952 resultados para acute myeloid leukemia, all cancers, breast cancer, epidemiology hematological malignancies


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La leucémie lymphoblastique aigüe (LLA) est une maladie génétique complexe. Malgré que cette maladie hématologique soit le cancer pédiatrique le plus fréquent, ses causes demeurent inconnues. Des études antérieures ont démontrées que le risque à la LLA chez l’enfant pourrait être influencé par des gènes agissant dans le métabolisme des xénobiotiques, dans le maintient de l’intégrité génomique et dans la réponse au stress oxydatif, ainsi que par des facteurs environnementaux. Au cours de mes études doctorales, j’ai tenté de disséquer davantage les bases génétiques de la LLA de l’enfant en postulant que la susceptibilité à cette maladie serait modulée, au moins en partie, par des variants génétiques agissant dans deux voies biologiques fondamentales : le point de contrôle G1/S du cycle cellulaire et la réparation des cassures double-brin de l’ADN. En utilisant une approche unique reposant sur l’analyse d’une cohorte cas-contrôles jumelée à une cohorte de trios enfants-parents, j’ai effectué une étude d’association de type gènes/voies biologiques candidats. Ainsi, j’ai évaluer le rôle de variants provenant de la séquence promotrice de 12 gènes du cycle cellulaire et de 7 gènes de la voie de réparation de l’ADN, dans la susceptibilité à la LLA. De tels polymorphismes dans la région promotrice (pSNPs) pourraient perturber la liaison de facteurs de transcription et mener à des différences dans les niveaux d’expression des gènes pouvant influencer le risque à la maladie. En combinant différentes méthodes analytiques, j’ai évalué le rôle de différents mécanismes génétiques dans le développement de la LLA chez l’enfant. J’ai tout d’abord étudié les associations avec gènes/variants indépendants, et des essaies fonctionnels ont été effectués afin d’évaluer l’impact des pSNPs sur la liaison de facteurs de transcription et l’activité promotrice allèle-spécifique. Ces analyses ont mené à quatre publications. Il est peu probable que ces gènes de susceptibilité agissent seuls; j’ai donc utilisé une approche intégrative afin d’explorer la possibilité que plusieurs variants d’une même voie biologique ou de voies connexes puissent moduler le risque de la maladie; ces travaux ont été soumis pour publication. En outre, le développement précoce de la LLA, voir même in utero, suggère que les parents, et plus particulièrement la mère, pourraient jouer un rôle important dans le développement de cette maladie chez l’enfant. Dans une étude par simulations, j’ai évalué la performance des méthodes d’analyse existantes de détecter des effets fœto-maternels sous un design hybride trios/cas-contrôles. J’ai également investigué l’impact des effets génétiques agissant via la mère sur la susceptibilité à la LLA. Cette étude, récemment publiée, fût la première à démontrer que le risque de la leucémie chez l’enfant peut être modulé par le génotype de sa mère. En conclusions, mes études doctorales ont permis d’identifier des nouveaux gènes de susceptibilité pour la LLA pédiatrique et de mettre en évidence le rôle du cycle cellulaire et de la voie de la réparation de l’ADN dans la leucémogenèse. À terme, ces travaux permettront de mieux comprendre les bases génétiques de la LLA, et conduiront au développement d’outils cliniques qui amélioreront la détection, le diagnostique et le traitement de la leucémie chez l’enfant.

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DNA methylation biomarkers capable of diagnosis and subtyping have been found for many cancers. Fifteen such markers have previously been identified for pediatric acute lymphoblastic leukemia (ALL). Validation of these markers is necessary to assess their clinical utility for molecular diagnostics. Substantial efficiencies could be achieved with these DNA methylation markers for disease tracking with potential to replace patient-specific genetic testing.

