294 resultados para “Weberian Marxism”


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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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"L'intersection entre la sécurité de l'État et corollairement celle de ses ressortissants d’un côté, et la protection des droits des personnes qui se trouvent sur son territoire de l’autre, génère une situation antagonique : les prérogatives régaliennes et wébériennes d'utilisation de la force au nom de la sécurité nationale entrent en collision avec le respect des dispositions juridiques, telles que prescrites dans de nombreux instruments du droit international. Terre d’immigration, les États-Unis sont le reflet de ce paradoxe qui existe entre une vision qui place l’individu et ses libertés au centre de ses préoccupations, versus une conceptualisation étato-centrique de la sécurité. Mais le renvoi de l’immigration dans le registre sécuritaire ne relève pas forcément d’une réalité objective. L’analyse critique des manifestations d’(in)sécurité considère en effet ce concept comme n’étant plus exclusivement stato-centrée, élargissement conceptuel auquel s'associe une autre mutation conceptuelle : la securitization, qui postule que la menace n'est pas uniquement objective mais également subjective. Considérant cette ""évolution"" théorique, l’auteur analyse dans cet article l’immigration aux États-Unis au travers d’un processus de périodisation ­des mythes fondateurs aux mesures prises dans la foulée du 11 septembre 2001- pour démontrer que la gestion des flux migratoires en direction des États-Unis a toujours été considérée comme une question de sécurité nationale. Retenant à titre illustratif trois groupes de personnes, les Périls Jaune, puis Rouge et aujourd’hui Vert, vont permettre d’illustrer que les mesures restrictives règlementant l’immigration ­prisent au nom de la sacro-sainte sécurité nationale- constituent de facto, si ce n’est de jure, des atteintes au principe de non-discrimination. Mais tout en soulignant la pérennité du lien qui est effectué entre immigration et sécurité nationale, l’instrumentalisation de ce lien contribue à un renforcement des pratiques régulatrices et à la criminalisation accrue des mouvements transfrontaliers, qui risquent bien d’être contreproductifs par rapport à l’objectif de sécurité recherché !"

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Dans la philosophie existentialiste de Sartre, l’existence précède l’essence. C’est-à-dire que c’est la réalité humaine vécue qui définit l’homme, et non une essence abstraite qui précèderait l’existence. L’essence de la vie humaine ne serait donc pas à la portée de la philosophie, qui voudrait établir une essence qui transcenderait la réalité humaine. Pour Sartre, cette tentative d’établir une essence est vaine. L’homme n’est pas simplement, mais a à être. Sartre entrevoit dans cette exigence la seule vraie possibilité de la liberté : la liberté c’est précisément le néant qui est au cœur de l’homme et qui contraint la réalité humaine à se faire au lieu d’être. Cette notion de la liberté absolue de l’homme est très forte et a évidemment suscité la critique. Sartre s’est attiré notamment la désapprobation des penseurs de l’École de Francfort. Ils lui reprochent de ne pas rendre justice aux déterminations spécifiques qu’impose le contexte historique, social et matériel. Sa notion de liberté viendrait dissocier l’horizon des possibilités des processus qui les fixent et, du coup le mène à cautionner tacitement le statut quo, en empêchant la liberté de servir de critère pour critiquer la domination existante. Une philosophie existentialiste reste-t-elle possible par-delà cette critique? La croyance en le caractère absurde de la vie humaine et l’exigence à se faire pour donner un sens à l’existence peuvent-elles tenir sans postuler la liberté absolue? Ou bien cette liberté doit-elle nécessairement être circonscrite par une théorie sociale critique, sans quoi l’existentialisme colportera clandestinement le maintien du statu quo?

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Manifestation du processus de rationalisation capitaliste contemporain, la gestion des ressources humaines s’est largement développée et diffusée comme paradigme d’organisation des relations sociales au sein de l’entreprise, mais aussi à l’extérieur de celle-ci. En m’appuyant sur l’étude Les employés de Siegfried Kracauer (2004 [1931]) ayant mis en lumière les effets de la rationalisation de l’entreprise moderne sur les traits de mentalités des employés dans les années 1920, je propose de me pencher sur les employés en gestion des ressources humaines aujourd’hui. Plus précisément, c’est la tension dont ils sont à la fois les porteurs et les objets qui constitue le coeur de ce mémoire. Cette tension lie la fonction particulière que ces employés sont appelés à jouer dans l’entreprise et leur propre condition comme employé. Ainsi, c’est par la constitution de rapports à la tension sous une forme idéaltypique— propre à l’approche wébérienne — que ce mémoire propose d’appréhender la condition des employés en gestion des ressources humaines. L’interprétation des rapports à la tension et à la pratique professionnelle de ces employés, à l’aune de quatre idéaltypes construits à cette fin (le sous-officier comptable, le sous-officier sportif, celle qui prend sur soi et le synthétique), permet de mettre en lumière des dilemmes qu’ils sont enclins à vivre, dilemmes inhérents à leur condition d’employés dans le monde rationalisé.

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Initiée par Wolfgang J. Mommsen (1930-2004), la réception dominante de la pensée politique de Max Weber (1864-1920) conclut qu’il aura été un penseur précurseur au fascisme allemand. Ce mémoire revient aux textes politiques de Weber, écrits entre 1895 et 1919, afin de dégager le sens qu’il voulait leur conférer, indépendamment du rôle historique qu’ils purent jouer après sa mort. Il s’agit donc de reconstituer la pensée politique wébérienne dans le contexte social qui l’a vu naître et de saisir l’origine politique de la sociologie wébérienne de l’action. Pour y parvenir, un détour par l’histoire s’impose. Ce n’est que par la mise en relation, proposée dès le chapitre I, entre les écrits politiques et la configuration historique particulière de l’Allemagne wilhelmienne qu’il est possible de concilier deux dimensions dont l’une ou l’autre est souvent écartée des études wébériennes : l’étude d’acteurs historiques précis (Max Weber et ses contemporains) et la pensée wébérienne à proprement parler (les écrits). Nous verrons que Weber craint le processus de bureaucratisation inhérent à la sphère politique moderne de peur qu’il n’en vienne à pétrifier l’existence humaine. Le chapitre II examine l’opposition de Weber à cette « possibilité objective » afin de préserver les conditions d’une liberté individuelle authentique. C’est par la figure du chef charismatique, initialement développée dans le cadre de ses travaux scientifiques et présentée au chapitre III, que Weber croit pouvoir prévenir les pires conséquences du processus de bureaucratisation. Il s’agira alors de produire un édifice institutionnel propice à l’émergence de tels hommes politiques. Le dernier chapitre (IV) du mémoire cherche à démontrer comment Weber tente d’instrumentaliser la césarisation, second processus constitutif de la sphère politique moderne, pour l’opposer à la bureaucratisation. Sous le régime monarchiste, c’est par un renforcement des pouvoirs parlementaires qu’il compte y parvenir, mais la proclamation de la République de Weimar l’oblige à adapter son projet constitutionnel ; il propose alors la démocratie plébiscitaire de chef (Führerdemokratie). Si la conception wébérienne de la démocratie surprend, notamment par l’importance qu’elle accorde au chef, il n’en demeure pas moins que Weber met de l’avant un système politique démocratique. Loin de l’abandon de son projet politique auquel certains critiques ont conclu, la Führerdemokratie se révèle plutôt – c’est la thèse de ce mémoire — le fruit de la fidélité de Weber à ses idéaux politiques, et ce malgré les importants changements sociaux qui marquent la fin de sa vie.

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La democratización que conoce América Latina desde la década de los noventa del siglo pasado, el debilitamiento del marxismo dogmático, la terminación de la guerra fría y la presencia de nuevos actores sociales en la arena política han modificado el tradicional equilibrio de poderes en la región. Desde entonces han comenzado a desarrollarse nuevos movimientos sociales como los de derechos humanos, de grupos indígenas, de género, etc., lo que ha favorecido a las formaciones de centro izquierda. Es así como una ola de movimientos y partidos de izquierda se ha ido extendiendo por América Latina. El triunfo electoral de líderes de formaciones de izquierda en sucesivos países constituye la expresión más evidente de esta dinámica.

