205 resultados para judío
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Centrée sur une réflexion des droits de l’homme à partir de l’expérience historique de la Shoah, la thèse porte sur l’enjeu fondamental du statut du religieux en modernité. Trois parties la composent, correspondant au génocide, à la modernité politique et à l’histoire du Salut : la première propose une interprétation de l’Holocauste en ayant recours aux catégories empruntées à l’historiographie, à la réflexion philosophique et à la tradition théologique. Elle rend compte de deux lectures concurrentes des Lumières, du renversement de la théologie chrétienne du judaïsme au XXe siècle, de la généalogie idéologique du nazisme ainsi que du contexte explosif de l’entre-deux-guerres. La seconde partie de la thèse avance une théorie des trois modernités, selon laquelle les États-Unis, la France et Vatican II représenteraient des interprétations divergentes et rivales des droits. Enfin, la troisième partie reprend les deux précédentes thématiques de la Shoah et de la modernité, mais à la lumière de la Révélation, notamment de l’Incarnation et de la Croix. La Révélation est présentée comme un double dévoilement simultané de l’identité de Dieu et de la dignité humaine – comme un jeu de miroir où la définition de l’homme est indissociable de celle de la divinité. En provoquant l’effondrement de la Chrétienté, la sécularisation aurait créé un vide existentiel dans lequel se serait engouffré le nazisme comme religion politique et idéologie néo-païenne de substitution. Négation de l'élection d'Israël, du Décalogue et de l’anthropologie biblique, l’entreprise nazie d’anéantissement est comprise comme la volonté d’éradication de la Transcendance et du patrimoine spirituel judéo-chrétien, la liquidation du Dieu juif par l’élimination du peuple juif. Le judéocide pourrait dès lors être qualifié de «moment dans l’histoire du Salut» en ce sens qu’il serait porteur d’un message moral en lien avec le contenu de la Révélation qui interpellerait avec force et urgence la conscience moderne. L’Holocauste constituerait ainsi un kairos, une occasion à saisir pour une critique lucide des apories de la modernité issue des Lumières et pour un renouvellement de la pensée théologico-politique, une invitation à une refondation transcendante des droits fondamentaux, dont la liberté religieuse ferait figure de matrice fondationnelle. La Shoah apporterait alors une réponse au rôle que la Transcendance pourrait jouer dans les sociétés modernes. Mémorial de Sang refondateur des droits de la personne, l'Holocauste rendrait témoignage, il lancerait une mise en garde et poserait les conditions nécessaires d'un enracinement biblique à la préservation de la dignité de l’être humain. Aux Six Millions de Défigurés correspondrait la Création de l'Homme du Sixième Jour. En conclusion, un triangle synergique nourricier est soutenu par l’extermination hitlérienne (1941-1945), la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) et le Concile Vatican II (1962-1965) comme les trois piliers d’une nouvelle modernité, située au-delà des paradigmes américain (1776) et français (1789). La Shoah inaugurerait et poserait ainsi les fondements d'un nouvel horizon civilisationnel; elle pointerait vers un nouveau départ possible pour le projet de la modernité. L'expérience génocidaire n'invaliderait pas la modernité, elle ne la discréditerait pas, mais la relancerait sur des bases spirituelles nouvelles. Cette refondation des droits fondamentaux offrirait alors une voie de sortie et de conciliation à la crise historique qui opposait depuis près de deux siècles en Europe les droits de l'homme et la Transcendance, Dieu et la liberté – modèle susceptible d’inspirer des civilisations non occidentales en quête d’une modernité respectueuse de leur altérité culturelle et compatible avec la foi religieuse.
