999 resultados para BA-132
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Ouvrage rangé par ordre méthodique ; divisé en deux séries de textes qui occupent l'une la moitié supérieure, l'autre la moitié inférieure des pages ; modèles de suppliques, calcul, lutte, tir à l'arc, cuisine, médecine : texte avec figures.Livres 24 et 20.
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Méditations pour une retraite de huit jours.Sur l'origine de l'homme et son immortalité, sur le jugement, etc.16 sections.
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Colonne de texte :l. x+1-7 et vignette : chapitre 104 avec titre en lacune ("Formule pour s'asseoir entre les grands dieux"). La vignette représente le défunt agenouillé devant trois divinités assises.l. x+8-20 et vignette : chapitre 105 avec titre rubriqué : "Formule pour apaiser le ka d'un homme à son usage dans la nécropole". Sur la vignette, on voit le défunt adorant le signe du ka sur une enseigne, rempli d'offrandes.Scène figurée : il s'agit du chapitre 110 où l'on voit le défunt se livrer à diverses occupations, notamment agricoles dans le champ des souchets.
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Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »
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Servicios registrales
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Brown sediment with clasts ranging from small to large in size. Clast shape ranges from angular to sub-rounded. Rotation structures are common in this sample, especially around larger clasts. Lineations and grain crushing is also present within this sample. A few comet structures can also be seen.
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Tesis (Maestría en Ciencias con Especialidad en Ingeniería Cerámica) UANL
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Au cours d'une transaction portant sur une acceptation bancaire (ci-après «BA» tel que dénommée dans le jargon juridique) différents types de relations peuvent s'établir entre les parties impliquées, certaines plus directes que d'autres. Dans une transaction donnée, à part le client et la banque, on peut trouver une ou plusieurs banques participantes et un ou plusieurs investisseurs, qui deviennent détenteurs de BA. La situation peut devenir complexe et les relations légales risquent de devenir assez compliquées. Cependant, il est important d'identifier si la relation s'est établie à travers l'instrument de BA, si elle existe par le biais d'une relation contractuelle ordinaire ou encore, si elle existe par le fait de la loi. Une bonne analyse des circonstances entourant la transaction, des facteurs connexes à la transaction et des droits et obligations qui existent entre les parties, sera nécessaire pour déterminer laquelle de la loi provinciale ou fédérale s'appliquera, et dans quelle mesure. Une fois accordée, la BA est gouvernée par la Loi sur les lettres de change. Toutes solutions apportées à un problème qui implique des BA, doivent, en principe, respecter la nature inhérente de la BA en tant qu'effet de commerce, gouverné par la loi fédérale. En matière de BA, c'est, soit la Loi sur les lettres de change soit la Loi sur les lettres et billets de dépôt (Depository Bills and Note Act) qui s'appliqueront à l'acte. Comme il existe des lois fédérales applicables à la BA, l'objet de notre étude est de déterminer si, et dans quelle circonstance la loi de la province, tel que le Code civil du Québec, trouvera application et éclaircira dans certains cas la disposition contenue dans la Loi sur les lettres de change, notamment lorsque les dispositions de ladite loi sont silencieuses ou ambigües. La solution la plus simple serait d'appliquer la loi provinciale aux matières qui ne sont pas traitées dans la loi, étant donné que les lois provinciales apportent souvent un complément à la législation fédérale. Cependant, la Loi sur les lettres de change contient des dispositions spéciales, tel que l'article 9 qui stipule : « 9. Les règles de la common law d'Angleterre, y compris en droit commercial, s'appliquent aux lettres, billets et chèques dans la mesure de leur compatibilité avec les dispositions expresses de la présente loi. » Cette disposition a crée une certaine confusion relativement à l'application du droit civil du Québec en matière de Lettres de change. En effet, il existe un doute quant à savoir si l'application de l'article 9 est une incorporation par référence qui exclue totalement l'application du droit civil. Cette question continue de se poser inexorablement dans la doctrine et la jurisprudence. Elle a en effet donné lieu à une série de théories quand au degré d'application de la common law en matière de lettres de change. Une revue de la jurisprudence dominante nous permet de conclure que les tribunaux ont accepté l'application du droit provinciale dans certaines questions impliquant les lettres de change. La question essentielle traitée lors de notre analyse