938 resultados para 25-HYDROXYVITAMIN-D CONCENTRATIONS
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[Traditions. Asie. Inde. Province de Madras [i.e. Chennai]. État du Kérala. Kochi]
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[Traditions. Asie. Inde. État du Gujarat. Ahmadabad]
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[Traditions. Asie. Inde. Présidence de Bombay. Pakistan. Province du Sind. Haidarābād]
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[Traditions. Asie. Inde. Province de Delhi]
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[Traditions. Asie. Inde. Pakistan. Province du Sind. Haidarābād]
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Hébreu
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Collection : Bibliothèque de l'École des Hautes-Études. Sciences philologiques et historiques ; 74
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[Bataille de Caresme et de Charnage (français moyen). 1933]
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[Traditions. Afrique. Madagascar]
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Titre uniforme : [Le devin du village]. Extrait
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Context: Clinical manifestations of vitamin D deficiency rickets are widely described; however cardiorespiratory arrest is an extremely rare presentation. Objective: The aim of this paper is to present the symptoms of severe vitamin D deficiency rickets and to highlight the importance of vitamin D prophylaxis in infants. Results: We report a case of a 16-month-old infant who presented to emergency room with a stridor that evolved into a full cardiorespiratory arrest secondary to hypocalcemia. Medical history revealed that the infant was exclusively breastfed without vitamin D supplementation until the age of 10 months. Due to cultural habits, his diet was also grossly deficient in dairy products. Physical exam revealed clinical signs of rickets. Laboratory test showed severe hypocalcemia, elevated alkaline phosphatase, normal serum phosphorous, decreased 25(OH) cholecalciferol, increased intact parathyroid hormone level, and normal urine calcium excretion. The radiography of the wrist showed evidence of cupping, fraying, metaphyseal widening, and demineralization of the distal radial and ulnar metaphyses. The bone mineral density of the lumbar spine measured by dual x-ray absorptiometry showed a Z-score below -2 SD. His cardiorespiratory arrest secondary to hypocalcemia was therefore attributed to severe nutritional rickets. Conclusion: Vitamin D deficiency rickets can be life threatening. Vitamin D supplementation is therefore crucial, especially in breastfed infants and some ethnic minorities (dark-skinned people, poor sun exposure), more at risk for developing severe rickets if not supplemented.
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Échelle(s) : [1:2 921 000 environ], Lieües Commes de France 25 [= 3,8 cm]
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Contexte: Impression clinique que l'Etat de Stress Post-traumatique (ESPT) est sous-diagnostiqué dans la prise en charge des patients qui sont évalués dans le cadre d'une urgence psychiatrique. Objectifs: (i) identifier la prévalence de l'ESPT dans une unité d'urgence psychiatrique au moyen d'un instrument diagnostic et la comparer avec le diagnostic clinique retenu dans un échantillon historique (ii) évaluer la perception des cliniciens quant à l'utilisation systématique d'un instrument diagnostic Méthodes: la prévalence de l'ESPT a été évaluée chez des patients consécutifs (N = 403) qui ont bénéficié d'une consultation par des psychiatres de l'Unité urgence-crise du Service de Psychiatrie de Liaison (PLI) du CHUV, en utilisant le module J du Mini Mental Neuropsychologic Interview (MINI 5.0.0, version CIM-10). Ce résultat a été comparé avec la prévalence de l'ESPT mentionné comme diagnostic dans les dossiers (N = 350) d'un échantillon historique. La perception des médecins-assistants de psychiatrie quant au dépistage systématique de l'ESPT avec un instrument a été étudiée en se basant sur la conduite d'un focus group d'assistants travaillant dans l'Unité urgence-crise du PLI. Résultats: Parmi les patients (N = 316) évalués à l'aide de l'instrument diagnostic, 20,3% (n = 64) réunissaient les critères de l'ESPT. Cela constitue un taux de prévalence significativement plus élevé que la prévalence d'ESPT documentée dans les dossiers de l'échantillon historique (0,57%). Par ailleurs, la prévalence de l'ESPT est significativement plus élevée parmi les groupes socio- économiques précarisés, tels que réfugiés et sans papiers (50%), patients venant d'un pays à histoire de guerre récente (47,1%), patients avec quatre (44,4%) ou trois comorbidités psychiatriques (35,3%), migrants (29,8%) et patients sans revenus professionnels (25%). Le focus groupe composé de 8 médecins-assistants a révélé que l'utilisation systématique d'un outil- diagnostic ne convenait pas dans le setting d'urgence psychiatrique, notamment parce que l'instrument a été considéré comme non adapté à une première consultation ou jugé avoir un impact négatif sur l'entretien clinique. Toutefois, après la fin de l'étude, les médecins-assistants estimaient qu'il était important de rechercher activement l'ESPT et continuaient à intégrer les éléments principaux du questionnaire dans leur travail clinique. Conclusion et perspectives: cette étude confirme que l'ESPT est largement sous-diagnostiqué dans le contexte des urgences psychiatriques, mais que l'usage systématique d'un outil diagnostic dans ce cadre ne satisfait pas les praticiens concernés. Pour améliorer la situation et au vu du fait qu'un instrument diagnostic est considéré comme non-adapté dans ce setting, il serait peut-être bénéfique d'envisager un dépistage ciblé et/ou de mettre en place une stratégie de formation institutionnelle.
