545 resultados para Cierre patronal
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Cette recherche vise à mieux comprendre la mobilisation des ressources de pouvoir, par les associations patronales, dans le but d’influencer les politiques publiques, plus précisément dans le secteur de l’aérospatiale. Dans un premier temps, cette recherche tente de répondre à notre première question de recherche qui s’attarde à l’impact de la logique de représentation sur la détermination du champ d’intervention en matière de politiques publiques. Dans un deuxième temps, notre seconde question de recherche tente de cerner comment les associations patronales utilisent leurs ressources de pouvoir dans le but d’influencer les politiques publiques. D’un angle théorique, cette recherche s’inscrit dans le courant des travaux néo-institutionnalistes. Tout d’abord, les associations patronales sont perçues comme étant des «entrepreneurs institutionnels» capables d’influencer leur environnement institutionnel (Campbell, 2004 ; Streeck et Thelen, 2005 ; Crouch, 2005). Plus précisément, nous constatons également que les employeurs et leurs associations sont en mesure de mobiliser plusieurs leviers de pouvoir pour influencer, à leur avantage, les développements politiques et économiques des sociétés capitalistes (Traxler et Huemer, 2007). D’un angle empirique, notre recherche vise trois objectifs : cerner les logiques de représentation des associations patronales; identifier quels types de ressources sont à la disposition des associations patronales; analyser comment s’exerce le lien entre les ressources de pouvoir (internes et externes) et l’influence potentielle sur les politiques publiques (commerciales et du travail). Afin de rencontrer nos objectifs de recherche, nous avons utilisé la technique de l’étude de cas. Cette méthode qualitative est l’un des meilleurs moyens pour analyser un phénomène inconnu car elle fournit des données en profondeur. Cette recherche suit les recommandations de Merriem (1998) qui propose de mener la recherche en trois grandes étapes : la préparation, la collecte des données et l’interprétation. Nous avons recueilli nos données à l’aide d’entrevues semi-dirigées, conduites à l’hiver 2012. Ces entrevues ont été menées auprès de représentants des associations patronales du secteur de l’aérospatiale. Nous avons effectué une analyse qualitative des données en fonction de notre revue de littérature et nos propositions de recherche. Dans cette perspective, nous avons utilisé la technique de l’appariement logique de Yin (1994) qui consistait à comparer nos observations avec nos propositions de recherche. Enfin, il faut mentionner que cette méthode de recherche (étude de cas) comporte une importante limite de recherche : la généralisation. Effectivement, nous pouvons difficilement généraliser les résultats de notre recherche à une autre population, considérant les nombreuses particularités du secteur de l’aérospatiale. Toutefois, cette recherche a tout de même contribué à enrichir les connaissances sur l’acteur patronal organisé au Canada.
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Cette recherche vise à apporter un éclairage sur les facteurs déterminants de la concertation économique. De manière spécifique, elle poursuit trois principaux objectifs. Premièrement, nous cherchons à définir la notion de dialogue social et les termes qui y sont généralement associés tels que la concertation, la consultation, le tripartisme, le partenariat, la négociation collective, etc. Deuxièmement, nous faisons le point sur l’État du dialogue social au Québec, notamment en décrivant son évolution historique, les acteurs impliqués, les objets abordés et les instances de dialogue. Certaines comparaisons entre la culture québécoise de concertation et celles caractérisant d’autres cultures (Canada, États-Unis, Europe) sont par ailleurs présentées. De plus, ce tour d’horizon des différents lieux de dialogue social permettra de mieux saisir les composantes de la concertation en lien avec le développement économique, plus particulièrement, sur les façons de planifier le développement économique d’une manière socialement responsable (Papadakis, 2010). Troisièmement, une analyse empirique des facteurs déterminants de la concertation économique est effectuée. Pour atteindre les objectifs et répondre à notre question de recherche, nous articulons cette recherche en deux phases. Dans un premier temps, une cartographie des instances de dialogue social au Québec et la collecte de données auprès d’instances québécoises sont établies. Cette première phase permet également d’identifier quels sont les facteurs déterminants de la concertation économique généralement reconnus au sein de la littérature. Afin de mieux saisir ces facteurs et par conséquent, bonifier le modèle d’analyse, l’étude s’appuie sur une série d’entretiens exploratoires réalisés au Québec, mais aussi en France où la culture de dialogue social économique semble plus développée. Ce mouvement itératif entre la littérature et les entretiens exploratoires effectués permet de construire un modèle d’analyse des facteurs déterminants de la concertation économique. Dans un second temps, ce modèle d’analyse est testé en se concentrant sur deux organismes de concertation économique au Québec. Au sein de ces organismes ont été rencontrés des acteurs syndicaux, patronaux et gouvernementaux. L’entretien a été retenu comme la méthode de collecte de données utilisée auprès des individus (Gavard-Perret, Gotteland, Haon et Jolibert, 2008) et plus spécifiquement, des entretiens semi-directifs auprès des répondants afin de leur laisser la liberté de s’exprimer de façon plus large sur les questions et