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Human lipocalin 2 is described as the neutrophil gelatinase-associated lipocalin (NGAL). The lipocalin 2 gene encodes a small, secreted glycoprotein that possesses a variety of functions, of which the best characterized function is organic iron binding activity. Elevated NGAL expression has been observed in many human cancers including breast, colorectal, pancreatic and ovarian cancers. I focused on the characterization of NGAL function in chronic myelogenous leukemia (CML) and breast cancer. Using the leukemic xenograft mouse model, we demonstrated that over-expression of NGAL in K562 cells, a leukemic cell line, led to a higher apoptotic rate and an atrophy phenotype in the spleen of inoculated mice compared to K562 cells alone. These results indicate that NGAL plays a primary role in suppressing hematopoiesis by inducing apoptosis within normal hematopoietic cells. In the breast cancer project, we analyzed two microarray data sets of breast cancer cell lines ( n = 54) and primary breast cancer samples (n = 318), and demonstrated that high NGAL expression is significantly correlated with several tumor characteristics, including negative estrogen receptor (ER) status, positive HER2 status, high tumor grade, and lymph node metastasis. Ectopic NGAL expression in non-aggressive (ZR75.1 and MCF7) cells led to aggressive tumor phenotypes in vitro and in vivo. Conversely, knockdown of NGAL expression in various breast cancer cell lines by shRNA lentiviral infection significantly decreased migration, invasion, and metastasis activities of tumor cells both in vitro and in vivo . It has been previously reported that transgenic mice with a mutation in the region of trans-membrane domain (V664E) of HER2 develop mammary tumors that progress to lung metastasis. However, we observed that genetic deletion of the 24p3 gene, a mouse homolog of NGAL, in HER2 transgenic mice by breeding with 24p3-null mice resulted in a significant delay of mammary tumor formation and reduction of lung metastasis. Strikingly, we also found that treatment with affinity purified 24p3 antibodies in the 4T1 breast cancer mice strongly reduced lung metastasis. Our studies provide evidence that NGAL plays a critical role in breast cancer development and progression, and thus NGAL has potential as a new therapeutic target in breast cancer.^

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La leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) représente environ 25% des cancers pédiatriques diagnostiqués chaque année. Dans 80 % des cas, une rémission complète est observée. Cependant, les patients résistants aux traitements ainsi que les patients en rechute présentent un mauvais pronostique. Les altérations épigénétiques sont des facteurs essentiels dans le développement et la progression de la maladie, ainsi qu’à la résistance aux traitements. Lors d’un criblage de médicaments approuvés par la FDA, nous avons découvert des molécules ayant des caractéristiques anticancéreux et épigénétiques. Pour évaluer l’activité de ces molécules, nous avons procédé à un criblage secondaire sur plusieurs lignées cellulaires leucémiques. Nous avons découvert qu’une de ces molécules, un glucoside cardiotonique appelé la proscillaridine A, avait une activité anticancéreuse spécifique pour des cellules leucémiques. Nous faisons donc l’hypothèse que la proscillaridine A pourrait avoir des effets épigénétiques et anticancéreux dans des modèles précliniques de LLA. Pour tester cette hypothèse, nous avons traité deux lignées cellulaires de LLA Nalm-6 (LLA pre-B) et Molt-4 (T-LLA) in vitro pendant 2 à 96 heures à des doses pertinentes sur le plan clinique. Nous avons alors pu observer une inhibition de croissance qui était dépendante de la dose administrée dans les deux lignées cellulaires, avec des valeurs de 50% d’inhibition de croissance (CI50) de 3.0 nM pour les Nalm-6 et de et 2.3 nM pour les Molt-4. De plus, nos études sur le cycle cellulaire par BrdU démontrent un arrêt en phase G2/M. Nous avons également détecté par immunobuvardage de type western des baisses significatives de l’acétylation de résidus de l’histone 3. Les niveaux d’expression des enzymes responsables de cette acétylation, les histones acétyltransférases CBP, P300 et TIP60 ainsi que de l’oncogène C-MYC étaient également diminuées. Par des analyses de séquençage de l’ARN, nous avons observé une augmentation de l’expression des gènes impliquées dans les processus d’apoptose et de différentiation cellulaire, ainsi qu’une diminution des gènes impliqués dans la prolifération cellulaire comme en particulier les gènes cibles de C-MYC. Ces résultats prometteurs suggèrent le potentiel prometteur de la proscillaridine A comme nouvelle thérapie pour les patients atteints de LLA.

