993 resultados para OPERACIONES BANCARIAS DE INVERSION
Resumo:
A number of geophysical methods, such as ground-penetrating radar (GPR), have the potential to provide valuable information on hydrological properties in the unsaturated zone. In particular, the stochastic inversion of such data within a coupled geophysical-hydrological framework may allow for the effective estimation of vadose zone hydraulic parameters and their corresponding uncertainties. A critical issue in stochastic inversion is choosing prior parameter probability distributions from which potential model configurations are drawn and tested against observed data. A well chosen prior should reflect as honestly as possible the initial state of knowledge regarding the parameters and be neither overly specific nor too conservative. In a Bayesian context, combining the prior with available data yields a posterior state of knowledge about the parameters, which can then be used statistically for predictions and risk assessment. Here we investigate the influence of prior information regarding the van Genuchten-Mualem (VGM) parameters, which describe vadose zone hydraulic properties, on the stochastic inversion of crosshole GPR data collected under steady state, natural-loading conditions. We do this using a Bayesian Markov chain Monte Carlo (MCMC) inversion approach, considering first noninformative uniform prior distributions and then more informative priors derived from soil property databases. For the informative priors, we further explore the effect of including information regarding parameter correlation. Analysis of both synthetic and field data indicates that the geophysical data alone contain valuable information regarding the VGM parameters. However, significantly better results are obtained when we combine these data with a realistic, informative prior.
Resumo:
La présente recherche se propose de désobstruer un certain nombre de catégories « esthétiques », au sens étendu du terme, de leur métaphysique implicite. La thèse que je souhaite défendre se présente sous la forme d'un paradoxe : d'une part, le sens originel d'« esthétique » a été perdu de vue, d'autre part, malgré cet oubli, quiconque s'interroge philosophiquement sur les beaux-arts reçoit, nolens volens, Baumgarten en héritage. Avec AEsthetica (1750/1758), ouvrage inachevé et hautement problématique, nous pourrions dire, citant René Char, qu'il s'agit-là d'un « héritage précédé d'aucun testament ». En d'autres termes, ce qui nous échoit nous occupe, voire nous préoccupe, sans que nous disposions des outils conceptuels pour nous y rapporter librement. Soyons clairs, je ne soutiens pas que l'esthétique philosophique, telle qu'elle s'énonce à ses débuts, soit un passage obligé pour penser l'art, et ce d'autant plus qu'il ne s'agit pas d'un passage, mais proprement d'une impasse. Ce que je veux dire, c'est que Kant répond à Baumgarten, et que Hegel répond à Kant et ainsi de suite. Il n'y a pas de tabula rasa dans l'histoire de la pensée, et l'oubli de l'historicité d'une pensée est le meilleur moyen de la neutraliser en simple supplément culturel, tout en demeurant entièrement captifs de ses présupposés.Au départ, la question qui motivait implicitement la rédaction de cette recherche se formulait ainsi : « Dans quelle mesure la philosophie énonce-t-elle quelque chose d'important au sujet des beaux-arts ? » Au fil du temps, la question s'est inversée pour devenir : « Qu'est-ce que les écrits sur les beaux- arts, tels qu'ils foisonnent au 18e siècle, nous enseignent à propos de la philosophie et des limites inhérentes à sa manière de questionner ?» Et gardons-nous de penser qu'une telle inversion cantonne la question de l'esthétique, au sens très large du terme, à n'être qu'une critique immanente à l'histoire de la philosophie. Si la philosophie était une « discipline » parmi d'autres, un « objet » d'étude possible dans la liste des matières universitaires à choix, elle ne vaudrait pas, à mon sens, une seule heure de peine. Mais c'est bien parce que la philosophie continue à orienter la manière dont nous nous rapportons au « réel », au « monde » ou à l'« art » - je place les termes entre guillemets pour indiquer qu'il s'agit à la fois de termes usuels et de concepts philosophiques - que les enjeux de la question de l'esthétique, qui est aussi et