possiblement apporter de nouveaux éléments pouvant enrichir le modèle. La méthode de l’appariement logique sert à analyser les réponses aux questionnaires d’entrevues (Yin, 1994) et à les comparer aux propositions de recherche. Au plan théorique, l’apport des théories néo-institutionnalistes permet d’approfondir nos constats en lien avec la naissance et le développement des institutions de dialogue social. L’analyse de nos résultats nous permet de vérifier la théorie sur la création des institutions qui se veut la prise de conscience d’une problématique par les acteurs qui perçoivent leur implication au sein des institutions comme une façon de résoudre cette situation. Nous vérifions également la notion d’acteur dominant via le double rôle de l’acteur gouvernemental comme participant et comme donneur d’argent. Finalement, notre recherche a permis de confirmer notre modèle d’analyse tout en le raffinant par l’ajout de nouveaux facteurs déterminants de la concertation économique. Les entrevues que nous avons réalisées nous ont permis d’apporter des nuances et de préciser la portée des facteurs déterminants tirés de la littérature. Notre analyse confirme trois de nos propositions de recherche telle que formulées et deux autres le sont que partiellement. Nos constats confirment en effet que la volonté réelle des parties à travailler ensemble, la présence d’intérêts communs et la participation de l’État sont tous des facteurs qui ont un impact positif sur la concertation économique. La question de la confiance est nécessaire pour la poursuite de la concertation. En appui aux travaux antérieurs sur la question, nous avons observé que la confiance entre les acteurs influence positivement le déroulement de la concertation économique. Nous avons toutefois constaté qu’un certain niveau de méfiance réside entre les acteurs qui participent à ce processus, ces derniers représentant des organisations distinctes qui ont leurs intérêts propres. Pour permettre la concertation entre acteurs, le niveau de confiance doit être plus élevé que le niveau de méfiance. Nos observations nous ont aussi permis d’établir des liens entre la présence des facteurs déterminants et l’atteinte de résultats par la concertation, mais nous ne pouvons pas déterminer leur importance relative: nous ne pouvons donc pas prétendre qu’un plus grand nombre de facteurs réunis va assurer la réussite du processus de concertation ou s’il s’agit plutôt de la présence de certains facteurs qui auraient plus d’impact sur les résultats. Notre recherche fournit un apport important à la littérature sur la concertation puisqu’elle a permis de cerner de nouveaux facteurs déterminants à la réussite de ce processus. Les entretiens réalisés ont montré que le « contrôle des égos » des acteurs de la concertation et la mise en place de mécanismes permettant une intégration réussie des nouveaux participants au processus constituent des facteurs à ne pas négliger. De plus, notre recherche a permis de raffiner notre modèle conceptuel puisque nous avons été en mesure de cerner différents sous-facteurs qui permettent d’approfondir l’analyse des facteurs déterminants de la concertation. Notre recherche comporte toutefois certaines limites puisque les institutions comparées présentent des différences importantes en termes de culture et le nombre restreint d’organisme étudié limite grandement la généralisation des résultats.
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L’utilisation de stratégies antisyndicales est un phénomène de plus en plus préconisé par l’acteur patronal (Bronfenbrenner, 2009b). Une piste d’explication de cette croissance serait liée à l’idéologie de gestion se basant sur une amertume inhérente à l’idée de partager le pouvoir avec une tierce partie représentant des travailleurs (Dundon et al., 2006). Dans le but de faire régner cette idéologie et de conserver un environnement de travail sans présence syndicale, des multinationales se sont même positionnées ouvertement contre la syndicalisation, que l’on pense à Wal-Mart, Mc Donald’s ou Disney (Dundon et al., 2006). Avec cette puissance que les multinationales détiennent actuellement, il ne fait nul doute qu’elles exercent une influence auprès des dirigeants des plus petites entreprises (Dundon et al., 2006), ce qui pourrait expliquer ce recours accru aux stratégies antisyndicales, que ce soit avant ou après l’accréditation syndicale. Mais qu’en est-il de l’antisyndicalisme de l’acteur patronal en sol canadien? Pour certains, les employeurs canadiens pratiqueraient davantage une stratégie d’acceptation du syndicalisme comparativement à nos voisins du sud à cause notamment de la plus forte présence syndicale historique dans le système des relations industrielles canadien, des tactiques syndicales canadiennes différentes (Thomason & Pozzebon, 1998) et des lois encadrant davantage les droits d’association et de négociation collective (Boivin, 2010; Thomason & Pozzebon, 1998). Des travaux montrent cependant une réelle volonté de la part des employeurs canadiens à avoir recours à des stratégies d’opposition à la syndicalisation (Bentham, 2002; Martinello & Yates, 2002; Riddell, 2001). Selon les auteurs Martinello et Yates (2002), six pour cent (6 %) des employeurs ontariens couverts dans le cadre de leur étude n’auraient adopté aucune tactique pour éviter ou éliminer le syndicat : quatre-vingt-quatorze pour cent (94 %) des employeurs couverts ont ainsi utilisé différentes tactiques pour s’opposer au syndicalisme. C’est donc dire que l’opposition patronale face au mouvement syndical révélée par l’utilisation de diverses stratégies antisyndicales est aussi présente chez les employeurs canadiens. Peu d’études canadiennes et