956 resultados para β adrenergic agonist
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Le cannabis produit de nombreux effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les molécules contenues dans cette plante, désignées comme « phytocannabinoïdes », activent un système endogène qu’on appelle le système endocannabinoïde (eCB). Les effets de la consommation de cannabis sur la vision ont déjà été décrits sans cependant de formulation sur les mécanismes sous-jacents. Ces résultats comportementaux suggèrent, malgré tout, la présence de ce système eCB dans le système visuel, et particulièrement dans la rétine. Cette thèse vise donc à caractériser l’expression, la localisation et le rôle du système eCB dans la rétine du singe vervet, une espèce animale ayant un système visuel semblable à celui de l’humain. Nous avons mis au point un protocole expérimental d’immunohistochimie décrit dans l’article apparaissant dans l’Annexe I que nous avons utilisé pour répondre à notre objectif principal. Dans une première série de quatre articles, nous avons ainsi caractérisé l’expression et la localisation de deux récepteurs eCBs reconnus, les récepteurs cannabinoïdes de type 1 (CB1R) et de type 2 (CB2R), et d’un 3e présumé récepteur aux cannabinoïdes, le récepteur GPR55. Dans l’article 1, nous avons démontré que CB1R et une enzyme clé de ce système, la fatty acid amide hydrolase (FAAH), sont exprimés dans les parties centrale et périphérique de la rétine, et abondamment présents dans la fovéa, une région où l’acuité visuelle est maximale. Dans l’article 2, nous avons localisé le CB2R dans des cellules gliales de la rétine : les cellules de Müller et nous avons proposé un modèle sur l’action de cette protéine dans la fonction rétinienne faisant appel à une cascade chimique impliquant les canaux potassiques. Dans l’article 3, nous avons observé le GPR55 exclusivement dans les bâtonnets qui sont responsables de la vision scotopique et nous avons soumis un deuxième modèle de fonctionnement de ce récepteur par le biais d'une modulation des canaux calciques et sodiques des bâtonnets. Vu que ces 3 récepteurs se retrouvent dans des cellules distinctes, nous avons suggéré leur rôle primordial dans l’analyse de l’information visuelle au niveau rétinien. Dans l’article 4, nous avons effectué une analyse comparative de l’expression du système eCB dans la rétine de souris, de toupayes (petits mammifères insectivores qui sont sont considérés comme l’étape intermédiaire entre les rongeurs et les primates) et de deux espèces de singe (le vervet et le rhésus). Ces résultats nous ont menés à présenter une hypothèse évolutionniste quant à l’apparition et à la fonction précise de ces récepteurs. Dans les articles subséquents, nous avons confirmé notre hypothèse sur le rôle spécifique de ces trois récepteurs par l’utilisation de l’électrorétinographie (ERG) après injection intravitréenne d’agonistes et d’antagonistes de ces récepteurs. Nous avons conclu sur leur influence indéniable dans le processus visuel rétinien chez le primate. Dans l’article 5, nous avons établi le protocole d’enregistrement ERG normalisé sur le singe vervet, et nous avons produit un atlas d’ondes ERG spécifique à cette espèce, selon les règles de l’International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV). Les patrons électrorétinographiques se sont avérés semblables à ceux de l’humain et ont confirmé la similarité entre ces deux espèces. Dans l’article 6, nous avons démontré que le blocage de CB1R ou CB2R entraine une modification de l’électrorétinogramme, tant au niveau photopique que scotopique, ce qui supporte l’implication de ces récepteurs dans la modulation des ondes de l’ERG. Finalement, dans l’article 7, nous avons confirmé le modèle neurochimique proposé dans l’article 3 pour expliquer le rôle fonctionnel de GPR55, en montrant que l’activation ou le blocage de ce récepteur, respectivement par un agoniste (lysophosphatidylglucoside, LPG) ou un antagoniste (CID16020046), entraine soit une augmentation ou une baisse significative de l’ERG scotopique seulement. Ces données, prises ensemble, démontrent que les récepteurs CB1R, CB2R et GPR55 sont exprimés dans des types cellulaires bien distincts de la rétine du singe et ont chacun un rôle spécifique. L’importance de notre travail se manifeste aussi par des applications cliniques en permettant le développement de cibles pharmacologiques potentielles dans le traitement des maladies de la rétine.
