999 resultados para La Belle Epoque


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Selon la tradition orientale, les représentations de Jésus trouveraient toutes leur origine dans les images acheiropoïètes, c'est-à-dire dans des figurations de la "Sainte Face" du Christ non faites de main d'homme, mais survenues par apparition divine -sur le voile de Véronique, le Saint Suaire, le mandylion d'Edesse, etc. Ces images qui, pour des théologiens de l'icône tels que Léonide Ouspensky, ne sont rien moins que "la manifestation du miracle fondamental : la venue du Créateur dans sa création" (in L'Image du Christ non faite de main d'homme, 1989), ont toujours été le ferment d'expérimentations multiples chez les peintres et les sculpteurs.Mais la réflexion artistique s'est cristallisée au moment où ces images sont devenues l'apanage de médiums issus de "l'ère de la reproductibilité technique" chère à Benjamin. En effet, les images "théographes" auraient pour spécificité d'être engendrées et de se multiplier par empreinte immédiate: une toile quelconque n'aurait qu'à être touchée par le visage du Christ pour devenir instantanément le support du divin portrait, et acquérir dès lors le "pouvoir reconnu aux acheiropoïètes de créer des doubles de même valeur, par simple contact" (François Boespflug, Dieu et ses images. Une histoire de l'Eternel dans l'art, 2008). Comment mieux faire écho aux principes mêmes de l'image (ciné)photographique, générée par indicialité et reproductibilité? André Bazin a eu l'intuition de cette parenté dans le cadre de sa théorisation sur le pouvoir "révélateur" de l'image (ciné)photographique qui selon lui procéderait "par sa genèse" de "l'ontologie du modèle" et "serait" le modèle; il a évoqué le Saint Suaire de Turin comme rejouant, voire emblématisant cette même "ontologie de l'image photographique" (dans l'article homonyme de 1945). Si Bazin ne développe pas plus avant ses considérations, la corrélation des dispositifs (ciné)photographique et acheiropoïète a connu un questionnement « en actes », au sein des films cherchant à représenter Jésus.Valentine Robert s'intéresse à ces expérimentations, à commencer par un projet de film d'Abel Gance de 1947, resté inachevé, où le suaire de Turin devait se transformer en écran de cinéma. Plusieurs autres productions seront abordées, telles que Civilization ou The Robe, qui explorent les effets visuels permis par la pellicule pour montrer le Christ en surimpression, dans une sorte d'"apparition technologique", ou telles que The Jesus Film ou The Passion of the Christ, dont la projection a été reçue par certains publics comme une apparition sacrée réactualisant l'Incarnation. Les modalités de la représentation des images acheiropoïètes et plus généralement de l'apparition de Jésus à l'écran seront enfin évoquées - de la tradition hollywoodiennes qui consistait à refuser l'accès de la "Sainte Face" à la pellicule et de la rejeter hors-champ jusqu'aux séquences d'Ecce Homo de Scorsese et Zeffirelli, en passant par la révélation visuelle inaugurant The King of Kings, qui pousse à son paroxysme la collusion entre apparition divine et apparition cinématographique.

