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Contient : 1 « Cronicques abbregées, lesquelles commencent à la creation du monde et durent jusques à Philippes de Valois, qui fut couronné roy de France en l'an 1328 ». Premiers mots : « Au commencement, ainsy comme la saincte Escripture tesmoigne, Dieu crea le ciel et la terre, selon les docteurs et les sains, en une masse confuse... » ; derniers mots : «... dont il nous fut bien figuré par Aynâm (sic), qui fit faire ung gibet pour pandre Mardoichée et les autres juifz, mais par l'ordonnance de Dieu il fut celluy qui premierement fut pandu à celluy gibet qu'il avoit fait faire, et cetera » ; 2 « Ordonnances... sur les gaiges de bataille... faictes... par PHILIPPE » LE BEL. Ces ordonnances, qui sont précédées des lettres dudit roi données à Paris, le mercredi après la Trinité 1306, les concernant, commencent par : « La premiere que il soit chose notoire, certaine et evidante que la chose soit advenue, et ce signiffie la clause, où il apperra evidanment homicide...» et finissent par : «... Quant aux liches, le roy, qui les a fait faire à ses despens, les reprent pour les autres gaiges qui survenir porroient. Éxplicit » ; 3 « Cy commance le Breviaire des nobles, fait par maistre ALAIN CHARTIER ». Premier vers : « Je noblesse, dame de bon-vouloir » ; dernier vers : « Nobles hommes en ce livre » ; 4 « Cy commance le Psaultier des villains, fait par MICHAULT TAILLEVANT ». Premier vers : « Des nobles ay veu le breviaire » ; dernier vers : « La fin de tout est vraye experience » ; 5 Recueil de contes appelés moralités, parce que chaque conte est suivi de sa moralité ; Autre conte, sans titre. Premier vers : « Enmy l'eaue ung crout, le jour » ; dernier vers : « Auquel ilz firent deshonneur » ; « Compte des coulons, qui demendent seignour ». Premier vers : « Coullons demendent seigneur » ; dernier vers : « Jà n'en aura se honte non » ; « Compte du larron qui embla brebis ». Premier vers : « D'un larron compte qui ala » ; dernier vers : « Com le chien fist du larron » ; « Compte du loup et de la truye prains ». Premier vers : « Jadis advint que loup entra » ; dernier vers : « Ne laissent peril (sic) leur enffant » ; « Compte des lievres ». Premier vers : « Cy dit que les lievres s'assemblerent » ; dernier vers : « Ou sans traveil ou sans doulour » ; « Compte du lyon et de l'aigle ». Premier vers : « D'un lyon dist qui assembla » ; dernier vers : « Et si ne doit en court parler » ; « Compte du serf qui vit ses cornes en beuvant ». Premier vers : « Aussi advint qu'ung serf vivoit » ; dernier vers : « Forment amer se tant savoient » ; « Compte du larron et du chevalier ». Premier vers : « D'um homme compte ly escrips » ; dernier vers : « Tant faulx est le monde et fautif » ; « Compte du lyon ». Premier vers : « D'un lyon dist qu'il voult aler » ; dernier vers : « Com fist le loup du serment » ; « Compte du mire qui seigna l'omme ». Premier vers : « D'un mire compte, qui seigna » ; dernier vers : « Lors sont encombrez et occis » ; « Compte de l'omme et de l'escarbote ». Premier vers : « D'un villain dist qui se gisoit » ; dernier vers : « Ou vanité les trait et muet » ; « Compte de l'omme qui vit sa femme avec I. autre homme ». Premier vers : « D'un villain dit qu'il esgarda » ; dernier vers : « Que son avoir ne ses parens » ; « Compte du villain qui vit sa femme avec son amy ». Premier vers : « D'un villain vueil ycy raconter » ; dernier vers : « Plus ont ung art que ly diable » ; « Compte du Breton qui occist les brebis ». Premier vers : « Jadis advint qu'en I. patis » ; dernier vers : « Jusques ad ce qu'ilz en ont du pis » ; « Compte du singe et de l'empereur ». Premier vers : « Ung empereur nourry jà » ; dernier vers : « Et par mensonge formigier » ; « Compte de l'asne et du lyon » (sic). Premier vers de ce qui n'est qu'un fragment du conte indiqué plus bas sous la cote fol. 142-3 : « Puis a pensé à son couraige » ; dernier vers : « Dont il est mort et affolez » ; « Compte du loup, du corbel et de la brebis ». Premier vers : « D'un loup compte qui vit jadis » ; dernier vers : « Qu'il ne tourne ses fays à mal » ; « Compte du coq et du goupil ». Premier vers : « D'un coq racompte qui estoit » ; dernier vers : « Pour les nouvelles escouter » ; « Compte du lyon et du villain ». Premier vers : « Cy nous raconte d'un lyon » ; dernier vers : « Qui la verité en desqueuvre » ; « Compte d'une puce et d'ung chamel ». Premier vers : « Une puce, ce dit, monta » ; dernier vers : « Ne qu'elle luy feist ennuy » ; « Compte du timon et du fourmy ». Premier vers : « D'un timon compte la maniere » ; dernier vers : « Que se à autruy se veult actendre » ; « Compte des oyseaulx qui voulurent avoir pour roy le quoqu ». Premier vers : « Des oyseaulx dist qui s'asemblerent » ; dernier vers : « Et larges com doit estre roys » ; « Compte du larron et de la sorciere ». Premier vers : « D'un larron compte qui estoit » ; dernier vers : « Et l'ame va en grant peril » ; « Compte de la congnie et du boys et du fevre ». Premier vers : « Ung feuvre fist une congnie » ; dernier vers : « Qui plus les a au dessus mys » ; « Compte du villain qui vouloit vendre son cheval ». Premier vers : « D'un villain nous racompte cy » ; dernier vers : « Tourne souvent son tort à droit » ; « Compte du loup et du moton ». Premier vers : « Jadis advint qu'un loup promest » ; dernier vers : « Ne garderay veu ne promesse » ; « Compte de la singesse qui monstroit son faon aux autres bestes ». Premier vers : « Une singesse ala monstrant » ; dernier vers : « N'est pas li siecles trop loyaulx » ; « Compte du villain et du dragon ». Premier vers : « Cy nous racompte d'ung dragon » ; dernier vers : « Ne se doit nulz homs fier » ; « Compte d'un reclus et du villain ». Premier vers : « D'un reclus compte qui avoit » ; dernier vers : « Que mieulx devroit reprendre luy » ; « Compte du villain et de son cheval ». Premier vers : « D'un villain compte, qui entra » ; dernier vers : « Sy lui souffise en loyaulté » ; « Compte d'un villain qui prioit pour sa femme et ses enfans ». Premier vers : « Ung villain ala (sic) moustier » ; dernier vers : « Et qui à Dieu soit acceptable » ; « Compte du villain et de la choue ». Premier vers : « D'un villain compte qui avoit » ; dernier vers : « Car sa droicture en est perie » ; « Compte de goupil et de la lune ». Premier vers : « D'un goupil dit que par une nuyt » ; dernier vers : « Dont en la fin en est courcez » ; « Compte du loup et du mouton ». Premier vers : « D'ung loup nous raconte cy » ; dernier vers : « Et sans que... ». La fin de ce vers manque ; « Compte de la grue et du loup ». Premier vers, le seul qui soit écrit : « D'ung loup dit ly escris... ». L'écriture des feuillets 143-4 est postérieure à celle des feuillets précédents
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Contient : 1 Chronique abrégée des rois de France, allant de Charles le Chauve à Charles VI. Dans la première partie sont des extraits de Vincent de Beauvais, de Sigebert de Gembloux, de Guillaume de Malmesbury, etc. Le commencement manque ; voici les premiers mots de ce qui subsiste (fol. 1) : «... et avoir les yeulx crevez, et à recevoir mort; et ainsi fut fait. Cronographus. Cy doivent prendre exemple les seigneurs du sang des roys et par especial ceulx de la tres noble maison de France... ». Fin (fol. 29 v°) : «... L'an mil CCC IIIIXX et trois, le conte de Flandres trespassa. Et pour ce que je n'ay plus avant veu de l'histoire dudit roy Charles sixiesme, je faiz cy la fin de ce present euvre, quant aux genealogies et briefves incidences des temps ». Une suite de cette chronique commence, au fol. 30, par : « S'ensuivent aucunes choses notables, singulières et dignes de memoire pour aucune declaration et ampliation de ce present traicté, lesquelles n'y ont peu estre assises ne mises, parce que alors je ne les avoye pas. Et premierement de la dignité royal. La dignité royal est la premiere et souveraine entre toutes les autres dignitez ou puissances terriennes... ». L'ouvrage se termine par un traité sur la prudence, dont voici le début (fol. 36) : « Pour parvenir, à l'aide de Dieu, à la fin de ce present traictié, considerant que entre les autres vertuz cardinales dont Dieu de sa grace a ourné le roy... je finiray ce dit traictié en parlant briefment de prudence et ensuivant en ce, après le philosophe, la doctrine de saint Thomas d'Aquin, en la seconde partie de sa Somme, en la XLe question, en laquelle, en tractant de prudence, selon elle, il fait les articles qui s'ensuivent. En la principalle responce du premier, il dit que prudent est dit aussi comme provident... ». Fin (fol. 42 v°) : «... je le bailleray voulentiers, pour honneur du roy, à celui qui lui plaira commectre à ce faire. Et pour ce que l'ordre de ceste presente histoire de France abregée commancée aux princes, en laquelle abreviacion, à l'aide de Dieu... j'ay procedé jusques au temps du regne Charles VI de ce nom, jadiz roy de France, que Dieu absoille, et pour conclusion finale d'icelle, esperant que par la clemence divine je puisse gaigner dix jours de indulgence et pardon, que Innocent pape, quart de ce nom, a donnez à tous ceulx qui prient pour le roy de France... et aussi pour recongnoissance, non pas telle comme je suis tenu, maiz comme je la puis faire, de l'onneur qu'il a pleu au roy de sa bonté naturelle à moy faire, en moy retenant en son très humble serviteur, après mon exil par les Angloys, auquel service royal je fuz retenu, passé sont trente six ans. Je prie Dieu, qui est prince des roys de la terre... ». La suite manque. Le feuillet 43 r° est occupé par la fin d'un traité contre les prétentions d'Henri V d'Angleterre au trône de France. En voici les premiers et les derniers mots : « Maiz est icelle pretendue privacion... Cecy est escript veritablement soubz la benigne supportation et debonnaireté du roy, que Nostre Seigneur par sa grace vueille toujours garder et en ses affaires prosperer. Amen. Qui scripsit scribat, semper cum Domino vivat ». Cette partie du manuscrit est du XVe siècle ; 2 Copie des mémoires de THOMASSIN sur l'histoire des rois de Bourgogne et du Dauphiné. On lit, en effet, au fol. 54 v° : « Seconde partye de ce registre, contenant la genealogie des daulphins », et au fol. 67 : « Tiers livre des registres dudit Thomassin ». Cette copie commence (fol. 47) par : « Gontran, frère de Chilperic,... » et finit (fol. 72 v°) par : «... fust prinse par luy la possession, ledit an et le XIIIe aost ». On lit à la suite (fol. 72 v°-74) un « Extraict du livre en papier dudit Thomassin intitullé : Declaratio dignitatum, prerogativarum spectantium ac pertinentium illustrissimo principi Ludovico, regis Francorum primogenito, dalphino Vienensi. De comitibus Viennae. Tradunt scripturae antiquae... ». Cette partie du manuscrit est du XVIe siècle ; 3 « La vie, les miracles et les éminentes vertus de sainct Brieuc, premier evesque de l'evesché appellé de son nom Sainct Brieuc, et aussi de sainct Guillaume, evesque du mesme diocèse, ensemble la translation des relicques dudict sainct Brieuc et la canonisation dudict sainct Guillaume par nostre sainct père le pape Innocent quatriesme, plus quelques remarques et observations necessaires pour l'intelligence d'aucunes difficultés qui se trouvent en cet oeuvre, par L. G. DE LA DENISON, chanoine de l'eglise cathédrale de Sainct Brieuc »
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Contient : 1 Courtes mentions chronologiques ; 2 « Cy commance la lignée des roys de France et comment les generacions sont descendues l'une de l'autre » ; Après la répétition et le développement du titre qui précède, l'auteur de cette petite chronique entre en matière par les mots qui suivent : « A tous notables qui ayment beaux faiz et bonnes histoires vueil escripre et enseigner... ». Le récit s'arrête à Charles VII par : «... Et fut ce roy Charles couronné à Rains, en l'an mil CCCC XXIX. Et recouvra en celui an grant partie de son pais, qui estoit en la main des Anglois » ; 3 « Cy commancent les noms des roys qui ont regné en la Grande Bretaigne, à present Angleterre... » ; Après la répétition et le développement du titré qui précède, l'auteur de cette petite chronique entre en matière par les mots qui suivent : « Lud fut roy de la Grande Bretaigne XXX ans avant l'avenement de Jhesu Crist... » et le récit se termine par : « ... Celui Henry de Lencastre eut quatre filz, savoir est : Henry, qui morut en France » et eut par « Katherine, fille du roy Charles » VI, « Henry de Lenclastre, tiers roy de ce nom... lort Thomas, duc de Clerence,... Jehan, duc de Betdefork,... le duc de Glocestre » ; 4 « Cy commancent les debaz d'entre les roys de France et d'angleterre touchant les duchiés de Guienne et de Normandie »
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Contient : 1 Premiers mots de la vie : « Ci commence li prologues en la vie monseigneur saint Loys, jadis roi de France. [G]loire, loenge et enneur soient rendues en humble reverence et ententive devocion à Dieu, nostre pere souverain de lumiere... Li premiers chapitres est de sa sainte norriture en enfance. Li tres gloriex sainz Loys, jadis rois de France, ot pere qui fu tres bons crestiens et rois de France, qui ot non Loys,... » ; derniers mots : «... trespassa de cest siecle à Nostre Seigneur, l'endemain de la feste du benoiet apostre saint Bertelemi, en l'an de grace M. IIC. LX. et X., entour l'eure de nonne, en laquele li filz Dieu, Jhesu Crist, morut en la croix, por la vie du monde ; auquel toute loenge est, enneur et gloire par les siecles pardurables. Amen » ; 2 Premiers mots de la relation des miracles : « Ici commence li prologues des miracles saint Loys. Comme li tres benoiez saint Loys, jadis nobles rois de France, en usant des petiz cours de ceste vie vesquist encore plus vraiement que il n'eust vescu, li benoiez fiuz Dieu... Ici... commencent les miracles de monseigneur Loys, desquels li premiers miracles est tels : Marote la fille Fressent d'Arraz, femme Symon Flandrin, bourgois de S. Denis en France... en 1 jour de mardi de quareme prenant, l'an mil IIC. IIIIXX. I... » ; derniers mots : «... Ci finent les miracles du benoiet S. Loys, approvez par l'eglise de Romme, et commence sa canonization. En cele maniere li tres benoiez sainz Loys resplendi et reluit en ce monde... qui estoit enseveliz en l'eglise de monseigneur S. Denis en France, fist eslever et translater, et metre en une chasse ennorablement, sur le grant autel de ladite eglise, à l'essaucement du benoiet saint et à la loenge de Dieu tout puissant, à qui soit enneur et gloire el siecle des siecles. Amen »
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Le premier mémoire, qui concerne la Bourgogne, la comté de Bourgogne, les comtés de Mâcon et d'Auxerre, occupe les feuillets 1 à 94. Premiers mots : « Sur la question qui est entre le duc d'Auteriche et madame la duchesse sa femme, d'une part, et le roy de France très christien, nostre souverain seigneur Loys neufiesme de ce nom, d'aultre part, touchant les terres et seigneuries que le duc Charles de Bourgongne, dernier trespassé, père de ladicte madame la duchesse, tenoit, possidoit, occupoit, usurpoit ou pretendoit y avoir droit, à divers tiltres et par divers moyens, et en divers lieux, contrées et parties de ce royaulme ; et mesmement, en tant que touche la duché et la conté de Bourgongne, et les contez de Mascon et d'Ausserre, dient mesdis seigneur et dame, duc et duchesse, les choses qui s'ensuivent ... ». Derniers mots : « ... ainsi que plus à plain dessus est declairé ». Le second mémoire, qui concerne la comté d'Artois, occupe les feuillets 99 à 136. Premiers mots : « Pour oster l'erreur de ceulx qui cuident et veullent maintenir que la conté d'Artois n'est pas subgecte à retour à la couronne de France, en deffaulte des hoirs masles, et que c'est fief femenin... ». Derniers mots : « ... et ycelle conté joindre et unir à la dicte couronne, ainsi que les aultres terres et seignouries appartenans à icelle, etc. Fine le livre touchant la conté d'Artoys ». Les feuillets 2 à 6 ont été refaits en écriture gothique au XVIe siècle.
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Contient : 1 Quatre vers, dont le premier est ainsi : « Debat contre mes debateurs » ; 2 « Par le roy en son conseil, monseigneur le constable present. Blondeau »
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Contient : 1 Ordonnance faite par CHARLES [V], « aisné filz du roy de France et son lieutenant », en conformité des conseils donnés par l'assemblée des trois états du royaume, pour la suppression de divers abus et l'établissement de plusieurs réglements. Paris, mars 1356 ; 2 Traité de Brétigny, entre le roi de France et le roi d'Angleterre. 8 mai 1460 ; 3 Traité entre François Ier et Henri VIII, roi d'Angleterre, renouvelant et confirmant ceux qui avaient été conclus entre ledit Henri et Louis XII. Londres, 5 avril 1514 ; 4 Traité pour le mariage de Louis XII avec Marie d'Angleterre, conclu à Londres, le 14 septembre 1514 ; 5 Traité conclu entre les ambassadeurs de François Ier et ceux d'Henri VIII, roi d'Angleterre, au sujet du mariage de la princesse Marie d'Angleterre avec le dauphin. Londres, 4 octobre 1518 ; 6 Traité conclu par les mêmes pour la reddition par Henri VIII à François Ier des villes de Tournay, Saint-Amand, Mortagne, etc. Londres, 4 octobre 1518 ; 7 Traité de paix et d'alliance conclu entre la France et l'Angleterre. Londres, 2 octobre 1518 ; 8 Ratification par la régente LOUISE DE SAVOIE, du traité conclu, le 30 août précédent, par ses ambassadeurs auprès d'Henri VIII, roi d'Angleterre, qui se sont engagés à payer une somme de 2 millions de couronnes d'or. Lyon, 26 septembre 1525 ; 9 Ratification par LOUISE DE SAVOIE d'un autre traité conclu par ses ambassadeurs auprès d'Henri VIII, le 30 août précédent, pour la répression des pirateries et des pillages et la réparation des dommages subis par les sujets anglais et français. Lyon, 26 septembre 1525 ; 10 Traité conclu entre François Ier, roi de France, et Henri VIII, roi d'Angleterre. « Campaigne, ez confins d'Ardres et Guynez ». 7 juin 1546 ; 11 Traité conclu en exécution du traité précédent, pour la détermination des limites des comtés de Boulogne et de Guines. Londres, 11 mars 1547 (n. s.) ; 12 Renouvellement avec Edouard VI du traité de paix et alliance conclu par François Ier avec Henri VIII, le 7 juin 1546. Londres, 11 mars 1547 (n. s.) ; 13 « Sommaire instruction pour le faict d'Angleterre. Il est deu au roy d'Angleterre, à cause du traicté de l'an VC. XXV... » ; 14 Varia ; Notes sur les traités de 1518 et 1532, par lesquels « est faicte ligue deffensive entre le roy « de France » et le roy d'Angleterre » ; « Estat abbregé du faict d'Angleterre. Et premièrement pour les deux millions de coronnes. Par le traicté de la paix... faicte à More, en aoust mil cinq cens vingtcinq... » ; Commission donnée par FRANÇOIS Ier au cardinal Du Bellay, à Pierre Remon, seigneur de Courcelles, et à Claude de Laubespine, pour traiter de la paix avec les ambassadeurs du roi d'Angleterre. « Courtignon », 30 août 1544 ; 15 Historia Eduardi IV et Richardi III, regum Angliae, « Thoma Moro authore ». Premiers mots : « Eduardus rex, ejus nominis quartus, actis vite annis quinquaginta tribus, mensibus septem, diebus sex... » ; derniers mots : « ... Qui nepoti ejus coronando fuerat destinatus »
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Contient : 1 Mémoire pour le roi contre l'excommunication de Jeanne d'Albret, reine de Navarre ; 2 Actes du colloque de Poissy, 14 octobre 1561. « Acta Pissiaci, quod est Carnutum oppidum ad Sequane amnis ripam, anno humane salutis 1561, pridie idus octobris » ; 3 « Memoires et instructions des syndicz, deputez par les clergez de France, pour servir et proposer en l'assemblée que l'on dict debvoir estre faicte touchant l'approbation ou reject du concile tenu à Trente, aux fins de requerir par l'eglise gallicane la reception et auctorisation d'icelluy... et ce non obstans telles quelles pretendues nullitez et abus mentionnez en certain advis ou conseil deliberé à Paris, à la requeste d'aulcuns que l'on maintient estre du conseil privé du roy, selon qu'il est contenu en la dessusdicte consultation ou advis de Me Charles Dumoulin » ; 4 « Moiantz à deduire par les deputez et syndictz de l'eglise gallicane, pour faire recepvoir les articles du concile tenu à Trente, avecques les modifications requises en aucungs d'iceulx. Pour l'occurance de ceste matière... » ; 5 Mémoire des syndics du clergé de France contre les huguenots protestants, 1564. « Les sindicz des clergez de France ayans veu certain discours imprimé à Paris cest an mil VC.LXIIII, par lequel est persuadé au roy et à son peuple de laisser dedens les fins et limites de ce royaulme, en certaine asseurance, l'evenement des deux religions, selon le contenu en l'edict de pacification et interpretation faicte d'icelluy, leue, publiée et enregistrée au parlement de Paris du vingtiesme jour de decembre l'an mil. VC.LXIII... » ; 6 Mémoire contre les chantres de la chapelle du roi. On lit en marge : « Playdoyé faict par moy au conseil privé du roy, pour empescher que ses chantres n'eussent les distributions manuelles aux eglises desquelles ils sont chanoynes ; et est icy le faict particulier de l'eglise d'Amyans, qui a baillé loy aux aultres ». Premiers mots : « Le doyen, chanoynes et chapitre de l'eglise d'Amyens, pour les moyens de l'opposition qu'ils entendent former aux lettres patentes données à Fonteynebleau au mois d'apvril mil VC.LIII... » ; 7 « Articles du clergé de France sur la revocation de l'edict d'aliénation du revenu temporel de l'Eglise jusques à cent mil escuz de rente. Il plaire au roy decerner ses lettres patentes... ». Ces articles sont précédés du compte rendu de l'assemblée du clergé, réunie à Paris le 15 septembre 1563, qui les avait votées et avait maintenu dans leurs fonctions de syndics généraux Antoine Du Vivier et Nicolas Griveau ; 8 Déclaration du chapitre de Thérouanne, faisant savoir qu'il ne peut accorder la subvention demandée par le roi, et qu'au surplus il se conformera à la décision prise par l'évêque et le clergé d'Amiens ; 9 « Opposition formée par nous » ANTOINE DU VIVIER, chancelier de l'église et de l'Université de Paris, et NICOLAS GRIVEAU, doyen de l'église d'Amiens], « syndictz, contre l'edict » du 17 « janvier, donné à Sainct-Germain-en-Laye, l'an mil VC.LXI » ; 10 « Moyens et conditions pour faire revocquer l'edict d'alienation de cent mil escus de rente du temporel de l'Eglise » ; 11 « Remonstrance à messieurs de la court de parlement contre l'alienation du bien temporel de l'eglise gallicane ». 1561 ; 12 Mémoire « pour evidemment monstrer que l'eglise gallicane n'est subjecte aulx charges portées par l'edict du roy dernierement publié touchant les franczfiefz et nouveaulx acquestz » ; 13 Mandement imprimé de CHARLES, cardinal DE LORRAINE, archevêque de Reims, adressé aux fidèles de la province, à l'occasion des quatre-temps de la Noel. Sans date ; 14 Concile de Reims, en 1564 ; « Moyantz proposez par les deputez au concile tenu à Reims, pro cultu ecclesiarum ». 1564 ; « Articles mys en opinion au concile de Reins » ; « Icy sont declarez les moyantz pour l'interpretation des articles que j'ay portez au concile provintial de Reins pour le diocese d'Amyans » ; « Response à certains articles baillez par mons. le cardinal de Lorraynne » ; Compte rendu de l'assemblée tenue par le clergé du diocèse d'Amiens pour la nomination des députés à envoyer, le 26 novembre 1564, au concile de Reims, et pour la rédaction des instructions à leur donner ; Copie du mandement indiqué sous l'article 13 ; « Canons du concile provintial de Reins ». 1564 ; « Statuta ab illustrissimo principe et reverendissimo cardinali CAROLO LOTHARINGO, archiepiscopo duce Remensi... condita et promulgata in diocesana sua synodo, que Remis habita est, octavo die novembris anno 1564 ». Ces statuts reproduisent presque tous les canons du concile de Reims. On lit au-dessous du titre : « Ces statuz furent presentez en la congregation, pour les visiter et sçavoyr si aucungtz d'iceulx debvoyent estre changez ou refformez » ; « S'ensuyt ce que a esté fait au concile provintial assigné en la ville de Reins, au XXVIe novembre mil VCLXIIII... » ; 15 « Briefve relation du sieur de Tantalle, ministre de France, adressante aux ministres d'Allemagne, touchant ce qui s'est passé à Saumur le vingt neufiesme juin mil six cens unze ». C'est une « satire contre M. de Sully et les huguenots »
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Elles commencent (fol. 1) par : « Cy commence le second volume des Cronicques Froissart, contenant les faitz et batailles des roys de France et de Angleterre. Apres le conquest de La Roche sur Ion, si comme chi dessus est dit... » et finissent (fol. 286) par : «... et sirez Jaques d'Ardembourcq fut doien des menus mestiers, qui est ossy un gran office en la ville de Gand ». Le commencement du premier livre se trouvait dans un autre volume, qui semble perdu. Le premier livre finit, dans ce ms., au fol. 78, par : «... de laquelle je parlerai plus à plain, quant j'en serai mieux informé ». Le second livre vient ensuite, mais il n'est signalé par aucun titre. Il commence par : « En ce temps que li duc de Bourgongne fist son armée en Picardie, si comme il est contenu chi dessus... » et ces mots sont les premiers d'un paragraphe en tout semblable aux autres. « Une main postérieure, dit M. S. Luce (Introd. au premier livre des Chroniques de J. Froissart, Paris, 1869, page XLI), a pris à tâche de faire disparaître, en grattant ou en ajoutant des lettres à certains mots, une empreinte wallonne très caractérisée, ainsi que les signes usités dans notre ancienne langue pour marquer la distinction du cas sujet et du cas régime, qui est encore généralement observée dans ce précieux ms. ». Le texte y est accompagné d'un certain nombre de notes marginales dues à une main du XVe siècle. Ces notes ont été reproduites sur les marges d'une copie de ce ms., conservée sous le n° 20357 du Fonds français. Au bas du fol. 1 r° et au milieu de la bordure dont il est orné, sont les armes suivantes : d'azur à une tête de more de sable accompagnée de trois trèfles d'or. Ces armes se retrouvent dans le ms. 20357, fol. 1.
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Comprend : Sonnet pour être mis à la tête de la seconde edition d'un recueil de bons mots, dédié à Monseigneur le duc de Bourgogne ; Toulouse offrant aux deux princes des places distinguées dans la gallerie des hommes illustres de son Capitole ; A Monseigneur le duc de Berri
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Comprend : (N ° 1.) Le comité de salut public aux représentants du peuple en mission ; (N ° 3.) Le comité de salut public aux départements ; (N ° 4.) Le comité de salut public aux citoyens composant les tribunaux militaires ; (N ° 5.) Le comité de salut public aux tribunaux révolutionnaires, aux tribunaux criminels, aux commissions militaires et aux accusateurs publics ; (N ° 6.) Le comité de salut public aux agents nationaux près les districts ; (N ° 7.) Le comité de salut public aux districts, sur le décret du 14 frimaire ; (N ° 8.) Le comité de salut public aux agents nationaux près des communes ; (N ° 9.) Le comité de salut public aux communes ; (N ° 11.) Le comité de salut public aux sociétés populaires. Du 16 pluviôse, l'an II de la république ; (N ° 12.) Convention nationale. La convention nationale à l'armée de la république sous les murs de Toulon. Imprimé par ordre de la convention nationale. Du 28 frimaire, l'an II de la république une et indivisible ; (N ° 13.) ... La convention nationale aux armées de la république française. (4 nivôse an II.) ; (N ° 15.) ... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, au citoyen représentant du peuple à [ ]. (Nivôse, l'an II de la république française.) ; ... Les membres composant le comité de salut public au secrétaire général et chefs des différents comités de la convention. (24 nivôse an II.) ; (N ° 16.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux agents nationaux près les districts. (26 nivôse an II.) ; (N ° 18.) ... Comité de salut public. Bureau des poudres et salpêtres. Le comité de salut public de la convention nationale à la société populaire d[ ]. (Pluviôse an II.) ; (N ° 19.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux agents nationaux près les districts. (3 pluviôse an II.) ; (N ° 20.) ... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, aux citoyens représentants du peuple dans les départements. (4 pluviôse an II.) ; (N ° 21.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux autorités constituées. (7 pluviôse an II.) ; - Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux autorités constituées ; (N ° 22.) ... Le comité de salut public de la convention nationale aux agents nationaux près l'administration de district. (15 pluviôse an II.) ; Le comité de salut public aux sociétés populaires. Du 16 pluviôse, l'an deuxième de la république ; (N ° 23.) ... Les représentants du peuple composant le comité de salut public, aux représentants du peuple en mission dans les départements. (20 pluviôse an II.) ; (N ° 25.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux administrations du district. (22 pluviôse an II.) ; (N ° 26.) Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux agents nationaux près les districts dont les ennemis ou les rebelles ont occupé le territoire. (23 pluviôse an II.) ; (N ° 27.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux directoires et agents nationaux des districts. (Pluviôse an II.) ; (N ° 28.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux commissaires généraux ordonnateurs et commissaires des guerres près les armées de la république. (24 pluviôse an II.) ; (N ° 29.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux représentants du peuple en mission dans les départements. (25 pluviôse an II.) ; (N ° 30.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux agents nationaux près les administrations de district. (25 pluviôse an II.) ; (N ° 31.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux représentants du peuple en mission, relativement à la guerre de la Vendée. (26 pluviôse an II.) ; (N ° 32.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux agents nationaux près les districts. (27 pluviôse an II.) ; (N ° 33.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux citoyens représentants du peuple chargés d'organiser le gouvernement révolutionnaire. (28 pluviôse an II.) ; N ° 34. ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux autorités constituées. (28 nivôse an II.) ; N ° 35. ... Le comité de salut public aux comités de surveillance ou révolutionnaires. (16 pluviôse an II.) ; N ° 36. ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux agents nationaux près les districts, pour communiquer aux gardes généraux, gardes à cheval et à pied des forêts nationales. (2 ventôse an II.) ; N ° 38. (Formule de reçu de pièces, commençant par ces mots :) Convention nationale. Comité d[ ]. Reçu du citoyen... ; N ° 39. Comité de salut public. Bureau de la surveillance de l'exécution des lois... Les représentants du peuple composant le comité de salut public, aux municipalités. (14 ventôse an II.) ; N ° 40. Comité de salut public. Bureau de l'action... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, à l'agent national du district d[ ] (17 ventôse an II.) - N ° 41. Comité de salut public... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, aux administrations de district. (21 ventôse an II.) ; N ° 43..... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, à l'accusateur public près le tribunal criminel ou révolution
Resumo:
We propose methods for testing hypotheses of non-causality at various horizons, as defined in Dufour and Renault (1998, Econometrica). We study in detail the case of VAR models and we propose linear methods based on running vector autoregressions at different horizons. While the hypotheses considered are nonlinear, the proposed methods only require linear regression techniques as well as standard Gaussian asymptotic distributional theory. Bootstrap procedures are also considered. For the case of integrated processes, we propose extended regression methods that avoid nonstandard asymptotics. The methods are applied to a VAR model of the U.S. economy.
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Olivier Bauer ne se demande pas si la théologie doit s’intéresser aux cinq sens, mais comment elle doit le faire ! L’auteur rappelle d’abord la manière dont nous percevons le monde avec nos cinq sens et le rôle que chacun remplit. Il démontre ensuite comment le christianisme s’est toujours exprimé autant dans des goûts, des odeurs et des textures que dans des mots, des musiques ou des images. Il souligne l’importance pour le théologien de repérer ce qui fait de nous les chrétiens que nous sommes. Il propose enfin une démarche communautaire pour choisir des goûts, des odeurs, des textures, des sons ou des images pour transmettre l’Évangile.
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Ce rapport de recherche porte sur une étude s’intéressant au transfert des connaissances tacites chez les gestionnaires, c’est-à-dire le partage de ces connaissances et leur utilisation informelle, durant une situation de coordination dans un service municipal. La thèse est articulée autour des questions suivantes : Quelles sont les situations de coordination vécues par les gestionnaires municipaux? Quelles sont les sources de connaissances tacites partagées et utilisées? Quelles sont les relations de connaissances mobilisées de façon informelle lors du transfert des connaissances tacites? Quels sont les facteurs encourageant ou inhibant le transfert informel des connaissances tacites? À partir d’un modèle basé sur une approche situationnelle (Taylor, 1989 et 1991), nous avons revu la documentation touchant nos questions de recherche. Nous avons défini notamment la récursivité des connaissances et le réseau de connaissances, de même que présenté le modèle de la conversion des connaissances (Nonaka, 1994) et celui de l’actualisation de soi (St-Arnaud, 1996). Nous avons questionné 22 répondants à l’aide d’instruments de mesure qui combinent les techniques de l’incident critique, de l’entrevue cognitive et réflexive, le questionnement sur les réseaux organisationnels et l’observation participante. Tels des filets, ces instruments ont permis de traquer et d’obtenir des données d’une grande richesse sur les connaissances tacites et les comportements informels durant le transfert de connaissances en situation de coordination. Ces données ont été analysées selon une approche méthodologique essentiellement qualitative combinant l’analyse de contenu, la schématisation heuristique et l’analyse des réseaux sociaux. Nos résultats montrent que la complexité d’une situation de coordination conditionne le choix des mécanismes de coordination. De plus, les sources de connaissances sont, du point de vue individuel, le gestionnaire et ses artefacts, de même que son réseau personnel avec ses propres artefacts. Du point de vue collectif, ces sources sont réifiées dans le réseau de connaissances. Les connaissances clés d’une situation de coordination sont celles sur le réseau organisationnel, le contexte, les expériences en gestion et en situation complexe de coordination, la capacité de communiquer, de négocier, d’innover et celle d’attirer l’attention. Individuellement, les gestionnaires privilégient l’actualisation de soi, l’autoformation et la formation contextualisée et, collectivement, la coprésence dans l’action, le réseautage et l’accompagnement. Cette étude fournit un modèle valide du transfert contextualisé des connaissances qui est un cas de coordination complexe d’activités en gestion des connaissances. Ce transfert est concomitant à d’autres situations de coordination. La nature tacite des connaissances prévaut, de même que le mode informel, les médias personnels et les mécanismes d’ajustement mutuel. Les connaissances tacites sont principalement transférées au début des processus de gestion de projet et continuellement durant la rétroaction et le suivi des résultats. Quant aux connaissances explicites, les gestionnaires les utilisent principalement comme un symbole à la fin des processus de gestion de projet. Parmi les personnes et les groupes de personnes d’une situation de transfert contextualisé des connaissances, 10 % jouent des rôles clés, soit ceux d’experts et d’intermédiaires de personnes et d’artefacts. Les personnes en périphérie possèdent un potentiel de structuration, c’est-à-dire de connexité, pour assurer la continuité du réseau de connaissances organisationnel. Notre étude a élargi le modèle général de la complexité d’une situation (Bystrom, 1999; Choo, 2006; Taylor, 1986 et 1991), la théorie de la coordination (Malone et Crowston, 1994), le modèle de la conversion des connaissances (Nonaka, 1994), celui de l’actualisation de soi (St-Arnaud, 1996) et la théorie des réseaux de connaissances (Monge et Contractor, 2003). Notre modèle réaffirme la concomitance de ces modèles généraux selon une approche constructiviste (Giddens, 1987) où la dualité du structurel et la compétence des acteurs sont confirmées et enrichies.
Resumo:
Département de linguistique et traduction