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4-1BB (CD137) est un membre de la superfamille TNFR qui est impliqué dans la transmission des signaux de survie aux lymphocytes. TRAF1 est une protéine adaptatrice qui est recrutée par 4-1BB et autres TNFRs et est caractérisée par une expression très restreinte aux lymphocytes, cellules dendritiques et certaines cellules épithéliales. TRAF1 est nécessaire pour l’expansion et la survie des cellules T mémoire en présence d'agonistes anti-4-1BB in vivo. De plus, TRAF1 est requise en aval de 4-1BB pour activer (phosphoryler) la MAP kinase Erk impliquée dans la régulation de la molécule pro-apoptotique Bim. Suite à l’activation du récepteur 4-1BB, TRAF1 et ERK sont impliqués dans la phosphorylation de Bim et la modulation de son expression. L’activation et la régulation de TRAF1 et Bim ont un rôle important dans la survie des cellules T CD8 mémoires. Dans cette étude, nous avons utilisé une approche protéomique afin de pouvoir identifier de nouveaux partenaires de liaison de TRAF1. Utilisant cette stratégie, nous avons identifié que LSP1 (Leukocyte Specific Protein 1) est recruté dans le complexe de signalisation 4-1BB de manière TRAF1 dépendante. Une caractérisation plus poussée de l’interaction entre TRAF1 et LSP1 a montré que LSP1 lie la région unique N-terminal de TRAF1 de façon indépendante de la région conservée C-terminal. À l’instar des cellules T déficientes en TRAF1, les cellules T déficientes en LSP1 ne sont pas capables d’activer ERK en aval de 4-1BB et par conséquent ne peuvent pas réguler Bim. Ainsi, TRAF1 et LSP1 coopèrent en aval de 4-1BB dans le but d’activer ERK et réguler en aval les niveaux de Bim dans les cellules T CD8. Selon la littérature, le récepteur 4-1BB n’est pas exprimé à la surface des cellules B murines, mais le récepteur 4-1BB favorise la prolifération et la survie des cellules B humaines. Cependant, il est important d'étudier l'expression du récepteur 4-1BB dans les cellules B murines afin de disposer d'un modèle murin et de prédire la réponse clinique à la manipulation de 4-1BB. En utilisant différentes stimulations de cellules B murines primaires, nous avons identifié que le récepteur 4-1BB est exprimé à la surface des cellules B de souris suite à une stimulation avec le LPS (Lipopolysaccharides). Une caractérisation plus poussée a montré que le récepteur 4-1BB est induit dans les cellules B murines d'une manière dépendante de TLR4 (Toll Like Receptor 4). Collectivement, notre travail a démontré que la stimulation avec le LPS induit l’expression du récepteur 4-1BB à la surface des cellules B murines, menant ainsi à l'induction de TRAF1. De plus, TRAF1 et LSP1 coopèrent en aval de 4-1BB pour activer la signalisation de la Map kinase ERK dans les cellules B murines de manière similaire aux cellules T. Les cellules B déficientes en TRAF1 et les cellules B déficientes en LSP1 ne sont pas en mesure d'activer la voie ERK en aval de 4-1BB et montrent un niveau d’expression du récepteur significativement diminué comparé aux cellules B d’une souris WT. Ainsi, TRAF1 et LSP1 sont nécessaires pour une expression maximale du récepteur 4-1BB à la surface cellulaire de cellules B murines et coopèrent en aval de 4-1BB afin d'activer la cascade ERK dans les cellules B murines.
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Parasympathetic system plays an important role in insulin secretion from the pancreas. Cholinergic effect on pancreatic beta cells exerts primarily through muscarinic receptors. In the present study we investigated the specific role of muscarinic M1 and M3 receptors in glucose induced insulin secretion from rat pancreatic islets in vitro. The involvement of muscarinic receptors was studied using the antagonist atropine. The role of muscarinic MI and M3 receptor subtypes was studied using subtype specific antagonists. Acetylcholine agonist, carbachol, stimulated glucose induced insulin secretion at low concentrations (10-8-10-5 M) with a maximum stimulation at 10-7 M concentration. Carbachol-stimulated insulin secretion was inhibited by atropine confirming the role of muscarinic receptors in cholinergic induced insulin secretion. Both M1 and M3 receptor antagonists blocked insulin secretion induced by carbachol. The results show that M3 receptors are functionally more prominent at 20 mM glucose concentration when compared to MI receptors. Our studies suggest that muscarinic M1 and M3 receptors function differentially regulate glucose induced insulin secretion, which has clinical significance in glucose homeostasis.
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The present study demonstrate the functional alterations of the GABAA and GABAB receptors and the gene expression during the regeneration of pancreas following partial pancreatectomy. The role of these receptors in insulin secretion and pancreatic DNA synthesis using the specific agonists and antagonists also are studied in vitro. The alterations of GABAA and GABAR receptor function and gene expression in the brain stem, crebellum and hypothalamus play an important role in the sympathetic regulation of insulin secretion during pancreatic regeneration. Previous studies have given much information linking functional interaction between GABA and the peripheral nervous system. The involvement of specific receptor subtypes functional regulation during pancreatic regeneration has not given emphasis and research in this area seems to be scarce. We have observed a decreased GABA content, down regulation of GABAA receptors and an up regulation of GABAB receptors in the cerebral cortex, brain stem and hypothalamus. Real Time-PCR analysis confirmed the receptor data in the brain regions. These alterations in the GABAA and GABAB receptors of the brain are suggested to govern the regenerative response and growth regulation of the pancreas through sympathetic innervation. In addition, receptor binding studies and Real Time-PCR analysis revealed that during pancreatic regeneration GABAA receptors were down regulated and GABAB receptors were up regulated in pancreatic islets. This suggests an inhibitory role for GABAA receptors in islet cell proliferation i.e., the down regulation of this receptor facilitates proliferation. Insulin secretion study during 1 hour showed GABA has inhibited the insulin secretion in a dose dependent manner in normal and hyperglycaemic conditions. Bicuculline did not antagonize this effect. GABAA agonist, muscimol inhibited glucose stimulated insulin secretion from pancreatic islets except in the lowest concentration of 1O-9M in presence of 4mM glucose.Musclmol enhanced insulin secretion at 10-7 and 10-4M muscimol in presence of 20mM glucose- 4mM glucose represents normal and 20mM represent hyperglycaemic conditions. GABAB agonist, baclofen also inhibited glucose induced insulin secretion and enhanced at the concentration of 1O-5M at 4mM glucose and at 10-9M baclofen in presence of 20mM glucose. This shows a differential control of the GABAA and GABAB receptors over insulin release from the pancreatic islets. During 24 hours in vitro insulin secretion study it showed that low concentration of GABA has inhibited glucose stimulated insulin secretion from pancreatic islets. Muscimol, the GABAA agonist, inhibited the insulin secretion but, gave an enhanced secretion of insulin in presence of 4mM glucose at 10-7 , 10-5 and 1O-4M muscimol. But in presence of 20mM glucose muscimol significantly inhibited the insulin secretion. GABAB agonist, baclofen also inhibited glucose induced insulin secretion in presence of both 4mM and 20mM glucose. This shows the inhibitory role of GABA and its specific receptor subtypes over insulin synthesis from pancreatic bete-islets. In vitro DNA synthesis studies showed that activation of GABAA receptor by adding muscimol, a specific agonist, inhibited islet DNA synthesis. Also, the addition of baclofen, a specific agonist of GABAB receptor resulted in the stimulation of DNA synthesis.Thus the brain and pancreatic GABAA and GABAB receptor gene expression differentially regulates pancreatic insulin secretion and islet cell proliferation during pancreatic regeneration. This will have immense clinical significance in therapeutic applications in the management of Diabetes mellitus.
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The present work is to understand the alterations of total Muscarinic and Muscarinic MI receptors in brain and pancreatic islets of Streptozotocin induced diabetic rats. The work focuses on the evaluation of the antihyperglycemic activity of aqueous extracts of Aegle marmelose and Costus pictus leaves in vivo and the changes in the total Muscarinic and Muscarinic MI receptors during diabetes and after the treatment with insulin. The insulin secretory activity of Aegle marmelose and Costus pictus leaf extracts and the effect of cholinergic receptor agonist were investigated in vitro using rat primary pancreatic islet culture. Muscarinic MI receptor kinetics and gene expression during diabetes and regulation of insulin secretion by Aegle marmelose and Costus pie/us leaf extracts will help us to elucidate the role of Muscarinic and Muscarinic MI receptors in hyperglycemia and the regulatory activity of these plant extracts on insulin secretion through Muscarinic receptors.