québécoises ont pourtant enrichi la littérature au sujet de ce phénomène. De manière générale, les travaux effectués sur la question, anglo-saxons et surtout américains, font principalement état du type de stratégies ainsi que de leur fréquence d’utilisation et proposent souvent une méthodologie basée sur une recension des décisions des tribunaux compétents en la matière ou l’enquête par questionnaire. Face à ces constats, nous avons visé à contribuer à la littérature portant sur les stratégies antisyndicales et nous avons construit un modèle d’analyse nous permettant de mieux cerner leurs effets sur les travailleurs et les syndicats. Notre recherche se démarque également de la littérature de par les démarches méthodologiques qu’elle propose. Nous avons en effet réalisé une recherche de nature qualitative, plus spécifiquement une étude de cas d’une entreprise multiétablissement du secteur du commerce au détail. Notre modèle d’analyse nous permet de dégager des constats quant aux effets de l’utilisation des stratégies patronales antisyndicales auprès des travailleurs visés et du syndicat visé, que ce soit sur les intérêts individuels, les intérêts collectifs ainsi que sur les intérêts du syndicat tels que proposés par Slinn (2008b). Également, nous cherchions à comprendre dans quelle mesure les stratégies antisyndicales contribuent à diminuer (effet paralysant) ou à augmenter (effet rebond) la propension à la syndicalisation des travailleurs visés par les stratégies, tout en tenant compte de la propension des travailleurs d’autres succursales qui n’étaient pas visés directement par cette utilisation (effet d’entraînement). Pour atteindre nos objectifs de recherche, nous avons procédé en trois phases. La phase 1 a permis de faire la recension de la littérature et de formuler des propositions théoriques à vérifier sur le terrain. La phase 2 a permis de procéder à la collecte de données grâce aux entrevues semi-dirigées réalisées à deux niveaux d’analyse : auprès de représentants syndicaux et de travailleurs. Au cours de la phase 3, nous avons procédé à la retranscription des entrevues effectuées et nous avons analysé les principaux résultats obtenus. La méthode de l’appariement logique (Yin, 2009) a été utilisée pour comparer les phénomènes observés (données issues du terrain) aux phénomènes prédits (constats de la littérature et propositions théoriques). À la suite de la réalisation de la phase 3, nous constatons que la campagne de peur a été celle qui a été la plus utilisée en réaction à la menace de présence syndicale avec les tactiques dites coercitives qui la composent : la fermeture de deux succursales, un discours devant un auditoire captif, la diffusion d’une vidéo interne, etc. De ce fait, un sentiment de peur généralisé (86 % des répondants) s’attaquant aux intérêts collectifs a été perçu à la suite de l’utilisation des tactiques antisyndicales. Par conséquent, nous avons pu observer l’effet de ces tactiques sur les travailleurs visés et sur le syndicat : elles auraient en effet gelé la propension de travailleurs d’autres succursales à se syndiquer (64 % des répondants) et donc freiné la campagne syndicale en cours. Nous constatons également que bon nombre de tactiques ont été déployées à la suite de l’accréditation syndicale en s’attaquant aux intérêts individuels. Mentionnons, pour n’en citer que quelques-uns, que les travailleurs feraient face à une plus forte discipline (72 % des répondants), qu’ils seraient victimes d’intimidation ou de menaces (80 % des répondants) et que ces tactiques provoquèrent des démissions à cause de l’ambiance de travail alourdie (50 % des répondants).
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Cette recherche s’intéresse au phénomène qu’est l’allongement de la durée des conventions collectives. Avant juin 1994, la durée maximale d’une convention collective était fixée à trois ans. La venue de la mondialisation a chamboulé les entreprises qui, elles, pour s’adapter et survivre à cette nouvelle réalité et demeurer compétitives, ont dû procéder à des investissements majeurs, des restructurations, miser sur des relations de partenariat avec les syndicats, etc. (Boivin, 1998). Pour ce faire, elles devaient s’assurer d’obtenir une stabilité et une paix industrielle (Grant et Paquet, 1998). C’est à ce moment que nous avons vu l’apparition d’ententes qui visaient à prolonger la durée maximale des conventions collectives, fixées à trois ans, sans contrevenir aux différentes dispositions du Code du travail (L.R.Q. c.C-27). Ces « contrats sociaux » devaient compter différentes caractéristiques particulières. C’est le 10 mai 1994 que le législateur québécois a déplafonné la durée des conventions collectives (Mayer, 1999). Tel qu’établi, les transformations au niveau de l’environnement ont poussé les acteurs à revoir leurs façons de faire. Cela a mené à une déconflictualisation des relations du travail (Jalette, Bourque et Laroche, 2008). Les acteurs ont adopté des stratégies de négociation de plus en plus coopératives, ils ont eu un recours accru à la concertation, et ont développé une relation de partenariat (Maschino et coll., 2001). Nous observons en parallèle à une tendance à l’allongement de la durée des conventions collectives. Nous nous questionnons à savoir ce qui a principalement motivé autant les syndicats à négocier ce type d’entente et ainsi, renoncer à leur droit de grève, et aussi quels sont les avantages ou inconvénients pour les employeurs de négocier de telles ententes. De manière plus spécifique, notre question de recherche est la suivante : Quels sont les effets de l’allongement de la durée des conventions collectives sur les relations du travail locales en entreprise? Notre analyse vise à vérifier six propositions de recherche : 1- Les relations du travail sont transformées par la durée d’une convention collective de travail, laquelle est influencée par l’environnement. 