947 resultados para Pain Assessment
Resumo:
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Resumo:
Les modèles animaux d’arthrose sont utilisés sur le rat depuis des décennies pour évaluer l’efficacité analgésique de nombreux composés. Cependant, la méthodologie utilisée, en particulier les protocoles d’évaluation de la douleur, est très différente d’une étude à une autre, rendant difficile la comparaison entre chaque projet. Afin d'améliorer le transfert des résultats précliniques vers la recherche clinique, ce projet propose d'établir un protocole d'évaluation de la douleur fiable et pertinent, et de le valider à l’aide du modèle d’arthrose expérimental le plus populaire, soit l’injection intra-articulaire de mono-iodoacétate de sodium (MIA). La répétabilité et la fiabilité inter-évaluateur de diverses méthodes d’évaluation de la douleur ont été évaluées, et le protocole d'acclimatation le plus fiable a été déterminé. Ensuite, les méthodes les plus intéressantes ont été testées pour leur sensibilité à détecter les altérations douloureuses induites par l’injection de MIA, ainsi que leur réponse au traitement analgésique, soit une injection intra-articulaire de lidocaïne. Une période d'acclimatation adéquate associée à un protocole d'évaluation combinant des mesures réflexes, des comportements spontanés ainsi que des tests opérants ont témoigné avec succès des changements douloureux liés à l'injection de MIA. Le test opérant fut la méthode la plus sensible pour détecter l'effet analgésique de la lidocaïne. Cette étude a permis d’établir le protocole d’acclimatation et les méthodes de l’évaluation de la douleur les plus fiables et sensibles. Aussi, il a démontré la pertinence du test opérant pour détecter la composante affective de la douleur chez les rongeurs.
Resumo:
La douleur est une expérience multidimensionnelle comportant des aspects sensoriels, émotionnels et cognitifs. Théoriquement, des méthodes de mesures comportementales, physiologiques, neurophysiologiques et sensorielles peuvent quantifier la douleur. Peu d’études ont étudié la validation des mesures utilisées en médecine vétérinaire. La recherche combine les travaux de Maîtrise et de Doctorat, traite en partie de la validité de méthodes. Dans cet objectif, nos travaux de recherche étudiaient la validité de méthodes comportementales, physiologiques et neurophysiologiques usuelles pour la mesure de la douleur en comparant les expressions de douleur (vache et chien) chez des animaux contrôle par comparaison à des animaux sous analgésie préventive ou sous traitement curatif suivant une douleur induite par chirurgie (modèles de douleur viscérale bovine ou orthopédique canine) ou causée par une maladie naturelle (arthrose canine). Une première étude comparait les mesures de la douleur entre les vaches du groupe placebo et celles sous analgésie postopératoire sur une durée de 21 jours suivant l’induction d’une douleur viscérale chronique. Les vaches du groupe placebo ont présenté une plus forte sensibilité à la douleur et une diminution de la noradrénaline et de la transthyrétine mesurées dans le liquide cérébro-spinal, une diminution de l’activité motrice (AM) (moindre que dans les groupes avec analgésie), de l’agitation enregistrée par vidéo-analyse et une augmentation du stress selon la mesure de l’activité électrodermique (AED). Les méthodes d’intérêt identifiées étaient les marqueurs spinaux, la mesure de la sensibilisation, de comportements par vidéo-analyse et de l’AM par bio-télémétrie. En utilisant des méthodes semblables à celles précédemment décrites, deux études expérimentales de douleur orthopédique ont été réalisées afin de comparer les réponses à la douleur entre des chiens traités avec une analgésie préventive (opioïdes et anti-inflammatoires, étude #2) ou un biphosphonate (tiludronate, étude #3) par comparaison à des chiens contrôles. Seules les échelles de douleur étaient différentes entre les études de recherche. Pour l’étude #2, les ii chiens sous analgésie ont présenté de plus faibles scores de douleur mesurés avec l’échelle de douleur nommée 4A-VET et ceci simultanément à une faible réponse de l’AED une heure après la chirurgie de trochléoplastie. La fréquence du comportement spontané de ‘la marche avec plein appui de la patte opérée’ mesurée à l’aide de la vidéo-analyse augmentait chez les chiens sous analgésie préventive 24 heures après la chirurgie. L’étude #3 démontrait surtout l’apparition de sensibilisation centrale (à la fois par l’évaluation sensorielle quantitative et les marqueurs spinaux) chez les chiens contrôle, 56 jours après l’induction d’arthrose chirurgicale. Ainsi, les chiens traités avec le tiludronate ont présenté une différence sur la substance P et la transthyrétine cérébro-spinale, une