986 resultados para Éthique de la vertu


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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Si le Marx de Michel Henry reconduit plusieurs thèses développées dans les écrits antérieurs et anticipe celles de « la trilogie » sur le christianisme, le dialogue qu’il instaure autour du thème de la praxis lui confère un statut singulier dans l’ensemble de l’oeuvre. Parce que Marx attribue à la pratique de l’individu et aux rapports réels entre les pratiques le pouvoir de créer les idéalités, notamment celle de la valeur, Henry est lui-même conduit à déplacer le champ d’immanence qu’il avait jusque-là situé du côté de l’ego et du corps vers la pratique et le système du travail vivant aux prises avec le monde objectif. Or du point de vue d’une phénoménologie matérielle, pour autant qu’il renvoie à un point de vue extérieur à la stricte immanence, le seul usage de la notion d’« individu » manifeste déjà une prise en compte de « la transcendance », poussant Henry à suspendre pour une part l’approche phénoménologique. Même si l’acosmisme de L’essence de la manifestation transparait encore dans le Marx, il est mis en tension extrême avec le monde des déterminations sociales et économiques et contraint l’auteur à développer la thèse de l’enracinement de ces déterminations dans l’immanence de la vie et de la praxis. C’est en même temps ce qui fait la force et l’originalité de la lecture henryenne de Marx. D’un autre côté, quand bien même elle hérite d’une éthique de la praxis, la trilogie semble perdre de vue la stricte individualité de la praxis qui apparaît dans le Marx. C’est ainsi que le concept de Vie Absolue qu’elle promeut est associé à une exigence d’universel que Henry avait préalablement disqualifiée, notamment à travers sa critique de Hegel. La thèse qu’on va lire cherche ainsi à rendre compte de l’originalité absolue du Marx dans l’oeuvre du phénoménologue français.

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Sur quoi fonder une éthique de responsabilité et quelle place accorder aux cultures et aux traditions dans un contexte nouveau caractérisé par la mondialisation? Pour répondre à cette question, posée à partir de l’Afrique, nous avons pris un long chemin de réflexion. À partir de l’évaluation faite par Fabien Eboussi de la crise multiforme actuelle qui frappe l’Afrique, où l’auteur cherche et désigne les coupables et les responsables que sont, selon lui, les cultures africaines, la colonisation européenne et le christianisme, nous nous sommes concentré sur le sujet humain comme tel. La responsabilité est d’abord, à nos yeux, une question de conscience morale. Les approches anthropologiques utilisées dans leurs théories éthiques par Xavier Thévenot, Paul Ricoeur et Emmanuel Levinas nous ont permis de bâtir une définition du sujet comme une « liberté précédée ». L’antécédence est à la fois un principe anthropologique et éthique dans la relation et dans l’existence. Nous avons appliqué ce principe de précédence à la notion africaine d’ancestralité conçue comme le temps éthique hiérarchisé et orienté. Pour échapper à l’étroitesse tribale ou ethnique dans laquelle se vit cette ancestralité africaine, nous l’avons étendue aux dimensions de l’humanité, comme le fondement d’une éthique de responsabilité universelle. On est ancêtre de l’humanité. Sous le néologisme d’ancestrogenèse, nous avons proposé une éthique fondée sur le recrutement de ces ancêtres ou bienfaiteurs de l’humanité. L’ancestrogenèse est donc la construction d’une communauté humaine où chaque membre soit responsable de ses actes devant sa communauté locale – naturelle ou historique – en lien avec toute la communauté humaine dont la facilité de la communication accélère la convergence. À la suite de Bénezet Bujo, et pour fonder cette communauté sur le roc et la faire survivre aux fluctuations de l’esprit humain, nous avons placé le Christ à la tête des ancêtres, comme proto-ancêtre. En lui, nous avons le Verbe créateur unique, le sauveur unique et le rassembleur unique de l’humanité de tous lieux et de tous temps. Voilà qui suscite une multitude de questions d’ordre pédagogique, biblique, christologique, ecclésiologique, éthique, anthropologique, politique et sociologique, questions relatives à la formation morale du sujet-ancêtre telle qu’ébauchée dans le cadre limité de cette recherche.