avant tout la question du sentir, excèdent l'histoire de la philosophie.Pour introduire aux problèmes soulevés par l'esthétique comme discipline philosophique, j'ai commencé par esquisser à grands traits la question du statut de l'image, au sens le plus général du terme. Le fil conducteur a été celui de l'antique comparaison qui conçoit la poésie comme une « peinture parlante » et la peinture comme une « poésie muette ». Dans le prolongement de cette comparaison, le fameux adage ut pictura poesis erit a été conçu comme le véritable noeud de toute conception esthétique à venir.Il s'est avéré nécessaire d'insister sur la double origine de la question de l'esthétique, c'est-à-dire la rencontre entre la pensée grecque et le christianisme. En effet, l'un des concepts fondamentaux de l'esthétique, le concept de création et, plus spécifiquement la possibilité d'une création ex nihiio, a été en premier lieu un dogme théologique. Si j'ai beaucoup insisté sur ce point, ce n'est point pour établir une stricte identité entre ce dogme théologique et le concept de création esthétique qui, force est de l'admettre, est somme toute souvent assez flottant dans les écrits du 18e siècle. L'essor majeur de la notion de création, couplée avec celle de génie, sera davantage l'une des caractéristiques majeures du romantisme au siècle suivant. La démonstration vise plutôt à mettre en perspective l'idée selon laquelle, à la suite des théoriciens de l'art de la Renaissance, les philosophes du Siècle des Lumières ont accordé au faire artistique ou littéraire une valeur parfaitement inédite. Si l'inventeur du terme « esthétique » n'emploie pas explicitement le concept de création, il n'en demeure pas moins qu'il attribue aux poètes et aux artistes le pouvoir de faire surgir des mondes possibles et que ceux-ci, au même titre que d'autres régions de l'étant, font l'objet d'une saisie systématique qui vise à faire apparaître la vérité qui leur est propre. Par l'extension de l'horizon de la logique classique, Baumgarten inclut les beaux-arts, à titre de partie constituante des arts libéraux, comme objets de la logique au sens élargi du terme, appelée « esthético- logique ». L'inclusion de ce domaine spécifique d'étants est justifiée, selon les dires de son auteur, par le manque de concrétude de la logique formelle. Or, et cela n'est pas le moindre des paradoxes de l'esthétique, la subsomption des beaux-arts sous un concept unitaire d'Art et la portée noétique qui leur est conférée, s'opère à la faveur du sacrifice de leur singularité et de leur spécificité. Cela explique le choix du titre : « métaphysique de l'Art » et non pas « métaphysique de l'oeuvre d'art » ou « métaphysique des beaux-arts ». Et cette aporîe constitutive de la première esthétique est indépassable à partir des prémices que son auteur a établies, faisant de la nouvelle discipline une science qui, à ce titre, ne peut que prétendre à l'universalité.Au 18e siècle, certaines théories du beau empruntent la voie alternative de la critique du goût. J'ai souhaité questionner ces alternatives pour voir si elles échappent aux problèmes posés par la métaphysique de l'Art. Ce point peut être considéré comme une réplique à Kant qui, dans une note devenue célèbre, soutient que « les Allemands sont les seuls à se servir du mot "esthétique" pour désigner ce que d'autres appellent la critique du goût ». J'ai démontré que ces deux termes ne sont pas synonymes bien que ces deux positions philosophiques partagent et s'appuient sur des présupposés analogues.La distinction entre ces deux manières de penser l'art peut être restituée synthétiquement de la sorte : la saisie systématique des arts du beau en leur diversité et leur subsomption en un concept d'Art unitaire, qui leur attribue des qualités objectives et une valeur de vérité indépendante de toute saisie subjective, relègue, de facto, la question du jugement de goût à l'arrière-plan. La valeur de vérité de l'Art, définie comme la totalité des qualités intrinsèques des oeuvres est, par définition, non tributaire du jugement subjectif. Autrement dit, si les oeuvres d'art présentent des qualités intrinsèques, la question directrice inhérente à la démarche de Baumgarten ne peut donc nullement être celle d'une critique du goût, comme opération subjective {Le. relative au sujet, sans que cela soit forcément