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"En janvier 2007, à 28 ans, Louise Brown est devenue maman. Trente ans, c’est le temps qu’il faut à une génération pour se renouveler. C’est aussi le temps, si bref à l’échelle de l’histoire, pour que les bouleversements induits par la science et les mœurs au XXème siècle modifient profondément le visage de la famille et de son ciment le plus intime, la filiation. Ce travail rend compte de la manière dont le droit appréhende ces changements dans des sociétés occidentales de plus en plus tiraillées entre leurs racines judéo-chrétiennes et leurs aspirations technologiques. Il cherche à comprendre la place du droit dans les nouveaux édifices familiaux et à évaluer la qualité des solutions que celui-ci propose face aux enjeux multiples et complexes de la procréation assistée. Il s’attache pour ce faire à l’examen de deux juridictions partageant un héritage commun à bien des égards, mais suivant des voies normatives différentes : la Suisse et le Québec. À ce titre, il définit des outils conceptuels nécessaires à la compréhension de la notion de filiation ; il rend compte de la façon dont le droit a manipulé ces outils en régissant l’établissement de la filiation, la preuve de la filiation et la procréation assistée à proprement parler ; et il conclut par une évaluation critique des solutions envisagées dans les deux systèmes étudiés. Il met ainsi en exergue les enjeux de la procréation assistée pour le droit de la filiation et la grande palette de solutions législatives envisageables. Il démontre que deux systèmes de droit peuvent traduire des préoccupations partagées par des dispositions diamétralement opposées. En particulier, l’égalité, la liberté et le bien de l’enfant se concrétisent selon des conceptions distinctes. L’attachement aux institutions se manifeste à des degrés variables. Les innovations scientifiques sont accueillies avec un enthousiasme plus ou moins soutenu. Tous ces facteurs sont les déterminants des familles suisse et québécoise, qui, pour s’être longtemps ressemblées, prennent aujourd’hui des chemins différents ... mais pas irrémédiablement irréconciliables."
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Cette thèse analyse les incidences des avancées d’une rationalité technoscientifique sur les définitions classiques de l’humain. Elle discerne, dans sa présentation de ce phénomène, le lien entre la technoscience, la cybernétique et le posthumanisme qui en découle. Elle souligne les mutations et projets de remodèlement de l’humain qui traversent cette rationalité technoscientifique et son paradigme informationnel cybernéticien. Cette rationalité technoscientifique, polémique aux ontologies dites conservatrices, soutenant une vision amorale de la RDTS (Recherche & Développement technoscientifique), accouche d’un posthumanisme – en rapport difficile avec le corps – qui bouscule les définitions classiques de l’humain judéo-chrétien, dont l’anthropologie théologique évangélique. Traitant, dans une première grande section de trois chapitres, de la rationalité technoscientifique et de ses visions de l’humain, la thèse permet la mise en exergue des enjeux principaux se dégageant des nouveaux questionnements des anthropologies classiques soumises aux pressions de la RDTS. Dans la deuxième partie, encore de trois chapitres, qui porte sur l’anthropologie évangélique, la thèse situe les Évangéliques historiquement et doctrinalement, pour mieux relever les éléments identitaires du mouvement et les grandes déterminations théologiques à l’intérieur desquels se déploie cette anthropologie. La présentation de cette dernière se décline à partir des différentes compréhensions du motif anthropologique évangélique par excellence, l’imago Dei et le concept de l’unicité de l’humain dont les fondements semblent de plus en plus fragiles à la lumière des conclusions des recherches en paléontologie et en cognition animale. Si plusieurs défis importants sont posés à l’anthropologie évangélique, la thèse, se limitant à une critique évangélique de la rationalité technoscientifique et des réponses évangéliques à cette dernière, analyse une question essentielle pour la pensée évangélique, celle de l’humain homo ii faber et l’anthropotechnie, versus le remodèlement de l’humain autour des interrogations posthumanistes sur le corps et la question du salut. Cette thèse apporte une contribution 1) sur le plan de la synthèse qu’elle présente de l’anthropologie évangélique, 2) de la compréhension de l’identité évangélique, sa singularité et sa diversité, et 3) des manières dont une théologie évangélique peut entrer en dialogue avec la raison technoscientifique. Elle lève le voile sur l’utilisation tous azimuts du concept de l’imago Dei et de son insuffisance, à lui seul, pour apprécier les véritables enjeux du débat avec la rationalité technoscientique. Elle insinue que ce motif doit être analysé en conjonction avec la christologie dans l’approfondissement du Logos incarné, pour en mieux apprécier l'étendue. Ce n'est que dans ce lien qu’ont pu être trouvés des éléments capables d'articuler ce qui est en germe dans l'imago Dei et suggérer une définition de l’humain capable de prendre en considération les défis d’une rationalité technoscientifique et de son posthumanisme.
