupacionales. Objetivo: Relacionar la calidad del sueño con la calidad de vida en personal de salud de una Institución de IV nivel, en la ciudad de Caracas (Venezuela). Materiales y métodos: Estudio de corte transversal con datos secundarios del personal de salud de un Hospital de IV nivel (93 registros) en la ciudad de Caracas (Venezuela). Se emplearon variables sociodemográficas, las relacionadas con calidad del sueño y provenientes de la encuesta “Índice de calidad de sueño de Pittsburgh” y con calidad de vida incluidas en el cuestionario SF-36. Se utilizo el programa estadístico SPSS para el análisis y se obtuvieron medidas de tendencia central y dispersión. Para relacionar las variables se emplearon las pruebas de Shapiro Wilk y el coeficiente de correlación de Spearman. Resultados: El total de los trabadores que ingresaron al estudio tuvieron un rango de edad entre 19 y 70 años y una desviación estándar de 10,9 años. Respecto al género, el 79,6% (n=74) fueron mujeres, y el 20,4% (n=19) fueron hombres. Con relación al componente de calidad de vida, se encontró que la mayor puntuación se asocia con el desempeño emocional (61,3%), la Vitalidad (73,5%), la Función Física (91%), el Dolor Físico (100%) y la Función Social (100%). Igualmente, se encontró que la totalidad de los trabajadores encuestados refirieron ser malos dormidores (91.4%). Al correlacionar la calidad de sueño con la calidad de vida, se encontró una asociación estadísticamente significativa, específicamente con el componente Latencia de sueño (p=0.008), Eficiencia habitual de sueño (p=0,001), Perturbaciones del Sueño (p=0,040) y Disfunción diurna (p= 0,008). Conclusión Este estudio reporto que la falta de sueño tiene relación con la calidad de vida del personal de salud y que la totalidad de los trabajadores de este estudio refirieron ser malos dormidores, hechos que demandan la atención de los programas de salud de las empresas, para promover medidas preventivas y correctivas respecto a las condiciones laborales como parte del bienestar de las personas.

Normative reference of standing long jump for Colombian schoolchildren aged 9-17.9 years: The FUPRECOL study

El propósito del presente estudio era generar los valores normativos de salto largo para niños de 9-17.9 años, e investigar las diferencias de sexo y grupo de edad

Calidad de vida, sentido de coherencia y satisfacción laboral en profesores (as) de colegios técnicos en la Dirección Regional de Heredia

The aim of this study was to analyze the Quality of Life, Sense of Coherence and Job Satisfaction by teachers of technical schools in the Heredia´s region. A group of 81 educators (25 male and 56 female) joined the study. It was used the SF-36 Questionnaire, the Sense of Coherence scale and a list of items related to the Job Satisfaction. There were found three factors associated to job satisfaction: (1) social atmosphere and job recognition, (2) infrastructure conditions, salary and promotion and (3) amount of job and relationship with the students. In general the results showed scores up of average Quality of Life. However, there were found low scores in central aspects like “Vitality”. The highest factors scores were found by the physical function and the physical role. The sense of coherence scores related to the factors “Life” and “Feelings” were middle. Both factors were significant associated to some dimensions of Quality of Life and Job Satisfaction. In sum, the results showed up, that it is necessary to develop programs in order to enhance sense of coherence and quality of life. Likewise, it is important to promote job satisfaction. A good job satisfaction has positive consequences to the health, and increase the compromise levels and teachers identification to the profession.

Reduced visual function and its association with physical functioning in the Finnish adult population : Prevalence, causes, and need for eye care services