diminution de la sensibilisation périphérique, plus d’appui de la patte opérée lors de la marche selon la mesure du pic de force verticale (PFV), une augmentation de la fréquence de ‘la marche avec plein appui de la patte opérée’. La sensibilisation centrale était associée à la diminution de PFV, et une augmentation de l’AED et du comportement spontané de ‘la marche avec plein appui de la patte opérée’. Pour l’étude #4, la validité et la sensibilité des méthodes ont été évaluées dans une condition d’arthrose naturelle chez des chiens traités avec une diète enrichie en moule verte, un produit ayant des effets anti-inflammatoires et chondroprotecteurs attendus. Les chiens traités présentaient une diminution des scores de douleur via l’échelle nommée CSOM, une augmentation de PFV et une augmentation de l’AM. Dans l’ensemble, les résultats confirment que la vidéo-analyse évaluait la douleur de façon objective et pour des modèles différents de douleur et les marqueurs spinaux sont prometteurs. Le PFV était spécifique de la douleur orthopédique. La sensibilisation était présente lors de douleur pathologique. L’AED n’est pas valide pour la mesure de la douleur. La baisse d’AM suggèrerait un comportement de douleur. Les études étaient exploratoires pour les échelles de douleur en raison de leur niveau (débutant) de développement et du manque d’informations sur les qualités métrologiques de ces mesures.
Resumo:
Las cirugías reconstructivas múltiples de miembros inferiores son intervenciones quirúrgicas que implican un difícil manejo analgésico en el postoperatorio, actualmente la técnica analgésica usada es la analgesia peridural; sin embargo los efectos adversos asociados a esta no la hacen una técnica ideal para manejo de dolor. Los bloqueos de nervio periférico han aparecido como una alternativa para el manejo del dolor; pero no se ha difundido ampliamente su uso. Se pretende evaluar la disminución de efectos adversos con el uso de bloqueos de nervio periférico sobre la analgesia epidural. Este estudio piloto inicial se realizo para verificar efectividad técnicas a usar y problemas que se pudieran presentar. Se aplico el protocolo en 23 pacientes que fueron llevados a cirugía de miembros inferiores, se dividieron en 2 grupos 11 recibieron bloqueos de nervio periférico y 12 analgesia epidural. Se les realizo seguimiento por 48 horas y se evaluó el control del dolor, consumo de opioides y efectos adversos. El tiempo de colocación del bloqueo fue similar en ambos grupos, el grupo de bloqueos presento menos episodios de dolor y menos episodios de dolor severo. No se presento retención urinaria en ningún paciente pero en el grupo de epidural se presento mayor incidencia de nausea y vomito (60% vs 45%). Se encontró que los bloqueos de nervio periférico son una adecuada opción para el manejo del dolor en este tipo de cirugías; y al parecer disminuye la incidencia de eventos adversos asociados a la analgesia epidural.
Resumo:
Introducción La mutación genética Val30Met de la proteína transtiretina (TTR) es causante de la polineuropatía amiloidótica familiar, comprometiendo en fases iniciales las fibras nerviosas pequeñas (mielinizadas Aδ y amielínicas tipo C), involucradas en funciones autonómicas, nocicepción, percepción térmica y sudoración. Los métodos neurofisiológicos convencionales, no logran detectar dichas anormalidades, retardando el inicio de tratamientos específicos para la enfermedad. Metodología El objetivo principal fue evaluar el test de cuantificación sensitiva (QST) como método de detección temprana de anormalidades de fibra pequeña, en individuos Val30Met, seguidos en el Hospital Universitario Santa María, Lisboa. Se clasificaron los pacientes en 3 grupos, según sintomatología y examen neurológico. Se analizaron los umbrales para percepción de frío, dolor con el calor y vibración en los grupos, en correlación con controles sanos. Resultados 18 registros de controles sanos y 33 de individuos con la mutación, divididos en asintomáticos (24,2%), sintomáticos con examen neurológico normal (42,4%) y sintomáticos con examen neurológico anormal (33,3%). No se encontraron diferencias entre los pacientes asintomáticos y los controles. Los umbrales para frío (p=0,042) y en el dolor intermedio con el calor (HP 5) (p=0,007) se encuentran elevados en individuos Val30Met sintomáticos con examen normal. En los pacientes sintomáticos con alteraciones al examen, también se presentaron alteraciones en el intervalo entre el inicio y el dolor intermedio con el calor (HP 5-0,5) (p=0,009). Discusión Los umbrales de frío y de percepción de dolor con el calor, permiten detectar anormalidades en personas con la mutación TTR Val30Met, sintomáticos, incluyendo aquellos sin cambios objetivos al examen neurológico.
