La Belle Hélène / Offenbach. La fille de Madame Angot / Lecocq ; Marthe Chenal, S

Comprend : La Belle Hélène ; La fille de Madame Angot

Mandement... qui ordonne que le Te Deum sera chanté... en actions de grâces de l'heureux accouchement de madame la dauphine et de la naissance d'un duc de Bourgogne

[Acte. 1751-09-15]

Arrêts du grand conseil des 2 décembre 1698 et 23 janvier 1699, en faveur des officiers commensaux de feue Madame la Dauphine, pour le rang et préséance, l'eau bénite et autres droits honorifiques de l'église, contre Me Laurens Garnier de la Courdubois, procureur du roi en l'élection d'Eu, Me Laurens Lenclos, curé de la paroisse de la Sainte-Trinité de ladite ville, et Laur. Gourdin, son bedeau

[Acte. 1698-12-02. Paris]

Arrêt du grand conseil rendu en faveur de Mre Fr. de Rességuier, chapelain ordinaire de S.A.R. Madame., chanoine et Scolastique de l'église cathédrale de Dol en Bretagne, pour raison de fruits, droits et autres revenus de son canonicat

[Acte. 1714-08-28. Paris]

Couplets pour le mariage de Monseigneur le Dauphin, et de Madame la Dauphine par. M. J. D. Bezassier, chanoine régulier de l'abbaye de Saint-Loup de Troyes / par. M. J. D. Bezassier, chanoine régulier de l'abbaye de Saint-Loup de Troyes ; [exemplaire illustré par Gabriel de Saint-Aubin]

Référence bibliographique : Dacier 1931a, 1067

[Lettre autographe signée d'Adolphe Adam à Madame Ritte (sans date)]

"Je vous envoie un gros paquet de manuscrits..."

[Impromptu composé par Sophie Arnould, pour Madame Bernard et Madame Récamier, sa fille (sans lieu ni date)]

Imprimé + manuscrit

A Madame Sophie, sur les applaudissements que le public lui avait ménagés dans Erozine et qu'il lui a donnés avec justice dans le rôle d'Adèle (manuscrit autographe)

Pièce en vers

« Le Myroer des dames nobles et illustres, composé à l'instance de... madame Jehanne,... espouse de... Philippe le Bel » (premiere partie), traduction par « maistre YSAMBERD DE SAINCT LEGER, prebstre ».

Commençant par : « Les anciennes dames du temps passé, illustres et heroïques princesses, non seullement de la secte des crestiens... » et finissant par : «... chose ne tresor plus precieux ne qui face plus à desirer » .