synonyme de « relativisme »), mais bien la quête d'un fondement qui soit en mesure de conférer à l'esthétique philosophique, en tant que métaphysique spéciale, sa légitimité.Ce qui distingue sur le plan philosophique le projet d'une métaphysique de l'Art de celui d'une esthétique du goût réside en ceci que le premier est guidé, a priori, par la nécessité de produire un discours valant universellement, indépendant des oeuvres d'art, tandis que le goût, pour s'exercer, implique toujours une oeuvre singulière, concrète, sans laquelle celui-ci ne reste qu'à l'état de potentialité. Le goût a trait au particulier et au contingent, sans être pour autant quelque chose d'aléatoire. En effet, il n'est pas un véritable philosophe s'interrogeant sur cette notion qui n'ait entrevu, d'une manière ou d'une autre, la nécessité de porter le goût à la hauteur d'un jugement, c'est-à-dire lui conférer au moins une règle ou une norme qui puisse le légitimer comme tel et le sauver du relativisme, pris en son sens le plus péjoratif. La délicatesse du goût va même jusqu'à être tenue pour une forme de « connaissance », par laquelle les choses sont appréhendées dans toute leur subtilité. Les différents auteurs évoqués pour cette question (Francis Hutcheson, David Hume, Alexander Gerard, Louis de Jaucourt, Montesquieu, Voltaire, D'Alembert, Denis Diderot, Edmund Burke), soutiennent qu'il y a bien quelque chose comme des « normes » du goût, que celles-ci soient inférées des oeuvres de génie ou qu'elles soient postulées a priori, garanties par une transcendance divine ou par la bonté de la Nature elle-même, ce qui revient, en dernière instance au même puisque le geste est similaire : rechercher dans le suprasensible, dans l'Idée, un fondement stable et identique à soi en mesure de garantir la stabilité de l'expérience du monde phénoménal.La seconde partie de la recherche s'est articulée autour de la question suivante : est-ce que les esthétiques du goût qui mesurent la « valeur » de l'oeuvre d'art à l'aune d'un jugement subjectif et par l'intensité du sentiment échappent aux apories constitutives de la métaphysique de l'Art ?En un sens, une réponse partielle à cette question est déjà contenue dans l'expression « esthétique du goût ». Cette expression ne doit pas être prise au sens d'une discipline ou d'un corpus unifié : la diversité des positions présentées dans cette recherche, bien que non exhaustive, suffit à le démontrer. Mais ce qui est suggéré par cette expression, c'est que ces manières de questionner l'art sont plus proches du sens original du terme aisthêsis que ne l'est la première esthétique philosophique de l'histoire de la philosophie. L'exercice du goût est une activité propre du sentir qui, en même temps, est en rapport direct avec la capacité intellectuelle à discerner les choses et à un juger avec finesse et justesse.Avec le goût esthétique s'invente une espèce de « sens sans organe » dont la teneur ontologique est hybride, mais dont le nom est identique à celui des cinq sens qui procurent la jouissance sensible la plus immédiate et la moins raisonnable qui soit. Par la reconnaissance de l'existence d'un goût « juste » et « vrai », ou à défaut, au moins de l'existence d'une « norme » indiscutable de celui-ci, c'est-à-dire de la possibilité de formuler un jugement de goût une tentative inédite de spîritualisation de la sensibilité a lieu.Par conséquent, il est loin d'être évident que ce que j'ai appelé les esthétiques du goût échappent à un autre aspect aporétique de la métaphysique de l'Art, à savoir : passer à côté du caractère singulier de telle ou telle oeuvre afin d'en dégager les traits universels qui permettent au discours de s'étayer. Dans une moindre mesure, cela est même le cas dans les Salons de Diderot où, trop souvent, le tableau sert de prétexte à l'élaboration d'un discours brillant.Par contre, tout l'intérêt de la question du goût réside en ceci qu'elle présente, de façon particulièrement aiguë, les limites proprement métaphysiques dont l'esthétique, à titre de discipline philosophique, se fait la légataire et tente à sa manière d'y remédier par une extension inédite du concept de vérité et sa caractérisai ion en termes de vérité « esthéticologique » au paragraphe 427 de Y Esthétique. Cela dit, le fait même que dans l'empirisme la sensibilité s'oppose, une fois de