710 resultados para Pelvic floor disorders
Resumo:
L’incontinence urinaire d’effort (IUE) est une condition fréquente en période postnatale pouvant affecter jusqu’à 77% des femmes. Neuf femmes sur dix souffrant d’IUE trois mois après l’accouchement, vont présenter une IUE cinq ans plus tard. Le traitement en physiothérapie de l’IUE par le biais d’un programme d’exercices de renforcement des muscles du plancher pelvien est reconnu comme étant un traitement de première ligne efficace. Les études ont prouvé l’efficacité de cette approche sur l’IUE persistante à court terme, mais les résultats de deux ECR à long terme n’ont pas démontré un maintien de l’effet de traitement. L’effet d’un programme en physiothérapie de renforcement du plancher pelvien intensif et étroitement supervisé sur l’IUE postnatale persistante avait été évalué lors d’un essai clinique randomisé il y a sept ans. Le but principal de la présente étude était d’évaluer l’effet de ce programme sept ans après la fin des interventions de l’ECR initial. Un objectif secondaire était de comparer l’effet de traitement à long terme entre un groupe ayant fait seulement des exercices de renforcement du plancher pelvien et un groupe ayant fait des exercices de renforcement du plancher pelvien et des abdominaux profonds. Un troisième objectif était d’explorer l’influence de quatre facteurs de risques sur les symptômes d’IUE et la qualité de vie à long terme. Les cinquante-sept femmes ayant complétées l’ECR initial ont été invitées à participer à l’évaluation du suivi sept ans. Vingt et une femmes ont participé à l’évaluation clinique et ont répondu à quatre questionnaires, tandis que dix femmes ont répondu aux questionnaires seulement. L’évaluation clinique incluait un pad test et la dynamométrie du plancher pelvien. La mesure d’effet primaire était un pad test modifié de 20 minutes. Les mesures d’effets secondaires étaient la dynamométrie du plancher pelvien, les symptômes d’IUE mesuré par le questionnaire Urogenital Distress Inventory, la qualité de vie mesurée par le questionnaire Incontinence Impact Questionnaire et la perception de la sévérité de l’IUE mesuré par l’Échelle Visuelle Analogue. De plus, un questionnaire portant sur quatre facteurs de risques soit, la présence de grossesses subséquentes, la v présence de constipation chronique, l’indice de masse corporel et la fréquence des exercices de renforcement du plancher pelvien de l’IUE, venait compléter l’évaluation. Quarante-huit pour-cent (10/21) des participantes étaient continentes selon de pad test. La moyenne d’amélioration entre le résultat pré-traitement et le suivi sept ans était de 26,9 g. (écart-type = 68,0 g.). Il n’y avait pas de différence significative des paramètres musculaires du plancher pelvien entre le pré-traitement, le post-traitement et le suivi sept ans. Les scores du IIQ et du VAS étaient significativement plus bas à sept ans qu’en prétraitement (IIQ : 23,4 vs 15,6, p = 0,007) et (VAS : 6,7 vs 5,1, p = 0,001). Les scores du UDI étaient plus élevés au suivi sept ans (15,6) qu’en pré-traitement (11,3, p = 0,041) et en post-traitement (5,7, p = 0,00). La poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien à domicile était associée à une diminution de 5,7 g. (p = 0,051) des fuites d’urine observées au pad test selon une analyse de régression linéaire. Les limites de cette étude sont ; la taille réduite de l’échantillon et un biais relié au désir de traitement pour les femmes toujours incontinentes. Cependant, les résultats semblent démontrer que l’effet du traitement à long terme d’un programme de renforcement des muscles du plancher pelvien qui est intensif et étroitement supervisé, est maintenu chez environ une femme sur deux. Bien que les symptômes d’IUE tel que mesuré par les pad test et le questionnaire UDI, semblent réapparaître avec le temps, la qualité de vie, telle que mesurée par des questionnaires, est toujours meilleure après sept qu’à l’évaluation initiale. Puisque la poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien est associée à une diminution de la quantité de fuite d’urine au pad test, les participantes devraient être encouragées à poursuivre leurs exercices après la fin d’un programme supervisé. Pour des raisons de logistique la collecte de donnée de ce projet de recherche s’est continuée après la rédaction de ce mémoire. Les résultats finaux sont disponibles auprès de Chantale Dumoulin pht, PhD., professeure agrée à l’Université de Montréal.
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But: Cette étude a pour but de comparer : a)la morphologie du plancher pelvien (PP), du col vésical et du sphincter urogénital strié (SUS) par IRM et b) la fonction du PP par palpation digitale (PERFECT scheme) chez les femmes âgées continentes ou avec incontinence urinaire à l’effort (IUE) et mixte (IUM). Méthode: Les femmes ont appris à contracter correctement leur PP et la fonction de leur PP a été évaluée. Une séance d’IRM dynamique 3T a suivi. Résultats: 66 femmes ont participé à l’étude. Les groupes étaient similaires en âge, IMC, nombre d’accouchements vaginaux et d’hystérectomie. La validité et la fidélité des différentes mesures anatomiques utilisées ont été confirmées au début de cette étude. Afin de contrôler l’effet potentiel de la taille du bassin sur les autres paramètres, les femmes ont été appariées par la longueur de leur inlet pelvien. Les femmes avec IUM ont un PP plus bas et un support des organes pelviens plus faible, selon leurs ligne M, angle LPC/Ligne H et hauteur de la jonction urétro-vésicale (UV). Les femmes avec IUE ont un PP similaire à celui des continentes, mais présentent plus d’ouverture du col vésical et un angle UV postérieur plus large au repos que les autres groupes. Il n’y a aucune différence de morphologie du SUS entre les groupes. De plus, selon les résultats du PERFECT scheme, les femmes avec IU ont une force du PP plus faible que les continentes. Les femmes avec IUM montrent aussi une faible élévation des muscles du PP à la contraction. Les femmes avec IUE ont, quant à elle, un problème de coordination à la toux. Conclusion: Les déficits causant l’IUE et l’IUM sont différents, mais supportent tous le rationnel des exercices du PP pour le traitement de l’IUE et l’IUM. Ces résultats supportent le besoin de traitements de rééducation spécifiques aux déficits de chacun des types d’IU.
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But : Cette étude a comme objectif principal d’évaluer la faisabilité d’utiliser une combinaison de renforcement des muscles du plancher pelvien (MPP) et de réadaptation par la réalité virtuelle (RRV) (programme d’entraînement MPP/RRV) pour traiter l’incontinence urinaire mixte (IUM) de la femme âgée. La faisabilité est évaluée par le taux de participation et d’achèvement du programme d’entraînement MPP/RRV et du programme d’exercices à domicile. Les objectifs secondaires de cette étude sont 1) d’évaluer l’effet du programme d’entraînement MPP/RRV sur la sévérité des symptômes urinaires, sur les dimensions de la qualité de vie, sur la fonction musculaire des MPP et sur les fonctions cognitives, plus précisément le processus exécutif de coordination de deux tâches, 2) d’évaluer, suite à l’intervention, la satisfaction des participantes. Le volet qualitatif a, quant à lui, pour objectif d’identifier les facteurs ayant influencé la participation au programme d’entraînement MPP/RRV ainsi que les avantages et les inconvénients associés à l’ajout de la RRV au traitement conventionnel de renforcement des MPP. Méthode : Les participantes ont effectué deux évaluations pré-traitement (pré-1 et pré-2), ont assisté à 12 classes hebdomadaires d’entraînement MPP/RRV et ont effectué une évaluation post-traitement. Elles ont aussi complété un programme d’exercices des MPP à domicile. Finalement, suite à la dernière classe, elles ont participé à un groupe de discussion. Les évaluations pré-1 et pré-2 ont été effectuées à deux semaines d’intervalle et étaient nécessaires pour s’assurer de la stabilité des mesures en l’absence d’une intervention. Résultats : 24 femmes ont participé à l’étude. Les taux de participation aux classes d’exercices hebdomadaires et au programme d’exercices à domicile étaient de 91 % et de 92 % respectivement. Le taux d’achèvement au programme d’entraînement MPP/RRV était de 96 %. Le programme d’entraînement MPP/RRV s’est avéré efficace dans l’amélioration des symptômes urinaires, de la qualité de vie ainsi que de la capacité à coordonner deux tâches simultanées chez les femmes âgées avec de l’IUM; il tend également à améliorer la fonction musculaire du plancher pelvien de ces femmes. L’appréciation de la composante RRV, par les participantes, était de 9.8/10 et ces dernières l’ont identifiée comme un facilitateur à leur participation hebdomadaire au traitement. Conclusion : Ce projet de maîtrise a permis de démontrer qu’une combinaison de renforcement des MPP et de RRV est une approche de traitement acceptable pour les femmes âgées souffrant d’IUM puisqu’elles sont capables de suivre les exigences de ce programme d’entraînement.
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Objetivo: establecer la prevalencia de la disfunción sexual en las pacientes sometidas a corrección de incontinencia urinaria por medio de la uretrocistopexia con cabestrillo en el Hospital Universitario Mayor. Metodología: se realizo un estudio analítico de corte transversal donde se evaluara la disfunción sexual en pacientes con incontinencia urinaria por medio de la encuesta PISQ-12 después de 6 meses de la realización de cabestrillo suburetral dentro del manejo de incontinencia urinaria femenina y buscarán la asociación con otros factores como el tipo de cirugía asociada al cabestrillo, menopausia, terapia hormonal, edad, número de embarazos utilizando la prueba de asociación ji-cuadrado de Pearson o el test exacto de Fisher o razón de verosimilitud exacta (valores esperados < 5). Resultados: la prevalencia de disfunción sexual fue del 27% (12 pacientes), de ellas 25% tuvieron disfunción moderada (11 pacientes) y dos por ciento disfunción severa (1 paciente) deacuerdo con la escala PISQ-12. La disfunción sexual fue más frecuente en las pacientes con prolapso posterior estadio 2 (4 de las 5 mujeres), seguido del prolapso anterior y posterior estadio 2 (4 de 10 mujeres), las otras categorías fueron menores, mostrando asociación significativa (p=0.011, Test exacto de Razón de verosimilitud). Conclusión: del presente estudio podemos concluir que la cirugía de piso pelvico (colporrafías) contomintante a la cirugía de incontinencia urinaria con cabestrillo suburetral está asociada a un mayor grado de disfunción sexual femenina.
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Este trabajo presenta el diseño e implementación de un programa progresivo de rehabilitación basado en los ejercicios musculares del suelo pélvico, incorporando el trabajo muscular de fuerza contrarresistencia. El disenño del estudio es casi experimental.La muestra es de 33 participantes en fase de tratamiento. Las variables de estudio son las antropométricas, las relacionadas con la evolución de la incontinencia urinaria(IU (intensidad, dificultad, frecuencia y limitación de las actividades),la obesidad, fatiga y dolor,la fuerza muscular y la calidad de vida(CdV). Para evaluar el cambio intrasujeto se tomaron medidas pretest(semana 0)y postest(semana24. En el análisis estadístico se utilizan las pruebas t Student-Fisher, Wilcoxon oU de Mann Whitney y el test del w2. El análisis se realiza con el programa SPSS versión 15. El nivel de significación escogido es del 5%. Al finalizar las 24 semanas del programa se identifica una disminución significativa de las variables antropométricas índice de cintura cadera (p¼0,003), perímetro de cintura(pr0,001) y porcentaje de masa de grasa(pr0,001); de las variables de IU: intensidad(pr0,0001), frecuencia y dificultad y su relación con la limitación de las actividades (pr0,0001), así como la relación existente entre la mejora de IU y la mejora de la CdV(p¼0,039). Queda científicamente demostrada la eficacia del programa progresivo de fuerza para disminuir la IU. La mejora de la CdV del hombre mayor con cáncer de prósstata viene mediada por la mejora de la continencia urinaria
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Stress urinary incontinence (SUI) is defined as "involuntary loss of urine" due to several processes that alter the ability of the bladder to hold urine properly, regarded as a social and hygienic problem that adversely affects quality of life. In postmenopausal women, IU is associated with atrophy and weakness of the pelvic floor muscles. The objective this study was investigate, using the onehour pad test, stress urinary leakage (SUI), evaluate and compare their results in postmenopausal and premenopausal women. The survey was characterized as a cross-sectional study. The study consisted of 60 postmenopausal women were divided into GIU - consisting of 34 volunteers complaining of involuntary loss of urine during stress - and GSIU - consisting of 26 volunteers without complaints of loss of urine during stress, and 15 women, during the premenopausal (GPM), and ovulatory with normal menstrual cycle. All volunteers were evaluated clinically, subjected to one-hour pad test, after the biochemical evaluation of blood and sex hormones. Statistical analysis was performed by descriptive analysis, ANOVA, Turkey´s post-test and Pearson correlation. The results showed that 100% of postmenopausal patients had involuntary loss of urine during one hour pad test (GIU: 4.0 g; GSIU: 4.5 g). GPM remained continent after an hour pad test (GPM: 0.4 g). In addition, Pearson showed a strong correlation between urine loss with time since menopause (r = 0.8, p <0.01) and body mass index - BMI (r = 0.7; p = 0.01). These data suggest that the one-hour pad test is a useful test to assess and quantify urinary leakage, including those volunteers who had no previous complaint of SUI
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Urinary incontinence (UI) is a geriatric syndrome that is especially prevalent in institutionalized individuals, and that causes economic and social impacts derived from treatment costs and overload of caregiver. UI also entails physical consequences to the health of the elderly, such as urinary tract infections or pressure ulcers, among other health problems. However, the existing national research on this condition is still scarce and comprises serious methodological biases. Therefore, the objective of this study is to determine the prevalence of urinary incontinence and associated factors in institutionalized elderly. A cross-sectional study is presented herein, conducted between October and December, 2013 and carried out in 10 nursing homes in the city of Natal (Northeast Brazil). UI was verified through the program Minimum Data Set version 3.0, which was also used to assess fecal incontinence, urinary devices and UI control programs. Data collection included sociodemographic information, UI characterization, as well as variables related to the institution itself and to health conditions (comorbidities, medication, pelvic floor surgery, Barthel Index for functional capacity and Pfeiffer test for cognitive status). Bivariate analysis was performed using the Chi-Square Test (or Fisher‟s Exact Test) and the Linear Chi-Square Test, calculating the prevalence ratio with 95% confidence interval. Variables with p value under 0.20 were included in the multivariate analysis, which was performed using the Stepwise Forward logistic regression. The inclusion of variables in the final model depended on the likelihood ratio test, absence of multicollinearity and on the Hosmer-Lemeshow test. A statistical significance level of 0.05 was considered. Six (1.8%) hospitalized elderly, one individual in palliative care (0.3%) and one (0.3%) individual under the age of 60 were excluded from the study. The final sample consisted of 321 elderly, mostly females, with a mean age of 81.5 years. The prevalence of UI was 59.43% and the final model revealed statistically a significant association between UI and white race, physical inactivity, stroke, mobility constraints and cognitive decline. The most frequent UI type was functional UI due to physical or cognitive disability, and incontinence control measures were applied only to a minority of residents (approximately 8%). It is concluded that UI is a health issue that affects more than half of the institutionalized elderly, and is associated with white race, physical inactivity, stroke and other geriatric syndromes such as immobility and cognitive disability. Most of these associated factors are modifiable and therefore the findings of this study highlight the importance of UI prevention and treatment in nursing homes, which include general measures, such as physical and psychosocial activities, and specific measures, such as prompted voiding
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OBJETIVO: analisar a influência da via de parto sobre a força muscular do assoalho pélvico (FM-AP). MÉTODOS: estudo clínico de corte transversal, para avaliar a FM-AP pelo teste da avaliação da força do assoalho pélvico (AFA) e uso do perineômetro em primíparas, entre 20-30 anos de idade, 4-6 meses pós-parto. A contração, medida pelos dois testes, foi classificada em: zero - ausência, um - leve, dois - moderada e três - normal, sustentada por 6 segundos. Avaliaram-se 94 mulheres, entre 20 e 30 anos, divididas em três grupos: pós-parto vaginal (n=32); pós-cesárea (n=32) e nulíparas (n=30). A variável independente foi a via de parto e a dependente, a FM-AP. A comparação entre os graus de contração foi realizada pelo teste de Kruskal-Wallis e o teste de Dunn para comparações múltiplas; a influência da via de parto pelo teste chi2, o risco relativo (RR) para alteração da FM-AP e o coeficiente kappa para avaliar equivalência entre os testes. RESULTADOS: a mediana e 1º e 3º quartil da FM-AP foram menores (p=0,01) pós-parto vaginal (2,0;1-2) e intermediários pós-cesárea (2,0; 2-3) em relação às nulíparas (3,0;2-3), tanto analisadas pelo AFA como pelo perineômetro. Aumentou o RR de exame alterado pós-parto vaginal (RR=2,5; IC 95%: 1,3-5,0; p=0,002); (RR=2,3; IC 95%: 1,2-4,3; p=0,005) e pós-cesárea (RR=1,5; IC 95%: 0,94-2,57; p=0,12); (RR=1,3; IC 95%: 0,85-2,23; p=0,29) pelo PFSE e perineômetro, respectivamente. CONCLUSÕES: o parto vaginal diminuiu a força muscular do AP de primíparas quando comparado com os casos submetidos à cesárea e com as nulíparas.