934 resultados para cortical thickness (brain)


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A qualidade óssea, bem como a estabilidade inicial dos implantes, está diretamente relacionada com o sucesso das reabilitações na implantodontia. O presente estudo teve como objetivo analisar a correlação entre índices radiomorfométricos de densidade óssea por meio de radiografias panorâmicas, perfil de qualidade óssea com o auxílio de Tomografia Computadorizada de Feixe Cônico (TCFC) com o uso do software de imagens OsiriX, Análise da Frequência de Ressonância (RFA) e Torque de Inserção do implante. Foram avaliados 160 implantes de 72 indivíduos, com média etária de 55,5 (±10,5) anos. Nas radiografias panorâmicas foram obtidos os índices IM, IPM e ICM, e nas tomografias computadorizadas de feixe cônico, os valores de pixels e a espessura da cortical da crista óssea alveolar, além da estabilidade primária por meio do torque de inserção e análise da frequência de ressonância. Os resultados foram analisados pelo coeficiente de correlação de Spearman, para p<= 0,01 foi obtido entre o torque de inserção e valores de pixels (0.330), o torque de inserção e a espessura da cortical da crista alveolar (0.339), o torque de inserção e o ISQ vestibulo-lingual (0.193), os valores de pixels e espessura da cortical da crista alveolar (0.377), as duas direções vestíbulo-lingual e mesio-distal do ISQ (0.674), o ISQ vestíbulo-lingual e a espessura da cortical da crista alveolar (0.270); os índices radiomorfométricos foram correlacionados entre eles e para p<= 0,05 foi obtido entre torque de inserção e ISQ mesio-distal (0.131), entre o ISQ vestibulo-lingual e os valores de pixels (0.156) e ISQ mesio-distal e IPMI esquerdo (0.149) e ISQ mesio-distal e IPMS esquerdo (0.145). Existe correlação entre a TCFC, o torque de inserção e a RFA na avaliação da qualidade óssea. É possível utilizar, pré-cirurgicamente, os exames de TCFC para avaliar a qualidade e quantidade óssea, tendo em vista as correlações obtidas neste estudo.

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Cette thèse a pour objectif l’investigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est d’identifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin d’être en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen d’une tâche d’anticipation et d’obtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsqu’ils devaient éviter d’obtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi qu’une meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant d’éviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal durant l’évitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal lors de l’obtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, l’intégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de l’épaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de l’épaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. L’ensemble de ces résultats démontre ainsi l’existence de particularités comportementales et d’altérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de l’humeur, et ce, avant même l’émergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de l’humeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de l’humeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin d’éviter des trajectoires développementales psychopathologiques.

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Cette thèse a pour objectif l’investigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est d’identifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin d’être en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen d’une tâche d’anticipation et d’obtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsqu’ils devaient éviter d’obtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi qu’une meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant d’éviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal durant l’évitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal lors de l’obtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, l’intégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de l’épaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de l’épaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. L’ensemble de ces résultats démontre ainsi l’existence de particularités comportementales et d’altérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de l’humeur, et ce, avant même l’émergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de l’humeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de l’humeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin d’éviter des trajectoires développementales psychopathologiques.

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Gilles de la Tourette syndrome is a neurodevelopmental disorder characterized by the presence of motor and vocal tics. We hypothesized that patients with this syndrome would present an aberrant pattern of cortical formation, which could potentially reflect global alterations of brain development. Using 3 Tesla structural neuroimaging, we compared sulcal depth, opening, and length and thickness of sulcal gray matter in 52 adult patients and 52 matched controls. Cortical sulci were automatically reconstructed and identified over the whole brain, using BrainVisa software. We focused on frontal, parietal, and temporal cortical regions, in which abnormal structure and functional activity were identified in previous neuroimaging studies. Partial correlation analysis with age, sex, and treatment as covariables of noninterest was performed amongst relevant clinical and neuroimaging variables in patients. Patients with Gilles de la Tourette syndrome showed lower depth and reduced thickness of gray matter in the pre- and post-central as well as superior, inferior, and internal frontal sulci. In patients with associated obsessive-compulsive disorder, additional structural changes were found in temporal, insular, and olfactory sulci. Crucially, severity of tics and of obsessive-compulsive disorder measured by Yale Global Tic severity scale and Yale-Brown Obsessive-Compulsive scale, respectively, correlated with structural sulcal changes in sensorimotor, temporal, dorsolateral prefrontal, and middle cingulate cortical areas. Patients with Gilles de la Tourette syndrome displayed an abnormal structural pattern of cortical sulci, which correlated with severity of clinical symptoms. Our results provide further evidence of abnormal brain development in GTS. © 2015 International Parkinson and Movement Disorder Society.