plus, à l'intellect comme source de la naissance des idées - même si c'est dans la perspective d'une réhabilitation de la sensibilité -, indique que l'horizon même de questionnement demeure inchangé. Si le goût a pu enfin acquérir ses lettres de noblesse philosophique, c'est parce qu'il a été ramené, plus ou moins explicitement, du côté de la raison. Le jugement portant sur les arts et, de manière plus générale, sur tout ce qui est affaire de goût ne saurait se limiter au sentiment de plaisir immédiat. Le vécu personnel doit se transcender en vertu de critères qui non seulement permettent de dépasser le relativisme solipsiste, mais aussi de donner forme à l'expérience vécue afin qu'elle manifeste à chaque fois, et de façon singulière, une portée universelle.Le goût, tel qu'il devient un topos des discours sur l'art au 18e siècle, peut, à mon sens, être interprété comme l'équivalent de la glande pinéale dans la physiologie cartésienne : l'invention d'un « je ne sais quoi » situé on ne sait où, sorte d'Hermès qui assure la communication entre l'âme et le corps et sert l'intermédiaire entre l'intellect et la sensibilité. L'expérience décrite dans l'exercice du goût implique de facto une dimension par définition occultée par la métaphysique de l'Art : le désir. Pour goûter, il faut désirer et accepter d'être rempli par l'objet de goût. Dans l'exercice du goût, le corps est en jeu autant que l'intellect, il s'agit d'une expérience totale dans laquelle aucune mise à distance théorétique n'est, en un premier temps, à même de nous prémunir de la violence des passions qui nous affectent. L'ambiguïté de cette notion réside précisément dans son statut ontologiquement problématique. Mais cette incertitude est féconde puisqu'elle met en exergue le caractère problématique de la distinction entre corps et esprit. Dans la notion de goût est contenue l'idée que le corps pense aussi et que, par voie de conséquence, la sensibilité n'est pas dépourvue de dimension spirituelle. Reste que formuler les choses de la sorte revient à rejouer, en quelque sorte, l'antique diaphorâ platonicienne et à convoquer, une fois de plus, les grandes oppositions métaphysiques telles que corps et âme, sensible et intelligible, matière et forme.La troisième partie est entièrement consacrée à Shaftesbury qui anticipe le statut ontologiquement fort de l'oeuvre d'art (tel qu'il sera thématisé par Baumgarten) et l'allie à une critique du goût. Cet auteur peut être considéré comme une forme d'exception qui confirme la règle puisque sa métaphysique de l'Art laisse une place prépondérante à une critique du goût. Mais le cumul de ces deux caractéristiques opposées un peu schématiquement pour les besoins de la démonstration n'invalide pas l'hypothèse de départ qui consiste à dire que la saisie philosophique de la question du goût et l'invention conjointe de l'esthétique au 18e siècle sont deux tentatives de trouver une issue au problème du dualisme des substances.Cette recherche doit être prise comme une forme de propédeutique à la fois absolument nécessaire et parfaitement insuffisante. Après Baumgarten et le siècle du goût philosophique, les propositions de dépassement des apories constitutives d'une tradition qui pense l'art à partir de couples d'oppositions métaphysiques tels qu'âme et corps, forme et matière, ainsi que leurs traductions dans les arts visuels (dessin et couleur ou encore figuration et abstraction), n'ont pas manqué. Il aurait fallu in fine s'effacer pour laisser la place aux plasticiens eux-mêmes, mais aussi aux poètes, non plus dans l'horizon de Y ut pictura, mais lorsqu'ils expriment, sans verser dans l'analyse conceptuelle, leurs rencontres avec telle ou telle oeuvre (je pense à Baudelaire lorsqu'il évoque Constantin Guys, à Charles Ferdinand Ramuz lorsqu'il rend hommage à Cézanne ou encore à Pascal Quignard lorsqu'il raconte les fresques de la maison des Dioscures à Pompéi, pour ne citer que trois noms qui affleurent immédiatement à ma mémoire tant leur souvenir est vivace et leur exemple un modèle). Et puis il s'agit, malgré tout, de ne pas renoncer pour autant au discours esthétique, c'est- à-dire à la philosophie, mais de réinterroger les catégories dont nous sommes les légataires et de penser avec et au-delà des limites qu'elles nous assignent. Mais cela ferait l'objet d'un autre ouvrage.
