977 resultados para Nontariff trade barriers
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Shrimp culture in Bangladesh has emerged as an important aquaculture industry over the last three decades although its culture in greater parts of the farming area is done in traditional ways. In the meantime, the government of Bangladesh has taken necessary measures along with the private sectors to increase production, upgrade processing industries and to promote export performance. Long supply chain in raw material collection, inadequate infrastructure facilities, poor level of cool chain and lack of adequate HACCP-based training on hygiene and sanitation of different groups of people involved in the field level are the main problems of quality loss of raw materials. Shortage of raw materials results in poor capacity utilization of the processing plants. The growth of bagda (P. monodon) hatchery has expanded rapidly over the last few years, remaining mostly concentrated in Cox's Bazar region is enough to meet the target production. However, there is a shortage of pelleted shrimp feed in Bangladesh. A large number of export processors are now producing increasing amounts of value-added products such as individually quick-frozen, peeled and divined, butterfly cut shrimp, as well as cooked products. The export earnings from value added products is about half of the total export value. About 95% of total fish products are exported to European countries, USA and Japan and the remaining to the Southeast Asia and the Middle East. Most of the EU approved shrimp processing industries have been upgraded with laboratory facilities and provided HACCP training to their workers. As of now, HACCP is applied on the processing plants, but to ensure the quality of raw materials and to reduce risks, shrimp farms are also required to adopt HACCP plan. There is increased pressure time to time from importing countries for fish processors to establish effective quality assurance system in processing plants. Fish Inspection and Quality Control (FIQC) of the Department of Fisheries while having moderately equipped laboratories with chemical, bio-chemical and microbiological testing facilities and qualified technical personnel, the creation of facilities for testing of antibiotics is underway. FIQC mainly supervises quality aspects of the processing plants and has little or no control over raw material supply chains from farm to processing plants. Bangladesh export consignments sometimes face rejection due to reported poor quality of the products. Three types of barriers are reported for export of shrimp to EU countries. These are:(1) government participation in trade and restrictive practices (state aid, countervailing duties, state trading enterprises, government monopoly practices), customs and administrative entry procedures (anti-dumping duties, customs valuation, classification, formalities, rules of origin); (2) technical barriers to trade or TBT (technical regulations, standards, testing, certification arrangement); (3) specific limitations (quantitative restrictions, import licensing, embargoes, exchange control, discriminatory sourcing, export restraints, measures to regulate domestic prices, requirements concerning marking, labeling and packaging).
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Monte Carlo calculations of quantum yield in PtSi/p-Si infrared detectors are carried out taking into account the presence of a spatially distributed barrier potential. In the 1-4 mu m wavelength range it is found that the spatial inhomogeneity of the barrier has no significant effect on the overall device photoresponse. However, above lambda = 4.0 mu m and particularly as the cut-off wavelength (lambda approximate to 5.5 mu m) is approached, these calculations reveal a difference between the homogeneous and inhomogeneous barrier photoresponse which becomes increasingly significant and exceeds 50% at lambda = 5.3 mu m. It is, in fact, the inhomogeneous barrier which displays an increased photoyield, a feature that is confirmed by approximate analytical calculations assuming a symmetric Gaussian spatial distribution of the barrier. Furthermore, the importance of the silicide layer thickness in optimizing device efficiency is underlined as a trade-off between maximizing light absorption in the silicide layer and optimizing the internal yield. The results presented here address important features which determine the photoyield of PtSi/Si Schottky diodes at energies below the Si absorption edge and just above the Schottky barrier height in particular.
