955 resultados para Pedro , Infante de Portugal-Biografías


Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : 1 Lettre d'ANDRE DANDOLO, doge de Venise, à Louis, comte de Flandres, concernant un nommé Ange Guide, qui avait en gage certains joyaux appartenant audit comte. Palais des doges, 14 janvier 1343. En latin. Orig. sur parchemin ; 2 Lettre d'YOLANDE DE FLANDRE, comtesse de Bar et dame de Cassel, à Louis de Male, comte de Flandre, touchant les différends survenus entre lui et Robert, duc de Bar, fils d'Yolande. Signée : « La contesse de Bar et dame de Cassel,... Escript à Clermont, le XIIe jour de janvier » 1356 au plus tôt. Orig ; 3 Lettre de CHARLES V à Louis de Male, comte de Flandre, pour le prier de se trouver au traité de paix projeté avec l'Angleterre. Signée : « Charles ». Senlis, 25 octobre 1375. Orig. sur parchemin ; 4 Réponse de LOUIS DE MALE, comte DE FLANDRE, à la lettre de Charles V. Signée : « Loys, contes de Flandres ». Gand, 3 novembre 1375. Autographe ; 5 Lettre de CHARLES V à Marguerite de France, comtesse de Flandre et d'Artois, portant créance pour le duc de Bourgogne, qu'il envoyait vers elle pour quelques affaires secrètes. « Escrit de notre main le jour Saint Martin. Charles ». 1376. Autographe ; 6 Lettre de JEAN, duc DE BRETAGNE, au comte de Flandre, Louis de Male, lui demandant secours contre Charles de Blois. Signée : « Jehan, duc de Bretaigne, conte de Montfort et viconte de Limoges,... Escript à Kemperelé, le IIIIe jour de juign » 1364. Orig ; 7 Lettre de WENCESLAS, duc DE LUXEMBOURG et de Brabant, audit comte de Flandre, touchant un différend survenu entre eux au sujet de « ceaus de Cons ». Signée : « Li dux de Lucemburch et de Brabant,... Escrit à Lucemburch, XIIII jours, en avril ». Environ 1360. Orig ; 8 Lettre de FREDERIC DE SAARWERDEN, archevêque de Cologne, audit comte de Flandre, qui lui avait envoyé le seigneur de La Gruythuyse, chevalier, et le prévôt de l'église de Notre-Dame de Bruges. Il le félicite de ce qu'ils lui ont appris qu'il avait reconnu Urbain VI pour pape. Signée : « Fridericus, archiepiscopus Coloniensis... ». Francfort-sur-le-Mein, 17 septembre 1378. Orig. En latin ; 9 Lettre de CUNO DE FALKENSTEIN, archevêque de Trèves, au même comte de Flandre, sur le même sujet. Signée : « Cuno, archiepiscopus Treverensis ». Francfort-sur-le-Mein, 24 septembre 1378. Orig. En latin ; 10 Lettre de RUPERT Ier, comte palatin du Rhin, au même, sur le même sujet. Signée : « Rupertus senior, Dei gratia comes palatinus Reni, sacri imperii elector et Bavarie dux ». Francfort-sur-le-Mein, 17 septembre 1378. Orig. En latin ; 11 Lettre de JEAN Ier, roi D'ARAGON, à Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, pour lui demander de vouloir bien favorablement traiter ses sujets trafiquant en Flandre. Signée : « Rex Aragonum ». « Dat. in Montesono, sub nostro sigillo secreto, XVa die aprilis, anno a Nativitate Domini MCCCLXXXIX ». Orig. En latin ; 12 Lettre de YOLANDE, reine d'Aragon, au même, sur le même sujet. Signée : « La reyna d'Arago ». Monzon, 13 avril 1389. Orig. En aragonais ; 13 « Offres faictes aux Anglois par les ambaxadeurs du roy au traictié fait à Arras ». Arras, 8 septembre 1435 ; 14 Déposition de RAOUL LE BOUVIER, chanoine d'Angers, de ce qu'il savait du traité d'Arras touchant les villes engagées au duc de Bourgogne. Signée : « Bouvier ». 