Resumo:
PURPOSE: In the present study, the impact of the two different fat suppression techniques was investigated for free breathing 3D spiral coronary magnetic resonance angiography (MRA). As the coronary arteries are embedded in epicardial fat and are adjacent to myocardial tissue, magnetization preparation such as T(2)-preparation and fat suppression is essential for coronary discrimination. MATERIALS AND METHODS: Fat-signal suppression in three-dimensional (3D) thin- slab coronary MRA based on a spiral k-space data acquisition can either be achieved by signal pre-saturation using a spectrally selective inversion recovery pre-pulse or by spectral-spatial excitation. In the present study, the performance of the two different approaches was studied in healthy subjects. RESULTS: No significant objective or subjective difference was found between the two fat suppression approaches. CONCLUSION: Spectral pre-saturation seems preferred for coronary MRA applications due to the ease of implementation and the shorter cardiac acquisition window.
Resumo:
En los últimos años, se ha llevado a cabo un considerable esfuerzo de análisis y catalogación de la ingente cantidad de mapas militares, planos, croquis y vistas panorámicas realizados durante la Guerra Civil española, pero aún quedan múltiples aspectos por investigar. En este artículo, analizamos la formación cartográfica del general Vicente Rojo -el jefe del Estado Mayor del Ejército de Tierra republicano-, las relaciones de Rojo con la cartografía durante la Guerra Civil y la cartografía militar contenida en su archivo personal, que se custodia en el Archivo Histórico Nacional de Madrid. Dicha cartografía posee un gran valor cartográfico y militar, porque fue utilizada por el Estado Mayor del Ejército de Tierra republicano durante el período en que Rojo estuvo al frente del mismo, y porque contiene una serie de documentos cartográficos manuscritos inéditos de gran importancia para comprender el desarrollo de algunas de las operaciones bélicas principales.
Resumo:
Durante los años veinte, tras una profunda reorganización de los servicios cartográficos del Estado, la dictadura de Primo de Rivera encargó al Depósito de la Guerra la formación de un mapa topográfico del Protectorado español de Marruecos a escala 1:50. 000. El levantamiento de la carta marroquí se realizó simultáneamente a otras operaciones cartográficas en las islas Canarias, el norte de África y la Península. Este artículo estudia la formación del mapa de Marruecos, prestando especial atención a su contexto geopolítico e institucional. La carta marroquí abrió una nueva etapa en la militarización de la cartografía topográfica española. La consulta de fuentes archivísticas ha permitido reconstruir la trayectoria profesional de sus artífices.
Resumo:
We present a new framework for large-scale data clustering. The main idea is to modify functional dimensionality reduction techniques to directly optimize over discrete labels using stochastic gradient descent. Compared to methods like spectral clustering our approach solves a single optimization problem, rather than an ad-hoc two-stage optimization approach, does not require a matrix inversion, can easily encode prior knowledge in the set of implementable functions, and does not have an ?out-of-sample? problem. Experimental results on both artificial and real-world datasets show the usefulness of our approach.
Resumo:
Intraspecific variability in social organization is common, yet the underlying causes are rarely known. In the fire ant Solenopsis invicta, the existence of two divergent forms of social organization is under the control of a single Mendelian genomic element marked by two variants of an odorant-binding protein gene. Here we characterize the genomic region responsible for this important social polymorphism, and show that it is part of a pair of heteromorphic chromosomes that have many of the key properties of sex chromosomes. The two variants, hereafter referred to as the social B and social b (SB and Sb) chromosomes, are characterized by a large region of approximately 13 megabases (55% of the chromosome) in which recombination is completely suppressed between SB and Sb. Recombination seems to occur normally between the SB chromosomes but not between Sb chromosomes because Sb/Sb individuals are non-viable. Genomic comparisons revealed limited differentiation between SB and Sb, and the vast majority of the 616 genes identified in the non-recombining region are present in the two variants. The lack of recombination over more than half of the two heteromorphic social chromosomes can be explained by at least one large inversion of around 9 megabases, and this absence of recombination has led to the accumulation of deleterious mutations, including repetitive elements in the non-recombining region of Sb compared with the homologous region of SB. Importantly, most of the genes with demonstrated expression differences between individuals of the two social forms reside in the non-recombining region. These findings highlight how genomic rearrangements can maintain divergent adaptive social phenotypes involving many genes acting together by locally limiting recombination.