The purpose of this study was to estimate the prevalence and distribution of reduced visual acuity, major chronic eye diseases, and subsequent need for eye care services in the Finnish adult population comprising persons aged 30 years and older. In addition, we analyzed the effect of decreased vision on functioning and need for assistance using the World Health Organization’s (WHO) International Classification of Functioning, Disability, and Health (ICF) as a framework. The study was based on the Health 2000 health examination survey, a nationally representative population-based comprehensive survey of health and functional capacity carried out in 2000 to 2001 in Finland. The study sample representing the Finnish population aged 30 years and older was drawn by a two-stage stratified cluster sampling. The Health 2000 survey included a home interview and a comprehensive health examination conducted at a nearby screening center. If the invited participants did not attend, an abridged examination was conducted at home or in an institution. Based on our finding in participants, the great majority (96%) of Finnish adults had at least moderate visual acuity (VA ≥ 0.5) with current refraction correction, if any. However, in the age group 75–84 years the prevalence decreased to 81%, and after 85 years to 46%. In the population aged 30 years and older, the prevalence of habitual visual impairment (VA ≤ 0.25) was 1.6%, and 0.5% were blind (VA < 0.1). The prevalence of visual impairment increased significantly with age (p < 0.001), and after the age of 65 years the increase was sharp. Visual impairment was equally common for both sexes (OR 1.20, 95% CI 0.82 – 1.74). Based on self-reported and/or register-based data, the estimated total prevalences of cataract, glaucoma, age-related maculopathy (ARM), and diabetic retinopathy (DR) in the study population were 10%, 5%, 4%, and 1%, respectively. The prevalence of all of these chronic eye diseases increased with age (p < 0.001). Cataract and glaucoma were more common in women than in men (OR 1.55, 95% CI 1.26 – 1.91 and OR 1.57, 95% CI 1.24 – 1.98, respectively). The most prevalent eye diseases in people with visual impairment (VA ≤ 0.25) were ARM (37%), unoperated cataract (27%), glaucoma (22%), and DR (7%). One-half (58%) of visually impaired people had had a vision examination during the past five years, and 79% had received some vision rehabilitation services, mainly in the form of spectacles (70%). Only one-third (31%) had received formal low vision rehabilitation (i.e., fitting of low vision aids, receiving patient education, training for orientation and mobility, training for activities of daily living (ADL), or consultation with a social worker). People with low vision (VA 0.1 – 0.25) were less likely to have received formal low vision rehabilitation, magnifying glasses, or other low vision aids than blind people (VA < 0.1). Furthermore, low cognitive capacity and living in an institution were associated with limited use of vision rehabilitation services. Of the visually impaired living in the community, 71% reported a need for assistance and 24% had an unmet need for assistance in everyday activities. Prevalence of ADL, instrumental activities of daily living (IADL), and mobility increased with decreasing VA (p < 0.001). Visually impaired persons (VA ≤ 0.25) were four times more likely to have ADL disabilities than those with good VA (VA ≥ 0.8) after adjustment for sociodemographic and behavioral factors and chronic conditions (OR 4.36, 95% CI 2.44 – 7.78). Limitations in IADL and measured mobility were five times as likely (OR 4.82, 95% CI 2.38 – 9.76 and OR 5.37, 95% CI 2.44 – 7.78, respectively) and self-reported mobility limitations were three times as likely (OR 3.07, 95% CI 1.67 – 9.63) as in persons with good VA. The high prevalence of age-related eye diseases and subsequent visual impairment in the fastest growing segment of the population will result in a substantial increase in the demand for eye care services in the future. Many of the visually impaired, especially older persons with decreased cognitive capacity or living in an institution, have not had a recent vision examination and lack adequate low vision rehabilitation. This highlights the need for regular evaluation of visual function in the elderly and an active dissemination of information about rehabilitation services. Decreased VA is strongly associated with functional limitations, and even a slight decrease in VA was found to be associated with limited functioning. Thus, continuous efforts are needed to identify and treat eye diseases to maintain patients’ quality of life and to alleviate the social and economic burden of serious eye diseases.

Physical Activity and Cognitive Function in the Elderly: a Systematic Review

Background: Physical activity appears important contributor for healthy aging, including cognitive function. However, it is unclear whether late life physical activity alone is beneficial to cognitive function. We performed a systematic review to examine the effect of late life physical activity in maintaining cognitive function in older persons.
Methods: Search Strategy and Selection criteria: The search sources consisted of PubMed, MEDLINE, CINAHL, Cochrane Controlled Trials Register (CENTRAL), and the University of Washington Medical School Library Database between July 15, 2011 and August 15, 2012 with language restricted to English. Studies that were published in journals on or after January 2000 with participants older than 60 years of age were reviewed. Randomized controlled trials including at least 30 participants and lasting for at least 6 months and all observational studies of at least 100 participants and lasting at least 1 year in duration were eligible for inclusion Two reviewers assessed the applicability and results of these studies.
Results: Twenty-six studies fulfilling the inclusion criteria are included. Twenty-one studies reported that late life physical activity resulted in maintenance or enhancement of cognitive function. Three studies reported a dose-response relationship between physical activity and cognition.
Conclusions: Late life physical activity is beneficial for cognitive function in the elderly. However, the majority of the evidence is of medium quality with moderate risk of bias. Larger, randomized controlled trials are needed to better define the association between late life physical activity and cognitive function. Further research is required to determine which types of exercise have the greatest benefits on specific cognitive domains. Despite these caveats, current data are sufficient to recommend that moderate level, late life physical activity may be an effective method to improve cognitive function and delay the onset and progression of cognitive disease in the elderly.

Investigative links between cognitive function and moderate-to-vigorous physical activity in elementary physical education

Research has noted both physical and psychosocial benefits when children participate in regular physical activity. Recent studies are indicating that there may also be academic benefits and that students may be more efficient learners with participation in physical activity. This study investigated the influence of acute moderate-to-vigorous physical activity on four cognitive functions: planning, attention, simultaneous processing, and successive processing. Three classes (59 students) were each tested twice using a balanced design (intervention, balance, and control groups). It was found that the intervention group had a large increase in planning abiHty (ES = 1.67) when compared to the balance (ES = .80) and control (ES = -.89) groups. On the three remaining cognitive functions, the intervention group showed effect sizes similar to that of the balance and control groups. These results indicate that improved planning after physical activity may playa role in improving student performance.