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La leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) représente environ 25% des cancers pédiatriques diagnostiqués chaque année. Dans 80 % des cas, une rémission complète est observée. Cependant, les patients résistants aux traitements ainsi que les patients en rechute présentent un mauvais pronostique. Les altérations épigénétiques sont des facteurs essentiels dans le développement et la progression de la maladie, ainsi qu’à la résistance aux traitements. Lors d’un criblage de médicaments approuvés par la FDA, nous avons découvert des molécules ayant des caractéristiques anticancéreux et épigénétiques. Pour évaluer l’activité de ces molécules, nous avons procédé à un criblage secondaire sur plusieurs lignées cellulaires leucémiques. Nous avons découvert qu’une de ces molécules, un glucoside cardiotonique appelé la proscillaridine A, avait une activité anticancéreuse spécifique pour des cellules leucémiques. Nous faisons donc l’hypothèse que la proscillaridine A pourrait avoir des effets épigénétiques et anticancéreux dans des modèles précliniques de LLA. Pour tester cette hypothèse, nous avons traité deux lignées cellulaires de LLA Nalm-6 (LLA pre-B) et Molt-4 (T-LLA) in vitro pendant 2 à 96 heures à des doses pertinentes sur le plan clinique. Nous avons alors pu observer une inhibition de croissance qui était dépendante de la dose administrée dans les deux lignées cellulaires, avec des valeurs de 50% d’inhibition de croissance (CI50) de 3.0 nM pour les Nalm-6 et de et 2.3 nM pour les Molt-4. De plus, nos études sur le cycle cellulaire par BrdU démontrent un arrêt en phase G2/M. Nous avons également détecté par immunobuvardage de type western des baisses significatives de l’acétylation de résidus de l’histone 3. Les niveaux d’expression des enzymes responsables de cette acétylation, les histones acétyltransférases CBP, P300 et TIP60 ainsi que de l’oncogène C-MYC étaient également diminuées. Par des analyses de séquençage de l’ARN, nous avons observé une augmentation de l’expression des gènes impliquées dans les processus d’apoptose et de différentiation cellulaire, ainsi qu’une diminution des gènes impliqués dans la prolifération cellulaire comme en particulier les gènes cibles de C-MYC. Ces résultats prometteurs suggèrent le potentiel prometteur de la proscillaridine A comme nouvelle thérapie pour les patients atteints de LLA.

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Objective: To provide an overview of the incidence and mortality of female breast cancer for countries in the Asia-Pacific region. Methods: Statistical information about breast cancer was obtained from publicly available cancer registry and mortality databases (such as GLOBOCAN), and supplemented with data requested from individual cancer registries. Rates were directly age-standardised to the Segi World Standard population and trends were analysed using joinpoint models. Results: Breast cancer was the most common type of cancer among females in the region, accounting for 18% of all cases in 2012, and was the fourth most common cause of cancer-related deaths (9%). Although incidence rates remain much higher in New Zealand and Australia, rapid rises in recent years were observed in several Asian countries. Large increases in breast cancer mortality rates also occurred in many areas, particularly Malaysia and Thailand, in contrast to stabilising trends in Hong Kong and Singapore, while decreases have been recorded in Australia and New Zealand. Mortality trends tended to be more favourable for women aged under 50 compared to those who were 50 years or older. Conclusion: It is anticipated that incidence rates of breast cancer in developing countries throughout the Asia-Pacific region will continue to increase. Early detection and access to optimal treatment are the keys to reducing breast cancer-related mortality, but cultural and economic obstacles persist. Consequently, the challenge is to customise breast cancer control initiatives to the particular needs of each country to ensure the best possible outcomes.

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Methylenetetrahydrofolate reductase (MTHFR) is a critical enzyme in folate metabolism and is involved in DNA synthesis, DNA repair and DNA methylation. Genetic polymorphisms of this enzyme have been shown to impact several diseases, including cancer. Leukemias are malignancies arising from rapidly proliferating hematopoietic cells having great requirement of DNA synthesis. This case-control study was undertaken to analyze the association of the MTHFR gene polymorphisms 677 C"T and 1298 A"C and the risk of acute lymphoblastic leukemia in children. Materials and Methods: Eighty-six patients aged below 15 years with a confirmed diagnosis of acute lymphoblastic leukemia (ALL) and 99 matched controls were taken for this study. Analysis of the polymorphisms was done using the polymerase chain reaction -restriction fragment length polymorphism (PCR-RFLP) method. Results: Frequency of MTHFR 677 CC and CT were 85.9% and 14.1% in the controls, and 84.9% and 15.1% in the cases. The 'T' allele frequency was 7% and 7.5% in cases and controls respectively. The frequency of MTHFR 1298 AA, AC, and CC were 28.3%, 55.6% and 16.1% for controls and 23.3%, 59.3% and 17.4% for cases respectively. The 'C' allele frequency for 1298 A→C was 43.9% and 47% respectively for controls and cases. The odds ratio (OR) for C677T was 1.08 (95% CI 0.48- 2.45, p = 0.851) and OR for A1298C was 1.29(95% CI 0.65-2.29, p = 0.46) and OR for 1298 CC was 1.31 (95% CI 0.53-3.26, p =0.56). The OR for the combined heterozygous status (677 CT and 1298 AC) was 1.94 (95% CI 0.58 -6.52, p = 0.286). Conclusion: The prevalence of 'T' allele for 677 MTHFR polymorphism was low in the population studied. There was no association between MTHFR 677 C→T and 1298 A→C gene polymorphisms and risk of ALL, which may be due to the small sample size.

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Proteomic and transcriptomic platforms both play important roles in cancer research, with differing strengths and limitations. Here, we describe a proteo-transcriptomic integrative strategy for discovering novel cancer biomarkers, combining the direct visualization of differentially expressed proteins with the high-throughput scale of gene expression profiling. Using breast cancer as a case example, we generated comprehensive two-dimensional electrophoresis (2DE)/mass spectrometry (MS) proteomic maps of cancer (MCF-7 and HCC-38) and control (CCD-1059Sk) cell lines, identifying 1724 expressed protein spots representing 484 different protein species. The differentially expressed cell-line proteins were then mapped to mRNA transcript databases of cancer cell lines and primary breast tumors to identify candidate biomarkers that were concordantly expressed at the gene expression level. Of the top nine selected biomarker candidates, we reidentified ANX1, a protein previously reported to be differentially expressed in breast cancers and normal tissues, and validated three other novel candidates, CRAB, 6PGL, and CAZ2, as differentially expressed proteins by immunohistochemistry on breast tissue microarrays. In total, close to half (4/9) of our protein biomarker candidates were successfully validated. Our study thus illustrates how the systematic integration of proteomic and transcriptomic data from both cell line and primary tissue samples can prove advantageous for accelerating cancer biomarker discovery.

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Wilms' tumor gene 1 (WT1) is overexpressed in the majority (70-90%) of acute leukemias and has been identified as an independent adverse prognostic factor, a convenient minimal residual disease (MRD) marker and potential therapeutic target in acute leukemia. We examined WT1 expression patterns in childhood acute lymphoblastic leukemia (ALL), where its clinical implication remains unclear. Using a real-time quantitative PCR designed according to Europe Against Cancer Program recommendations, we evaluated WT1 expression in 125 consecutively enrolled patients with childhood ALL (106 BCP-ALL, 19 T-ALL) and compared it with physiologic WT1 expression in normal and regenerating bone marrow (BM). In childhood B-cell precursor (BCP)-ALL, we detected a wide range of WT1 levels (5 logs) with a median WT1 expression close to that of normal BM. WT1 expression in childhood T-ALL was significantly higher than in BCP-ALL (P<0.001). Patients with MLL-AF4 translocation showed high WT1 overexpression (P<0.01) compared to patients with other or no chromosomal aberrations. Older children (> or =10 years) expressed higher WT1 levels than children under 10 years of age (P<0.001), while there was no difference in WT1 expression in patients with peripheral blood leukocyte count (WBC) > or =50 x 10(9)/l and lower. Analysis of relapsed cases (14/125) indicated that an abnormal increase or decrease in WT1 expression was associated with a significantly increased risk of relapse (P=0.0006), and this prognostic impact of WT1 was independent of other main risk factors (P=0.0012). In summary, our study suggests that WT1 expression in childhood ALL is very variable and much lower than in AML or adult ALL. WT1, thus, will not be a useful marker for MRD detection in childhood ALL, however, it does represent a potential independent risk factor in childhood ALL. Interestingly, a proportion of childhood ALL patients express WT1 at levels below the normal physiological BM WT1 expression, and this reduced WT1 expression appears to be associated with a higher risk of relapse.