Resumo:
Surface-based ground penetrating radar (GPR) and electrical resistance tomography (ERT) are common tools for aquifer characterization, because both methods provide data that are sensitive to hydrogeologically relevant quantities. To retrieve bulk subsurface properties at high resolution, we suggest incorporating structural information derived from GPR reflection data when inverting surface ERT data. This reduces resolution limitations, which might hinder quantitative interpretations. Surface-based GPR reflection and ERT data have been recorded on an exposed gravel bar within a restored section of a previously channelized river in northeastern Switzerland to characterize an underlying gravel aquifer. The GPR reflection data acquired over an area of 240×40 m map the aquifer's thickness and two internal sub-horizontal regions with different depositional patterns. The interface between these two regions and the boundary of the aquifer with then underlying clay are incorporated in an unstructured ERT mesh. Subsequent inversions are performed without applying smoothness constraints across these boundaries. Inversion models obtained by using these structural constraints contain subtle resistivity variations within the aquifer that are hardly visible in standard inversion models as a result of strong vertical smearing in the latter. In the upper aquifer region, with high GPR coherency and horizontal layering, the resistivity is moderately high (N300 Ωm). We suggest that this region consists of sediments that were rearranged during more than a century of channelized flow. In the lower low coherency region, the GPR image reveals fluvial features (e.g., foresets) and generally more heterogeneous deposits. In this region, the resistivity is lower (~200 Ωm), which we attribute to increased amounts of fines in some of the well-sorted fluvial deposits. We also find elongated conductive anomalies that correspond to the location of river embankments that were removed in 2002.
Resumo:
El trabajo trata de la reforma de la enseñanza militar que da acceso a las escalas de oficiales y suboficiales de los cuerpos generales y de Infantería de Marina. Dicha reforma está orientada a incorporar plenamente la enseñanza en las Fuerzas Armadas al sistema educativo general, dando un paso más en el camino ya iniciado por la Ley 17/1989, de 19 de julio, reguladora del Régimen del Personal Militar Profesional. Simplificando, se trata de sustituir un sistema de equivalencias entre la enseñanza militar y la civil, por el requisito de la obtención para el acceso a las escalas de oficiales y de suboficiales de un título oficial de graduado universitario o de técnico superior de formación profesional, respectivamente. Además, tanto el sistema de centros universitarios de la defensa, como las academias y escuelas autorizadas en el caso de los suboficiales, se ven sujetos a la normativa general y a los sistemas de garantía de calidad que rigen en cada ámbito de dichas enseñanzas. Todo ello sin menoscabar la finalidad esencial de la enseñanza militar: formar excelentes oficiales y suboficiales, con la capacidad profesional y el prestigio que han demostrado en más de 20 años de operaciones de mantenimiento de la paz en el exterior.
Resumo:
Automatic environmental monitoring networks enforced by wireless communication technologies provide large and ever increasing volumes of data nowadays. The use of this information in natural hazard research is an important issue. Particularly useful for risk assessment and decision making are the spatial maps of hazard-related parameters produced from point observations and available auxiliary information. The purpose of this article is to present and explore the appropriate tools to process large amounts of available data and produce predictions at fine spatial scales. These are the algorithms of machine learning, which are aimed at non-parametric robust modelling of non-linear dependencies from empirical data. The computational efficiency of the data-driven methods allows producing the prediction maps in real time which makes them superior to physical models for the operational use in risk assessment and mitigation. Particularly, this situation encounters in spatial prediction of climatic variables (topo-climatic mapping). In complex topographies of the mountainous regions, the meteorological processes are highly influenced by the relief. The article shows how these relations, possibly regionalized and non-linear, can be modelled from data using the information from digital elevation models. The particular illustration of the developed methodology concerns the mapping of temperatures (including the situations of Föhn and temperature inversion) given the measurements taken from the Swiss meteorological monitoring network. The range of the methods used in the study includes data-driven feature selection, support vector algorithms and artificial neural networks.