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Purpose: We evaluated the somatic and autonomic innervation of the pelvic floor and rhabdosphincter before and after nerve sparing radical retropubic prostatectomy using neurophysiological tests and correlated findings with clinical parameters and urinary continence. Materials and Methods: From February 2003 to October 2005, 46 patients with prostate cancer were enrolled in a controlled, prospective study. Patients were evaluated before and 6 months after nerve sparing radical retropubic prostatectomy using the UCLA-PCI urinary function domain and neurophysiological tests, including somatosensory evoked potential, and the pudendo-urethral, pudendo-anal and urethro-anal reflexes. Clinical parameters and urinary continence were correlated with afferent and efferent innervation of the membranous urethra and pelvic floor. We used strict criteria to define urinary continence as complete dryness with no leakage at all, not requiring any pads or diapers and with a UCLA-PCI score of 500. Patients with a sporadic drop of leakage, requiring up to 1 pad daily, were defined as having occasional urinary leakage. Results: Two patients were excluded from study due to urethral stricture postoperatively. We evaluated 44 patients within 6 months after surgery. The pudendo-anal and pudendo-urethral reflexes were unchanged postoperatively (p = 0.93 and 0.09, respectively), demonstrating that afferent and efferent pudendal innervation to this pelvic region was not affected by the surgery. Autonomic afferent denervation of the membranous urethral mucosa was found in 34 patients (77.3%), as demonstrated by a postoperative increase in the urethro-anal reflex sensory threshold and urethro-anal reflex latency (p <0.001 and 0.0007, respectively). Six of the 44 patients used pads. One patient with more severe leakage required 3 pads daily and 23 showed urinary leakage, including 5 who needed 1 pad per day and 18 who did not wear pads. Afferent autonomic denervation at the membranous urethral mucosa was found in 91.7% of patients with urinary leakage. Of 10 patients with preserved urethro-anal reflex latency 80% were continent. Conclusions: Sensory and motor pudendal innervation to this specific pelvic region did not change after nerve sparing radical retropubic prostatectomy. Significant autonomic afferent denervation of the membranous urethral mucosa was present in most patients postoperatively. Impaired membranous urethral sensitivity seemed to be associated with urinary incontinence, particularly in patients with occasional urinary leakage. Damage to the afferent autonomic innervation may have a role in the continence mechanism after nerve sparing radical retropubic prostatectomy.
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CONTEXT AND OBJECTIVE: There is uncertainty in the literature regarding the theory that obstetric events and pelvic floor injuries give rise to lower risk of subsequent urinary incontinence among women delivering via cesarean section than among women delivering vaginally. The objective of this study was to assess the two-year postpartum prevalence of urinary incontinence and pelvic floor muscle dysfunction and the factors responsible for them. DESIGN AND SETTING: Cross-sectional study, conducted in a public university. METHODS: 220 women who had undergone elective cesarean section or vaginal childbirth two years earlier were selected. Their urinary incontinence symptoms were investigated, and their pelvic floor muscle dysfunction was assessed using digital palpation and a perineometer. RESULTS: The two-year urinary incontinence prevalences following vaginal childbirth and cesarean section were 17% and 18.9%, respectively. The only risk factor for pelvic floor muscle dysfunction was weight gain during pregnancy. Body mass index less than 25 kg/m2 and normal pelvic floor muscle function protected against urinary incontinence. Gestational urinary incontinence increased the risk of two-year postpartum urinary incontinence. CONCLUSION: Gestational urinary incontinence was a crucial precursor of postpartum urinary incontinence. Weight gain during pregnancy increased the subsequent risk of pelvic floor muscle dysfunction, and elective cesarean section did not prevent urinary incontinence.
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Pós-graduação em Bases Gerais da Cirurgia - FMB
Resumo:
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)