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Alle bisher untersuchten Lebewesen besitzen (circadiane) innere Uhren, die eine endogene Perioden-länge von ungefähr 24 Stunden generieren. Eine innere Uhr kann über Zeitgeber mit der Umwelt synchronisiert werden und ermöglicht dem Organismus, rhythmische Umweltveränderungen vorweg zu nehmen. Neben einem zentralen Schrittmacher, der Physiologie und Verhalten des Organismus steuert, gibt es in unterschiedlichen Organen auch periphere Uhren, die die zeitlichen Abläufe in der spezifischen Funktion dieser Organe steuern. In dieser Arbeit sollten zentrale und periphere Schrittmacherneurone von Insekten physiologisch untersucht und verglichen werden. Die Neurone der akzessorischen Medulla (AME) von Rhyparobia maderae dienten als Modellsystem für zentrale Schrittmacher, während olfaktorische Rezeptorneurone (ORNs) von Manduca sexta als Modellsystem für periphere Schrittmacher dienten. Die zentralen Schrittmacherneurone wurden in extrazellulären Ableitungen an der isolierten AME (Netzwerkebene) und in Patch-Clamp Experimenten an primären AME Zellkulturen (Einzelzellebene) untersucht. Auf Netzwerkebene zeigten sich zwei charakteristische Aktivitätsmuster: regelmäßige Aktivität und Wechsel zwischen hoher und niedriger Aktivität (Oszillationen). Es wurde gezeigt, dass Glutamat ein Neurotransmitter der weitverbreiteten inhibitorischen Synapsen der AME ist, und dass in geringem Maße auch exzitatorische Synapsen vorkommen. Das Neuropeptid pigment-dispersing factor (PDF), das von nur wenigen AME Neuronen exprimiert wird und ein wichtiger Kopplungsfaktor im circadianen System ist, führte zu Hemmungen, Aktivierungen oder Oszillationen. Die Effekte waren transient oder langanhaltend und wurden wahrscheinlich durch den sekundären Botenstoff cAMP vermittelt. Ein Zielmolekül von cAMP war vermutlich exchange protein directly activated by cAMP (EPAC). Auf Einzelzellebene wurde gezeigt, dass die meisten AME Neurone depolarisiert waren und deshalb nicht feuerten. Die Analyse von Strom-Spannungs-Kennlinien und pharmakologische Experimente ergaben, dass unterschiedliche Ionenkanäle vorhanden waren (Ca2+, Cl-, K+, Na+ Kanäle sowie nicht-spezifische Kationenkanäle). Starke, bei hohen Spannungen aktivierende Ca2+ Ströme (ICa) könnten eine wichtige Rolle bei Ca2+-abhängiger Neurotransmitter-Ausschüttung, Oszillationen, und Aktionspotentialen spielen. PDF hemmte unterschiedliche Ströme (ICa, IK und INa) und aktivierte nicht-spezifische Kationenströme (Ih). Es wurde angenommen, dass simultane PDF-abhängige Hyper- und Depolarisationen rhythmische Membranpotential-Oszillationen verursachen. Dieser Mechanismus könnte eine Rolle bei PDF-abhängigen Synchronisationen spielen. Die Analyse peripherer Schrittmacherneurone konzentrierte sich auf die Charakterisierung des olfaktorischen Corezeptors von M. sexta (MsexORCO). In anderen Insekten ist ORCO für die Membran-Insertion von olfaktorischen Rezeptoren (ORs) erforderlich. ORCO bildet Komplexe mit den ORs, die in heterologen Expressionssystemen als Ionenkanäle fungieren und Duft-Antworten vermitteln. Es wurde die Hypothese aufgestellt, dass MsexORCO in pheromonsensitiven ORNs in vivo nicht als Teil eines ionotropen Rezeptors sondern als Schrittmacherkanal fungiert, der unterschwellige Membranpotential-Oszillationen generiert. MsexORCO wurde mit vermeintlichen Pheromonrezeptoren in human embryonic kidney (HEK 293) Zellen coexprimiert. Immuncytochemie und Ca2+ Imaging Experimente zeigten sehr schwache Expressionsraten. Trotzdem war es möglich zu zeigen, dass MsexORCO wahrscheinlich ein spontan-aktiver, Ca2+-permeabler Ionenkanal ist, der durch den ORCO-Agonisten VUAA1 und cyclische Nucleotide aktiviert wird. Außerdem wiesen die Experimente darauf hin, dass MsexOR-1 offensichtlich der Bombykal-Rezeptor ist. Eine weitere Charakterisierung von MsexORCO in primären M. sexta ORN Zellkulturen konnte nicht vollendet werden, weil die ORNs nicht signifikant auf ORCO-Agonisten oder -Antagonisten reagierten.
Suplementación de hormona tiroidea en pacientes pediátricos críticos con síndrome eutiroideo enfermo
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Introducción : el síndrome del eutiriodeo enfermo en enfermedades graves es factor de pobre pronóstico. La suplementación con hormona tiroidea mejora la contractibilidad miocardica y estimula la producción de surfactante pulmonar; sin embargo existe controversia debido a las complicaciones secundarias, ausencia de efectos a nivel hemodinámico y de estancia hospitalaria. Objetivo : determinar el efecto de la suplementación oral de hormonas tiroideas en pacientes con choque refractario y necesidad de más de dos inotrópicos con respecto a estabilidad hemodinámica, arritmias, requerimientos de inotrópicos y mortalidad asociada al tratamiento. Metodología : estudio longitudinal observacional de variables repetidas con análisis previo y posterior a la intervención. Realizado en pacientes con choque refractario de la unidad de cuidado intensivo pediátrico del Hospital Simón Bolívar, desde el 1 de enero del 2007 hasta 1 enero del 2009. Resultados: la suplementación tiroidea mostró una disminución significativa en el requerimiento de los inotrópicos adrenérgicos: dopamina, adrenalina y noradrenalina con rangos de [4,78-2.4], [3.92 - 2.98] y [3.58- 2.24] (p <0.001) respectivamente, sin haber diferencia en los vasodilatadores, inodilatadores y diuréticos. No se encontró asociación entre su uso y la presencia de arritmias. Discusión y conclusiones: La hormona tiroidea mostró efecto benéfico en términos de disminución de soporte inotrópico. resultado en concordancia con la literatura y relacionado con la función moduladora de la hormona tiroidea favoreciendo la inotropía miocardica y los índices de contractilidad ventricular izquierda.
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El asma bronquial es una enfermedad inflamatoria crónica, se asocia a hiperrespuesta de la vía aérea, la cual lleva a episodios recurrentes de sibilancias, tos y disnea. La entidad se ha correlacionado con una gran variedad de genes involucrados en su fisiopatología, dentro de los cuales se encuentran genes localizados en el cromosoma 5 (5q23-31), como el del Receptor ß2 Adrenérgico (RB2A). En el presente trabajo se realizó una estimación de las frecuencias de los polimorfismos Arg16Gly, Gln27Glu y Thr164Ile de este receptor, y se estudió la relación existente entre los diferentes polimorfismos y asma, así como su relación con respecto a la severidad de la enfermedad, finalmente se estimó la relación de los haplotipos conformados por estos tres polimorfismos y su asociación con la enfermedad y severidad del fenotipo asmático.
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El gen ADRB2 y sus polimorfismos se han asociado al cuadro clínico de los pacientes con Fibrosis Quística. En nuestra población existe asociación de los haplotipos G16E27I164 y R16Q27I164 y la enfermedad, así como la presencia de Pólipos y genotipo E27E y el haplotipo R16E27T164.
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Determinar la incidencia de fibrilación auricular en las primeras 72 horas del post operatorio en pacientes llevados a revascularización miocárdica utilizando dos técnicas de anestésia una convencional (AC) con anestésicos inhalados y opioides y otra con dexmedetomidina (AD.). cohorte retrospectivo, en donde se seleccionarán dos grupos de estudio, un grupo de expuestos, pacientes llevados a revascularización miocárdica con utilización técnica anestésica convencional y un grupo de no expuestos pacientes llevados a revascularización miocárdica con uso de dexmedetomidina como técnica de anestesia; A estos grupos se les hizo seguimiento por 72 horas para determinar la presencia de fibrilación auricular y la terapéutica instaurada.
