118 resultados para Aristote.


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Thèse réalisée en cotutelle avec l'Université Paris IV-Sorbonne

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Full Text / Article complet

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cette thèse propose une étude des raisons théoriques et empiriques impliquées dans l’élaboration d’une nouvelle astronomie par Johannes Kepler (1571-1630) tel qu’exposé dans son ouvrage Astronomia nova (1619). Cette thèse se déroule en deux temps : la première partie touche de près aux textes mêmes de Kepler, tandis que la seconde partie utilise la notion d’abduction pour interpréter logiquement ce processus de découverte et de justification. La première partie débute avec une analyse du projet de Kepler et de ses fondements philosophiques, métaphysiques et théologiques tels qu’exposés dans son premier ouvrage, le Mysterium cosmographicum. Ensuite, une étude des propos explicites de Kepler quant à la nature et au statut des hypothèses astronomiques est proposée via une étude de son traité intitulé Apologia pro Tychone contra Ursum. Une étude attentive des sources philosophiques, mathématiques et scientifiques ayant influencé Kepler pour sa nouvelle astronomie est ensuite proposée avant l’analyse détaillée des arguments scientifiques et des différentes étapes démonstratives qui sont présentés dans l’Astronomia nova. La deuxième partie vise à éclairer le débat sur l’abduction en se penchant d’abord sur trois approches traditionnelles (Platon, Aristote et Épicure) quant à la connaissance scientifique des phénomènes célestes permettant d’obtenir un discours vraisemblable ou une multiplicité d’explications concordantes avec les phénomènes. Enfin, quatre interprétations contemporaines et abductives du processus de découverte suivi par Kepler dans l’Astronomia nova sont présentées, reformulées et critiquées afin de proposer une nouvelle interprétation abductive laissant une plus grande place au projet même de construire une astronomie nouvelle fondée sur les causes. Cela nous donne des outils pour mieux saisir le sens et la portée de ce qui peut être désigné comme étant la « révolution képlérienne », soit le passage d’un système géocentrique à un système non pas simplement héliocentrique mais héliodynamique, ayant permis aux astronomes de s’affranchir du paradigme des orbites circulaires.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cette thèse se rapporte à la notion de contradiction, entendue en son sens logique ou formel. Plus précisément, elle vise à dégager une conception de la contradiction chez un philosophe qui, du point de vue chronologique, précède l’avènement de la syllogistique et de la logique : Platon. À partir de l’examen des dialogues réfutatifs de Platon, il s’agira de mettre en lumière la forme des propositions contradictoires, de déterminer la terminologie et les métaphores utilisées par Platon pour nommer et décrire la contradiction et d’évaluer le contexte dans lequel avait lieu la réflexion platonicienne. L’analyse révélera que Platon se faisait une idée somme toute assez précise de la contradiction logique et qu’il a même eu une influence sur Aristote lorsque ce dernier élabora son célèbre principe de non-contradiction.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Il Principio di non contraddizione (PNC) così come tradizionalmente inteso sembra minare alla base la possibilità di un'alterità « assoluta », di un'alterità, cioè che non sia in nessun modo riconducibile ad un'ipseità che la conosca. [...]

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Est-il possible de comparer la démocratie au despotisme sans susciter de fâcheux malentendus ? Aristote et Rousseau s’y sont risqués à leurs époques respectives. Le directeur du Lycée distingue ainsi, dans ses Politiques, quatre formes de démocratie dont seule la dernière peut, en toute rigueur, être qualifiée de « directe » et de despotique, parce que le peuple, dirigé par les démagogues, finit par y gouverner sans la loi. Quant à l’écrivain genevois, il ne semble imaginer dans le livre III du Contrat social qu’une seule forme de démocratie, celle qui réunirait entre les mains du peuple assemblé les pouvoirs législatif et exécutif de l’État. Et si pareille démocratie pouvait exister, elle serait pire que le despotisme entendu au sens qu’on lui prête au XVIIIe siècle d’usurpation du pouvoir législatif par le gouvernement, parce qu’elle se traduirait nécessairement par la corruption du Souverain. Il s’agit donc d’étudier les textes et les analogies qu’ils contiennent, afin de voir en quoi la démocratie directe – hypothétique pour Rousseau, mais bien réelle pour Aristote – est tantôt l’analogue de la tyrannie, tantôt le pire des maux que puisse connaître l’État.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