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Dans Sept études sur Éric Weil, Gilbert Kirscher et Jean Quillien considèrent l’oeuvre philosophique d’Éric Weil comme "l’une des plus importantes de la seconde moitié du XXe siècle". Très pénétré par les grandes philosophies du passé, celles d’Aristote, de Kant et de Hegel, Éric Weil les a en effet repensées en fonction des problèmes contemporains. Ainsi les thèmes de la violence, de la société et de l’État sont-ils repris en profondeur et de façon systématique. Cette thèse se propose de faire de ces thèmes une présentation d’ensemble. Une première distinction s’impose entre la société moderne et l’État. Toute société est "essentiellement en lutte avec la nature extérieure" et, par conséquent, est une communauté de travail. En plus de posséder ce caractère, la société moderne est moderne parce qu’elle se connaît comme société: elle se veut rationnelle, tournée vers l’efficacité et est inévitablement "calculatrice, matérialiste et mécaniste". En principe, la société moderne est mondiale car les modes de production, de distribution et de maîtrise de la nature ainsi que l’économie sont partout identiques, l’individu dans cette société trouve sa sécurité mais non le sens de son existence. Il est déchiré. De plus la société moderne s’oppose radicalement à l’État. Celui-ci est l’organisation d’une communauté historique. Il présente deux aspects. L’État moderne est absorbé par des conflits avec les autres États ou tout au moins engagé dans une compétition qui l’oblige à exiger des citoyens une loyauté totale. À ce point de vue, l’État est agressif et autoritaire. Mais il est aussi comme État le lieu de l’amitié et, selon l’enseignement des Anciens, celui de la vertu. Ce second aspect est complètement annulé par le premier. La perspective d’institutions mondiales qui prolongeraient la société moderne pourrait cependant, selon Éric Weil, permettre à l’État d’assumer son rôle véritable: éduquer à l’universel concret et rendre possible la vie sensée. L’État redeviendrait ce qu’était la cité grecque. Seul le point de vue autarcique aurait été abandonné. La société mondiale comporte certes des risques, mais la liberté recherchée justifie qu’on accepte ces risques.

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A presente pesquisa é tributária de um interesse particular pela clínica das psicoses. A partir dela viemos endossar a proposta de Jacques Lacan segundo a qual o analista não deve recuar diante da psicose, acrescentando que não recuar diante da psicose implica em não recuar diante da instituição psiquiátrica, incluindo aí não só o hospital psiquiátrico e os ambulatórios públicos, mas também e, sobretudo, os dispositivos que compõem o que se denominou, a partir da reforma psiquiátrica, de campo da saúde mental. Tendo como ponto de partida a crença de que a maioria dos casos de psicose necessita da instituição psiquiátrica, seja esta uma instituição tradicional - o hospital psiquiátrico -, ou um dispositivo que se pretende substitutivo em relação a ele - um hospital-dia ou um CAPS (Centro de Atenção Psicossocial), propomos nessa dissertação um questionamento acerca do lugar da psicanálise no campo da saúde mental. Desde Freud a psicose vem colocando questões à psicanálise, convocando os analistas ao trabalho de sustentar o dispositivo analítico num terreno onde este parece ser colocado à prova. E quando se trata de sustentá-lo fora do setting do consultório privado - numa enfermaria ou num CAPS, por exemplo -, o desafio ainda é maior. Nessa dissertação tentaremos delimitar o que a psicanálise tem de específico no que tange à abordagem da psicose e enquanto clínica do sujeito, o que define um certo lugar para ela no campo da saúde mental. Freud nos apresenta a escuta como instrumento principal do analista na prática clínica. Lacan, em sua releitura de Freud, vai apontar para o que ela tem de específico - uma escuta referenciada numa ética particular: a ética da psicanálise, sustentada no desejo do analista. Portanto, é a partir dessa escuta que visamos sugerir um lugar específico para a psicanálise, independente do ambiente onde se dá a experiência analítica

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Relatório da prática de ensino supervisionada, Mestrado em Ensino de Artes Visuais, Universidade de Lisboa, 2014

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Résumé Ce travail a commencé avec une confrontation entre les pensées de P. Ricoeur et E. Levinas sur le thème du rapport à autrui, cette confrontation portant particulièrement sur la place accordée par Levinas, dans son éthique, au thème de la vulnérabilité (ainsi que sur celui de la passivité), tandis que P. Ricoeur reste, selon moi, prioritairement un philosophe de l'activité et qui met, dans la question du rapport à autrui, l'accent sur la reconnaissance de l'autre dans l'empire de ses capacités. Ce débat, et les points qui retenaient en particulier mon attention, m'ont semblé pouvoir être inséré dans le contexte plus large d'une opposition entre éthique de l'autonomie et éthique de la vulnérabilité sur la base de lectures que j'effectuais par ailleurs dans le domaine des éthiques féminines, ou de ce que l'on appelle les éthiques du « care ». Les éthiques féminines, qui se sont développées les 30 dernières années, veulent revenir sur ce qu'elles identifient comme le modèle anthropologique de la modernité, qui privilégie une approche de l'homme en termes d'activité, de rationalité et d'autonomie au mépris d'autres traits comme la passivité, l'affectivité, la dépendance ou la vulnérabilité. Sans nier la rationalité ou l'autonomie de l'homme, elles veulent plutôt compléter une image qu'elles considèrent comme étant incomplète. Sur la base de leur anthropologie alternative, les auteurs qui appartiennent à ce courant proposent une nouvelle définition de l'éthique. Les éthiques du « care » se situent d'une manière générale dans une relation critique avec les éthiques de la justice comme avec les conceptions de l'agent et du patient moral héritées de la philosophie kantienne. Disons brièvement que, plutôt que de faire de l'autonomie et de son respect l'axe de leur réflexion morale, les éthiciennes du « care » insistent sur la signification morale de nos rapports de responsabilité ou de sollicitude à l'égard des personnes vulnérables. Dans la première partie de ma thèse, je reviens sur la genèse de la notion d'autonomie dans la philosophie morale et politique de la pré-modernité, en mettant le développement de ce concept en lien non seulement avec ce que J. Scheewind appelle les « morales de l'autogouvernement », mais aussi avec la naissance des philosophies du sujet et un mouvement général d'intériorisation des sources morales. J'essaye ensuite de dégager le sens de l'idée d'autonomie, sur la base de la notion de liberté positive élaborée par Berlin, avant de distinguer ses différentes significations (autonomie politique, personnelle, morale/autonomie procédurale vs substantielle, autonomie comme capacité, comme droit ou comme idéal). Je me concentre particulièrement sur la conception hiérarchique de l'autonomie personnelle développée par Frankfurt et Dworkin, avant de revenir à la conception kantienne de l'autonomie morale. Je consacre ensuite une section aux conceptions relationnelles de l'autonomie, ce qui me permet de faire le lien avec le thème de la vulnérabilité. Pour le développement historique de cette notion dans la pensée contemporaine, j'insiste, outre sur les éthiques du « care », sur les développements de la bioéthique et la philosophie de H. Jonas. Après un travail de définition du concept de vulnérabilité, j'élabore les éléments d'une éthique de la vulnérabilité que j'essaie d'articuler à la notion d'autonomie. Dans la deuxième partie, je confronte les éthiques de Ricoeur et de Levinas dans la perspective de l'opposition autonomie/vulnérabilité, en montrant leurs limites respectives.

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Contient : 1 « La fondation de Chaalons. Eclogue par J. DE MEULLES, Sr Du Rosier. 1627 » ; a « A messieurs du conseil de la ville de Chaalons. Epistre. Messieurs, je fais discourir poetiquement les bergers de cette eclogue, touchant l'ancienne fondation de Chaalons... » ; b « Argument. Un berger nommé Rosin, rencontre Amydor en sa loge, contre la forêt de Sary, pendant les froidures extresmes du commencement de l'année... » ; c Eclogue. Amydor. Aristandre. Lygdamon. Rosin » ; 2 « Le triomphe de la vertu », par le même. « Dedié à messieurs du conseil de la ville de Chaalons »

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Contient : Chants royaux. Refrains ; 1 « Logis de Dieu signé du bel ymaige ». « OSMONT » ; 2 « Le lict d'honneur rempli de toute grace ». « BRASMETOT » ; 3 « Lampe illustrant l'eglise militante ». « OSMONT » ; 4 « Mer qui receoit et donne toute grace ». « OSMONT » ; 5 « Cloche sonnant le salut des humains ». « BRASMETOT » ; 6 « Parc virginal exempte de vermine ». « MAROT » ; 7 « Le val plaisant où Dieu voulut descendre ». « LESCARRE » ; 8 « Secours des cieulx, la pucelle Marie ». « BRASMETOT » ; 9 « Temple construict par divin artiffice ». « CRETHIN » ; 10 « Le noble corps de la belle Susanne ». « LESCARRE » ; 11 « Court sans erreur, sur toutes souveraine ». « BRASMETOT » ; 12 « Pour traicter paix salutaire aux humains ». « AVRIL » ; 13 « Cloistre de paix, sans envye et murmure ». « LESCARRE » ; 14 « Car ce qu'il veult, il le peult et le faict ». « BERTOULT » ; 15 « Le chois d'honneur où ne fut oncques blasme ». « BRASMETOT » ; 16 « La terre saincte où Dieu print sa naissance ». « OSMONT » ; 17 « De ung filz tout beau la mere toute belle ». « OSMONT » ; 18 « Mont distillant paix, salut, grace et gloire ». « LESCARRE » ; 19 « Le seau royal donnant grace aux humains ». « BRASMETOT » ; 20 « De tout impost et de suscite exempte ». « TURBOT » ; 21 « De tout peché par grace preservée ». « BRASMETOT » ; 22 « Le doulx myel aux humains salutaire ». « OSMONT » ; 23 « Pure en concept oultre loy de nature ». « MAROT » ; 24 « Le bien d'amour et le moyen de grace ». « PARMENTIER » ; 25 « La saincte paix du doy de Dieu signée ». « THYBAULT » ; 26 « Pure lycorne expellant tout venyn ». « LESCARRE » ; 27 « Sans vice aucun, toute belle conceue ». « BRASMETOT » ; 28 « La forte nef toute plaine de grace » ; 29 « Seule sans sy, divinement tyssue ». « CRETIN » ; 30 « Nom substantif rendant suppost au verbe ». « LESCARRE » ; 31 « Du bon pasteur le sacré tabernacle ». « CRIGNON » ; 32 « Pourpre excellent pour vestir le grant roy ». « CRIGNON » ; 33 « La saincte Bible où verité repose ». « THYBAULT » ; 34 « La main de grace aux pecheurs estendue ». « LESCARRE » ; 35 « Pour le tout beau conceue toute belle ». « THYBAULT » ; 36 « Au chois d'honneur l'honneur de la victoire ». « BRASMETOT » ; 37 « Beigle infaillible en tous caz approuvée ». « CRETIN » ; 38 « Le doctrinal, sans macule imprimé ». « LESCARRE » ; 39 « Le chariot du fort geant celeste ». « LESCARRE » ; 40 « En ung subject quatre pars concordantes ». « LEVESTU » ; 41 « L'ame parfaicte en forme raisonnable ». « LEPREVOST » ; 42 « La fille Adam, pelerine de grace ». « BRASMETOT » ; 43 « Ung aultre Adam et une Eve seconde ». « ALYNE » ; 44 « Harnoys d'espreuve au puissant roy de glore » ; 45 « Le regne franc de la loy tributaire ». « THYBAULT ; 46 « Sans lesion a passé par les picques ». « AUBER » ; 47 « L'oeil cler et nect, plain de grace et lumiere ». « BRASMETOT » ; 48 « D'un pouvre ver triumphante vesture ». « BRASMETOT » ; 49 « Le hault solleil qui luict sur tout le monde ». « TYBAULT » ; 50 « Sans estre assise en la chaire de peste ». « LESCARRE » ; Ballades. Refrains ; 1 « Des jardins la clere fontaine ». « AVRIL » ; 2 « Fontaine de paix et de grace ». « LESCARRE » ; 3 « La fontenelle de salut ». « BRASMETOT » ; 4 « Le blanc habit de purité ». « LESCARRE » ; 5 « La droicte eschelle d'innocence ». « LESCARRE » ; 6 « Mere, vierge et fille à son filz ». « BRASMETOT » ; 7 « Pomme sans ver et pourriture ». « LESCARRE » ; 8 « Marie, la mere de grace ». « THYBAULT » ; 9 « Croyre ce que l'Eglise en tient ». « LEBECIN » ; 10 « Exempte de tous infectz faictz ». « BRASMETOT » ; 11 « Pierre portant huyle et myel ». « LESCARRE » ; 12 « Beaulté excellente et parfaicte ». « CRIGNON » ; 13 « Dieu le peult, le fist et voulut ». « DEVAUX » ; 14 « Du cler solleil environnée ». « AVRIL » ; 15 « Le vray escusson de noblesse ». « BERTIN » ; 16 « La rose en Hierico plantée ». « LESCARRE » ; 17 « Franche du tribut general ». « CRETHIN » ; 18 « Exempte du premier peché ». « LESCARRE » ; 19 « Toute belle en ame et corps nect ». « BRASMETOT » ; 20 « La dame à l'aigneau sans macule ». « THYBAULT » ; 21 « La bouche adnonçant verité ». « THYBAULT » ; 22 « Le coeur, vray principe de vie ». « AVRIL » ; 23 « En ce concept tout parfaict faict ». « DOUBLET » ; 24 « Le samedi sainct et beni ». « LESCARRE » ; 25 « La haulte tour de fortitude ». « LESCARRE » ; 26 « La benoiste Vierge Marie ». « THYBAULT » ; 27 « Pour humains lyez deslyer ». « BRASMETOT » ; 28 « La franche terre du grand roy ». « PARMENTIER » ; 29 « Mouche rendant myel et cire ». « LESCARRE » ; 30 « Chandelle illuminant le monde ». « ALLIX » ; Rondeaux. Refrains ; 1 « Pour son plaisir ». « BRASMETOT » ; 2 « Qui qu'en parle ». « BRASMETOT » ; 3 « Par le meffait ». « TURBOT » ; 4 « Par la vertu ». « LESCARRE » ; 5 « Peuple devot ». « BRASMETOT » ; 6 « Pour traicter ». « AVRIL » ; 7 « Au son du cor ». « DOUBLET » ; 8 « Comme la rose ». « MAROT » ; 9 « Le dieu d'amours ». « LESCARRE » ; 10 « L'accord est faict ». « ALLYNE » ; 11 « Où penses tu » ; 12 « Royne des cieulx ». « TURBOT » ; 13 « Pan et Phebus ». « DOUBLET » ; 14 « Faulx detracteurs ». « LESCARRE » ; 15 « Povres humains ». « DAVAL » ; 16 « Pour donner fruict ». « LESCARRE » ; 17 « Est ce bien faict ». « S. WANDRILLE » ; 18 « Des imparfaictz ». « DESVAULX » ; 19 « Le jour sacré ». « BRASMETOT » ; 20 « Je suis sans sequente ». « AVRIL » ; 21 « Je mercy Dieu ». « AVRIL » ; 22 « Bien le sçavez ». « TURBOT » ; 23 « En mon concept ». « BRASMETOT » ; 24 « Pour posseder ». « LE VESTU » ; 25 « De mon cher filz ». « LESCARRE » ; 26 « Preux roy Françoys ». « LESCARRE » ; 27 « Mon seul plaisir ». « PARMENTIER » ; 28 « Sans vice aucun ». « BRASMETOT » ; 29 « C'est mal pensé ». « CRETHIN » ; 30 « Ne pensez pas ». « THYBAULT » ; 31 « Contre Sathan ». « AVRIL » ; 32 « Mere de Dieu ». « THYBAULT » ; 33 « Le fier serpent ». « BRASMETOT » ; 34 « Mon cher enfant ». « THYBAULT » ; 35 « Hors paradis ». « BRASMETOT » ; 36 « Par mon cher filz ». « THYBAULT » ; 37 « Grace nous vient ». « LESCARRE » ; 38 « Seule sans sy ». « BRASMETOT » ; 39 « S'esbahit on ». « LE PREVOST » ; 40 « A ung chacun ». « AVRIL » ; Epigrammata. Premiers vers ; 1 « Nox erat, et Phebus radios agitare per orbem ». « CHAPPERON » ; 2 « Ecquis in electa genialem virgine sordem ». « BELLENGUES » ; 3 « Frigidus Argestes, glaciali pulsus ab Arcto ». « BELLENGUES » ; 4 « O meritis dignata novis, quo numine salvos ». « DEQUERCU » ; 5 « Dum tua sublimi contemplor numina sensu ». « BELLENGUES » ; 6 « Torva fronte minax, scelerumque acerrimus ultor ». « DEQUERCU » ; 7 « Vidimus Eoo qua Titani surgit ab ortu ». « MARC » ; 8 « Si violenta lues nigrique voragine Ditis ». « JEMBLES » ; 9 « Post operum curas lassis cum festa puellis ». « DEQUERCU » ; 10 « Venerat insultans latebras venator agrestes ». « THEOBALDUS » ; 11 « Urbs fuit eterno quondam delecta parenti ». « LECLERC » ; 12 « Lurida sacrilego qui toxica concipis ore ». « DEBEAUVAIS » ; 13 « Hostis atrox quondam magni tabularia regis ». « LECLERC » ; 14 « Post gemitus longos veterum cum nulla parentum ». « THEOBALDUS » ; 15 « Ordior empyreum mundum quem mole rotunda ». « LECLERC » ; 16 « Concipitur gelide sacro sub viscere matris ». « BELLENGUES » ; 17 « Fecit apis, quondam celesti egressa vireto ». « THEOBALDUS » ; 18 « Nullus originea Mariam rubigine lesam ». « CELESTINUS » ; 19 « Non colit obscenas divina potentia mentes ». « CELESTINUS » ; 20 « Orta mari magno, falsi tamen inscia limi ». « THEOBALDUS » ; 21 « Nondum Romulei renovarant secla Quirites ». « GEMELLUS » ; 22 « Duxit ab antiquo candentem farre farinam ». « THEOBALDUS » ; 23 « Flevimus a magna domitam Babylone Syonem ». « LAIR » ; 24 « Fulsit ab Eoo quadrata fenestra recessu ». « THEOBALDUS » ; 25 « Impia perpendens phrigii perjuria pacti ». « JO. « LIGARIUS » ; 26 « Nil rabidas voces, nil agmina livida pendit ». « THEOBALDUS » ; 27 « Duxit ab obscura radiosam nube columnam ». « TEXTOR » ; 28 « Nuper idumeo solvens a littore puppis ». « THEOBALDUS » ; 29 « Post nimios estus tellus cum torrida fruges » « JO. LIGARIUS » ; 30 « Audite, edomiti populi, quos martius horror ». « LAIR »