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Plant-derived cannabinoids (phytocannabinoids) are compounds with emerging therapeutic potential. Early studies suggested that cannabidiol (CBD) has anticonvulsant properties in animal models and reduced seizure frequency in limited human trials. Here, we examine the anti-epileptiform and anti-seizure potential of CBD using in vitro electrophysiology and an in vivo animal seizure model, respectively. CBD (0.01-100 muM) effects were assessed in vitro using the Mg(2+)-free and 4-aminopyridine (4-AP) models of status epilepticus-like epileptiform activity in hippocampal brain slices via multi-electrode array (MEA) recordings. In the Mg(2+)-free model, CBD decreased epileptiform local field potential (LFP) burst amplitude (in CA1 and dentate gyrus (DG) regions) and burst duration (in all regions) and increased burst frequency (in all regions). In the 4-AP model, CBD decreased LFP burst amplitude (in CA1, only at 100 muM CBD), burst duration (in CA3 and DG), and burst frequency (in all regions). CBD (1, 10 and 100 mg/kg) effects were also examined in vivo using the pentylenetetrazole (PTZ) model of generalised seizures. CBD (100 mg/kg) exerted clear anticonvulsant effects with significant decreases in incidence of severe seizures and mortality in comparison to vehicle-treated animals. Finally, CBD acted with only low affinity at cannabinoid CB(1) receptors and displayed no agonist activity in [(35)S]GTPgammaS assays in cortical membranes. These findings suggest that CBD acts to inhibit epileptiform activity in vitro and seizure severity in vivo. Thus, we demonstrate the potential of CBD as a novel anti-epileptic drug (AED) in the unmet clinical need associated with generalised seizures.
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Background and purposeThe phytocannabinoid Delta(9)-tetrahydrocannabivarin (Delta(9)-THCV) has been reported to exhibit a diverse pharmacology; here, we investigate functional effects of Delta(9)-THCV, extracted from Cannabis sativa, using electrophysiological techniques to define its mechanism of action in the CNS.Experimental approachEffects of Delta(9)-THCV and synthetic cannabinoid agents on inhibitory neurotransmission at interneurone-Purkinje cell (IN-PC) synapses were correlated with effects on spontaneous PC output using single-cell and multi-electrode array (MEA) electrophysiological recordings respectively, in mouse cerebellar brain slices in vitro.Key resultsThe cannabinoid receptor agonist WIN 55,212-2 (WIN55) decreased miniature inhibitory postsynaptic current (mIPSC) frequency at IN-PC synapses. WIN55-induced inhibition was reversed by Delta(9)-THCV, and also by the CB(1) receptor antagonist AM251; Delta(9)-THCV or AM251 acted to increase mIPSC frequency beyond basal values. When applied alone, Delta(9)-THCV, AM251 or rimonabant increased mIPSC frequency. Pre-incubation with Delta(9)-THCV blocked WIN55-induced inhibition. In MEA recordings, WIN55 increased PC spike firing rate; Delta(9)-THCV and AM251 acted in the opposite direction to decrease spike firing. The effects of Delta(9)-THCV and WIN55 were attenuated by the GABA(A) receptor antagonist bicuculline methiodide.Conclusions and implicationsWe show for the first time that Delta(9)-THCV acts as a functional CB(1) receptor antagonist in the CNS to modulate inhibitory neurotransmission at IN-PC synapses and spontaneous PC output. Delta(9)-THCV- and AM251-induced increases in mIPSC frequency beyond basal levels were consistent with basal CB(1) receptor activity. WIN55-induced increases in PC spike firing rate were consistent with synaptic disinhibition; whilst Delta(9)-THCV- and AM251-induced decreases in spike firing suggest a mechanism of PC inhibition.British Journal of Pharmacology advance online publication, 3 March 2008; doi:10.1038/bjp.2008.57.
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Suppression of depolarizing postsynaptic potentials and isolated GABA-A receptor-mediated fast inhibitory postsynaptic potentials by the muscarinic acetylcholine receptor agonist, oxotremorine-M (10 microM), was investigated in adult and immature (P14-P30) rat piriform cortical (PC) slices using intracellular recording. Depolarizing postsynaptic potentials evoked by layers II-III stimulation underwent concentration-dependent inhibition in oxotremorine-M that was most likely presynaptic and M2 muscarinic acetylcholine receptor-mediated in immature, but M1-mediated in adult (P40-P80) slices; percentage inhibition was smaller in immature than in adult piriform cortex. In contrast, compared with adults, layer Ia-evoked depolarizing postsynaptic potentials in immature piriform cortex slices in oxotremorine-M, showed a prolonged multiphasic depolarization with superimposed fast transients and spikes, and an increased 'all-or-nothing' character. Isolated N-methyl-d-aspartate receptor-mediated layer Ia depolarizing postsynaptic potentials (although significantly larger in immature slices) were however, unaffected by oxotremorine-M, but blocked by dl-2-amino-5-phosphonovaleric acid. Fast inhibitory postsynaptic potentials evoked by layer Ib or layers II-III-fiber stimulation in immature slices were significantly smaller than in adults, despite similar estimated mean reversal potentials ( approximately -69 and -70 mV respectively). In oxotremorine-M, only layer Ib-fast inhibitory postsynaptic potentials were suppressed; suppression was again most likely presynaptic M2-mediated in immature slices, but M1-mediated in adults. The degree of fast inhibitory postsynaptic potential suppression was however, greater in immature than in adult piriform cortex. Our results demonstrate some important physiological and pharmacological differences between excitatory and inhibitory synaptic systems in adult and immature piriform cortex that could contribute toward the increased susceptibility of this region to muscarinic agonist-induced epileptiform activity in immature brain slices.