6 novembre 1451. Orig ; 15 Lettre de PHILIPPE LE HARDI, duc DE BOURGOGNE, à son beau-père, Louis, comte de Flandres. Signée : « Vostre filz le duc de Bourgoingne ». Compiègne, 7 juillet. Orig ; 16 Autre lettre du même au même. Signée de même. Même date. Orig ; 17 Lettre de PHILIPPE LE BON, duc DE BOURGOGNE, aux baillis, prévôts et échevins de Courtrai. Signée : « Phelippe ». Lille, 22 août. Orig ; 18 Autre lettre du même aux mêmes. Signée : « Phelippe ». Mons, 14 novembre 1451 ? Orig ; 19 Lettre d'ISABELLE DE PORTUGAL, femme de Philippe le Bon, aux échevins, etc. de Courtrai. Signée : « Isabel ». Bruxelles, 26 décembre. Orig ; 20 Lettre de JEAN DE BOURGOGNE, comte DE NEVERS, aux mêmes. Arras, 31 mars. Orig ; 21 Lettre d'ISABELLE DE BOURBON, femme de Charles le Téméraire, aux mêmes. Signée : « Isabel ». Bruges, 4 janvier. Orig ; 22 Lettre de PHILIPPE LE BON, duc DE BOURGOGNE, aux mêmes, signée : « Phelippe ». Bruxelles, 7 décembre 1451. Orig ; 23 Autre lettre du même aux mêmes, signée : « Phelippe ». Bruxelles, 10 décembre 1451. Orig ; 24 Lettre d'EDOUARD IV, roi D'ANGLETERRE, au duc de Bourgogne selon Baluze, au roi Louis XI, selon une note ancienne placée au dos de la pièce, pour le porter à la paix avec le duc d'Autriche, 19 mars 1475 ou 1480. Copie ; 25 Lettre de PHILIPPE LE BON, duc DE BOURGOGNE, à Charles VII, signée : « Phelippe ». Lille, 29 décembre 1453. Orig ; 26 Voeu de Philippe le Bon, duc de Bourgogne, dit le Voeu du paon, précédé du récit du banquet où ce voeu fut prononcé. Lille, 17 et 22 février 1454 n. st. Copie ; 27 Lettre de « NICOLAS ROLIN », chancelier de BourGOGNE, à Charles VII. Bruges, 16 avril 1455. Orig ; 28 Lettre de PHILIPPE LE BON, duc DE BOURGOGNE, au même, signée : « Phelippe ». Leyde, 25 juillet 1456. Orig ; 29 Nouvelles de l'année 1457, relatives aux affaires de Bourgogne et d'Angleterre ; 30 Lettre d'appel adressée à Charles VII, relative à l'enlèvement d'une fille que le duc de Bourgogne voulait marier à un de ses archers, signée : « JEHAN BARBIN et SYMON ». Paris, 4 avril 1456 n. st. Orig ; 31 Lettre de PHILIPPE LE BON, duc DE BOURGOGNE, aux gens du conseil du roi, signée : « Phelippe », contresignée : « Gros ». Bruxelles, 23 octobre 1456. Orig ; 32 Lettre du même à Charles VII, signée : « Phelippe ». Mons, 8 janvier 1459 n. st. Orig ; 33 Lettre de CHARLES LE TEMERAIRE, alors comte DE CHAROLAIS, à Jean Il le Bon, duc de Bourbon et d'Auvergne, signée : « Charles », contresignée : « Gros ». Le Quesnoy, 13 juillet 1458. Orig ; 34 Réponse du conseil du duc de Bourgogne aux trois états de Bourgogne sur le fait de la gabelle. Lille, 1460 ; 35 Autre réponse. Dijon, 1460 ; 36 Lettre de CHARLES LE TEMERAIRE, alors comte DE CHAROLAIS, aux gens du conseil du roi, signée : « Charles », contresignée : « Gros ». Dinant, 19 août 1466. Orig ; 37 Promesse de PHILIPPE DE COMINES aux habitants de Courtrai, signée : « Phelippe de Comines ». 9 janvier 1468 n. st. Autogaphe ; 38 Lettre du « connestable de Flandres » au chancelier de Flandres. Lille, 1er août 1467. Orig ; 39 Lettre d'EDOUARD IV, roi D'ANGLETERRE, au duc de Bourgogne, signée : « Vostre bon cousin Edouard ». Londres, 20 avril. Orig ; 40 Lettre du duc DE BOURGOGNE, CHARLES LE TEMERAIRE, à Edouard IV, roi d'Angleterre, non signée. « Escript à Arras, le XIe jour d'avril ». Orig ; 41 Lettre de Charles le Téméraire, comte de Charolais, aux prévôt, échevins, etc., de Courtrai, signée : « Charles ». Lille, 15 juin 1464. Orig ; 42 Lettre du même aux mêmes, signée : « Charles ». Lille, 16 juin 1464. Orig ; 43 Double de la lettre précédente, adressée au premier échevin et au secrétaire de la ville de Courtrai. Même signature, même date. Orig ; 44 Lettre du même devenu duc de Bourgogne, au roi de France, signée : « Charles », contresignée : « Gros ». Gand, 16 octobre. Orig ; 45 Lettre du même aux prévôt, échevins, etc., de Courtrai, signée : « Charles ». Bruxelles, 3 février 1468 n. st. Orig ; 46 Lettre du même à Louis XI, signée : « Charles ». Bruxelles, 26 juillet 1467. Orig ; 47 Lettre du même aux prévôt, échevins, etc., de Courtrai, signée : « Charles ». Gand, 20 janvier 1470 n. st. Orig ; 48 Lettre du même aux mêmes, signée : « Charles ». La Haye, 27 septembre 1469. Orig ; 49 Lettre du même au doge de Venise. 