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In his discourse - The Chef In Society: Origins And Development - Marcel R. Escoffier, Graduate Student, School of Hospitality Management at Florida International University, initially offers: “The role of the modern professional chef has its origins in ancient Greece. The author traces that history and looks at the evolution of the executive chef as a manager and administrator.” “Chefs, as tradespersons, can trace their origins to ancient Greece,” the author offers with citation. “Most were slaves…” he also informs you. Even at that low estate in life, the chef was master of the slaves and servants who were at close hand in the environment in which they worked. “In Athens, a cook was the master of all the household slaves…” says Escoffier. As Athenian influence wanes and Roman civilization picks-up the torch, chefs maintain and increase their status as important tradesmen in society. “Here the first professional societies of cooks were formed, almost a hierarchy,” Escoffier again cites the information. “It was in Rome that cooks established their first academy: Colleqium Coquorum,” he further reports. Chefs, again, increase their significance during the following Italian Renaissance as the scope of their influence widens. “…it is an historical fact that the marriage of Henry IV and Catherine de Medici introduced France to the culinary wonders of the Italian Renaissance,” Escoffier enlightens you. “Certainly the professional chef in France became more sophisticated and more highly regarded by society after the introduction of the Italian cooking concepts.” The author wants you to know that by this time cookbooks are already making important inroads and contributing to the history of cooking above and beyond their obvious informational status. Outside of the apparent European influences in cooking, Escoffier also ephemerally mentions the development of Chinese and Indian chefs. “It is interesting to note that the Chinese, held by at least one theory as the progenitors of most of the culinary heritage, never developed a high esteem for the position of chef,” Escoffier maintains the historical tack. “It was not until the middle 18th Century that the first professional chef went public. Until that time, only the great houses of the nobility could afford to maintain a chef,” Escoffier notes. This private-to-public transition, in conjunction with culinary writing are benchmarks for the profession. Chefs now establish authority and eminence. The remainder of the article devotes itself to the development of the professional chef; especially the melding of two seminal figures in the culinary arts, Cesar Ritz and August Escoffier. The works of Frederick Taylor are also highlighted.

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Seleccionado en la convocatoria: Concurso de proyectos de cooperación en materia de investigación entre departamentos universitarios y departamentos de Institutos de Educación Secundaria o equipos de personal docente, Gobierno de Aragón 2008-09

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EXPERIMENTATION GENERIQUE ET DIALOGISME INTERTEXTUEL: PERRAULT, LA FONTAINE, APULEIUS, STRAPAROLA AND BASILE. Les contes en vers et en prose de Perrault relèvent, selon l'hypothèse présentée dans cette étude, d'un dialogisme intertextuel très complexe avec les formes génériques du conte déjà existantes dans les littératures européennes. L'académicien s'adonne à une véritable «expérimentation générique » au cours de laquelle il crée de nouvelles formes génériques, de nouvelles intrigues et de nouvelles figures à partir de la fabella de Psyché enchâssée dans les Métamorphoses d'Apulée, et de sa récriture galante par La Fontaine dans Les Amours de Psiché et de Cupidon en 1669. Ce double dialogue intertextuel est encore sous-tendu par le recours aux favole de Straparola (Le Piacevole notti) et aux cunti (Lo cunto de li cunti) de Basile, célèbres narrateurs italiens, qui avaient déjà reconfiguré de façon originale certains épisodes et personnages de la fabella de Psyché. Ce processus dialogique complexe est ici mis en évidence par l'analyse (inter)textuelle successive des trois premiers contes en prose, La Belle au bois dormant, Le Petit Chaperon rouge et La Barbe bleue. L'analyse comparative montre que Perrault les invente à partir des trois moments successifs de l'épreuve la plus difficile que Vénus inflige à Psyché, celle de la descente aux Enfers. En introduisant des différences significatives par rapport aux textes latins, italiens et français, l'académicien parvient à créer une nouvelle variation générique : le conte pseudo-naïf doté d'un sens crypté qui se découvre « plus ou moins selon le degré de pénétration de ceux qui les lisent ».GENERIC EXPERIMENTATION AND INTERTEXTUAL DIALOGISM: PERRAULT, LA FONTAINE, APULEIUS, STRAPAROLA AND BASILEAccording to Ute Heidmann, Perrault's tales have very complex inter- textual relations with other generic forms which already existed in other European literatures. Heidmann demonstrates here how Perrault experi- ments "generically" with the fairy tale and how he creates new generic forms from other tales by Apuleus, Straparola, Basile, or La Fontaine. This dialogic process is here underlined by the analysis of three particular fairy tales, Sleeping Beauty in the Woods, Little Red Riding Hood and Blue Beard. Heidmann shows how, by introducing key differences with the Latin, Italian and French models, Perrault succeeds in creating a new generic variation of the fairy tale: "the pseudo-naïve fairy tale".