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Claude fut empereur romain entre 41 et 54 apr. J.-C., succédant à son neveu Caligula. Alors que les sources littéraires antiques témoignent de la faiblesse d’esprit d’un empereur dirigé par ses affranchis et par ses femmes, les documents épigraphiques et papyrologiques mettent en lumière un empereur soucieux de rendre la justice et dont les décisions tournées vers un pragmatisme lui ont valu le surnom d’empereur des citoyens. Cependant, si le personnage hors du commun a fait couler beaucoup d’encre, les spécialistes ne se sont attardés que très rarement à la province d’Égypte sous son règne, alors que celle-ci est pourtant aux prises avec un important conflit judéo-alexandrin qu’a mis au jour la fameuse Lettre de Claude aux Alexandrins. En lisant celle-ci, nous en apprenons non seulement sur le conflit en question, mais encore sur la citoyenneté alexandrine, le culte impérial et le témoignage direct d’une politique personnelle engagée de l’empereur Claude envers l’Égypte. Ce présent mémoire est divisé en quatre chapitres. Le premier examinera les traits du multiculturalisme égyptien sous la présence romaine. Le deuxième chapitre expliquera la crise qui opposa les Grecs aux Juifs d’Alexandrie et qui fut l’élément déclencheur d’une politique personnelle de Claude. Le troisième chapitre se penchera sur d’autres témoignages du reste de l’Empire pour mieux déterminer le caractère passif ou actif de Claude et évaluer si la Lettre est bel et bien de son initiative personnelle. Enfin, le quatrième chapitre abordera le sujet du culte impérial en Égypte pour s’intéresser au souci de légitimation et d’acceptation de l’empereur par ses sujets égyptiens.
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Resumen basado en la publicación
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Seleccionado en la convocatoria: Ayudas para proyectos de temática educativa, Gobierno de Aragón 2009-10
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La historia de Palestina es larga y comienza mucho antes de la configuración del mundo en Estados. La delimitación geográfica del territorio conocido con este nombre es difícil de establecer pues fue casi siempre una provincia de algún otro reino; en éste pasaron desde épocas muy tempranas diferentes pueblos y culturas entre los cuales se encuentran los cananeos , los filisteos , los babilonios, los persas, el imperio de Alejandro Magno, los romanos, los cruzados y el imperio otomano. En el siglo XX, al finalizar la primera guerra mundial la incertidumbre geográfica cambió con el establecimiento del mandato británico que recuperó el concepto de Palestina y lo usó para designar “por vez primera desde hacía siglos y de manera permanente una unidad política propia” . Bajo dicho mandato y hasta el fin de la segunda guerra mundial convivieron (como lo venían haciendo desde hacía siglos) en esta zona Cristianos, Judíos y Musulmanes, siendo estos últimos mayoría. Sin embargo desde hacía tiempo habían surgido movimientos nacionalistas judíos y árabes; y para 1947, cuando Gran Bretaña decide dejar el problema palestino en manos de la recién formada Organización de Naciones Unidas (ONU) que aprueba mediante la resolución 181 el plan de partición de Palestina para la formación de un Estado Judío y otro Árabe, y la creación de un enclave neutral en Jerusalén; inicia la disputa entre estos dos grupos por el control de la zona ya que los judíos estaban decididos a hacer realidad su Estado en la tierra prometida y los palestinos se sentían horrorizados por perder el territorio que consideraban suyo legítimamente.