19 juillet 1470. Copie. En latin ; 50 Lettre des président et autres conseillers du parlement de Paris à Louis XI. Paris, 25 octobre 1470. Orig ; 51 Les mêmes au même. Paris, 14 décembre 1470. Orig ; 52 Lettre de G. HUGONET, chancelier de Bourgogne, au chancelier de France, signée : « Le tout vostre, G. Hugonet, chancellier de monseigneur de Bourgogne ». Arras, 12 juillet 1476. Orig ; 53 Lettre de CHARLES LE TEMERAIRE, duc DE BOURGOGNE, à Julien de La Rovère, cardinal de Saint-Pierre ès Liens, signée : « Charles ». Luxembourg, 25 avril 1474. Orig. En latin ; 54 Lettre de G. HUGONET, chancelier de Bourgogne, aux prévôt, échevins, etc., de Courtrai, signée : « G. Hugonet ». Bruges, 31 mars 1475. Orig ; 55 Instructions données par FERDINAND LE CATHOLIQUE, roi de CASTILLE et de LEON, premier né d'ARAGON, à ses envoyés à la cour de Marie de Bourgogne. « Medina del Campo », 3 août 1477. Orig. En espagnol. Sceau plaqué ; 56 Lettre de CHARLES-QUINT, non encore empereur, aux prévôt, échevins, etc., de Courtrai, signée : « Charles ». Saragosse, 10 mai 1518. Orig ; 57 Lettre de l'empereur MAXIMILIEN Ier à sa fille Marguerite d'Autriche, signée : « Maxi. ». 22 décembre 1512. Orig ; 58 Lettre de THOMAS DE WOLSEY, cardinal d'York, à la même, signée : « T., cardinalis Ebor. ». Londres, 1er janvier 1521 n. st. Orig. En latin ; 59 Lettre de MARGUERITE D'AUTRICHE au président et aux gens de la cour des comptes de Lille, signée : « Marguerite ». Malines, 29 janvier 1523 n. st. Orig ; 60 Lettre de la même aux mêmes, signée : « Marguerite ». Anvers, 9 juin 1524. Orig. Cachet armorié ; 61 Lettres patentes de FERDINAND, roi DE PORTUGAL, s'engageant vis-à-vis des ambassadeurs de Louis, duc d'Anjou et de Touraine, venus vers lui pour conclure alliance au nom de leur maître, contre le roi d'Aragon, à ne pas traiter de paix avec ledit roi d'Aragon pendant l'espace de 15 jours, nécessaire à la perfection du traité d'alliance. Tentugal, 25 mars 1377. En latin. Orig. sur parchemin ; 62 Mémoire pour la défense de Pierre Barret, sujet du roi de Portugal. Envoyé en 1457 par le roi de Chypre vers le roi d'Aragon, il avait été fait prisonnier à son passage en France, en revenant de Rome, par Jean Leforestier, capitaine d'Aigues-Mortes. 21 janvier 1459 ; 63 « Responces pour la partie de Jehan Leforestier, contrerolleur pour le roy de la recepte generalle de Languedoc et lieutenant d'Aigues Mortes, deffendeur, à la demande baillée par escript par messire Pierre Barret, tant pour lui que autres Portugaloys prisonniers. demandeur ». 1459 ; 64 Lettre d'ALPHONSE, roi DE PORTUGAL, à Louis XI, signée : « El Rey ». Sceau plaqué. Elvas, 23 avril 1464. Orig. En latin ; 65 Lettre du même au même. « Vila de Arguedas », 11 mars 1464. Orig. En portugais ; 66 Mémoire donné par JACQUES DE GUARDIA, envoyé de don Pedro de Portugal, soi-disant roi d'Aragon, au comte de Candale, vice-roi de Roussillon et de Cerdagne. 1465. En aragonais ; 67 Lettre d'ALPHONSE, roi DE PORTUGAL, à Louis XI, signée : « El Rey ». Estremoz, 8 janvier 1475. En latin. Orig. sur parchemin ; 68 Copie de la lettre précédente ; 69 Traduction en français de la lettre précédente ; 70 Autre lettre d'Alphonse, roi de Portugal, à Louis XI, signée : « El Rey ». Estremoz, 30 janvier 1475. En latin. Orig ; 71 Lettre de LOUIS XI à Alphonse, roi de Portugal. Paris, avril 1475. En latin. Copie ; 72 « Minute au net des premières instructions données » par Louis XI à Olivier le Roux, envoyé en ambassade auprès du roi de Portugal, en 1475 ; 73 Lettre de JEAN, duc DE LUXEMBOURG, au duc de Bourbon, signée : « Johan, duc de Luccembourgh et de Gorlitz et marquis de Lusitz ». Luxembourg, 10 mars 1400 ? Orig ; 74 Lettre de PHILIPPE-MARIE, duc DE MILAN, au chancelier de France, Guillaume Juvénal Des Ursins, signée : « Filippus Maria Anglus... ». Cusago, 18 janvier 1447. En latin. Orig ; 75 Lettre de JEAN CARVAJAL, cardinal de Saint-Ange à Charles VII, signée : « Jo., cardinalis S. Angeli, apostolice sedis legatus ». Vienne, 2 décembre 1447. Autographe. En latin ; 76 Lettre de l'empereur FREDERIC III à Charles VII. 11 juin 1448. Orig. Parchemin. En latin ; 77 Autre lettre du même au même. 9 janvier 1454. Orig. En latin ; 78 Lettre de JEAN HUNYADE à Denis Szechy, cardinal archevêque de Strigonie. 23 juillet 1456. Copie ; 79 Lettre de GEORGES PODIEBRAD, roi DE BOHEME, à Louis XI. Prague, 4 janvier 1467. Orig. En latin. Parchemin ; 80 Lettre du même à Matthias Corvin, roi de Hongrie. 28 juillet 1468 ? En latin. Copie ; 81 Lettre de ROBERT DE BAVIERE, archevêque de Cologne, à Louis XI, signée : « Ropertus, Dei gratia archiepiscopus Coloniensis, princeps elector Westfalie... » Bonn, 26 août 1471. En latin. Orig ; 82 Lettre de SIGISMOND, archiduc D'AUTRICHE, à Pierre d'Oriole, chancelier de France. Innsprück, 24 janvier 1478. En latin. Orig ; 83 Lettre, en latin, du sénat et du magistrat de Nuremberg à François Ier. 9 mai 1519. Orig. Vélin. Cachet ; 84 Supplique, en latin, des princes protestants à l'empereur, en faveur de leurs coreligionnaires de Bavière, Savoie, Luccau, persécutés. Acte en latin, souscrit : « Wolffangus, comes palatinus Rheni ; Udalricus, dux Megapolensis ; Christophorus, dux Wirtembergicus ». 1566. Copie ; 85 Lettre de FREDERIC III, comte palatin du Rhin, à Emmanuel-Philibert, duc de Savoie, en faveur des protestants persécutés. Augsbourg, 23 mai 1566. Copie. En latin ; 86 Manifeste de la noblesse de Pologne au sujet de l'élection d'Étienne Bathori, roi de Pologne. Varsovie, 15 décembre 1575. Copie. En latin

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

resumen ampliado del ofrecido por la publicación

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Crónica sobre los actos acontecidos con motivo de la conmemoración del cuarto centenario del Padre Francisco Suárez, realizados entre el 16 de octubre y el 1 de noviembre de 1948. Los actos comenzaron en Granada, inaugurándose la Facultad de Filosofía y Letras, bajo la presidencia del Ministro de Educación y en compañía del Director General de Propaganda y otras autoridades gubernamentales y académicas. Se celebró una sesión en la Curia Eclesiástica de Granada en memoria del homenajeado. Paralelamente en Madrid, el día 20 de octubre se celebró una reunión en el Salón de Actos del Consejo Superior de Investigaciones Científicas, donde el Director General de Propaganda, D. Pedro Rocamora, pronunció un discurso sobre la vida y obra del homenajeado. Después tomaron la palabra otros presentes para seguir resaltando la figura del Padre Suárez. Los actos de clausura de estas jornadas se celebraron en Coimbra, Portugal, en donde el Ministro de Educación Nacional pronunció un discurso en el que destacó la importancia que para la historia del pensamiento portugués tenía la ciudad de Coimbra y resaltó la importancia que la figura del Padre Suárez suponía en la historia del pensamiento español.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Los proyectos de las anteriores convocatorias 2004/05 y 2005/06 se encuentran en REDINED.- Los expertos asesores son: A. López Cabanes y J. Sánchez Martínez

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Responder a los cambios intrínsecos y extrínsecos verificados en los últimos 25 años, que las renovaciones pedagógicas se hicieron sentir en la educación y cuidado de los niños con necesidades educativas especiales en Portugal, teniendo como discurso de fondo la igualdad de oportunidades. De igual modo, se pretende dar respuesta a las renovaciones pedagógicas vividas, en la formación de profesores de educación especial en los últimos 25 años en Portugal.. El estudio, se desarrolla en dos partes, una primera destinada a identificar los principios de la educación especial en Portugal, y una segunda referida a la actualidad de la educación especial en Portugal. Ambas partes se desarrollan, a través de una investigación educacional realizada a partir del análisis documental de fuentes impresas. A su vez, el trabajo se inserta en el ámbito de la investigación cualitativa, en un tipo de estudio descriptivo cuya finalidad principal es suministrar una característica de las variables envueltas en un fenómeno o acontecimiento, cuyo instrumento de recogida de datos es el propio investigador. Para la transformación de la información se utilizan técnicas de interpretación de los documentos, con variedad de categorías de análisis que estructuran la investigación documental efectuada, para procederse a la emisión de opiniones fundamentadas con el máximo de pertinencia. La educación especial en Portugal, ha evolucionado en la misma línea que en otros países Europeos. Principalmente se trabajo con alumnos ciegos y sordos-mudos, para posteriormente atender a 'sujetos anormales', y muy posteriormente a aquellos que tenían problemas físicos, siempre en instituciones de iniciativa privada. La atención que se les facilitaba era de tipo médico, atendiendo a la deficiencia que presentaban y no a su potencialidad de avance. Posteriormente, se va a llegar al modelo pedagógico-educativo, en el cual empiezan a florecer los principios de integración, normalización e inclusión entre otros, aunque estos principios no se harán realidad hasta finales de los años 90. Esta nueva visión lleva a la formación de personal específico para la atención y educación de estos alumnos, y posteriormente a la formación de todos los profesores en aspectos relacionados con la atención y educación de alumnos con necesidades educativas especiales, los cuales forman parte de las aulas ordinarias como cualquier otro alumno. Aunque, también esta formación va a ser tardía, centrándose principalmente en la formación de especialistas, y olvidándose de la formación de todos los profesores.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Analizar los factores más relevantes de la educación especial en Portugal hasta mediados de la década de los 80. Conocer dónde eran educadas las personas con deficiencias y quién era el responsable. Analizar la formación que reciben los profesores que se han de ocupar de los alumnos con deficiencias. Analizar la legislación portuguesa en relación con la educación especial, y los documentos relacionados con la temática. Investigación histórica. La educación especial surge cuando se inicia el periodo de institucionalización especializada de personas con deficiencias, a finales del S. XVIII y principios del XIX. A lo largo de más de un siglo se va incrementando paulatinamente la atención a ciegos y sordomudos en instituciones especiales. La institucionalización segrega a las personas con deficiencias de la sociedad en la que viven al considerarles como una amenaza, sin que dispongan de ningún tipo de derechos ni se les ofrece ningún tipo de posibilidades para tratar de llevar un vida 'normal'; esta institucionalización es beneficiosa para los sujetos con deficiencias ya que pueden recibir una atención especializada. En Portugal esta institucionalización se inicia con los sordos - mudos y posteriormente a personas con deficiencias físicas en instituciones especializadas de carácter privado. El periodo de institucionalización se caracteriza por una intervención de tipo médico, dentro del modelo clínico, centrado fundamentalmente en los problemas de la deficiencia en lugar de las potencialidades que puedan ser desarrolladas, apareciendo las metas educativas vinculadas al tipo de deficiencia. Las personas con deficiencias son clasificados en distintas categorías en función del tipo de deficiencia que tuvieran y que determinan las condiciones educativas que podían desarrollar. Las instituciones responsables se organizaban en función de esta perspectiva categorial, asignando a cada institución un tipo de deficiencia, siendo éstos los principios por los que se diferenciaban los tipos de deficiencia. En el contexto institucional se siente la necesidad de formar al profesorado para dar respuestas al cuidado de los deficientes, la formación es específica para dicha institución, en función del tipo de deficiencia con la que trabajen, siguiendo el modelo médico. La intervención directa del Estado es prácticamente nula, interviniendo de forma indirecta en las instituciones que subvenciona. Las políticas educativas fueron evolucionando durante la década de los 70 en Portugal, tanto referido a la educación general como la especial, introduciéndose cambios que suponen abandonar los contextos de segregación por otros de integración en la enseñanza regular, mediante el uso de adaptaciones curriculares que potencian el desarrollo de los sujetos deficientes. Se sustituye el modelo médico por el pedagógico-educativo, concediéndose mayor importancia al cuidado y a las características del desarrollo y las potencialidades del sujeto. Se ofrece a partir de la década de los 70 en Portugal mayor atención a las necesidades educativas de las personas con deficiencias, dentro de un contexto integrador. La necesidad de atender determinados problemas específicos demanda sobre el profesorado mayor nivel de formación y especialización. El análisis de la legislación indica en los diferentes momentos la preocupación del estado por la especialización del profesorado, además de una formación de base, posibilita la realización de cursos adicionales de especialización. Esta situación se ve alterada a partir de la Ley Básica del Sistema Educativo Portugués, y sus implicaciones son analizadas en el presente trabajo. A partir de las décadas de los 60 y 70 el Ministerio de Asistencia Social crea dos servicios de atención a los deficientes: El instituto de Asistencia a Menores a través del Ministerio de Educación creando los Equipos de Enseñanza Especial, responsables de la acción desarrollada en las escuelas públicas regulares, para ayudar a la integración. En la década de los 80, los sujetos con deficiencias, en edad escolar obligatoria pueden recibir su formación a través de dos tipo de centros: o a través de la enseñanza integrada, desarrollada por los Equipos de Enseñanza Especial dentro del Ministerio de Educación o en Escuelas Especiales públicas o privadas, cuyo responsable es el Ministerio de Asistencia Social. El análisis de los últimos 150 años de la educación especial en Portugal ha sufrido grandes evoluciones, fundamentalmente a partir de los años 70. Algunos de los problemas de la Educación especial y su desarrollo actualmente han de entenderse desde el análisis de la evolución que se han desarrollado, dentro del mundo educativo y de los avances que desde el Ministerio de Educación portugués se han desarrollado y se siguen desarrollando para hacer de la integración de las personas con deficiencias un hecho en la sociedad.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

O grande impulso para o sector eléctrico em Portugal surgiu nos anos de 1940, com a definição das linhas mestras da electrificação do país. Foi neste âmbito que, a partir da década de 1950, se realizou a construção de grandes empreendimentos hidro e termo eléctricos, nomeadamente em Vilarinho da Furna, Picote, Miranda do Douro, Bemposta e, finalmente, em Alqueva, com a submersão da aldeia da Luz. Vilarinho da Furna era uma das últimas e mais típicas aldeias comunitárias da Europa. Até que a construção de uma barragem pôs termo à sua existência, no princípio dos anos setenta. Mas parte do seu património, constituído pelas componentes histórico-cultural e socio-económica, conseguiu sobreviver. É esse património que os seus antigos habitantes, apesar de dispersos pelas partidas do mundo, se propõem salvaguardar e valorizar. Ao contrário do que aconteceu em Vilarinho, em substituição da velha aldeia da Luz, submersa pela Barragem de Alqueva, foi construída uma nova povoação. Mas a readaptação ao novo espaço envolvente, bem como a manutenção ou perda de uma identidade colectiva dos habitantes da Luz, reveste-se de grande impacto, na medida em que se tratou de uma imposição do Estado. Por sua vez, o caso do Douro Internacional é uma situação sui generis. Até certo ponto é a antítese de Vilarinho da Furna e da aldeia da Luz. A construção das barragens de Picote, Miranda do Douro e Bemposta não implicou a submersão de nenhuma aldeia. Por isso não envolveu a sua relocalização e também não teve impactos directos sobre as comunidades. Como apoio à construção destas barragens, foi edificado um conjunto de equipamentos colectivos. Actualmente, parte deste património está votado ao abandono. Nos bairros dos operários, as casas ou foram recentemente vendidas a forasteiros ou estão ocupadas por antigos funcionários, agora reformados. Da análise dos casos referidos, parece que o desenvolvimento baseado na construção de barragens, nos últimos cinquenta anos, é uma miragem para as populações afectadas.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Esta dissertação incide sobre a produção documental em Portugal, no período de vida do monarca D. Pedro V, 1837-1861. As bases de dados de recolha de informação foram: a Biblioteca Nacional de Portugal, a Biblioteca Nacional Digital e o catálogo da Rede Municipal de Bibliotecas de Lisboa. Tendo em conta as várias formulações no campo da bibliometria, o denominado efeito bradfordiano foi o foco desta investigação com a análise dos autores, casas editoriais/ tipografias, locais de produção, tipo de documentos e áreas temáticas mais produtivos.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

O objectivo principal desta dissertação é estudar qual o impacto do contexto cultural e do local de trabalho sob os valores sociais. Pretende-se averiguar se a “herança cultural” portuguesa em Macau gera, ou não, consenso nos valores de portugueses a viver e trabalhar em Macau e em Portugal. Vai-se verificar se as atitudes sociais dos portugueses a viver em Macau variam das dos portugueses a viver em Portugal. Por outro lado, deseja-se perceber se a cultura chinesa influencia os valores dos portugueses a viver em Macau. Realizou-se um estudo comparativo com 119 participantes portugueses, dos quais 61 viviam em Macau e 58 a viviam em Portugal, os quais responderam a um questionário que apresentava primeiro a medida de valores e de seguida as questões sócio demográficas. A medida usada foi a versão portuguesa da versão reduzida do PVQ (Portrait Values Questionaire; Schwartz, 2001 in Ramos, 2006). Os resultados mostram que há um conjunto de valores e atitudes partilhados por Portugueses em Macau e em Portugal, no entanto, o local de trabalho e o contexto sócio-cultural não tiveram efeito significativo sob os valores.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Os cosméticos sempre estiveram presentes desde os primórdios da Humanidade, existindo actualmente uma enorme panóplia de produtos ao alcance dos consumidores. Desde sempre o homem se preocupou com a sua aparência e para tal utilizou os cosméticos como forma de realçar a sua beleza. Durante o século XIX a área dos cosméticos e da farmácia sofreu uma grande evolução devido à revolução industrial e ao aparecimento de novas tecnologias. No século XIX surgiram pela primeira vez métodos de eliminação de rugas, de embelezamento do rosto e na higiene deu-se importância aos banhos com a criação dos balneários públicos. A crescente procura de beleza levou à criação de produtos cosméticos diversos, alguns dos quais