2- L’allongement de la durée des conventions collectives de travail amène les parties à davantage recourir à des stratégies de négociation intégrative. 3- L’allongement de la durée des conventions collectives de travail contribue à diminuer le nombre de conflits de travail 4- L’allongement de la durée des conventions collectives de travail change la nature des manifestations du conflit sur le marché du travail. 5- L’allongement de la durée des conventions collectives transforme le contenu des conventions collectives de travail par l’intégration de clauses nouvelles. 6- L’allongement de la durée des CCT diminue le rapport de force du syndicat. Dans le but de répondre à ces différents questionnements, nous avons utilisé une méthodologie qualitative de recherche et plus précisément, l’étude de cas. Cette dernière fut conduite en trois étapes : la préparation, la collecte de données et l’interprétation (Merriam, 1998). Les données de notre étude ont été colligées durant l’été et l’automne 2010. Tout d’abord, nous avons effectué des entretiens semi structuré à l’aide d’une grille d’entrevue. Cette grille d’entrevue fut adaptée en fonction des acteurs rencontrés, et surtout de la partie qu’ils représentent. Nous avons interrogé les acteurs tant patronaux que syndicaux, c’est-à-dire : du côté patronal, nous avons rencontré les responsables des relations du travail oeuvrant au siège social ainsi que les conseillers en relations du travail en charge de négocier ou d’appliquer la convention collective des différents établissements couverts par l’étude. Du côté syndical, nous avons rencontré les conseillers syndicaux en charge également de négocier la convention collective et de veiller à son application. Au total, nous avons mené onze entretiens. En guise de comparaison, nous avons aussi procédé à une analyse de contenu de 139 conventions collectives du secteur de l’alimentation. Nous cherchions à savoir si les conventions collectives de longue durée avaient tendance à comporter majoritairement une plus grande présence de clauses en lien avec les 7 caractéristiques des « contrats sociaux » mentionnées par Mayer (1999). Ces caractéristiques sont les suivantes : transparence économique et de gestion, participation à la gestion, programme de qualité totale, formation, flexibilité dans l’organisation du travail, stabilité de l’emploi et mécanismes de gestion de l’entente. Mots clés : allongement, durée, conventions collectives, relations du travail, loi 116, déplafonnement des conventions collectives, NBI et concertation.
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En el siguiente estudio presento1 el análisis retrospectivo de un tratamiento individual de 17 sesiones de danza movimiento terapia en un caso crónico de una mujer de 59 años, institucionalizada, con un diagnóstico de esquizofrenia residual. Mi objetivo es evaluar la evolución y conclusión del tratamiento, con el fin de encontrar puntualizaciones de interés en la técnica de la DMT para pacientes con diagnósticos de psicosis y seguir construyendo y fortaleciendo la teoría y técnica de la DMT en esta población. Mis influencias teórico-técnicas provienen principalmente de los modelos de trabajo con pacientes psiquiátricos de Chaiklin y Schmais, S. (1979), Chaiklin, S. (1981), Jones (1992) y Liebowitz (1992). Utilicé las técnicas de la improvisación, el reflejo empático (Sandel, S. 1995), la verbalización (Stark & Lohn, 1995), la imagen, la metáfora y el símbolo (Sandel, S. 1995) y las enseñanzas del sistema de análisis del movimiento de Kestenberg (1999). Las aportaciones sobre creatividad de Brainsky (1988) y Pinchas Noy (1968-1969) me fueron de gran ayuda. Para el análisis triangulo información de varias fuentes: diarios de campo realizados durante el tratamiento junto con sus señalamientos producto de supervisiones y tutorías, la entrevista inicial y final a la paciente y un video analizado con la paciente y posteriormente estudiado bajo la óptica del sistema de análisis del movimiento de Kestenberg (Kestenberg y otros, 1999). Vivencio a través de mi paciente la utilidad y éxito de la DMT en la psicosis y las técnicas que nos permiten acercarnos a esta población. La DMT trabaja la estructura, no exclusivamente el fenómeno psicótico; aunque no se transforme la personalidad se fortalece, permitiéndole al sujeto vivir mejor en su condición, ser más autónomo, eficaz, feliz y móvil. La condición perse del proceso terapéutico con un psicótico es establecer una relación terapéutica para la cual es necesario entender en el cuerpo y en la mente que el funcionamiento de un psicótico no es el mismo que el de un neurótico; la barrera neurótica del terapeuta ha de sobrepasarse para lograr la fusión simbiótica que permitirá el bottom-up del psicótico. Los objetivos de trabajo en el caso individual son: integrar y desarrollar la unidad psiquesoma, contactar y expresar emociones, desarrollar las habilidades interpersonales y sociales, expandir el universo simbólico y desarrollar el movimiento espontáneo y la creatividad. Las fases del tratamiento son: los acercamientos y observaciones preliminares; la exploración del cuerpo, identificación de los focos de trabajo y comienzo de la ampliación del movimiento; la profundización y nacimiento del símbolo en la terapia y la consolidación de los avances y cierre del tratamiento. La técnica principal, es el reflejo empático del movimiento y la emoción en la improvisación y otras útiles, el masaje, automasaje, relajación, el dibujo, entre otras.
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Inventariar los principales tipos de nexos gramaticales que utilizan los niños en la primera etapa de EGB en el lenguaje escrito. Analizar los índices de dificultad que presentan los nexos lingüísticos más usuales en situaciones controladas y en función de determinadas variables. Evaluar los efectos de un entrenamiento sistemático en el niño y dominio de estos nexos. Relacionar la competencia lingüística de los sujetos en esta área con otros aspectos de la aptitud verbal. Comparar el nivel de competencia lingüística de los niños de segundo y quinto de EGB del curso 85-86 con los sujetos estudiados en el 80-81. Centro experimental: Colegio Nacional 'Baudilio Arce' 410 sujetos de primera etapa. Grupo control: Colegio Nacional 'San Pedro de Los Arcos'. Alumnos de segundo y quinto de EGB (cursos finales de los ciclos inicial y medio) del Colegio Nacional 'Baudilio Arce' en el 85-86 para la evaluación a largo plazo. Diseño cuasiexperimental con un grupo experimental en él se efectuó el entrenamiento y otro de control. Se evaluó el nivel de competencia inicial para contrastar los resultados con los posteriores al entrenamiento. Del análisis de libros de lectura utilizados en los distintos niveles de enseñanza se aislaron los nexos que aparecían con mayor frecuencia y que deberían dominar los niños. Los cambios en el rendimiento se evaluaron contando con las observaciones de los profesores y relacionando los resultados con otros aspectos de la aptitud verbal como comprensión, razonamiento verbal, vocabulario, etc.. Pruebas de cierre gramatical (frases incompletas y textos mutilados). Composición libre y pruebas estandarizadas (lectura silenciosa de Fernández Huerta, inteligencia factor 'G' de Cattell). El entrenamiento actúa eficazmente sobre el dominio de los nexos y en la comprensión lectora. Las variaciones en los índices de dificultad de cada nexo reafirman la eficacia de la estrategia, lo que no es tenido en cuenta en las programaciones didácticas. Aunque deben hacerse análisis más rigurosos sobre la fiabilidad y validez de las pruebas puede afirmarse que son adecuadas para evaluar la aptitud y/o rendimiento verbal. En la evaluación a largo plazo los niños de segundo y quinto no presentan diferencias con los de esos cursos en el 80-81 no entrenados, se ve la necesidad de un entrenamiento ya que tienen un repertorio de nexos muy pobre, lo que puede ser un obstáculo para la utilización correcta de la Lengua y la comprensión de mensajes escritos. Las técnicas de mediación sintáctica mejoran la comprensión y velocidad lectora. Los profesores que realizaron la experiencia elaboraron una programación didáctica sobre nexos lingüísticos para primera etapa que se adjunta en el trabajo.
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Conocer la estructura de la institucionalizaci??n del Sistema Educativo en ??lava desarrollado durante la Monarqu??a de Isabel II. Comprender cu??les eran los mecanismos de acci??n pedag??gica en las Ecuelas Primarias. La articulaci??n de la red escolar primaria de caracter p??blico. La investigaci??n se estructura en tres bloques tem??ticos. El primero se refiere a la situaci??n socio-pol??tica, econ??mica y demogr??fica de la provincia alavesa en el siglo XIX. En el segundo bloque se describen e interpretan los procesos de escolarizaci??n y de creaci??n de establecimientos escolares. El tercer bloque se refiere al estudio de la Escuela como instituci??n, analiz??ndose: el dise??o arquitect??nico, el mobiliario, los contenidos de ense??anza, la organizaci??n escolar y el papel, cualificaci??n, selecci??n y prestigio social del profesor de Ense??anza Primaria. Fundamentalmente fuentes primarias. Pretende combinar cuatro niveles metodol??gicos: descriptivo, gen??tico, estructural y causal. Entre 1829 y 1863 existe en Alava un importante esfuerzo de escolarizaci??n infantil, aunque no uniforme. Se constata que la escolarizaci??n es favorable a los ni??os y que existe una estrecha vinculaci??n entre escolarizaci??n, edad, sexo y aprendizajes b??sicos. La entrada en vigor del Plan provincial de 1827 se traduce en un incremento significativo del n??mero de escuelas en Alava. La guerra civil supone una brusca interrupci??n de creaci??n de escuelas, que se reanudar?? a partir de 1841. Los aspectos materiales de los centros escolares son deplorables. Las condiciones de insalubridad, la insuficiente ventilaci??n, capacidad e iluminaci??n constituyen las causas principales que motivan el cierre o traslado de un buen n??mero de centros escolares en 1829. A partir de 1845 se emprende una etapa de nuevas construcciones, encaminadas a corregir estas deficiencias. Al analizar los objetivos de ense??anza se constata la preocupaci??n por lo religioso y por los aprendizajes instrumentales (leer, escribir y contar). Se pretende provocar la identificaci??n de los alumnos con los valores vitales de la sociedad: obediencia, bondad, dependencia de la autoridad externa e intolerancia. Y, por el contrario, se minusvaloran los aspectos comprensivos y creativos, las dimensiones comunicativa y afectiva, el an??lisis reflexivo y el sentido cr??tico. Se parte de un desconocimiento total del mundo infantil. Los maestros ten??an una precaria situaci??n econ??mica y social. Quedar??an por analizar de forma m??s exhaustiva temas como la formaci??n del profesor, el problema del analfabetismo, la estructuraci??n de las Ense??anzas Medias y de Oficios y la intermitente presencia de estudios universitarios en la provincia.
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Dilucidar el papel que la ENF ha desempeñado en la transformación cultural de Asturias y, especialmente, sobre las mujeres de la comunidad asturiana. Génesis, desarrollo y configuración de la Escuela Normal Femenina de Asturias. Esta investigación se divide en tres bloques. En el primero se analizan aspectos biofísicos, vitales y culturales del pueblo asturiano y medios educativos que ofrecía a la mujer. En el segundo se reflexiona sobre las dificultades coyunturales que condicionan la génesis y cierre de la escuela y su posterior reapertura, así como sobre las finalidades políticas que se perseguían con su creación. En el tercero se analizan elementos del modelo pedagógico utilizado por la ENF: objetivos, contenidos de enseñanza, recursos instrumentales y elementos materiales, personales y funcionales. Fondos documentales de los archivos de la Escuela Normal. Actas de los plenos de la Diputación Provincial y del Ayuntamiento. Boletín Oficial de Oviedo. Legislación referida a las Escuelas Normales. Enfoque metodológico desde una perspectiva global y contextual. Recurre a un modelo integral, partiendo de un enfoque de tipo sistémico. La evolución histórica de la ENF de Asturias debe ser analizada en tres grandes etapas. La primera (1872-1900) se caracterizó por: estar subordinada a la Normal de Maestros, tener una infraestructura inadecuada, carecer de los medios pedagógicos elementales, presentar una mayor preocupación por consolidar las técnicas instrumentales de aprendizaje que por ofrecer una cultura amplia y profunda. La segunda etapa (1900-1907) se caracterizó por: elevar el nivel cultural de las alumnas, iniciar una mejora en el equipamiento de medios y dar comienzo a un formación científico-técnica. La tercera etapa (1908-1931) se caracterizó por: aumentar el número de alumnas, mejorar el equipamento de bienes muebles e inmuebles, unificar los estudios para evitar la discriminación entre las alumnas de estudios elementales y superiores. Esta fue la etapa más conflictiva de todas ya que se rompió el clima democrático de la Escuela, se entorpecieron las relaciones entre el profesorado de ambas Normales, se dividió al profesorado de la propia Escuela y se produjeron escándalos tanto a nivel regional como nacional, estableciéndose un régimen totalitario. Desde una perspectiva conservadora, su labor se puede considerar positiva ya que favoreció y fomentó la perpetuación, reproducción y mantenimiento de los roles atribuidos tradicionalmente a la mujer. Desde una perspectiva más liberal y progresista su labor fue totalmente negativa ya que no sólo no favoreció, sino que entorpeció el desarrollo personal de las alumnas tanto bajo el punto de vista de su propia configuración personal como de su propia emancipación.
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Averiguar cómo hacer la investigación de la acción-educativa, en su dinamismo práctico, para que al mismo tiempo los profesionales de la educación se beneficien de esta investigación y puedan introducir las innovaciones y los cambios que su propia práctica aconseja.. Equipo de trabajo de acción-investigación con una profesora de primero y segundo de preescolar de un centro público de Asturias.. El trabajo se mantiene en una línea fundamental de investigación de la acción-educativa en su realización práctica, ciñéndose a ella para encontrar su acoplamiento y seguir los procesos de la educación en el contexto que se desarrollan.. Transcripción de 5 sesiones de 'práctica corporal' registradas anteriormente. Bibliografía.. Se concibe que la investigación constituye un sistema de organización activa, que funciona de forma interdependiente e interactiva con la educación, que se apoyan mutuamente, pero disponen a la vez de autonomía en sus propios procesos de acción. Así, se ha podido llegar a comprender los dos tiempos de acción en ambas actividades: el tiempo secuencial-lineal, de avance y consecución externa, y el tiempo circular-reflexivo, de cierre y embuclamiento interior, con el que se produce la regeneración y la formación estructural del propio sistema, poniéndose 'en forma' para las exigencias de adaptación-readaptación que las situaciones nuevas nos plantean, en orden al conocimiento y la acción ajustada a sus necesidades. Esta perspectiva les ha llevado a proponer, conjuntamente con los profesionales que actúan en la educación y fundamentados en las 'necesidades básicas del hombre', en proceso de cambio hacia una práctica educativa que propicia el desarrollo del 'hombre completo' basada en la 'educación corporal'. Adoptar esta perspectiva en la práctica pedagógica les ha hecho romper con ciertos moldes y ataduras que les ligaban al inmovilismo tradicional y burocrático, debiendo tomar postura en relación a las ideologías dominantes que imperan en el mundo social y educativo. Pero, por otra parte, les ha llevado a consecuciones pedagógicas propias que suponen una verdadera 'emancipación profesional' y una atención más realista hacia los sujetos de la educación.. Se constata la gran importancia que tiene para la organización-estructura y el funcionamiento de la salud personal la experiencia personificada de las acciones humanas, que éstas tengan sentido y significado para quien las realiza, pudiendo afirmar que es la fuente del placer y la satisfacción y la calma de la ansiedad y la angustia, cuando son obtenidas o realizadas en el ritmo y la armonía que cada ser humano encuentra en su confluencia con la naturaleza. En llegar a encontrar esa confluencia rítmica y armoniosa, es decir, estética, es donde piensan que más beneficio puede prestar la conjugación efectiva de la educación-investigación-reflexión..
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Concretar y caracterizar la pol??tica educativa puesta en pr??ctica por el sector m??s representativo de la burgues??a industrial, abordando su actuaci??n concreta en el ??mbito escolar, desde la d??cada de los 80 del siglo XIX hasta el t??rmino de la Segunda Rep??blica. Cuantificar, periodizar la configuraci??n de la red escolar que desarrollan los patronos de las grandes empresas hulleras, documentarla, tipificarla en sus rasgos m??s determinantes, y las distintas fases y rasgos diferenciales. El primer cap??tulo ofrece una s??ntesis apretada que presenta a los protagonistas, el empresario minero, en relaci??n con el fen??meno de la industrializaci??n y el posterior desarrollo. El segundo cap??tulo atiende las condiciones que explican la adopci??n, por parte de los patronos de la miner??a asturiana, del programa paternalista destinado a configurar el inexistente trabajador industrial, dando cuenta de los sistemas ideados y experimentados por la patronal para el logro de objetivos productivos. En el tercer cap??tulo se analizan las diferentes instituciones patronales que sirven de veh??culo de gesti??n e intervenci??n educativa en la poblaci??n obrera. En el cuarto se analiza la intervenci??n patronal en el tiempo escolar y no escolar de los hijos de sus obreros, los objetivos y medios de consecuci??n, as?? como los elementos de la filantrop??a y el higienismo presentes en la educaci??n de la infancia y juventud de ambos sexos, as?? como en la educaci??n de adultos. Y por ??ltimo el quinto cap??tulo se centra en la creaci??n y desarrollo del mapa escolar patronal, cuya periodizaci??n responde a las adaptaciones provocadas por la convivencia con una realidad social, laboral, econ??mica, pol??tica e ideol??gica cambiante. Fuentes documentales bibliogr??ficas y archiv??sticas. La instauraci??n en Asturias en la segunda mitad del siglo XIX de la industria a gran escala oblig?? a los patrones a crear poblaci??n obrera y transformar los modos y h??bitos de vida y trabajo preindustriales, y a formar y disciplinar a los obreros que, en aquellas actividades industriales como la miner??a subterr??nea y la metal??rgia, depend??an del trabajador de oficio. Para ello se crearon un conjunto de instituciones patronales como la vivienda obrera, las cajas de ahorros y retiros, las cajas y asociaciones de socorros, economatos o cooperativas y las escuelas, que fueron inversiones productivas, pues a largo plazo podr??an disponer de obreros productivos y disciplinados.
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Reconstrucción de la historia de las Escuelas del Ave María de Arnao (Castrillón, Asturias) desde su fundación hasta su cierre y, posteriormente, su reapertura como centro de Educación no Formal, profundizando en el aspecto pedagógico y profesional de las mismas. Método de investigación descriptivo de tipo histórico y retrospectivo que trata de repasar cronológicamente la trayectoria de las Escuelas del Ave María de Arnao (Asturias). Las fuentes analizadas proceden, en parte, del Archivo de la Real Compañía Asturiana de Minas así como otras Instituciones del Castrillón y del Principado. Análisis bibliográfico y documental propio de la investigación histórica. Las Escuelas del Ave María de Arnao se fundan en 1913 bajo el paternalismo de la Real Compañía Asturiana de Minas, quien proporcionaba a sus obreros todo tipo de prestaciones sociales y un lugar digno donde educarlos: sus Escuelas. Los obreros de Arnao formaban una mini-sociedad privilegiada de la época. En este caso, se optó por maestros laicos formados en la metodología manjoniana. En cinco capítulos se da cuenta de la construcción del edificio, del equipamiento, la organización de las escuelas, del profesorado, de la metodología, del funcionamiento durante el franquismo y de las sucesivas transformaciones de este centro escolar, cedido al Ayuntamiento en 1979 pero en funcionamiento hasta 1990. Cerrado algunos años, el edificio comenzó a ser reutilizado y en la actualidad es un centro de formación laboral gestionado por el sindicato Comisiones Obreras.