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La leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) est le cancer pédiatrique le plus fréquent. Elle est la cause principale de mortalité liée au cancer chez les enfants due à un groupe de patient ne répondant pas au traitement. Les patients peuvent aussi souffrir de plusieurs toxicités associées à un traitement intensif de chimiothérapie. Les études en pharmacogénétique de notre groupe ont montré une corrélation tant individuelle que combinée entre les variants génétiques particuliers d’enzymes dépendantes du folate, particulièrement la dihydrofolate réductase (DHFR) ainsi que la thymidylate synthase (TS), principales cibles du méthotrexate (MTX) et le risque élevé de rechute chez les patients atteints de la LAL. En outre, des variations dans le gène ATF5 impliqué dans la régulation de l’asparagine synthetase (ASNS) sont associées à un risque plus élevé de rechute ou à une toxicité ASNase dépendante chez les patients ayant reçu de l’asparaginase d’E.coli (ASNase). Le but principal de mon projet de thèse est de comprendre davantage d’un point de vue fonctionnel, le rôle de variations génétiques dans la réponse thérapeutique chez les patients atteints de la LAL, en se concentrant sur deux composants majeurs du traitement de la LAL soit le MTX ainsi que l’ASNase. Mon objectif spécifique était d’analyser une association trouvée dans des paramètres cliniques par le biais d’essais de prolifération cellulaire de lignées cellulaires lymphoblastoïdes (LCLs, n=93) et d’un modèle murin de xénogreffe de la LAL. Une variation génétique dans le polymorphisme TS (homozygosité de l’allèle de la répétition triple 3R) ainsi que l’haplotype *1b de DHFR (défini par une combinaison particulière d’allèle dérivé de six sites polymorphiques dans le promoteur majeur et mineur de DHFR) et de leurs effets sur la sensibilité au MTX ont été évalués par le biais d’essais de prolifération cellulaire. Des essais in vitro similaires sur la réponse à l’ASNase de E. Coli ont permis d’évaluer l’effet de la variation T1562C de la région 5’UTR de ATF5 ainsi que des haplotypes particuliers du gène ASNS (définis par deux variations génétiques et arbitrairement appelés haplotype *1). Le modèle murin de xénogreffe ont été utilisé pour évaluer l’effet du génotype 3R3R du gène TS. L’analyse de polymorphismes additionnels dans le gène ASNS a révélé une diversification de l’haplotype *1 en 5 sous-types définis par deux polymorphismes (rs10486009 et rs6971012,) et corrélé avec la sensibilité in vitro à l’ASNase et l’un d’eux (rs10486009) semble particulièrement important dans la réduction de la sensibilité in vitro à l’ASNase, pouvant expliquer une sensibilité réduite de l’haplotype *1 dans des paramètres cliniques. Aucune association entre ATF5 T1562C et des essais de prolifération cellulaire en réponse à ASNase de E.Coli n’a été détectée. Nous n’avons pas détecté une association liée au génotype lors d’analyse in vitro de sensibilité au MTX. Par contre, des résultats in vivo issus de modèle murin de xénogreffe ont montré une relation entre le génotype TS 3R/3R et la résistance de manière dose-dépendante au traitement par MTX. Les résultats obtenus ont permis de fournir une explication concernant un haut risque significatif de rechute rencontré chez les patients au génotype TS 3R/3R et suggèrent que ces patients pourraient recevoir une augmentation de leur dose de MTX. À travers ces expériences, nous avons aussi démontré que les modèles murins de xénogreffe peuvent servir comme outil préclinique afin d’explorer l’option d’un traitement individualisé. En conclusion, la connaissance acquise à travers mon projet de thèse a permis de confirmer et/ou d’identifier quelques variants dans la voix d’action du MTX et de l’ASNase qui pourraient faciliter la mise en place de stratégies d’individualisation de la dose, permettant la sélection d’un traitement optimum ou moduler la thérapie basé sur la génétique individuelle.