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Motivations/barriers to participate in ITF
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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Management from the NOVA – School of Business and Economics
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L'Accord sur le commerce intérieur est un accord de libre-échange pancanadien visant l'abaissement des barrières non tarifiaires au commerce interprovincial. La notion de barrières au commerce interprovincial, en soi, suscite maintes controverses. Aucun consensus n'existe à savoir quelles sont les barrières au commerce, quelles en sont leurs coûts, mais surtout, s'il faut les abaisser. La grande majorité des experts concoivent que beaucoup de ces barrières non tarifaires au commerce se retrouvent dans le secteur des produits agroalimentaires. À ce titre, ce domaine est, depuis plusieurs décennies, traditionnellement protectionniste et constitue donc un marché des plus difficiles à intégrer. Cette réalité prévaut tant au niveau international qu'interprovincial. Au Canada, l'outil privilégié après des années de négociations constitutionnelles infructueuses fut l'Accord sur le commerce intérieur. Cet accord, aux allures de traité international, vise l'intégration graduelle du marché interne canadien. La volonté de devenir un marché intégré et compétitif au niveau mondial se heurte à la détermination des provinces de protéger leur souveraineté législative. Ainsi, l'outil d'ouverture du marché que constitue l'Accord sur le commerce intérieur, qui navigue entre ces positions antagonistes, fut rédigé de manière assez complexe et peu accessible. Le contexte politique et constitutionnel particulier dans lequel se sont inscrites les négociations de cet accord a ainsi teinté le texte de l'accord et sa rédaction. En plus de sa simplification, plusieurs solutions intervenant sous plusieurs facettes de l'Accord sur le commerce intérieur permettraient à ce dernier de se voir plus efficace dans sa mission d'intégration du marché interprovincial canadien, en plus d'augmenter sa notoriété, sa crédibilité et de permettre une meilleure mise en œuvre.
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Dans ma thèse doctorale, j'étudie trois facteurs importants qui caractérisent le commerce international : les différences technologiques entre les pays, les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes et la migration internationale. Le premier chapitre analyse si les différences technologiques entre les pays peuvent expliquer la spécialisation dans le commerce international entre les pays. Pour mesurer le niveau de la spécialisation, je calcule les index de concentration pour la valeur des importations et des exportations et décompose la concentration totale dans la marge de produits extensive (nombre de produits commercialisés) et la marge de produits intensive (volume de produits commercialisés). En utilisant des données commerciales détaillées au niveau du produit dans 160 pays, mes résultats montrent que les exportations sont plus concentrées que les importations, que la spécialisation se produit principalement au niveau de la marge intensive du produit, et que les économies plus grandes disposent d'importations et d'exportations plus diversifiées, car elles commercialisent plus de produits. Compte tenu de ces faits, j'évalue la capacité du modèle Eaton-Kortum, le principal modèle de la théorie ricardienne du commerce, pour représenter les preuves empiriques. Les résultats montrent que la spécialisation à travers l'avantage comparatif induit par les différences de technologie peut expliquer les faits qualitatifs et quantitatifs. De plus, j'évalue le rôle des déterminants clés de la spécialisation : le degré de l'avantage comparatif, l'élasticité de la substitution et la géographie. Une implication de ces résultats est qu'il est important d’évaluer jusqu'à quel point la volatilité de production mesurée par la volatilité du PIB est motivée par la spécialisation des exportations et des importations. Étant donné le compromis entre l'ouverture du commerce et la volatilité de production, les bénéfices tirés du commerce peuvent s'avérer plus faibles que ceux estimés précédemment. Par conséquent, les politiques commerciales alternatives telles que l'ouverture graduelle au commerce combinée à la diversification de la production pour réduire la concentration de l'exportation peuvent se révéler être une meilleure stratégie que l'approche du laissez-faire. En utilisant la relation entre la taille du marché et l’entrée de firmes et produits, le deuxième chapitre évalue si les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes à exporter sont au niveau de la firme ou au niveau du produit. Si les coûts fixes se trouvent au niveau de la firme, la firme multiproduits a un avantage de coût de production par rapport aux autres firmes parce qu’elles peuvent diviser les coûts fixes sur plusieurs produits. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par peu de firmes qui exportent beaucoup des produits. Si les coûts fixes sont au niveau du produit, l’entrée d’un produit est associée avec l’entrée de plusieurs firmes. La raison est qu’une fois que la première firme entre et paye les coûts fixes du produit, elle crée un effet d’entrainement qui réduit les coûts fixes pour des firmes rivales. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par plusieurs firmes qui vendent des variétés différentes du même produit. En utilisant des données détaillées provenant de 40 pays exportateurs à travers 180 marchés de destination, mes résultats montrent que les barrières à l'entrée se trouvent principalement au niveau du produit. Un marché plus large favorise l'expansion d'un plus grand nombre d’entreprises au sein d'une catégorie de produit plutôt que de permettre aux entreprises produisant plusieurs produits de croître dans une gamme de produits. En regardant la différence entre le nombre d'exportateurs au sein d'une catégorie de produit dans des destinations données, je trouve que le taux d'entrée de firmes augmente significativement après qu'un produit entre la première fois dans le marché. J'en déduis donc que le premier entrant réduit les coûts fixes pour les firmes suivantes. Mes recherches démontrent également que malgré une plus grande compétition sur le marché du produit, les entreprises disposent de revenus d'exportation supérieurs et sont plus susceptibles de rester sur les marchés internationaux. Ces résultats sont cohérents avec l’hypothèse que l’effet d’entrainement incite l'entrée de firmes rivales et permettent aux entreprises de produire à plus grande échelle. Cette recherche dévoile un nombre de conclusions importantes. D'abord, les politiques commerciales encouragent l'entrée de nouveaux produits, par exemple, en promouvant des produits dans les marchés de destination entraînant ainsi des retombées qui se traduiront par un taux de participation plus élevé de l'entreprise et une croissance de l'exportation. Deuxièmement, les consommateurs du pays importateur peuvent bénéficier de prix plus bas pour le produit en réduisant les barrières techniques du commerce. Troisièmement, lorsque l'on effectue des expérimentations politiques sous la forme de réduction des coûts commerciaux, il est de coutume de considérer uniquement une baisse des coûts marginaux et d'évaluer les répercussions sur le bien-être du consommateur. Cependant, un élément important des accords commerciaux est la réduction des barrières techniques au commerce grâce à la négociation de normes communes pour un produit. Négliger l'existence des barrières à l'entrée et les conséquences des réaffectations de l'industrie affaiblit l'impact des réformes commerciales. Le troisième chapitre prend en compte le rôle de l'information dans la facilitation du commerce international. Les immigrants réduisent les coûts de transaction dans le commerce international en fournissant des informations sur les possibilités d'échange avec leur pays d'origine. En utilisant des données géographiques détaillées sur l'immigration et les importations aux États-Unis entre 1970 et 2005, je quantifie l'incidence qu'ont les nouveaux immigrants sur la demande pour les importations de biens intermédiaires aux États-Unis. Pour établir le lien cause à effet entre le commerce et la migration, j’exploite l'important afflux d'immigrants d'Amérique centrale après l'ouragan Mitch. Les résultats montrent que l'augmentation de dix pour cent d'immigrants a fait croître la demande pour les importations de biens intermédiaires de 1,5 pour cent. Mes résultats sont robustes aux problèmes de la causalité inverse ou la décision d’émigrer est causée par des opportunités de faire du commerce.
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The United States of America and the European Union are currently negotiating a Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP). It is one of the most ambitious free trade and investment initiatives, going much further than eliminating tariffs. TTIP mainly aims at reducing “non-tariff barriers”. While tariffs on goods have been imposed with an eye to foreign competition, most of the non-tariff barriers are the laws and regulations that are the result of social struggles for the protection of consumers and workers. It is therefore certain that TTIP will impact workers. This volume provides a preliminary assessment of the likely consequences for labor by: - providing an overall introduction to the TTIP negotiations; -assessing the reliability of the studies claiming employment gains; - highlighting specific problematic proposals such as the investor-to-state dispute settlement mechanism; - presenting the position of organized labor from both sides of the Atlantic. / Among the contributors are Stefan Beck (Kassel), Lance Compa (Ithaca, New York), Pia Eberhardt (Brussels) and Werner Raza (Vienna).