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Conocer la intervención escolar y las realizaciones educativas del empresario minero asturiano. Método de investigación descriptivo de tipo histórico y retrospectivo que trata de analizar la intervención escolar y las realizaciones educativas del empresario minero asturiano entre 1880 y 1936. Las fuentes documentales de análisis proceden de los archivos de la empresa estatal HUNOSA y la empresa privada Duro-Felguera (Asturias). En la historia de la escolarización en la Asturias contemporánea ha sido determinante la actuación del empresario minero. Esta investigación histórica contribuye a comprender las claves, el sentido y alcance de tal contribución, centrándose en el análisis de su intervención escolar y socioeducativa desde la década de los ochenta del siglo XIX hasta el término de la II República, abordando el despliegue del programa educativo del paternalismo industrial. Un programa que preseguía configurar el nuevo trabajador industrial, sustentándose en la 'filantropía científica', que aconsejaba al patrón ocuparse de las provisiones sociales que atiende en el tiempo de no trabajo de la población obrera y el tiempo escolar y no escolar de la infancia. Entre estas provisiones, la escuela del paternalismo industrial, respondiendo exclusivamente a criterios de política patronal, tendrá una funcionalidad disciplinante e ideológica llevada a cabo por distintas órdenes y congregaciones religiosas, que realizarán también una intervención moralizadora en el ocio infantojuvenil y adulto, desplegando hacia ambos colectivos instituciones y espacios específicos de sociabilidad. De esta doble dimensión se ocupa ampliamente este texto, procediendo igualmente a cuantificar y periodizar el desarrollo del mapa escolar patronal, así como a analizar su incidencia tanto en la propia ordenación del territorio industrial como en el desarrollo de la red escolar pública.
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Este trabajo de investigaci??n narra la g??nesis de una colecci??n museogr??fica que surge al cumplirse el objetivo de crear en el municipio de Cabranes, Asturias, un museo de y para la comunidad, promoviendo la participaci??n de los habitantes del municipio y la participaci??n e integraci??n activa de las personas mayores. En diciembre de 2001 se crea 'Los Museos de Cabranes', colecci??n de titularidad y gesti??n municipal, cuyos fondos est??n integrados por cer??mica tradicional, loza asturiana y piezas etnogr??ficas, obtenidas por cesi??n y pr??stamo efectuado por diferentes propietarios. En 2005, el proyecto inicial da paso a la creaci??n del Museo de la Escuela Rural de Asturias, colecci??n museogr??fica de titularidad municipal incluida en la Red de Museos Etnogr??ficos del Principado de Asturias. Los objetivos generales con los que se aborda el proyecto son: a) Puesta en valor cultural de la memoria como un recurso: la recuperaci??n de la memoria oral y de la memoria gr??fica, fomentando el orgullo de las personas mayores por su propia historia; b) Mostrar el proceso evolutivo y comparativo de las diferentes ??pocas; c) Promover la participaci??n de todas las personas del municipio buscando la cohesi??n social del concejo de Cabranes en torno al proyecto del museo y la participaci??n e integraci??n activa de los mayores; d) Recuperaci??n del patrimonio, restauraci??n y puesta en valor del material escolar, procedente de las escuelas de la Comarca; e) Resaltar las condiciones sociales de la ense??anza alcanzadas hasta 1970, destacando: el desarrollo de las t??cnicas did??cticas, el papel de los maestros, el papel de los alumnos y el papel de los padres; f) Reflejar la sociedad rural. En las distintas fases con las que cuenta el trabajo de investigaci??n, se refleja un modelo de museo, consecuencia de la reflexi??n en la acci??n. El contenido se presenta en cuatro cap??tulos, precedidos por una introducci??n y seguidos por las conclusiones con un apartado dedicado a las inercias, que suscitan las propias conclusiones. En el segundo cap??tulo se esboza la situaci??n del patrimonio escolar y su puesta en valor, se citan los principales museos pedag??gicos de Espa??a, as?? como las diferentes modalidades que estos adoptan, resaltando sobre todo aquellos en los que la etnograf??a escolar evolucion??, haciendo del museo un lugar estructurado y sistematizado, donde el usuario tiene gran participaci??n. En el tercer cap??tulo se hace referencia a los criterio metodol??gicos utilizados. La investigaci??n tiene un enfoque de tipo cualitativo etnogr??fico-fenomenol??gico. Siguiendo la definici??n de Denzin (1970), en la investigaci??n se practic?? una mezcla de t??cnicas metodol??gicas: la observaci??n participante, la entrevista y el an??lisis de documentos del pasado. Se recopilaron datos, se colabor?? con informantes y se realiz?? observaci??n directa. Tanto el an??lisis de las fuentes documentales, como la entrevista ha permitido acercarse al mundo del ni??o y la ni??a en el municipio de Cabranes, para reconstruir con m??s detalle su entorno en el primer tercio del Siglo XX. A trav??s de la colecci??n de piezas y material escolar se intenta plasmar la historia escolar del concejo de Cabranes, con una visi??n basada en la vida cotidiana de la infancia en las diferentes etapas educativas, desde 1908 hasta 1970, a??o en el que se produce el cierre de la escuela, edificio que hoy alberga el museo. La investigaci??n concluye que el cambio de enfoque del museo, desde un museo etnogr??fico para convertirse en Museo de la Escuela Rural de Asturias se hizo necesario para que el museo resultara un agente dinamizador de la comarca. Se destaca la alta participaci??n e implicaci??n por parte de los vecinos, especialmente entre aquellos de m??s edad, que se han convertido en informantes cualificados y en voluntarios entregados al proyecto, para quienes recuperar y difundir su patrimonio hizo el museo m??s suyo.
Resumo:
Resumen basado en la publicación
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