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Introduction: In this report, we propose the application of the p-iodophenol-enhanced luminol chemiluminescent technique to the determination of peroxidase (myeloperoxidase and/or platelet peroxidase) activity in blasts of minimally differentiated acute myeloblastic leukemia (AML-M0) and acute megakaryoblastic leukemia (AML-M7).Methods: the frozen blast cells from 29 patients were thawed and submitted to the optimized protocol.Results: All cases of AML-M7 and AML-M0 exhibited integrated light emission greater than 73 (10(2) mV x s), which was the arbitrary cutoff point set for the discrimination between AML and acute lymphoblastic leukemia (ALL) (mean + 3 x s.d. of ALL samples, n = 10). In addition, five out of seven cases of AML-M0 showed results above the Cutoff point.Conclusion: This highly sensitive enhanced chemiluminescent technique may be applied to discriminate between ALL and AML-M7 or AML-M1 cases, and most AML-M0 cases. It is very simple, cheap and easy to perform compared to other procedures used to measure MPO activity in AML-leukemias including AML-M7 and AML-M0.

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We analyzed cerebrospinal fluid (CSF) samples from 65 consecutive children with acute lymphoblastic leukemia (ALL) treated according to two different treatment protocols (GBTLI-ALL-93 and -99) with no puncture accident for minimal residual disease (MRD) in the central nervous system (CNS). Minimal residual disease was detected by polymerase chain reaction (PCR) with homo/heteroduplex analysis using consensus primers to IgH and TCR genes. MRD in the CSF at diagnosis was detected by PCR in 46.8% of children with no puncture accident or morphological involvement. In patients treated with GBTLI-ALL-93 a significantly lower 5-year event-free survival (EFS) was demonstrated for those with CSF involvement, in univariate (p = 0.01) and multivariate (p = 0.04) analysis. This observation was not true for patients treated with the more intensive protocol GBTLI-ALL-99 (p = 0.81). These findings suggest that MRD detection in the CSF is a common event in children with ALL. Treatment intensification provided by the GBTLI-ALL-99 apparently overcomes the detrimental effect of CNS minimal residual disease at diagnosis.

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The present study aimed to analyze the expression profile of the microRNAs previously described as associated with childhood ALL, miR-92a, miR-100, miR-125a-5p, miR-128a, miR-181b, miR-196b and let-7e, and their association with biological/prognostic features in 128 consecutive samples of childhood acute lymphoblastic leukemia (ALL) by quantitative real-time PCR. A significant association was observed between higher expression levels of miR-196b and T-ALL, miR-100 and patients with low white blood cell count at diagnosis and t(12;21) positive ALL. These findings suggest a potential activity of these microRNAs in pediatric ALL biology. (C) 2011 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Objectives: Several clinical trials conducted in Europe and US reported favorable outcomes of patients with APL treated with the combination of all trans retinoic acid (ATRA) and anthracyclines. Nevertheless, the results observed in developing countries with the same regimen was poorer, mainly due to high early mortality mainly due bleeding. The International Consortium on Acute Promyelocytic Leukemia (IC-APL) is an initiative of the International Members Committee of the ASH and the project aims to reduce this gap through the establishment of international network, which was launched in Brazil, Mexico and Uruguay. Methods: The IC-APL treatment protocol is similar to the PETHEMA 2005, but changing idarubicin to daunorubicin. All patients with a suspected diagnosis of APL were immediately started on ATRA, while bone marrow samples were shipped to a national central lab where genetic verification of the diagnosis was performed. The immunofluorescence using an anti-PML antibody allowed a rapid confirmation of the diagnosis and, the importance of supportive measures was reinforced. Results: The interim analysis of 97 patients enrolled in the IC-APL protocol showed that complete remission (CR) rate was 83% and the 2-year overall survival and disease-free survival were 80% and 90%, respectively. Of note, the early mortality rate was reduced to 7.5%. Discussion: The results of IC-APL demonstrate the impact of educational programs and networking on the improvement of the leukemia treatment outcome in developing countries.