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This paper studies the production and trade patterns that may arise between two different countries if plant location is introduced as a first step in the producers' decision making. A three-stage game is used: the first deals with location and the next two with capacity and final sales decisions. Demand and cost structures differ by country, and the latter contain specific elements related to the foreign operation. The structure of possible Nash-equilibria is examined and an analysis of the changes in the solution, if the countries engage in an integration process, is made. As in previous models, though global welfare gains may not be very high, single country ones may be considerable, due to changes in the location of the plants. However, even if full integration takes place, global Marshallian welfare may decrease. Conditions which determine a tendency towards multinationalisation are obtained. Assuming a move toward integration, conditions are also provided to characterize when exporting will be preferred to local production. The fact that producers may retain a certain discriminating power, notwithstanding the elimination of barriers to arbitrage, creates a tendency to locate production in the country where prices are higher. This explains why welfare gains may not be obvious. An empirical illustration, with real data from two MERCOSUL countries (Brazil and Argentina) illustrates the possible outcomes.
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We identify trade in goods opportunities in a EU-Mercosul free trade area. Gains for Mercosul are rather concentrated, being mostly associated to a few agricultural commodities nowadays facing high protection barriers. EU gains are evenly spread, comprising a variety of market penetration possibilities. Trade deviation by the EU products is never higher than trade creation, confirming their international competitiveness and signalling that a great distortion of Mercosul’s imports won’t take place. Balanced gains exist for both sides; for Mercosul, the agreement can act as a first serious trial for future liberalisations with other developed partners, and as a warning on needed competitiveness improvements.
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Trade history between Brazil and the United States is long and complicated but it is only in recent years that the trade balance has become more equal in terms of both imports and exports. As Brazil continues to establish its position in the world economy and expand its export market it is only natural that it seeks to increase exports to its single largest trading partner, the United States, and maintain the market share already established. In order to achieve success in these regards Brazil must have a deep understanding of the American political economy system. Part of this entails understanding barriers that must be overcome by Brazilian businesses to access United States markets, particularly the access of certain products at the industry level.
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We develop and calibrate a model where differences in factor endowments lead countries to trade intermediate goods, and gains from trade reflect in total factor productivity. We perform several output and growth decompositions, to assess the impact that barriers to trade, as well as changes in terms of trade, have on measured TFP. We find that for very poor economies gains from trade are large, in some cases representing a doubling of GDP. Also, that an improvement in the terms of trade - by allowing the use of a better mix of intermediate inputs in the production process - translates into productivity growth.
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We develop and calibrate a model where diferences in factor en-dowments lead countries to trade di¤erent goods, so that the existence of international trade changes the sectorial composition of output from one country to another. Gains from trade re ect in total factor productivity. We perform a development decomposition, to assess the impact of trade and barriers to trade on measured TFP. In our sample, the median size of that e¤ect is about 6.5% of output, with a median of 17% and a maximum of 89%. Also, the model predicts that changes in the terms of trade cause a change of productivity, and that efect has an average elasticity of 0.71.
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The issue of “trade and exchange rate misalignments” is being discussed at the G20, IMF and WTO, following an initiative by Brazil. The main purpose of this paper is to apply the methodology developed by the authors to exam the impacts of misalignment on tariffs in order to analyse the impacts of misalignments on the trade relations between two customs unions – the EU and Mercosur, as well as to explain how tariff barriers are affected. It is divided into several sections: the first summarises the debate on exchange rates at the WTO; the second explains the methodology used to determine exchange rate misalignments; the third and fourth summarises the methodology applied to calculate the impacts of exchange rate misalignments on the level of tariff protection through an exercise of ‘misalignment tariffication’; the fifth reviews the effects of exchange rate misalignments on tariffs and its consequences for the trade negotiations between the two areas; and the last concludes and suggests a way to move the debate forward in the context of regional arrangements
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