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La historia del medio oriente se ha visto, desde tiempo atrás, fuertemente marcada por interminables confrontaciones entre los pueblos allí asentados y que se han dilatado hasta la actualidad. Entre mucho de los ejemplos que se podrían citar, el pueblo judío ha sido protagonista de muchos, incluyendo aquellos que se han originado por la conformación del Estado de Israel. Actualmente, la región occidental del medio oriente presenta diferencias irreconciliables que se desarrollaron a partir de 1948 cuando, por resolución de la Organización de Naciones Unidas, ONU, se creó un nuevo Estado: el Estado de Israel.
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Los crímenes nazis contra el pueblo judío, así como del modelo político fascista, que intentó extender por lo que llamó lebensraum o espacio vital, ha sido un tema tremendamente productivo, tanto para el arte como para la política. Esta historia, que ya ha mostrado su resistencia al paso del tiempo y su capacidad para ser entendida y compartida en muchas culturas, nos habla, entre tantos asuntos relacionados con lo que significa ser humano, de la cercanía entre estética y ética y entre arte y política. En Colombia, sin embargo, una dificultad para consolidar una ética que nos identifique en nuestro tiempo ha dificultado el surgimiento de una estética que nos permita retratarnos en el arte, especialmente en el cine.
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Este artículo es un análisis sobre la evolución y el estado actual de la historiografía referente a la presencia judía en España, con el fin de entender su significación y alcance en la construcción de la nación española. El tema despertó interés a partir del siglo XIX como parte de lo que en ese momento se denominó el “problema de España”. Antes de este período, los estudios sobre la importancia de la presencia judía en la Península fueron escasos. Las menciones a los judíos antes de este siglo tenían un sesgo religioso muy marcado, con una tendencia a menospreciar su influencia. A partir del siglo XIX se comenzó a entender que la formación de España como concepto y realidad histórica está permeada por lo judío, además, que reconocer su influencia también ayuda a la comprensión de las múltiples formas de ser y de entender el mundo que conocemos como ‘hispanidad’.------This article analyses the evolution and status of the historiography about the Jewish presence in Spain aimed at understanding its significance and scope in the construction of the Spanish nation. The topic has awakened researchers’ interest since the nineteenth century as part of what was denominated “Spain’s problem.” Before this period, there were few studies on the relevance of Jewish presence in the Spanish peninsula. Any comments on Jewish people before that century were markedly biased by religion and tending to despise their influence. Then, since the nineteenth century it was understood that the formation of Spain as a notion and historic reality has been Jewish permeated, moreover their influence helps understand the multiple ways of being and of understanding the world that we know as “Hispanicity”.
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El propósito de este ensayo radica en ubicar la filosofía política judía como un problema propiamente filosófico, tal como ha sido planteado por Leo Strauss. Esta tarea implica que descartemos tratar el asunto de la filosofía política, y específicamente su distintivo judío, como una subdisciplina de la filosofía o como parte de un manual de historia de la filosofía. La filosofía política judía, por el contrario, es el escenario donde pueden ser develadas las respuestas sobre los problemas que aquejan al pensamiento político contemporáneo. En ese sentido, resulta necesario abandonar el prejuicio moderno de considerar a las ideas del pasado inferiores respecto a las perspectivas de nuestro tiempo. La comprensión de la filosofía política judía exige que estemos preparados para aprender algo de los filósofos judíos, pero no podemos llegar a tal punto sin antes esbozar los términos en los que esa aproximación debería ser efectuada.---Prolegomena to the problem of the jewish political philosophyThe purpose of this paper is to locate the Jewish political philosophy as a philosophical problem itself, as has been raised by Leo Strauss. This task requires that the Jewish political philosophy is not considered a subdiscipline of philosophy or as part of a history of philosophy’s handbook. Jewish political philosophy, by contrast, is the scene where the answers on the problems facing the contemporary political thought can be unveiled. In this sense, it is necessary to abandon the modern prejudice of considering the past ideas lower about the prospects of our time. The understanding of Jewish political philosophy requires that we are prepared to learn from the Jewish philosophers, but we can not go that far without outlining the terms in which this approach should be made.Key words: political philosophy, Jewish philosophy, philosophy of history---Prolegômenos ao problema da filosofia política judaicaO Propósito deste ensaio radica em localizar a política judaica como um problema propriamente filosófico, tal como tem sido exposto por Leo Strauss. Esta tarefa implica que descartemos tratar o assunto da filosofia política, e especificamente seu distintivo judaico, como uma sub-disciplina da filosofia ou como parte de um manual de historia da filosofia. A filosofia política judaica, pelo contrário, é o cenário donde podem ser reveladas as respostas sobre os problemas que afetam o pensamento político contemporâneo. Neste sentido, resulta necessário abandonar o prejuízo moderno de considerar às idéias do passado inferiores respeito às perspectivas de nosso tempo. A compreensão da filosofia política judaica exige que estejamos preparados para aprender algo dos filósofos judeus, mas não podemos chegar a tal ponto, sem antes esboçar os termos nos que essa aproximação deveria ser efetuada.Palavras chave: Filosofia política, filosofia judaica, filosofia da historia
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En este artículo se exponen características generales de la forma como habitualmente se narra la historia del pensamiento filosófico-político de la hispanidad, desentrañando y analizando sus presupuestos conceptuales y metodológicos básicos desde una perspectiva crítica y meta-teórica. A partir de este examen crítico se argumenta cómo las tradiciones de pensamiento filosófico-político de origen judío, musulmán o converso deben ser pensadas como componentes determinantes de la tradición del pensamiento hispánico, indispensables a su vez para definir el concepto mismo de hispanidad o de hispanidades. Con este propósito, se reseña el amplio debate existente en España y en Hispanoamérica desde hace más de un siglo en torno a los criterios que permiten definir la existencia de una filosofía hispánica, debido a que este debate refleja sintomáticamente el problema general de definir la identidad de lo hispánico y su tradición histórica.-----This article presents general features of the usual way of telling the history of the philosophical and political thought on Hispanicity, by deciphering and analyzing its basic conceptual and methodological assumptions from a critical and metacritical approach. This critical examination claims how the political and philosophical thought traditions of Jewish, Muslim, or converse origin should be examined as factors that determined the Hispanic thought tradition, in turn mandatory to define the Hispanicity or Hispanicities concept itself. Keeping this purpose in mind, a review is provided on the debate that has been ongoing in Spain and Hispanic America for more than a century about the criteria that allow defining the existence of a Hispanic philosophy, since such debate reflects symptomatically the overall issue of defining the Hispanic identity and its historical tradition.
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El presente estudio de caso es un análisis sobre el conflicto entre Siria e Israel a partir de la disputa por los Altos del Golán, luego de la ocupación por parte de Israel al finalizar la Guerra de los Seis Días. A diferencia de la mayoría de los trabajos que se realizan sobre Medio Oriente, este trabajo busca diferenciarse de los estudios sobre el conflicto árabe-israelí, enfocándose en el conflicto sirio-israelí. Adicionalmente, se trata un tema poco común como son las implicaciones que este conflicto ha tenido sobre la comunidad drusa siria, población que quedó en medio de las disputas por los Altos del Golán. Teniendo en cuenta lo anterior, se hará un análisis a partir del Interés Nacional que motiva tanto a Siria como a Israel y a la comunidad drusa que ahí habita a seguir en la disputas por este territorio, que gracias a sus características geográficas representa un punto estratégico en la región.
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En la presente monografía se analizarán los factores de la política exterior iraní que han incidido en la política de seguridad y defensa de Israel. Se examina y explica bajo la teoría del Realismo Ofensivo, cuyo máximo representante es John Mearsheimer, el cual expone acerca las dinámicas de los países desarrollados con respecto al ámbito de seguridad, en donde los Estados están interesados principalmente en aumentar su seguridad con el objetivo de sobrevivir, lo cual resulta incompatible con otros Estados. Por último, se identifica de forma documentada cuales son los aspectos afectados en la seguridad de Israel a partir de la política exterior del gobierno de Mahmoud Ahmadinejad y cómo el Estado judío ha utilizado otras estrategias que anteriormente no había recurrido.
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Resumen en castellano, francés e inglés