994 resultados para street-level police knoweldge
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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Inscriptions: Verso: [stamped] Photograph by Freda Leinwand. [463 West Street, Studio 229G, New York, NY 10014].
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Inscriptions: Verso: [stamped] Photograph by Freda Leinwand. [463 West Street, Studio 229G, New York, NY 10014].
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n January 2014, the Northern Ireland Policing Board (NIPB) commissioned the University of Ulster to conduct research into public confidence in policing to help inform the work of the Board and its oversight of police service delivery. More specifically, the research team were tasked with exploring ‘the influence that politicians, community leaders and the media have on public confidence in policing in Northern Ireland’. To date, the subject of ‘confidence in policing’ within a Northern Ireland context has been relatively under researched, both in academic and policy terms. Thus, the present research is the first empirical research to be produced in Northern Ireland which considers the issue of confidence in policing from the perspective of community leaders, politicians and the media – including the key influences and dynamics which underpin police confidence at a community level.
The report begins with a comprehensive review of academic literature, policy documents and contemporary events related to confidence in policing. The research then provides an overview of the methodology used to undertake the research, with the remainder of the report comprised of the findings from the discussions with representatives from the media, political parties and the community and voluntary sector who participated. The report concludes with an overview of the central findings along with a series of recommendations.
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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu d’études scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel d’analyse est composé d’entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports d’enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le modèle d’une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne d’exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la défense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en découle, est légaliste et répressif, correspondant au style d’escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manœuvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou déviante avec les foules qu’elle définit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours d’une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles d’enchainement sont décrites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui d’une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se déclenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la déférence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes d’indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré d’indignité perçu de l’acte explique le niveau d’allocation de la violence.
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Following inspections in 2013 of all police forces, Her Majesty’s Inspectorate of Constabulary found that one-third of forces could not provide data on repeat victims of domestic abuse (DA) and concluded that in general there were ambiguities around the term ‘repeat victim’ and that there was a need for consistent and comparable statistics on DA. Using an analysis of police-recorded DA data from two forces, an argument is made for including both offences and non-crime incidents when identifying repeat victims of DA. Furthermore, for statistical purposes the counting period for repeat victimizations should be taken as a rolling 12 months from first recorded victimization. Examples are given of summary statistics that can be derived from these data down to Community Safety Partnership level. To reinforce the need to include both offences and incidents in analyses, repeat victim chronologies from policerecorded data are also used to briefly examine cases of escalation to homicide as an example of how they can offer new insights and greater scope for evaluating risk and effectiveness of interventions.
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The quarterly bulletins on crime statistics in England and Wales are compiled from two sets of data: crime survey and police-recorded crime. Whilst the former is considered to give the most reliable trends, the latter has a greater level detail for a fuller spectrum of crimes types. This paper explores the advantages and problems of analysing police-recorded data for the insights they contain. This is illustrated by examples from an analysis of domestic violence.
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Thesis (Master's)--University of Washington, 2016-06
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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu d’études scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel d’analyse est composé d’entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports d’enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le modèle d’une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne d’exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la défense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en découle, est légaliste et répressif, correspondant au style d’escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manœuvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou déviante avec les foules qu’elle définit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours d’une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles d’enchainement sont décrites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui d’une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se déclenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la déférence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes d’indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré d’indignité perçu de l’acte explique le niveau d’allocation de la violence.
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Background: Gatekeeper training for community facilitators, to identify and respond to those at risk of suicide, forms an important part of multi-level community-based suicide prevention programmes. Aims: This study examined the effects of gatekeeper training on attitudes, knowledge and confidence of police officers in dealing with persons at risk of suicide. Methods: A total of 828 police officers across three European regions participated in a 4-hour training programme which addressed the epidemiology of depression and suicidal behaviour, symptoms of depression, warning signs and risk factors associated with suicidal behaviour, motivating help-seeking behaviour, dealing with acute suicidal crisis and informing bereaved relatives. Participants completed internationally validated questionnaires assessing stigmatising attitudes, knowledge about depression and confidence in dealing with suicidal persons pre- and post-training. Results: There were significant differences among countries in terms of previous exposure to suicidal persons and extent of previous training. Post-training evaluation demonstrated significant improvements in stigmatising attitudes, knowledge and confidence in all three countries. Conclusion: The consistently positive effects of gatekeeper training of police officers across different regions support inclusion of this type of training as a fundamental part of multi-level community-based suicide prevention programmes and roll-out, nationally and internationally.
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Ant foraging on foliage can substantially affect how phytophagous insects use host plants and represents a high predation risk for caterpillars, which are important folivores. Ant-plant-herbivore interactions are especially pervasive in cerrado savanna due to continuous ant visitation to liquid food sources on foliage (extrafloral nectaries, insect honeydew). While searching for liquid rewards on plants, aggressive ants frequently attack or kill insect herbivores, decreasing their numbers. Because ants vary in diet and aggressiveness, their effect on herbivores also varies. Additionally, the differential occurrence of ant attractants (plant and insect exudates) on foliage produces variable levels of ant foraging within local floras and among localities. Here, we investigate how variation of ant communities and of traits among host plant species (presence or absence of ant attractants) can change the effect of carnivores (predatory ants) on herbivore communities (caterpillars) in a cerrado savanna landscape. We sampled caterpillars and foliage-foraging ants in four cerrado localities (70-460 km apart). We found that: (i) caterpillar infestation was negatively related with ant visitation to plants; (ii) this relationship depended on local ant abundance and species composition, and on local preference by ants for plants with liquid attractants; (iii) this was not related to local plant richness or plant size; (iv) the relationship between the presence of ant attractants and caterpillar abundance varied among sites from negative to neutral; and (v) caterpillars feeding on plants with ant attractants are more resistant to ant predation than those feeding on plants lacking attractants. Liquid food on foliage mediates host plant quality for lepidopterans by promoting generalized ant-caterpillar antagonism. Our study in cerrado shows that the negative effects of generalist predatory ants on herbivores are detectable at a community level, affecting patterns of abundance and host plant use by lepidopterans. The magnitude of ant-induced effects on caterpillar occurrence across the cerrado landscape may depend on how ants use plants locally and how they respond to liquid food on plants at different habitats. This study enhances the relevance of plant-ant and ant-herbivore interactions in cerrado and highlights the importance of a tritrophic perspective in this ant-rich environment.