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La tesis llamada “Althusser: un encuentro con el sinsentido de la historia” tiene un objetivo: determinar qué quiso decir Althusser al sostener que “la historia de la humanidad, es decir, la historia de las sociedades, se dirige a ninguna parte”. Para esto, esta tesis se encuentra dividida en tres partes: primero, se habla acerca de la forma en la cual Althusser pensó “la totalidad social”, en especial, cómo pensó: “el modo de producción económico”, “la sobredeterminación” y “el tiempo especial de una sociedad”. En la segunda parte, yo hablo acerca de cómo Althusser pensó “la ideología” y su tiempo propio, o forma especial de ser. Y en la tercera parte se habla de la relación entre Althusser y Epicuro; las palabras: “clinamen” y “desviación mínima” son cruciales para entender lo que Althusser significó cuando habló del sinsentido de la Historia.

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El tema central de este documento es la incorporación de una aproximación teórica de análisis sobre la relación existente entre la realización y entramado de políticas públicas desde el ámbito de la agenda internacional sostenida por las organizaciones multilaterales a nivel mundial y sus influencias en los países miembros, en el ámbito de lo local.

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La presente monografía tiene por interés estudiar el caso de violencia masiva vivida en Camboya bajo el mando de los Jemeres Rojos. De manera particular, pretende analizar las drásticas transformaciones promovidas por Pol Pot sobre las instituciones de la escuela y la familia; transformaciones que derivaron en una grave desintegración social cuyo significado histórico resulta inexpresable. Teniendo en cuenta el contexto político, social y económico que condujo al régimen de la Kampuchea Democrática, se hace uso del marxismo como enfoque teórico para analizar lo sucedido en Camboya. Partiendo del concepto de estructura social, se profundiza en la teoría a través de sus planteamientos básicos, para así llegar a la comprensión del papel y la importancia que juegan en ella las instituciones de la familia y la escuela en tanto que Aparatos Ideológicos de Estado. Este ejercicio permite identificar las principales distorsiones entre la teoría, apelada por Pol Pot, y las prácticas de los Jemeres Rojos en Camboya.

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Asumiendo que existe una tendencia de la opinión pública y académica por relacionar la idea de revolución con procesos netamente de izquierda, se propone comprender el término como concepto y como metáfora con el fin de alejarlo de la polarización ideológica. En esta investigación se abordan los conceptos políticos y su relación con las metáforas a partir de unos principios teóricos básicos: la idea de Koselleck de que los conceptos tienen historia, y la idea de Blumenberg de que muchos conceptos fundamentales son potentes porque en el fondo son metáforas. Posteriormente se observa cómo las diferentes posturas políticas han adoptado o rechazado la idea de revolución como parte de sus proyectos políticos. Finalmente, el caso del fascismo se presenta como un escenario clave para comprobar la trascendencia del concepto y las implicaciones de su uso en términos discursivos y prácticos

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Este texto comienza con un ensayo autobiográfico que explora los retos y beneficios de lo que implica ser un académico marxista en este tiempo. A este ensayo le sigue una discusión sobre varios temas del análisis de clase, con particular énfasis en dos temas: las clases y la desigualdad, y la relación entre clase y poder. La segunda sección aborda el tema del socialismo como posible futuro del capitalismo. Su autor procura clarificar el estatus conceptual del socialismo y discute las razones por las que ciertas reformas, tales como los subsidios básicos universales, en últimas no podrían realizarse por completo sin la introducción de alguna forma de socialismo. Preguntas a la desigualdad concluye con un examen del problema general del marxismo, en tanto que tradición radical de la teoría social. Allí se discuten tres temas en particular: los principios fundamentales del marxismo analítico como estrategia para reconstruir el marxismo como teoría social científica; la relación entre el marxismo y el feminismo como teorías sociales emancipadoras y las perspectivas del marxismo tras el colapso de los regímenes comunistas.