est la suivante: lorsqu'un litige prend naissance dans une transaction de BA, quelle est la règle qui devra s'appliquer? Quel sera le droit qui gouvernera les problèmes émergeant dans une BA, celui du Code Civil du Québec ou celui de la common law d'Angleterre? Étant donne le nombre de cas qui sont portés devant les cours de justice en rapport avec des transactions de BA, comprendre quelle sera la loi applicable est d'une importance fondamentale. Pour répondre à cette question, nous commencerons par un examen de l'historique, du développement et de l'évolution de la BA. Afin de mieux comprendre la BA, nous débuterons par un bref survol des origines de cet instrument juridique. Dans le deuxième chapitre, nous analyserons la nature et le caractère légal de la BA. Cela constituera le cadre aux travers duquel nous pourrons identifier les règles et les principes qui s'appliquent aux différents aspects de la transaction de BA. Le chapitre trois fera l'objet d'un examen détaillé des mécanismes de l'opération de BA tout en étudiant de près les exigences imposées par la législation applicable. Après avoir examine l'aspect légal de la BA, nous procéderons au chapitre quatre, à l'étude de l'applicabilité de la loi provinciale relativement à certains aspects de la transaction de BA. A cet effet, nous examinerons les différentes approches de compréhension de la Loi sur les lettres de change et plus particulièrement la problématique rencontrée à l'article 9. Nous étudierons aussi l'application et l'interprétation de cette loi par les tribunaux du Québec au cours du siècle dernier. Les juges et les juristes se sont penchés sur les sens qu'a voulu donner le législateur lorsqu'il a stipulé dans l'article 9 «Le règles de la common law d'Angleterre, y compris en droit commercial, s appliquent aux lettres, billets et chèques dans la mesure de leur compatibilité avec les dispositions expresses de la présente loi ». Cette section doit-elle être appliquée à la lettre, nous obligeant à appliquer la common law d'Angleterre a chaque problème qui peut se poser en relation avec les lettres et les billets? Le Parlement a-t-il l'intention que cette disposition s'applique également au Québec, dont le droit privé est basé sur le système du Code Civil? Notre étude portera sur les différentes approches d'interprétation qui offrent une diversité de solutions au problème posé par l'article 9. Finalement, compte tenu des nouveaux développements législatifs, au chapitre cinq, nous proposons une méthode en vue de déterminer la loi applicable aux différents aspects de la transaction de BA. Notre analyse nous a conduit à adopter la solution proposée par la majorité des juristes, à la différence que notre approche de l'article 9 est basée sur des raisons de politique. Nous avons donc adopté la stricte dichotomie (en tant qu'effet négociable d'une part, et d'une sorte de contrat et de propriété de l'autre) en prenant en compte les difficultés inhérentes à déterminer quand l'un finit et l'autre commence. En conclusion, selon notre opinion, il existe deux solutions. Premièrement, il y a la possibilité que l'article 9 puisse être écarté. Dans ce cas, toutes les matières qui ne sont pas expressément évoquées dans la loi tomberont dans la compétence de la loi provinciale, comme c'est le cas dans d'autres types de législations fédérales. Dans ces situations, le droit civil du Québec joue un rôle supplétif dans les applications d'une loi fédérale au Québec. Deuxièmement, modifier l'article 9 plutôt que d'en écarter son application offre une autre possibilité. Incorporer la large stricte dichotomie dans l'article 9 nous semble être une solution préférable. La disposition pourrait se lire comme suit: « Les règles de la common law d'Angleterre incluant le droit commercial dans la mesure ou elles ne sont pas incompatibles avec les dispositions expresses de la Loi, s’appliquent aux lettres, billets, et chèques au sens stricte. Pour plus de certitude, les lettres et les billets au sens strict, incluent la forme, la délivrance et I’émission des lettres, billets, et chèques.» Ce type de changement se révélera être un pas important dans le but de clarifier la loi et déterminer l'équilibre à trouver entre l'application des lois fédérales et provinciales en matière de BA.
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The effect of dopants with different valencies and ionic radii on the densification, structural ordering, and microwave dielectric properties of Ba(Mg1/3Ta2/3)O3 (BMT) is investigated. It is found that dopants such as Sb2O5, MnO, ZrO2, WO3, and ZnO improve the microwave dielectric properties of BMT. Addition of trivalent dopants is detrimental to the cation ordering and dielectric properties of BMT. A correlation between the microwave dielectric properties of BMT and ionic radii of the dopant has been established. The variation of the dielectric properties of pure and doped BMT at cryogenic temperatures is also discussed.