perigosos para a saúde, sendo este um dos pontos a abordar nesta tese. Os cosméticos serão abordados como um bem de luxo num país que vivia em extrema pobreza. Serão abordados outros pontos como a importância de produtos cosméticos estrangeiros e efectuar-se-á uma comparação entre um cosmético actual e um do século XIX. A Farmácia em Portugal sofreu profundas alterações no século XIX. A botica deu lugar à farmácia e a produção de medicamentos que anteriormente era feita artesanalmente, passou a ser feita industrialmente. A extinção das ordens religiosas em Portugal em 1834 foi crucial para o desenvolvimento das farmácias. O encerramento das farmácias dos mosteiros originou uma maior viabilização e abrangência territorial dos estabelecimentos privados. Este foi o momento na história da farmácia em Portugal que levou à formação do associativismo. O avanço da produção científica e da literatura técnico profissional que se verificava por toda a Europa também se repercutiu em Portugal. Como exemplo da Literatura Farmacêutica Portuguesa neste século temos a publicação do Codigo Pharmaceutico lusitano. Com o surgimento da era industrial e consequente aumento dos bens produzidos, aperfeiçoou-se a técnica publicitária que deixou de ser unicamente informativa para ser mais persuasiva e agressiva levando o consumidor a comprar. Com esta tese de mestrado tenta-se demonstrar o impacto da revolução industrial no Farmacêutico em Portugal e avaliar a sua resposta às necessidades de mercado. O profissional de saúde deverá apreender rapidamente conhecimento de modo a não perder a sua identidade.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Os primeiros anos do novo milénio trouxeram para a história dos movimentos sociais novas formas de organização, novas ideias e novos protagonistas. Qual o lugar da museologia social em Portugal no âmbito destes movimentos sociais é a linha que nos orienta neste artigo? Em Portugal constitui-se em 1985 o Movimento Internacional para Uma Nova Museologia, um grupo de reflexão sobre os processos e as praticas duma museologia comprometida com as comunidades e com os territórios. Tal sucedeu devido à vitalidade dessa museologia social, em grande parte herdada da intensa atividade dos movimentos sociais iniciado com o processo revolucionais de 25 de Abril de 1974. Este artigo procura inventariar de que forma esta museologia social está a traduzir os movimentos sociais contemporâneos em Portugal. Portugal é hoje um Estado com uma soberania partilhada, usado como modelo para a aplicação das políticas de austeridades defendidas pelo Fundo Monetário Internacional, que se traduzem num desmantelamentos das políticas sociais e culturais do Estado Social, defendendo-se sua substituição por iniciativas corporativas Iremos abordar sucessivamente os movimentos sociais contemporâneos, identificar o que está a acontecer no campo da museologia social em Portugal, para refletirmos, sobre os caminhos desta nova museologia em Portugal.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Os primeiros anos do novo milénio trouxeram para a história dos movimentos sociais novas formas de organização, novas ideias e novos protagonistas. Qual o lugar da museologia social em Portugal no âmbito destes movimentos sociais é a linha que nos orienta neste artigo? Em Portugal constitui-se em 1985 o Movimento Internacional para Uma Nova Museologia, um grupo de reflexão sobre os processos e as praticas duma museologia comprometida com as comunidades e com os territórios. Tal sucedeu devido à vitalidade dessa museologia social, em grande parte herdada da intensa atividade dos movimentos sociais iniciado com o processo revolucionais de 25 de Abril de 1974. Este artigo procura inventariar de que forma esta museologia social está a traduzir os movimentos sociais contemporâneos em Portugal.