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Résumé Avant même son premier écrit, le philologue Nietzsche parle de sa philosophie en termes de « platonisme inversé ». Il se présente par là aux antipodes de Platon et de la pensée initiée par ce dernier. Platon lui-même, Nietzsche le lit comme accomplissement d'une longue tradition inspirée par les Muses - en ce sens "musicale", artistique - à dire la phetsis ou vie tragique (qui sont chez lui le même). Selon elle, la vie réside dans le double mouvement d'éclosion productrice à partir des profondeurs cachées et de retour destructeur dans les ressources de celles-ci. Nietzsche y voit l'oeuvre de Dionysos : l'abyssal et surabondant dieu artiste du jeu de la vie et de la mort. Or ne pouvant souffrir cette vie dionysiaque, Platon en serait venu à en imaginer une autre, dénuée d'ombre et de destruction, où tout apparaît en son éclosion suprême : le monde métaphysique, intelligible, des idées morales qui, depuis, guide tout homme occidental qui se respecte. Dionysos est banni de la pensée, contraint de se réfugier dans les profondeurs de la mer. Quelques deux millénaires plus tard, la figure divine ré-émerge chez certains prédécesseurs de Nietzsche, puis se montre au grand jour dans La naissance de la tragédie (1871), le premier livre du philologue-philosophe. Dionysos y apparaît dans une double opposition : ambiguë face à Apollon, le représentant de la belle apparence venant voiler le sombre fond dionysiaque ; et radicale face à Socrate (le maître de Platon) qui, en Apollon outré, initie le tournant philosophico-scientifique et moral hostile à la vie tragique. Puis Dionysos redisparaît durant plus de douze ans de la surface de l'oeuvre de Nietzsche. Or s'il se retire, c'est pour se nettoyer de ses ambiguïtés initiales (liées au dualisme métaphysique) et poursuivre sa lutte contre Socrate à partir des profondeurs, le visage masqué. Lorsque, dès 1883, il fait retour pour devenir la figure centrale des derniers écrits, il se trouve alors confronté à un nouvel adversaire, plus coriace et plus dangereux encore que Socrate : le Crucifié, représentation populaire et absolutisée des idées socratiques. Inspiré, poussé, porté et tourmenté par son dieu, Nietzsche fait dès lors littéralement équipe avec Dionysos pour promouvoir la libération de la vie phusico-tragique en train d'étouffer dans les filets socratico-chrétiens. Cette libération se joue notamment dans la figure d'Ariane : dans les Dithyrambes de Dionysos (1890) - le dernier texte (poétique) de Nietzsche -, elle incarne si bien la phetsis dionysiaque qu'elle provoque in fine l'épiphanie du dieu tragique, amoureux et jubilant de s'y reconnaître comme dans un miroir.

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Le motif de la pose et l'arrêt du mouvement qu'elle implique ont, le plus souvent, été rejetés par le médium cinématographique. Cependant certains cinéastes se sont attelés à représenter la pose, en en faisant un véritable lieu d'expérimentation de la mise en scène du corps et de la confrontation entre les codes des arts plastiques et les codes du cinéma. Cette communication montrera comment ces « corps-à-corps » esthétiques ont déterminé le traitement filmique de la pose - tant celle qui, dans l'atelier d'artiste, précède le tableau, que celle qui le rejoue dans l'exercice du tableau vivant -, depuis La Chute de la Maison Usher (Epstein, 1928) jusqu'à La Belle Noiseuse (Rivette, 1991), en passant par La Ricotta (Pasolini, 1962) et Passion (Godard, 1981).

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L'article aborde la façon dont la série BD Le Linceul (2003-2006) s'approprie, dans le cadre de la fiction et du récit d'action grand public, le contexte de la réception de l'image acheiropoïète du Saint Suaire, intégrant la référence à des enjeux théologiques et scientifiques au sein d'une histoire à suspense située à différentes époques et dont les nombreux rebondissements s'articulent autour d'une croyance progressive dans le statut sacré de la vera icon. L'examen détaillé de certains choix narratifs et graphiques de l'auteur Laurent Bidot permet de dégager les modalités d'une exploitation contemporaine et (a priori) laïcisée de la figure de Jésus qui, à l'ère des technologies numériques, conserve sa part de mystère. Dans une perspective narratologique, l'interprétation procède principalement de constats liés à l'organisation énonciative de cette production bédéique.

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Contient : 1 « Ballade » ; 2 « Rondeau » ; « Chantz royaulx » ; 3 « Concept sans coulpe en heureuse innocence ». « NICOLE BOYSSEL » ; 4 « La fleur du thym preparée à la mouche ». « FRANÇOYS SAGON » ; 5 « Manne rendant espoir, santé et vie ». « GUILLAUME THIBAULT » ; 6 « Bien souverain de bonté souveraine ». « THOMAS LE PREVOST » ; 7 « Signe luysant à la ligne ecliptique ». « GUILLAUME LE TELLYER » ; 8 « Par droict divin divinement conceue ». « GEFFROY LE PREVOST » ; 9 « L'heronde où gist du printemps le vray signe ». « SANSON DE CAGROFY » ; 10 « Le rond aneau faict pour le cours solaire ». « JEHAN DE BOISSAY » ; 11 « Promesse en grace et purité concene ». « LESCARRE » ; 12 « La verité sur tous est la plus forte ». « SEVYNGUEHEN » ; 13 « La saincte vierge où Dieu print chair humaine ». « PIERRES GAULTIER » ; 14 « La clere estelle, en plain jour lumyneuse ». « ROMMAIN DU VAL » ; 15 « L'estoille clere, en lumyere parfaicte ». « HERNEUS FIERABRAS » ; 16 « Au cueur d'yver le rossignol qui chante ». « GUILLAUME DE MONTIVILLER » ; 17 « Conception où grace est prevenue ». « G. HAUDENT » ; 18 « Des serfz conceue et jamais ne fut serve ». « P. DE VILLY » ; 19 « L'eau vive et pure, aux humains salutaire » ; 20 « Le cler vaisseau de pur verre infrangible ». « JAQUES SYREULDE » ; 21 « Contre peché pure et saincte par grace ». « LE TELLYER » ; 22 « Feu conservé en purité ardante ». « NYCOLE DUPUYS » ; 23 « Ung corps humain, exempt de tache humaine ». « FLORENT COPPIN » ; 24 « Claire phiale, entiere et infrangible ». « JEHAN HEUZE » ; 25 « D'humeur impur ambre pure formée ». « P. BERNARD » ; 26 « La cyre vierge où Dieu print forme humaine ». « LE GALLOYS » ; 27 « Ame divine, en corps humain infuse ». « JEHAN BOUST » ; 28 « Le blanc coulomb portant l'espoir de vie ». « JEHAN LE ROUX » ; 29 « L'isle royalle en vertuz florissante ». « MICHEL HEURTAULT » ; 30 « Ung corps humain franc de macule humaine ». « JEHAN COUPPEL » ; 31 « L'honneur du filz, de la mere et du pere ». « SYMON LE DOULX » ; 32 « La haulte clef de nature parfaicte ». « PIERRE FERE » ; 33 « Seule conceue en parfaicte semence ». « JAQUES SPALLART » ; 34 « Le corps formé à divine semblance ». « LAMBERT MESNARD » ; 35 « Corps oultre loy exempt de tache humaine ». « JEHAN THYBAULD » ; 36 « L'aube du jour, resjouyssant nature ». « HENRY MALLET » ; 37 « Sans offenser humanité divine ». « JEHAN OUYN » ; 38 « Port gracieux et havre salutaire ». « GUIEFFROY BARBEL DE HONNEFLEU » ; 39 « Basme excellent rendant aux mortz la vie ». « P. DU VAL » ; 40 « Le riche mont, le plus complect du monde ». « JEHAN DU MONT » ; 41 « La palme, lys, le signet ou la rose ». « CANNILLET » ; 42 « Le grand blason des bottines Gaultier ». « CACHELEU » ; « Ballades » ; 43 « Femme humaine en divine grace ». « THOMAS LE PREVOST » ; 44 « De deux pierres une estincelle ». « AVRIL » ; 45 « Concept et grace tout ensemble ». « GUILLAUME TYBAULD » ; 46 « La forte espouse du tres fort ». « GUILLAUME LE TELLYER » ; 47 « La plus excellente du monde ». « SANSON DE CAGROFY » ; 48 « Plus necte que pupille d'oeil ». « FR. SAGON » ; 49 « Grace est entierement pour moy ». « JEHAN HEUZE » ; 50 « Fille à mon filz, mere à mon pere ». « JAQUES SIREULDE » ; 51 « Possible à luy et non à moy ». « P. BENARD » ; 52 « Purité, innocence et grace ». « FLORENT COPPIN » ; 53 « Mort ne peché n'ont mors sur moy ». « TOURMENTE » ; 54 « Pour porter le fruict de salut ». « JEHAN LE ROUX » ; 55 « La grace de Dieu me suffict ». « LESCARRE » ; 56 « Volla saine et sauve au desert ». « LE TELLYER » ; 57 « Amour et vertu joinctz ensemble ». « SYMON LE DOULX » ; 58 « Cerve entre chiens de mort exempte ». « JOHANNES BOUST » ; 59 « Pour veoir en chair divinité ». « GEFFROY LE PREVOST » ; 60 « Conceue en grace immensurable ». « SEVYNGUEHEN » ; 61 « L'horloge pour l'heure certaine ». « JEHAN DE BOISSAY » ; 62 « Grace divine te conduict ». « ADRIEN LE PREVOST » ; 63 « Marie fut conceue en grace ». « GUILLAUME HAUDENT » ; 64 « Femme sans macule conceue ». « ROMMAIN DU VAL » ; 65 « Amour, vertu, grace et honneur ». « MYSONART » ; 66 « La fleur du lys entre l'espine ». « JEHAN OUYN » ; 67 « Corps où Dieu print humanité ». « PHILIPPES COUPPEL » ; 68 « Devant le soleil et la lune ». « JEHAN COUPPEL » ; 69 « Conceue en purité parfaicte ». « LE GALLOYS » ; 70 « La plus belle de tout le monde ». « P. GAULTIER » ; 71 « De tous conceups la myeux conceue ». « HENRY MALLET » ; 72 « Le noir ver du tort confondu ». « PIERRES FEREY » ; 73 « L'excellence de ses merveilles ». « MICHEL HEURTAUT » ; 74 « Basme rendant espoir de vie ». « PIERRES DU VAL » ; 75 « D'un corps imparfaict ung parfaict ». « JEHAN TYBAULD » ; 76 « Je suis l'inception de grace ». « JEHAN [C]OQUEREL » ; 77 « Rigueur en grace et mort en vie ». « JAQUES SPALLART » ; 78 « Cappel propre contre tous ventz ». « THOMAS MAURICE DE CAPPEL » ; 79 « Toute belle en conception ». « CANNYLLET » ; « Rondeaulx », Premiers vers : ; 80 « Par don de grace et par prevention ». « FRANÇOYS SAGON » ; 81 « Seul à part moy qui n'estoit ciel ne lune ». « GUILLAUME THYBAULD » ; 82 « Par droict divin, naturel et humain ». « AVRIL » ; 83 « Ainsy que vous de semblable matiere » ; 84 « Sur tous esleuz qui n'ont qu'en moy facture ». « NICOLE BOYSSEL » ; 85 « Mort et peché pour ung mors trop infame ». « GUILLAUME LE TELLYER » ; 86 « Comme la fleur qui eslieve son oeil ». « SANSON DE CAGROFY » ; 87 « Seule entre tous mon filz m'a tant amée » ; 88 « Pour tous humains j'ay mys à mort la mort ». « TOURMENTE » ; 89 « Pour Dieu, mon filz, second en trinité ». « P. DE VILLY » ; 90 « Seule apres Dieu qui me feist à part mectre ». « SEVYNGUEHEN » ; 91 « Par droict d'amour soubz figure inventée ». « JEHAN LE ROUX » ; 92 « Du bien d'amour qui tout faict et parfaict » ; 93 « Entre deux partz longue a esté la guerre ». « JEHAN DE BOISSAY » ; 94 « Je suis qui suis, commencement et fin ». « GEFFROY LE PREVOST » ; 95 « Au gré du filz le pere omnipotent ». « FLORENT COPPIN » ; 96 « Vierge sans per, qui fuz enluminée ». « LE TELYER » ; 97 « Pour tout certain ung enfant tost lamente ». « JAQUES SPALLART » ; 98 « D'homme et de Dien je prins forme et matiere ». « P. GAULTIER » ; 99 « Le pur bouton en plaisante ornature ». « JEHAN COUPPEL » ; 100 « Gentilz Normandz, soyez fortz et hardys ». « PIERRE TYBERGE » ; 101 « Le roy le veult qu'en mon corps ne soit pris ». « JEHAN COQUEREL » ; 102 « Le basme exquis d'une arbustre distille ». « PIERRE DU VAL » ; 103 « Augré d'amour je prospere et impere ». « ROMMAIN DU VAL » ; 104 « Il fut en luy possible et non en moy ». « P. BERNARD » ; 105 « De trop ne peu mon seul filz et ma vie ». « JO. BOUST » ; 106 « Sus mon honneur, je voys mectre mon ame ». « JEHAN DU MONT » ; 107 « Est il pas vray que je suis toute belle ». « ROBERT BECQUET » ; 108 « De par mon filz qui tout peult en effect ». « JEHAN OUYN » ; 109 « Selon mon gré, ma mere ai retenue ». « GUILLAUMES HAUDENT » ; 110 « Mon Dieu, mon filz, mon espoux et mon pere ». « SYMON LE DOULX » ; 111 « Par mon moyen fut l'erreur confondue ». « JAQUES SIREULDE » ; 112 « Pour l'Eternel qui sur la mort impere ». « MYSONART » ; 113 « Une sans plus au gré de Dieu conceue » ; 114 « Il n'en est plus ne sera de ma race ». « HENRY MALLET » ; 115 « C'est mal parlé de tenir le propoz ». « JEHAN TYBAULD » ; 116 « Viande au feu et nourriture à vers ». « CANNILLET » ; « Chants royaulx » ; 117 « La force en fort monstrant la femme forte ». « JAQUES LE LYEUR » ; 118 « La poulle à fleur du coq noir preservée ». « LESCARRE » ; 119 « Palme, laurier, rose, lys et estelle ». « AVRIL » ; 120 « L'arbre de fresne où le serpent n'attouche ». « DU VAL » ; 121 « Remede en peste et confort en famine ». « SEVYNGUEHEN » ; 122 « Le grand arrest donné en plaine boyse ». « JEHAN BAILLEHACHE » ; 123 « Le sacré corps de la vierge Marie ». « MISTY » ; « Ballades ». Refrains ; 124 « D'ung grand mal j'ay faict ung grand bien ». « JAQUES LE LYEUR » ; 125 « Dieu et nature ont tout bien faict ». « LESCARRE » ; 126 « L'ennemy, la chair et le monde ». « JEHAN DU VAL » ; 127 « La toute belle en chair conceue ». « BOYSSEL » ; 128 « Le fer sans rouil, plus cler qu'argent ». « JEHAN HEUZE » ; 129 « La fleur de beaulté souveraine ». « JEHAN HEUZE » ; 130 « La belle des belles sans sy ». « DE QUIEVRECOURT » ; 131 « La mere Diu, en conchept tres parfouette ». « COPPIN » ; 132 « Fille, femme et mere de grace » ; « Rondeaulx ». Premiers vers ; 133 « En cas d'abuz au grand conseil du roy ». « AVRIL » ; 134 « Il n'est que amour quand il tient en ses laqz ». « JEHAN DU VAL » ; 135 « Quoiqu'on ayct dict, j'ay esté en nature » ; 136 « C'est bien pour moy qui suis mere et pucelle ». « JEHAN HEUZE » ; 137 « Du bien de Dieu, vierge incontaminée »

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La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).

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Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audiovisuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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La création, Bois dormant, met en scène un charpentier-ébéniste qui consacre tous ses temps libres à la création de mobilier, dans un cycle de production inutile. Sa dilapidation insensée de bois incite la nature à se révolter contre lui et à propager une énergie qui donne vie à tous les objets de sa maison. Ce conte revisite plusieurs contes (La Barbe bleue, Les Aventures de Pinocchio, Otesánek, La Belle au bois dormant, Les Aventures d’Alice au pays des merveilles, Cendrillon) pour les transformer en cauchemar, en effriter les morales, en décupler les cruautés et en utiliser les motifs pour illustrer l’absurdité du monde moderne. Ce conte-Frankenstein, par son esthétique baroque où prime la parenthèse, fait de la surenchère un reflet de la surconsommation. L’essai, La réécriture féministe contemporaine de quatre contes dans Putain, de Nelly Arcan et Peau d’âne, de Christine Angot, explore comment, par les réécritures qu’ils inspirent, les contes de Perrault et des frères Grimm constituent un puissant matériau d’incarnation qui facilite la venue à l’écriture du traumatisme chez Christine Angot et Nelly Arcan, mais qui sert aussi d’outil de dénonciation féministe pour elles. Dans Putain, de Nelly Arcan, la narratrice met en lumière, par des réinterprétations des contes du Petit Chaperon rouge, de La Belle au bois dormant et de Blanche-Neige, différents aspects de sa détresse face à l’oppression du regard masculin. Quant à Christine Angot, dans Peau d’âne, elle propose, par une réécriture du conte de Peau d’âne en parallèle avec celui de La Belle au bois dormant, de révéler les répercussions perverses des dictats de la mode et de la loi du père sur l’identité de la femme. Toutes ces réécritures permettent de déjouer la logique valorisée par les contes et d’en démontrer l’absurdité et le caractère malsain d’un point de vue féministe.

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Le motif de la « chambre close », considéré comme emblématique du roman policier, a été exploité par de nombreux écrivains depuis le XIXe siècle. Chez les pères fondateurs du genre, tels Edgar Allan Poe et Arthur Conan Doyle, il s’est d’abord incarné sous une forme simple, celle d’un mécanisme permettant la mise en scène d’un « défi à la raison » (Christiane Cadet, 2008), avant de se complexifier à la Belle Époque. Sous la plume de Gaston Leroux, la simplicité cède la place à l’hybridité alors que la « chambre close », en s’emplissant d’un étonnant parfum de femme, devient le lieu où se croisent le crime et la passion, le privé et le public, la raison et la superstition. Dans Le Mystère de la chambre jaune (1907) et Le Fantôme de l’Opéra (1910), le romancier articule ses intrigues autour d’espaces atypiques, destinés à bouleverser les codes du genre policier. Ce mémoire s’attache ainsi à la manière dont un roman populaire, malgré son recours à un motif largement exploité, peut déplacer et transgresser l’horizon d’attente auquel il est associé. Plutôt que d’être figée à la manière d’un cliché photographique, la « chambre close » évolue sans cesse dans les récits à l’étude. Influencée par le phénomène d’hybridité générique qui sous-tend les romans, elle se dote de nouvelles significations qui la singularisent par rapport à l’emploi qu’en ont fait les prédécesseurs. En s’intéressant, dans un premier temps, à la trajectoire empruntée par les corps féminins et à leur influence sur les décors et, dans un deuxième temps, à la manière dont l’espace canalise un certain imaginaire propre à la littérature du XIXe siècle, il s’agira de voir comment Leroux parvient à faire éclater les murs d’un lieu qui, jusqu’alors, était clos « comme un coffre-fort » (Gaston Leroux, 1925).

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)