Resumo:
Harinera La Montserrat, S.A, a company involved in the manufacturing and trading of cereals and flour, was founded in Girona in 1898 by José Ensesa y Cía., Sociedad en Comandita. With the objective to determine how the product activity of this business was structured, we have studied in detail the operations that were carried out over the agricultural year 1903-1904. We have focused on three main aspects. Firstly, the purchasing of wheat (origin, transportation, prices); secondly, the production of flour (using internal and external wheat, profits); and thirdly, its distribution (customers, destination). Finally, we have analyzed the profit and loos account for this period in order to find out if this business was profitable
Resumo:
OBJECTIVE: To describe the epidemiology of cleft palate (CP) in Europe. DESIGN AND SETTING: A descriptive epidemiological study on 3852 cases of CP, identified (1980 through 1996) from more than 6 million births from the EUROCAT network of 30 registers in 16 European countries. RESULTS: Significant differences in prevalence in Europe between registries and within countries were observed. A total of 2112 (54.8%) CP cases occurred as isolated, 694 (18.0%) were associated with other defects such as multiple congenital anomalies, and 1046 (27.2%) were in recognized conditions. The study confirmed the tendency toward female prevalence (sex ratio [SR] = 0.83), particularly among isolated cases (SR = 0.78) even if SR inversion is reported in some registries. A specific association with neural tube defects (NTDs) in some registers is reported. CONCLUSION: The differences identified in Europe (prevalence, sex, associated anomalies) can be only partially explained by methodological reasons because a common methodology was shared among all registries for case ascertainment and collection, and CP is an easy detectable condition with few induced abortions. The complex model of inheritance and the frequently conflicting results in different populations on the role of genes that constitute risk factors suggest the presence of real biological differences. The association of CP/NTD in an area with a high prevalence of NTDs can identify a group of conditions that can be considered etiologically homogeneous. The epidemiological evaluation can guide genetic research to specify the role of etiological factors in each different population
Resumo:
Despite obvious improvements in spectral resolution at high magnetic field, the detection of 13C labeling by 1H-[13C] NMR spectroscopy remains hampered by spectral overlap, such as in the spectral region of 1H resonances bound to C3 of glutamate (Glu) and glutamine (Gln), and C6 of N-acetylaspartate (NAA). The aim of this study was to develop, implement, and apply a novel 1H-[13C] NMR spectroscopic editing scheme, dubbed "selective Resonance suppression by Adiabatic Carbon Editing and Decoupling single-voxel STimulated Echo Acquisition Mode" (RACED-STEAM). The sequence is based on the application of two asymmetric narrow-transition-band adiabatic RF inversion pulses at the resonance frequency of the 13C coupled to the protons that need to be suppressed during the mixing time (TM) period, alternating the inversion band downfield and upfield from the 13C resonance on odd and even scans, respectively, thus suppressing the detection of 1H resonances bound to 13C within the transition band of the inversion pulse. The results demonstrate the efficient suppression of 1H resonances bound to C3 of Glu and Gln, and C4 of Glu, which allows the 1H resonances bound to C6 of NAA and C4 of Gln to be revealed. The measured time course of the resolved labeling into NAA C6 with the new scheme was consistent with the slow turnover of NAA.
Resumo:
PURPOSE: To examine the reproducibility of carotid artery dimension measurements using 3T MRI. MATERIALS AND METHODS: Ten healthy volunteers underwent three scans on two occasions for assessment of total vessel wall area (TVWA), total luminal area (TLA), and minimum (MinT) and maximum (MaxT) vessel wall thickness. A double inversion-recovery (IR) fast gradient-echo (FGRE) sequence was used on a commercial 3T system. During the first visit the subjects were scanned twice. The third scan was performed at least four days later. One observer traced all scans, and a second observer retraced the first scan series. RESULTS: For TVWA an interclass correlation (ICC) of 0.994 was calculated with all three scans taken into account. The interobserver ICC was 0.984. The agreement between the scans for TLA showed an ICC of 0.982 with an interobserver ICC of 0.998. For MinT and MaxT an ICC of 0.843 and 0.935 were calculated, with interobserver ICCs of 0.860 and 0.726, respectively. CONCLUSION: With the use of a commercial 3T MR system, TVWA, TLA, and wall thickness measurements of the carotid artery can be assessed with good reproducibility.
Resumo:
In this paper we propose the inversion of nonlinear distortions in order to improve the recognition rates of a speaker recognizer system. We study the effect of saturations on the test signals, trying to take into account real situations where the training material has been recorded in a controlled situation but the testing signals present some mismatch with the input signal level (saturations). The experimental results for speaker recognition shows that a combination of several strategies can improve the recognition rates with saturated test sentences from 80% to 89.39%, while the results with clean speech (without saturation) is 87.76% for one microphone, and for speaker identification can reduce the minimum detection cost function with saturated test sentences from 6.42% to 4.15%, while the results with clean speech (without saturation) is 5.74% for one microphone and 7.02% for the other one.