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Due to its three-dimensional folding pattern, the human neocortex; poses a challenge for accurate co-registration of grouped functional; brain imaging data. The present study addressed this problem by; employing three-dimensional continuum-mechanical image-warping; techniques to derive average anatomical representations for coregistration; of functional magnetic resonance brain imaging data; obtained from 10 male first-episode schizophrenia patients and 10 age-matched; male healthy volunteers while they performed a version of the; Tower of London task. This novel technique produced an equivalent; representation of blood oxygenation level dependent (BOLD) response; across hemispheres, cortical regions, and groups, respectively, when; compared to intensity average co-registration, using a deformable; Brodmann area atlas as anatomical reference. Somewhat closer; association of Brodmann area boundaries with primary visual and; auditory areas was evident using the gyral pattern average model.; Statistically-thresholded BOLD cluster data confirmed predominantly; bilateral prefrontal and parietal, right frontal and dorsolateral; prefrontal, and left occipital activation in healthy subjects, while; patients’ hemispheric dominance pattern was diminished or reversed,; particularly decreasing cortical BOLD response with increasing task; difficulty in the right superior temporal gyrus. Reduced regional gray; matter thickness correlated with reduced left-hemispheric prefrontal/; frontal and bilateral parietal BOLD activation in patients. This is the; first study demonstrating that reduction of regional gray matter in; first-episode schizophrenia patients is associated with impaired brain; function when performing the Tower of London task, and supports; previous findings of impaired executive attention and working memory; in schizophrenia.

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We aimed to identify genetic variants associated with cortical bone thickness (CBT) and bone mineral density (BMD) by performing two separate genome-wide association study (GWAS) meta-analyses for CBT in 3 cohorts comprising 5,878 European subjects and for BMD in 5 cohorts comprising 5,672 individuals. We then assessed selected single-nucleotide polymorphisms (SNPs) for osteoporotic fracture in 2,023 cases and 3,740 controls. Association with CBT and forearm BMD was tested for ~2.5 million SNPs in each cohort separately, and results were meta-analyzed using fixed effect meta-analysis. We identified a missense SNP (Thr>Ile; rs2707466) located in the WNT16 gene (7q31), associated with CBT (effect size of -0.11 standard deviations [SD] per C allele, P = 6.2×10-9). This SNP, as well as another nonsynonymous SNP rs2908004 (Gly>Arg), also had genome-wide significant association with forearm BMD (-0.14 SD per C allele, P = 2.3×10-12, and -0.16 SD per G allele, P = 1.2×10-15, respectively). Four genome-wide significant SNPs arising from BMD meta-analysis were tested for association with forearm fracture. SNP rs7776725 in FAM3C, a gene adjacent to WNT16, was associated with a genome-wide significant increased risk of forearm fracture (OR = 1.33, P = 7.3×10-9), with genome-wide suggestive signals from the two missense variants in WNT16 (rs2908004: OR = 1.22, P = 4.9×10-6 and rs2707466: OR = 1.22, P = 7.2×10-6). We next generated a homozygous mouse with targeted disruption of Wnt16. Female Wnt16-/- mice had 27% (P<0.001) thinner cortical bones at the femur midshaft, and bone strength measures were reduced between 43%-61% (6.5×10-13<P<5.9×10-4) at both femur and tibia, compared with their wild-type littermates. Natural variation in humans and targeted disruption in mice demonstrate that WNT16 is an important determinant of CBT, BMD, bone strength, and risk of fracture. © 2012 Zheng et al.

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Until recently, objective investigation of the functional development of the human brain in vivo was challenged by the lack of noninvasive research methods. Consequently, fairly little is known about cortical processing of sensory information even in healthy infants and children. Furthermore, mechanisms by which early brain insults affect brain development and function are poorly understood. In this thesis, we used magnetoencephalography (MEG) to investigate development of cortical somatosensory functions in healthy infants, very premature infants at risk for neurological disorders, and adolescents with hemiplegic cerebral palsy (CP). In newborns, stimulation of the hand activated both the contralateral primary (SIc) and secondary somatosensory cortices (SIIc). The activation patterns differed from those of adults, however. Some of the earliest SIc responses, constantly present in adults, were completely lacking in newborns and the effect of sleep stage on SIIc responses differed. These discrepancies between newborns and adults reflect the still developmental stage of the newborns’ somatosensory system. Its further maturation was demonstrated by a systematic transformation of the SIc response pattern with age. The main early adult­like components were present by age two. In very preterm infants, at term age, the SIc and SIIc were activated at similar latencies as in healthy fullterm newborns, but the SIc activity was weaker in the preterm group. The SIIc response was absent in four out of the six infants with brain lesions of the underlying hemisphere. Determining the prognostic value of this finding remains a subject for future studies, however. In the CP adolescents with pure subcortical lesions, contrasting their unilateral symptoms, the SIc responses of both hemispheres differed from those of controls: For example the distance between SIc representation areas for digits II and V was shorter bilaterally. In four of the five CP patients with cortico­subcortical brain lesions, no normal early SIc responses were evoked by stimulation of the palsied hand. The varying differences in neuronal functions, underlying the common clinical symptoms, call for investigation of more precisely designed rehabilitation strategies resting on knowledge about individual functional alterations in the sensorimotor networks.

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We simultaneously recorded auditory evoked potentials (AEP) from the temporal cortex (TCx), the dorsolateral prefrontal cortex (dPFCx) and the parietal cortex (PCx) in the freely moving rhesus monkey to investigate state-dependent changes of the AEP. AEPs obtained during passive wakefulness, active wakefulness (AW), slow wave sleep and rapid-eye-movement sleep (REM) were compared. Results showed that AEP from all three cerebral areas were modulated by brain states. However, the amplitude of AEP from dPFCx and PCx significantly appeared greater attenuation than that from the TCx during AW and REM. These results indicate that the modulation of brain state on AEP from all three cerebral areas investigated is not uniform, which suggests that different cerebral areas have differential functional contributions during sleep-wake cycle. (C) 2002 Elsevier Science Ireland Ltd.. All rights reserved.