À l’heure où les limites du modèle de la démocratie représentative traditionnelle apparaissent de plus en plus évidentes, on a pu défendre, dans la littérature récente, un modèle sensiblement différent : celui d’une démocratie épistémique, tirant parti, par le mécanisme de la délibération inclusive, d’une forme d’intelligence collective qui serait disséminée à travers les agents d’une collectivité. Or, les partisans d’une telle approche se réclament souvent d’un argument qu’on trouve sous la plume d’Aristote en Politique, III, 11. L’objectif de cette étude est d’examiner la légitimité d’une telle filiation, en examinant de manière comparative les arguments modernes en faveur de la démocratie épistémique délibérative et le texte aristotélicien. Un tel travail permet de nuancer la portée du recours à Aristote dans les justifications épistémiques de la démocratie : d’une part, le mécanisme auquel songe Aristote dans le texte de la Politique ne saurait se ramener à une forme quelconque de délibération inclusive ; et, d’autre part, l’argument épistémique se trouve restreint par la mise en évidence des limites intrinsèques du régime démocratique. Plutôt que la source d’une position moderne en faveur de la démocratie, on trouverait alors chez Aristote l’occasion de penser le danger concret qui guette tout modèle délibératif : c’est-à-dire, la confiscation du débat public par une minorité de démagogues, qui empêche la collectivité de tirer parti de la diversité cognitive qu’elle contient.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Quel est le statut ontologique du « possible » et du « réel » ? Sous l’angle de la substance, de la notion et du temps, l’un prend-il le pas sur l’autre, l’un est-il prioritaire ? Alors qu’Aristote et Hegel ont défendu l’idée que le réel jouit d’une primauté sur le possible, Heidegger et Bergson ont avancé la thèse inverse : ils ont laissé entendre que le possible a préséance sur le réel. Le dessein que nous poursuivrons ici possède deux volets : d’une part, nous chercherons à souligner la distance qui sépare le couple Aristote/Hegel de la pensée heideggérienne sur la question du possible ; d’autre part, et en particulier, nous tâcherons de montrer que si la thèse que soutient Bergson s’éloigne en apparence largement de la conception classique, elle la rejoint malgré tout à bien des égards.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Lorsqu’on pense à l’éthique d’Aristote, on pense tout d’abord à l’Éthique à Nicomaque. Or, Aristote a rédigé un autre traité éthique, l’Éthique à Eudème, de plus en plus considéré comme authentique et digne d’intérêt. Cette redécouverte de l’Éthique à Eudème a soulevé de nombreux problèmes d’interprétation, puisqu’on ignore pourquoi Aristote aurait rédigé deux œuvres éthiques qui traitent sensiblement des mêmes sujets. Ces deux traités sont-ils compatibles et complémentaires ou plutôt divergents et contradictoires ? Et s’ils sont différents, est-ce un témoignage d’une évolution dans la pensée d’Aristote ? Pour résoudre ce genre de questions, ou du moins pour leur apporter une réponse partielle, il n’y a pas de moyen plus approprié que l’analyse comparative. Ainsi, dans cet article, nous proposons d’analyser un thème très restreint présent dans les deux traités, à savoir la notion de fonction (ἔργον) dans la définition du bonheur.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Déjà utilisé dans un sens large à Byzance au VIe, le terme « stratégie » ne tut adopté en Europe occidentale qu’au XVIIIe siècle. Dans cet ouvrage, l’auteur définit la stratégie est une voie globale pour parvenir à des fins politiques, utilisant la menace ou l’usage effectif de la force et prenant en compte les moyens disponibles, mais aussi les valeurs et les objectifs des adversaires, dans une dialectique des volontés des adversaires. Ces variables sont au centre de cet ouvrage. Depuis Aristote et la notion de guerre juste développée par Augustin d’Hippone et Thomas d’Aquin, jusqu’au « paradigme napoléonien », qui a dominé la stratégie et la guerre à partir de la fin de l’époque moderne, et le concept de la guerre totale de Ludendorff, Béatrice Heuser expose l’évolution d’un discours sur la guerre et sa justification (ou non) comme recherche de la paix. Si, après Napoléon et Clausewitz, la victoire militaire apparaît comme le but ultime de tout conflit, à partir de la Première Guerre mondiale, et surtout de l’utilisation de la bombe atomique en 1945, les stratégistes redécouvrent l’importance de penser la paix après la guerre, le « paradigme de la paix ». Les développements de la stratégie navale, puis des stratégies aériennes et nucléaires, ainsi que les concepts de petite guerre ou de guérilla, qui dominent l’actualité, prennent leur place dans cette histoire de la stratégie, ou « comment les hommes ont pensé la guerre .

