Relationship of aerobic fitness and motor skills with memory and attention in preschoolers (Ballabeina): A cross-sectional and longitudinal study.

Background: The debate about a possible relationship between aerobic fitness and motor skills with cognitive development in children has recently re-emerged, because of the decrease in children's aerobic fitness and the concomitant pressure of schools to enhance cognitive performance. As the literature in young children is scarce, we examined the cross-sectional and longitudinal relationship of aerobic fitness and motor skills with spatial working memory and attention in preschool children.Methods: Data from 245 ethnically diverse preschool children (mean age: 5.2 (0.6) years, girls: 49.4%) analyzed at baseline and 9 months later. Assessments included aerobic fitness (20 m shuttle run) and motor skills with agility (obstacle course) and dynamic balance (balance beam). Cognitive parameters included spatial working memory (IDS) and attention (KHV-VK). All analyses were adjusted for age, sex, BMI, migration status, parental education, native language and linguistic region. Longitudinal analyses were additionally adjusted for the respective baseline value.Results: In the cross-sectional analysis, aerobic fitness was associated with better attention (r = 0.16, p = 0.03). A shorter time in the agility test was independently associated with a better performance both in working memory (r = -0.17, p = 0.01) and in attention (r = -0.20, p = 0.01). In the longitudinal analyses, baseline aerobic fitness was independently related to improvements in attention (r = 0.16, p = 0.03), while baseline dynamic balance was associated with improvements in working memory (r = 0.15, p = 0.04).Conclusions: In young children, higher baseline aerobic fitness and motor skills were related to a better spatial working memory and/or attention at baseline, and to some extent also to their future improvements over the following 9 months.

Recuperación, erosión y retención de otolitos en bolos de Guanay: ¿son los bolos realmente buenos indicadores de la dieta?

Se estudió el porcentaje de recuperación, el grado de erosión y el tiempo máximo de retención de los otolitos en 13 guanayes en cautiverio. Las aves fueron alimentadas individualmente con peces enteros y frescos previamente medidos y marcados; produciendo en promedio (n=13) bolos en 55,05% de los días que duró el experimento. El 37,81% de las aves produjeron bolos con otolitos al día siguiente de haber consumido su alimento (n=2.134). En estos bolos se encontró que sólo el 14,79% de los otolitos y el 26,61 % de los cristalinos ingeridos son recuperados, variando el porcentaje de recuperación de acuerdo a la especie consumida. Se encontraron diferencias al comparar la distribución por tallas de las principales presas ingeridas con la distribución por tallas de estas especies reconstruida a partir de las longitudes o pesos de los otolitos recuperados. El 80% a 100% de los otolitos retenidos permanecen como máximo hasta tres días en el tracto digestivo del guanay, los otolitos grandes pueden permanecer hasta 9 días. La metodología que se propone permite tener una mejor aproximación de la dieta y mayor precisión al estimar el consumo de cada presa. Es posible estimar la cantidad real de alimento ingerido si se conoce el porcentaje de recuperación de los otolitos de las principales presas consumidas. Los resultados de este trabajo muestran que sin duda la información que proporcionan los bolos residuales es valiosa, pues permite conocer con gran precisión las pro­porciones en que se consumieron cada una de las presas. Sin embargo, la información sobre tallas de peces consumidos que se puede obtener a partir de los otolitos recuperados, plantea aún problemas que deben ser resueltos, en los cuales se deberá continuar investigando.

Panégyriques de saint François de Sales,... / par Bossuet, Bourdaloue, Fléchier, le P. Delarue, le P. Avrillon, le P. de Segaud, Frey de Neuville, de Beauvais. terminés par des fragments de Fénelon, relatifs au saint, et accompagnés d'un fac-simile de son écriture

Comprend : Fragments / Fénelon

Témoigner de son pâtir et de l'agir de Dieu. Les épreuves d'une communauté charismatique

On tentera de montrer, à partir de l'analyse d'un culte dominical survenu dans une communauté (évangélique) charismatique de Genève, comment les témoignages d'individus atteints par la souffrance viennent reconfigurer la compréhension que la communauté ecclésiale se fait d'elle-même et de ses rapports à la divinité. Pour la plupart, ces personnes sont atteintes de maux auxquels les prières de guérison, les impositions des mains ou les onctions d'huile n'ont pu remédier. Parallèlement aux souffrances de ces individus, la communauté traverse une série d'épreuves. De sorte que la présence des uns pousse les autres à s'interroger : « Pourquoi Dieu n'intervient-il pas ? Les aurait-il abandonnés ? Pour quelles raisons nos prières sont-elles inefficaces ? Et s'ils les a abandonnés, nous aurait-il également délaissés ? ». L'analyse des prises de paroles et de la configuration liturgique de la célébration constitue le corps de l'article. Au terme du culte, le déplacement des auditeurs dans l'espace de la salle dit, au propre et au figuré, le rassemblement de le communauté autour de ceux des siens qui souffrent, ainsi que la reconnaissance que cette souffrance participe de celle qui affecte la communauté dans son ensemble. Il y a lieu d'y voir la réponse à un appel formulé par le pasteur et relayé par les témoins. Les témoignages et la prière disent premièrement le lien qui unit une communauté de croyants avec le divin, soit la manière dont elle se reconnaît habitée par la divinité. Il y a une continuité entre les corps - sains, malades ou guéris - des fidèles et les façons qu'a le corps ecclésial de s'envisager et de concevoir ses limites.