Resumo:
El dolor es un problema importante para los pacientes hospitalizados en las UCI porque genera malestar y distrés. Además, la investigación ha demostrado que en algunos pacientes críticos el dolor agudo puede persistir después de alta y convertirse en crónico. La gestión eficaz del dolor en pacientes críticos requiere un enfoque interdisciplinario, que incorpore la visión y trabajo de expertos que representan una amplia variedad de especialidades clínicas. Así, la utilización de la intervención psicológica en el tratamiento del dolor es una parte integral de un enfoque global. Basado en una revisión de la evidencia científica, se identifican y señalan: (1) los tipos de dolor más comunes; (2) las características del dolor; (3) las patologías más frecuentes asociadas con la presencia de dolor; (4) los procedimientos que generan dolor en la UCI; (5) los métodos de evaluación del dolor; (6) la intervención del mismo y; (7) la contribución del psicólogo en la evaluación y manejo del dolor con el paciente, los familiares y los profesionales de la salud. La revisión realizada indica que los procesos psicológicos influyen tanto en la experiencia del dolor como en los resultados del tratamiento, por lo tanto la integración de los principios psicológicos en el tratamiento del dolor parecen tener potencial mejora de los resultados beneficiando la salud del paciente.
Resumo:
Introducción: La escala LLANTO para dolor es una escala que hasta la fecha ha sido solo validada en población infantil española, actualmente no se conocen datos en población colombiana. Se pretende validar la escala de dolor LLANTO en pacientes neonatos y menores de 5 años, a través de su aplicación en pacientes atendidos en una de tres instituciones, además comparándola con las escalas FLACC y PIPP dependiendo de edad del paciente. Metodología: Se incluyeron niños con cualquier tipo de dolor, clasificándolos en dos grupos por edad: 1) neonatos y 2) niños entre 1 mes y 5 años de edad, que asistieron a la Fundación Cardioinfantil, Clínica Infantil Colsubsidio o al Hospital Universitario Mayor. Las escalas fueron aplicadas por dos residentes de pediatría y una enfermera especializada en el cuidado de población infantil. Para la prueba piloto se diseñó un cuestionario determinar dificultades en la aplicación de la escala LLANTO. Una vez corregidos los problemas identificados se procederá a la validación de la escala. Resultados: Se presentan los datos de la prueba piloto. Se incluyeron 8 neonatos y 8 niños entre 1 mes y 5 años, esta muestra fue obtenida en un periodo de un mes, con la encuesta se evaluó la aceptación y entendimiento de la escala LLANTO por parte de los evaluadores. La prueba piloto mostró resultados favorables en el 100% de los encuestados. Discusión: Se considera que la escala LLANTO no requiere cambios para continuar con su validación.
Resumo:
El presente trabajo es un capítulo de libro titulado “Anestesia Regional y Periférica Guiada por Ultrasonido en el Paciente Crítico” que será incluido en la última edición del libro “Manual de Ultrasonido en Terapia Intensiva y Emergencias” cuyo editor es el Doctor José de Jesús Rincón Salas y que será publicado por la Editorial Prado de México para distribución latinoamericana desde dicho país. Por solicitud del editor y teniendo en cuenta el enfoque del libro, el presente trabajo está dirigido a estudiantes de formación, médicos graduados y especialistas en las áreas de cuidado intensivo, anestesiología, dolor, medicina interna y medicina de urgencias. Tiene como propósito empapar de conocimientos necesarios y prácticos en anestesia regional a personas que usualmente no han tenido contacto con la anestesia regional, pues desafortunadamente sólo en los últimos años ha sido posible que la anestesia regional haya comenzado a salir de las salas de cirugía, ámbito donde ha estado confinada tradicionalmente. El lenguaje utilizado es sencillo y el capítulo ha sido escrito para que sea fácil de leer y consultar, dejando así mensajes muy claros sobre la utilidad, viabilidad e implicaciones que tiene el uso de anestesia regional guiada por ultrasonido en cuidado intensivo. Los autores esperamos que de esta manera, el presente capítulo permita continuar superando los obstáculos que se interponen entre los invaluables beneficios de la anestesia regional y los pacientes de cuidado intensivo que necesitan de ella.
Resumo:
A dor crónica (DC) é um fenómeno complexo que interfere na vida dos indivíduos ao nível do bem-estar, nas relações familiares e sociais, e na vida profissional, provocando alterações biológicas, psicossociais e, na maioria das vezes, sofrimento. Associada às limitações físicas, profissionais e sociais, a DC compromete a qualidade de vida (QDV) e promove a insegurança, resultando em perdas materiais e sociais consideráveis. Neste contexto é fundamental uma abordagem multidimensional na avaliação da dor, de modo a encontrar uma resposta célere e adequada às necessidades de cada indivíduo. A avaliação deve ter em conta, além dos factores físicos, os factores psicológicos e os sociais. Os autores, neste artigo, reforçam a ideia que, qualquer avaliação e/ou intervenção que seja feita em pessoas com DC, deve ter sempre em conta os factores internos e externos do meio em que o indivíduo está inserido e que influenciam o modo como este percepciona e avalia a sua dor.
Resumo:
Background and Objectives - Bupivacaine has been a very useful local anesthetic in Obstetrics in spite of its potential cardiotoxicity. In obstetric analgesia, ropivacaine is preferred to bupivacaine, and levobupivacaine is less cardiotoxic than the racemic mixture. The aim of this study was to compare the maternal-fetal effects of bupivacaine, ropivacaine and levobupivacaine in obstetric analgesia and anesthesia. Methods - Participated in this study 33 term pregnant women, physical status ASA I and II submitted to epidural anesthesia who received 18.75 mg (in 15 ml completed with 9% saline) of: GI - bupivacaine, GII - ropivacaine, and GIII - levobupivacaine. Pain intensity, sensory block level, onset time, quality of analgesia, motor block intensity, analgesia duration and time for labor resolution were evaluated. For vaginal delivery, 40 mg (in 8 ml of saline) of the same local anesthetic were used; for cesarean delivery, the dose has been mg in 20 ml solution. Newborns of these mothers were evaluated through the Apgar score in minutes 1, 5 and 10, and through the Amiel-Tison method (neurologic and adaptative capacity score - NACS) at 30 min, 2 h, and 24 h. Results - There were no significant statistical differences among groups as to sensory block level, onset time, quality of analgesia, labor analgesia duration, time for labor resolution, and Apgar scores at minute 1. Ast to motor block, GIII > GII and GI was intermediary. In relation to pain intensity, there was a trend for GI > GIII. For Apgar scores in minute 5, GII > (GI = GIII), and in minute 10 (GI = GII) < GIII. NACS at 2 h showed, GII > GI > GIII, and at 24 h, GII > GIII > GI. Conclusions - Ropivacaine has relieved maternal pain with less motor block. Newborns of GII mothers (ropivacaine) showed the best Apgar and NACS scores.
Resumo:
Background and Objectives - Postoperative pain is one of the major discomforts but often under treated, especially in the pediatric patient. The aim of this study was to evaluate nasal morphine postoperative analgesia as an alternative drug administration route and show its applicability, effectiveness, tolerability and side effects. Methods - Participated in this study 20 patients aged 3 to 13 years, physical status ASA I and II sequentially submitted the different small and medium-size surgeries. Analgesia was obtained with nasal morphine hydrochloride in aqueous solution in variable concentrations of 2%, 1%, 0.5%, 0.25% and 0.125%. The dose for each instillation has been 0.1 mg.kg -1 at three-hour intervals for 36 postoperative hours. Quality of analgesia in pre-verbal age patients was evaluated by a pain intensity scale based on facial expression and crying, sleep, motor activity, sociability and food ingestion was used. Standardized evaluations were performed at 3-hour intervals. A four-grade scale was used to evaluate tolerability, where: 1) Good; 2) Regular; 3) Bad; 4) Very bad. Result - Postoperative analgesia results have proven to be good and safe, especially from the third evaluation on (6 hours). Drug tolerability has been good, although side effects were observed, especially nausea and vomiting. Conclusions - Patients and relatives accepted the method very well. The nasal route was considered an adequate way for opioid administration although more studies are needed to accept it as a routine for postoperative morphine analgesia.
Resumo:
BACKGROUND AND OBJECTIVES: Before epídural steroids were used in chronic lumbar pain, subarachnoid injection of these agents was the treatment of choice. Although still preconized by some authors, this technique may lead to severe complications with neurological sequelae. This report aimed at describing a case of accidental subarachnoid injection of steroid associated to local anesthetics during epidural puncture to treat lumbar pain. CASE REPORT: Male patient, 46 years old, followed byneuro-surgery for presenting right sciatic pain for 9 month, refractory to clinical treatment due to L 4-L 5 disk protrusion confirmed by CT scan, without neurological deficit. Epidural puncture for pain treatment was performed in L 4-L 5 with 17G needle and 10 mL solution were injected containing 4 mL of 0.25% bupivacaine, 80 mg methylprednisolone and 4 mL of 0.9% saline. Although there has not been CSF reflux, 5 minutes after injection there were sensory block in T 4 and motor block in T 6, associated to blood pressure and heart rate decrease. CONCLUSIONS: Accidental subarachnoid injections with the association of steroids for pain relief may cause adverse effects. There are several risks, varying from mild transient symptoms to nervous injuries, including spinal cord injuries. Our patient had no sequelae from the accidental subarachnoid injection, probably because it has been a single injection.
Resumo:
Objective: To seek better understanding of chronic musculoskeletal facial pain and its relation to sleep bruxism, by comparing patients with sleep bruxism, with and without temporomandibular disorder. Design: Forty sleep bruxism patients were evaluated according to the Research Diagnostic Criteria for Temporomandibular Disorders: group A-20 patients with myofascial pain, 3 men, 17 women; average age 32.7 yr; mean duration of pain 4.37 yr; group B-20 without myofascial pain, 5 men, 15 women; average age 30.8 yr. Sleep and bruxism were evaluated in one-night polysomnography. Results: There were no statistically significant differences for bruxism and sleep variables of the two groups: number of bursts and bruxism episodes per hour, amplitude and duration of bruxism episodes, sleep efficiency and latency, percentage of non-REM and REM sleep, respiratory events, periodic limb movements, and micro-arousals. Conclusions: The polysomnographic characteristics of patients with sleep bruxism, with and without orofacial pain, are similar. More studies are necessary to clarify the reasons why some sleep bruxism patients develop chronic myofascial pain, and others do not. © 2006 Elsevier Ltd. All rights reserved.
Resumo:
Phenolic compounds are numerous and ubiquitous in the plant kingdom, being particularly present in health-promoting foods. Epidemiological evidences suggest that the consumption of polyphenol-rich foods reduces the incidence of cancer, coronary heart disease and inflammation. Chlorogenic acid (CGA) is one of the most abundant polyphenol compounds in human diet. Data obtained from in vivo and in vitro experiments show that CGA mostly presents antioxidant and anti-carcinogenic activities. However, the effects of CGA on the inflammatory reaction and on the related pain and fever processes have been explored less so far. Therefore, this study was designed to evaluate the anti-inflammatory, antinociceptive and antipyretic activities of CGA in rats. In comparison to control, CGA at doses 50 and 100 mg/kg inhibited carrageenin-induced paw edema beginning at the 2nd hour of the experimental procedure. Furthermore, at doses 50 and 100 mg/kg CGA also inhibited the number of flinches in the late phase of formalin-induced pain test. Such activities may be derived from the inhibitory action of CGA in the peripheral synthesis/release of inflammatory mediators involved in these responses. On the other hand, even at the highest tested dose (200 mg/kg), CGA did not inhibit the febrile response induced by lipopolysaccharide (LPS) in rats. Additional experiments are necessary in order to clarify the true target for the anti-inflammatory and analgesic effects of CGA. © 2006 Pharmaceutical Society of Japan.
Resumo:
Pain is a subjective condition and, thus, difficult to measure. The best tools to assess pain are the pain evaluation questionnaires, which provide either diagnostic, pain evolution or pain intensity information. To provide information which could help differentiate between nociceptive pain and neuropathic pain is one of the most important functions of these questionnaires. The questionnaires can measure pain intensity, quality of life, or sleep quality. Quality of life and sleep are two really important characteristics to assess the pain impact on patients' life. Pain intensity assessing questionnaires combine physical evaluations with questions, providing information either from the patient sensations or clinical assessment of pain manifestations as well as the underlying biological mechanisms (such as hyperalgesia or allodynia). For example, the Pain Detect questionnaire has two parts: the patient form (intuitive, with pictures and easy understandable) and the physician form. Thus, in this questionnaire, subjective information is provided by the patient and the objective one is provided by the physician. Other pain intensity questionnaires are NPSI, DN4, LANSS or StEP. Quality of life questionnaires are versatile (can be used in different pathologies). These questionnaires include functional self-evaluation questions, and other ones associated to physical and mental health. Two of such quality of life questionnaires are SF-36 and NHP. Sleep evaluation questionnaires include quantitative features such as the number of sleep interruptions, sleep latency or sleep duration as well as qualitative characteristics such as rest sensation, mood and dreams. One of the most used sleep evaluation questionnaires is PSQI, which includes patient questions and bed-partner questions, providing information from two points of view. Copyright 2009 Prous Science, S.A.U. or its licensors. All rights reserved.