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Cannabis is a potential treatment for epilepsy, although the few human studies supporting this use have proved inconclusive. Previously, we showed that a standardized cannabis extract (SCE), isolated Delta(9)-tetrahydrocannabinol (Delta(9)-THC), and even Delta(9)-THC-free SCE inhibited muscarinic agonist-induced epileptiform bursting in rat olfactory cortical brain slices, acting via CB1 receptors. The present work demonstrates that although Delta(9)-THC (1microM) significantly depressed evoked depolarizing postsynaptic potentials (PSPs) in rat olfactory cortex neurones, both SCE and Delta(9)-THC-free SCE significantly potentiated evoked PSPs (all results were fully reversed by the CB1 receptor antagonist SR141716A, 1microM); interestingly, the potentiation by Delta(9)-THC-free SCE was greater than that produced by SCE. On comparing the effects of Delta(9)-THC-free SCE upon evoked PSPs and artificial PSPs (aPSPs; evoked electrotonically following brief intracellular current injection), PSPs were enhanced, whereas aPSPs were unaffected, suggesting that the effect was not due to changes in background input resistance. Similar recordings made using CB1 receptor-deficient knockout mice (CB1(-/-)) and wild-type littermate controls revealed cannabinoid or extract-induced changes in membrane resistance, cell excitability and synaptic transmission in wild-type mice that were similar to those seen in rat neurones, but no effect on these properties were seen in CB1(-/-) cells. It appears that the unknown extract constituent(s) effects over-rode the suppressive effects of Delta(9)-THC on excitatory neurotransmitter release, which may explain some patients' preference for herbal cannabis rather than isolated Delta(9)-THC (due to attenuation of some of the central Delta(9)-THC side effects) and possibly account for the rare incidence of seizures in some individuals taking cannabis recreationally
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Cannabis is under clinical investigation to assess its potential for medicinal use, but the question arises as to whether there is any advantage in using cannabis extracts compared with isolated Delta9-trans-tetrahydrocannabinol (Delta9THC), the major psychoactive component. We have compared the effect of a standardized cannabis extract (SCE) with pure Delta9THC, at matched concentrations of Delta9THC, and also with a Delta9THC-free extract (Delta9THC-free SCE), using two cannabinoid-sensitive models, a mouse model of multiple sclerosis (MS), and an in-vitro rat brain slice model of epilepsy. Whilst SCE inhibited spasticity in the mouse model of MS to a comparable level, it caused a more rapid onset of muscle relaxation, and a reduction in the time to maximum effect compared with Delta9THC alone. The Delta9THC-free extract or cannabidiol (CBD) caused no inhibition of spasticity. However, in the in-vitro epilepsy model, in which sustained epileptiform seizures were induced by the muscarinic receptor agonist oxotremorine-M in immature rat piriform cortical brain slices, SCE was a more potent and again more rapidly-acting anticonvulsant than isolated Delta9THC, but in this model, the Delta9THC-free extract also exhibited anticonvulsant activity. Cannabidiol did not inhibit seizures, nor did it modulate the activity of Delta9THC in this model. Therefore, as far as some actions of cannabis were concerned (e.g. antispasticity), Delta9THC was the active constituent, which might be modified by the presence of other components. However, for other effects (e.g. anticonvulsant properties) Delta9THC, although active, might not be necessary for the observed effect. Above all, these results demonstrated that not all of the therapeutic actions of cannabis herb might be due to the Delta9THC content