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BACKGROUND: A rapid decrease of serum potassium concentrations during haemodialysis produces a significant increase in blood pressure parameters at the end of the session, even if effects on intra-dialysis pressure are not seen. Paradoxically, in animal models potassium is a vasodilator and decreases myocardial contractility. The purpose of this trial is to study the precise haemodynamic consequences induced by acute changes in potassium concentration during haemodialysis. METHODS: In 24 patients, 288 dialysis sessions, using a randomised single blind crossover design, we compared six dialysate sequences with different potassium profiles. The dialysis sessions were divided into 3 tertiles, casually modulating potassium concentration in the dialysate between the value normally used K and the two cut-off points K+1 and K-1 mmol/l. Haemodynamics were evaluated in a non-invasive manner using a finger beat-to-beat monitor. RESULTS: Comparing K-1 and K+1, differences were found within the tertiles regarding systolic (+5.3, +6.6, +2.3 mmHg, p < 0.05, < 0.05, ns) and mean blood pressure (+4.3, +6.4, -0.5 mmHg, p < 0.01, < 0.01, ns), as well as peripheral resistance (+212, +253, -4 dyne.sec.cm-5, p < 0.05, < 0.05, ns). The stroke volume showed a non-statistically-significant inverse trend (-3.1, -5.2, -0.2 ml). 18 hypotension episodes were recorded during the course of the study. 72% with K-1, 11% with K and 17% with K+1 (p < 0.01 for comparison K-1 vs. K and K-1 vs. K+1). CONCLUSIONS: A rapid decrease in the concentration of serum potassium during the initial stage of the dialysis-obtained by reducing the concentration of potassium in the dialysate-translated into a decrease of systolic and mean blood pressure mediated by a decrease in peripheral resistance. The risk of intra-dialysis hypotension inversely correlates to the potassium concentration in the dialysate. TRIAL REGISTRATION NUMBER: NCT01224314.
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Introduction: Les services d'urgences sont régulièrement confrontés à des intoxications par ingestion de champignons. Ces situations, souvent banales, peuvent nécessiter une prise en charge intensive et comporter un risque réel de morbi-mortalité, en particulier lors de cytolyse hépatique aiguë. La prévalence, ainsi que la fréquence réelle des complications liées à l'ingestion de champignons sont mal connues. Méthodes: Etude rétrospective dans un service d'urgence universitaire entre décembre 2004 et octobre 2011. Les codes diagnostics «intoxication aux champignons», ainsi que les termes «amanite» ou «champignons» ont été extraits de la base de données des urgences. Les caractéristiques des patients, leurs présentations cliniques, durées de séjour et complications ont été analysées. Résultats: 72 cas ont été répertoriés et revus, âge 44,3 ± 2,0 ans (moy ± SE, 95%CI 40,2-48,4), ratio H:F 1:1,2 (33H, 39F). 81% des cas sont survenus entre août et décembre. 14 cas sont arrivés sous forme de clusters familiaux (35 patients, moyenne = 2,6 cas/cluster, min: 2, max: 7). Un spécialiste en mycologie a été contacté dans 25 cas pour identifier les champignons. 69 patients (96%) sont rentrés à domicile depuis les urgences (séjour de 10,8 ± 1,3 heures, 95%CI 8,2-13,4 h). Lorsque les symptômes survenaient <= 4 heures après l'ingestion, les patients restaient moins longtemps (N = 57, durée séjour médiane 6,1 h, P25-P75 3,2-11,8 h) que les cas avec des symptômes plus tardifs (N = 15, durée séjour médiane 13,3 h, P25-P75 10,2-36,2) (p = 0,0001 selon Mann-Whitney). Une patiente a nécessité un transfert dans un centre spécialisé (intoxication par amanite phalloïde, avec dosage positif de l'alpha-amanitine). Elle a bénéficié de silibinine et d'une hospitalisation (9 jours), avec une évolution favorable sans nécessité de transplantation. Les symptômes étaient apparus tardivement (7 h). Conclusions: Sur les 72 cas, un seul (1,4%) a nécessité une prise en charge spécialisée. Les autres patients ont pu rentrer à domicile dans les heures qui ont suivi leur admission. Une grande partie des cas est survenue entre août et décembre, période favorable pour la récolte ou la consommation de champignons. Cette analyse confirme que la plupart des cas sont bénins et que les patients peuvent rentrer rapidement à domicile une fois les symptômes passés. Le seul cas potentiellement grave a présenté des symptômes tardifs et une longue hospitalisation, ce qui réaffirme les données de la littérature.