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Partindo de duas questões teóricas preliminares, uma, da representação (literária e cinematográfica)do real e do imaginário, tanto no ângulo da produção como no da sua recepção e, a outra, da articulação entre formas de expressão artísticas distintas, ou seja, da interdisciplinaridade, este trabalho examina a presença do tema relativo aos limites entre realidade e fantasia no teatro, no cinema e na literatura, centrando sua atenção na obra de Harold Pinter. Consta de duas partes, cada uma com três capítulos. Na primeira, "Os pressupostos," discute-se as questões que fornecem seu substrato teórico. A segunda é dedicada ao corpus, identificando em seu título o tema investigado: "Os limites da realidade." Quanto à questão da representação, procura-se refutar "a afirmação de que a arte seja uma imitação da realidade. Uma releitura da Poética, de Aristóteles, reforçada pela opinião de diversos estudiosos da mesma, permite afirmar que a mÍmese corresponde, isto sim, a uma representação que envolve uma construção em que elementos da realidade são organizados segundo uma verdade criada pela própria obra, de acordo com critérios inerentes a ela. Além disso, através de uma leitura de Kathryn Hume, procura-se afirmar a interação sinestésica quase que permanente dos impulsos realista e da fantasiana literatura, identificando os tipos com que a fantasia se manifesta e as técnicas usadas para sua criação. A primeira parte encerra-se com um exame do relacionamento da literatura com as artes visuais e dramáticas, relações inter-disciplinares que situam este trabalho na literatura comparada.Dentre vários autores cujas obras contribuem para tal fim, destaca-se Martin Esslin, que estabelece os limitesde cada uma das artes dramáticas, identifica contatos delas com a literatura e permite, através de uma leitura de seu estudo sobre o teatro do absurdo, seja estabelecida a evolução que liga Aristóteles a Pinter. O corpus centra-se na obra de Pinterpara o teatro e para o cinema, sem limitar-se a ela,pois são também analisadas obras de outros escritores e cineastas, estabelendo-se aproximações ou contrastes entre elas. No quarto capítulo estão agrupadas obras nas quais desponta a imposição de verdades pela força fisica ou verbal. A luta pelo poder, a expulsão de elementos estranhos, dúvidas sobre a identidade e a inter-penetrablidade arte-vida caracterizam o capítulo seguinte. A ênfase temática do sexto capítulo recai sobre as limitações impostas pela condição humana. Praticamente todas as obras expressam a impossibilidade da existência de certezas absolutas e de uma perfeita distinção dos limites da realidade. Com isso, é possível afirmar não ser o objetivo da arte reproduzir a realidade. Mesmo que o fosse, tal tentativa resultaria infrutífera devido às limitações humanas.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Pós-graduação em Serviço Social - FCHS

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador: