958 resultados para Le Fort I maxillary osteotomy


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Wydział Biologii

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The carbohydrate binding specificity of the basic lectin from winged bean (Psophocarpus tetragonolobus) was investigated by quantitative precipitin analysis using blood group A, B, H, Le and I substances and by precipitation inhibition with various mono- and oligosaccharides. The lectin precipitated best with A1 substances and moderately with B and A2 substances, but not with H or Le substances. Inhibition assays of lectin-blood group A1 precipitation demonstration that A substance-derived oligosaccharides having the common structure: d-Ga1NAcα(1 → 3)d-Gal-(β1 → Image ) to a d-Glc, were the best inhibitors and about 8 and 4 times more active than d-Ga1NAc and d-Ga1NAcα(1 → 3)d-Ga1, respectively. A difucosyl A-specific oligosaccharide (A-penta), a monofucosyl (A-tetra) and a non-fucosyl containing (A5 II) oligosaccharide, d-Ga1NAcα(1 → 3)d-Ga1β(1 → 3)d-G1cNAc, had almost the same reactivity, suggesting that the fucose linked to the sub-terminal d-Ga1 or to the third sugar, d-GlcNAc, from the non-reducing end made no contribution to the carbohydrate binding. Although a terminal non-reducing d-Ga1NAc or d-Ga1 residue was indispensible for binding, the lectin bound not only to these terminal non-reducing galactopyranosyl residues, but also showed increased binding to oligosaccharides in which it was bonded to a sub-terminal d-Ga1 joined to a d-GlcNAc residue, as in blood group A or B substances. This defines the site, thus far, as complementary to a disaccharide plus the β linkage to the third sugar (d-Glc or d-GlcNAc) from the non-reducing end. The role of the β(1 → 3) or β(1 → 4) linkage of the sub-terminal non-reducing d-Gal to the d-GlcNAc requires further study.

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[ES]La pena de cárcel, como única respuesta al delito, no constituye ninguna solución para el hecho delincuencial. No es solución para la víctima porque queda en el más profundo de los desamparos. No es solución para el infractor porque la cárcel no sólo no rehabilita sino que puede generar más delincuencia, como lo acredita el alto índice de reincidencia. Finalmente, no es una solución para la Comunidad por los altos costes, no sólo penitenciarios. Sólo integrada con otras respuestas no carcelarias, la respuesta prisional permite un abordaje sensato de la delincuencia. Se aboga, por ello, por una justicia que reconozca la existencia de otras instancias reparadoras como: la mediación, el arbitraje, el diálogo víctima - agresor, etc.

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Go príomha, is tráchtas é seo a dhéanann staidéar ar ghné de litríocht iar-chlasaiceach na Gaeilge. Baineann sé go háirithe leis an sraith chaointe nó marbhnaí i bhfoirm véarsaíochta a cumadh do Shéamas Óg Mac Coitir (1689-1720), duine uasal Caitliceach ó Charraig Tuathail, Co. Chorcaí, nuair a ciontaíodh é in éigniú Elizabeth Squibb, bean de Chumann na gCarad; nuair a cuireadh pionós an bháis air; agus nuair a crochadh é i gCathair Chorcaí an 7 Bealtaine, 1720. Ó thaobh na staire de, scrúdaítear Clann Choitir mar shampla de theaghlach nár cheil a ndílseacht do chúis pholaitiúil na Stíobhartach agus a sheas an fód go cróga faoi mar a bhí a ngreim polaitiúil á dhaingniú ag an gCinsealacht Phrotastúnach ó dheireadh an 17ú haois amach. Tagraítear do sheicteachas na sochaí comhaimseartha agus don teannas idir an pobal Caitliceach agus an pobal Protastúnach ag an am. Déantar scagadh ar an véarsaíocht mar fhoinse luachmhar do dhearcadh míshásta an mhóraimh Chaitlicigh ar struchtúr polaitiúil chontae Chorcaí (agus na hÉireann) i dtosach an 18ú haois. Is feiniméan liteartha an dlús véarsaíochta seo a bhaineann go háirithe le traidisiún liteartha Chorcaí. Tá na dánta curtha in eagar agus aistriúchán go Béarla curtha ar fáil: is é seo croí an tráchtais. Tá an t-eagrán bunaithe ar scrúdú cuimsitheach ar thraidisiún na lsí; pléitear modheolaíocht na heagarthóireachta. Déantar iarracht ar na dánta a shuíomh sa traidisiún casta liteartha sa tráchtaireacht tosaigh; sa chuid eile den bhfearas scoláiriúil, scrúdaítear ceisteanna a bhaineann le cúrsaí teanga, foclóra, meadarachta agus stíle. Tá innéacsanna agus liosta foinsí leil i ndeireadh an tráchtais.

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Malgré le fort engagement d'une majorité d'universités canadiennes dans le processus d'internationalisation, les interactions entre les étudiants issus de différentes cultures mobilisent peu les milieux de formation par rapport au recrutement à l'étranger. Pourtant, la littérature scientifique suggère que ces interactions sont associées à de multiples bénéfices éducatifs. Répondant au peu de connaissance scientifique au sujet de la diversité ethnoculturelle en milieu universitaire au Québec, la présente étude vise à décrire, d'une part, la fréquence et la qualité des interactions entre des étudiants internationaux, immigrants et québécois d'une Université hors métropole. D'autre part, nous décrirons comment ces étudiants perçoivent le climat de leur université en nous basant sur des analyses statistiques (263, sujets) et de contenu (une quinzaine d'entrevues). Nous discuterons enfin des liens qui peuvent exister entre le climat institutionnel et les interactions interculturelles entre étudiants et nous émettrons des recommandations visant l'amélioration des relations intergroupes sur le campus.

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Riassunto: Dedicato «alle scuole e agli amatori della lingua», ai lettori interessati e preoccupati delle sorti della lingua nazionale, il periodico semestrale La Crusca per voi esce per la prima volta nell’ottobre 1990 con una Giustificazione e Un po’ di storia, in cui il fondatore Giovanni Nencioni spiega le ragioni dell’istituzione di un vero e proprio «consultorio linguistico», destinato ad accogliere le richieste, i dubbi, le perplessità sul corretto impiego della lingua italiana proveniente da persone di ogni livello sociale e culturale. Scopo di questo lavoro è studiare la tipologia dei quesiti posti agli accademici della Crusca, con particolare attenzione a fenomeni di carattere lessicale, negli ultimi diciotto numeri del periodico (dal 2005 al 2013, con qualche prelievo da uscite precedenti). Conclude il lavoro una breve indagine a campione sulla diffusione e la traducibilità di alcuni termini stranieri in italiano.

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Au cours des dernières décennies, la recherche scientifique, toutes disciplines confondues, s’est particulièrement intéressée aux phénomènes et questionnements identitaires, notamment en ce qui concerne les groupes et les mouvements minoritaires ou marginaux, mais également en ce qui concerne la question des identités nationales dont se délectent à leur tour politiciens et médias. Véritable reflet d’un des enjeux majeurs de nos sociétés contemporaines, cet intérêt des chercheurs pour les phénomènes identitaires a particulièrement porté sur l’étude des processus de construction et d’affirmation des identités individuelles et collectives, c’est-à-dire sur les modes et les modalités à partir desquels les identités se construisent, se structurent et sont affirmées dans un rapport comparatif, compétitif et dialogique entre le Soi et l’Autre. Si notre compréhension des phénomènes identitaires s’est considérablement précisée et nuancée depuis la publication dans les années 1950, voire antérieurement, des études fondamentales et fondatrices, il n’en demeure pas moins que le concept d’identité, peu importe les multiples terminologies qu’il peut prendre selon les disciplines, pose actuellement de nombreux problèmes et s’avère abondamment galvaudé par certaines recherches récentes qui en font usage sans nécessairement le définir, voire pire, le maîtriser, comme un champ d’études à la mode qu’il convient d’investir afin d’alimenter un lectorat avide de ces questions et problèmes identitaires. Il est vrai que les travaux scientifiques sur les identités paraissent à un rythme soutenu, voire insoutenable tant cette production est abondante et diversifiée. Tour à tour, les identités ethniques, nationales, provinciales, régionales, politiques, culturelles, religieuses, de genre, des groupes ou mouvements minoritaires et marginaux, pour ne nommer que certains des principaux champs d’investigation, ont été interrogées. Loin de se limiter aux sociétés, aux individus et aux collectivités modernes, les identités du passé, toutes périodes confondues, ont également été revisitées à la lumière des outils d’interprétation développés, entre autres, par la sociologie, par l’anthropologie culturelle et par la psychologie sociale. Bien évidemment, les spécialistes de l’Antiquité n’ont pas échappé à cette tendance, partant à leur tour à la conquête de l’identité (ou des identités) grecque(s), romaine(s), barbare(s), judéenne(s) et chrétienne(s). Leur intérêt s’est également porté sur les identités propres aux diverses catégories ou collectivités sociales, politiques, juridiques, religieuses et professionnelles. Toutefois, aborder la question des identités dans l’Antiquité oblige à délaisser les définitions et compréhensions modernes au profit d’un tout autre mode raisonnement identitaire et d’appartenance propre aux sociétés et collectivités anciennes en prenant en considération les dimensions « – emic » et « – etic » que requiert l’utilisation de cette notion afin d’en avoir recours comme une catégorie d’analyse adéquate pour cette période particulière, une approche double et complémentaire trop souvent négligée par une majorité de recherches dont les résultats aboutissent inévitablement à une compréhension anachronique et « distorsionnée » des réalités anciennes, ce qui est d’autant plus le cas en histoire des religions et des communautés socioreligieuses de l’Antiquité en raison de nombreux présupposés idéologiques et théologiques qui dominent encore tout un pan de l’historiographie actuelle. Bien que le concept même d’identité n’existe pas dans l’Antiquité, le terme « identitas » renvoyant à une tout autre réalité, cela ne signifie pas pour autant que les Anciens n’avaient aucune conscience de leur(s) identité(s) et qu’il est impossible pour nous modernes d’étudier les phénomènes et les discours identitaires antiques. Toutefois, cela impose d’aborder ces phénomènes avec une très grande prudence et beaucoup de nuances en évitant les généralisations hâtives et en circonscrivant bien les contextes d’énonciation dans lesquels ces identités se sont construites et ont été affirmées, car, déterminées par les appartenances, la définition de ces identités s’est constamment élaborée et réélaborée sur un rapport Soi / Autre, inclusion / exclusion et a reposé sur des stratégies discursives qui ont varié selon les époques, les lieux, les auteurs et les contextes d’énonciation. L’enjeu principal est alors de comprendre les stratégies et les mécanismes mis en œuvre par les auteurs anciens dans les processus discursifs de construction identitaire de leur groupe d’appartenance. Produit d’une rhétorique, l’étude des identités anciennes oblige donc de distinguer, ce qui est certes complexe, discours et réalités sociales, du moins cela oblige, encore une fois, à une extrême prudence et beaucoup de nuances afin de ne pas confondre discours et réalités. Si les discours ont effectivement pour effet d’ériger des frontières identitaires fixes et imperméables entre les différents groupes et collectivités, l’étude de la réalité vécue par les acteurs sociaux montre que ces frontières étaient plutôt fluides et perméables. Pour étudier la question des identités dans l’Antiquité, plusieurs postes d’observation peuvent êtres sollicités en s’intéressant, notamment, à la formation des identités, à l’identité en auto-définition, à l’identité dans le miroir de l’Autre, à l’impact des interactions entre le Soi et l’Autre sur les définitions identitaires, aux frontières identitaires et à leurs transgresseurs, aux marqueurs identitaires, etc. Ces différentes approches, notamment lorsqu’elles sont combinées les unes aux autres, contribuent à mettre en évidence la complexité des processus de construction des identités dans l’Antiquité dont on reconnaît désormais le caractère fluide, dynamique et discursif, malgré les idéologies de stabilité sur lesquelles elles se sont élaborées et polémiquées. Loin de susciter de vains débats, les études sur les identités dans l’Antiquité permettent d’aborder sous un angle novateur certains acquis de la recherche et de leur apporter de riches nuances. Cependant, interpréter les phénomènes identitaires anciens à partir de paradigmes, de terminologies et de catégories erronés ou anachroniques a également pour conséquence indéniable de parvenir à une relecture « distorsionnée », si ce n’est orientée, du passé, en lui imposant des catégories de définition et d’auto-définition identitaires qui n’existaient pas dans l’Antiquité. C’est pourquoi il importe également, lorsqu’on tente d’aborder ces phénomènes identitaires, de réfléchir sur les paradigmes, les terminologies et les catégories qui sont invoqués par en parler et ne pas hésiter à les remettre en question en refusant d’adhérer, de manière consciente ou inconsciente, à un quelconque modèle préétabli. S’inscrivant dans ce courant réflexif majeur de l’historiographique actuelle sur l’étude des phénomènes de construction identitaire dans l’Antiquité, notre recherche s’intéresse plus particulièrement aux processus de construction de discours d’appartenance dans la littérature judéenne et chrétienne aux Ier et IIe siècles. Sans avoir cherché à circonscrire une définition unique et unilatérale des identités judéennes et chrétiennes de cette période – définition qui s’avère, selon nous, plus utopique que réaliste en raison de la pluralité des mouvements qui composent le « judaïsme » et le « christianisme » anciens et des auteurs qui ont tenté, par leurs discours, de définir et présenter ces identités – ou tenter d’établir une liste de critères à respecter pour délimiter ce qu’est l’identité judéenne ou chrétienne – et, par conséquent, ceux qui peuvent ou non se réclamer d’être Judéens ou chrétiens –, la perspective que nous adoptons dans cette recherche est plutôt de réfléchir à la manière dont il convient d’aborder les identités anciennes et les processus de construction identitaire dans l’Antiquité. Notre réflexion se veut donc d’abord et avant tout une réflexion méthodologique, épistémologique, terminologique et historiographique des questions et phénomènes identitaires dans l’Antiquité, notamment en ce qui concerne les identités judéennes et chrétiennes des Ier et IIe siècles qui sont abordées à partir de divers postes d’observation et dans une perspective socio-historique qui adopte une démarche « – emic » et « – etic ». Notre recherche est divisée en trois parties. La première sera consacrée aux discussions d’ordre « – etic », c’est-à-dire aux réflexions et aux remarques méthodologiques, épistémologiques, terminologiques et historiographies sur l’approche des phénomènes identitaires et de l’identité chrétienne dans l’Antiquité. Le chapitre I présentera des remarques historiographiques sur les travaux récents en histoire du « christianisme » ancien. Dans le chapitre II, nous discuterons des concepts modernes d’« identité », de « race » et d’« ethnie ». Le chapitre III présentera quelques réflexions épistémologiques et méthodologiques sur l’application des théories et concepts modernes aux réalités antiques dans l’approche des phénomènes identitaires. Finalement, le chapitre IV reviendra sur les différents paradigmes interprétatifs qui ont été utilisés dans le débat moderne sur la question du Parting of the Ways. La deuxième partie sera consacrée à la présentation des cadres contextuels du « judaïsme » et du « christianisme » anciens. Le chapitre V dressera un portrait général de la pluralité qui caractérise le « judaïsme » ancien à la période romaine (Ier – IIe siècles) et des principaux marqueurs identitaires des communautés judéennes de cette époque. Dans le chapitre VI, il sera question de l’origine et de l’expansion du « judaïsme chrétien » dans l’Empire romain (Ier – IIe siècles) de même que de la pluralité des courants chrétiens. La troisième partie abordera la dimension « – emic » de notre recherche en s’intéressant aux processus discursifs de construction de l’identité chrétienne à partir de différents postes d’observation. Le chapitre VII analysera la présentation que l’auteur des Actes des apôtres fait des conditions d’entrée et des premières règles de vie dans la communauté chrétienne. Le chapitre VIII s’intéressera aux enjeux liés à la perception et à la représentation du Soi et de l’Autre en tentant de comprendre comment le mouvement chrétien a tenté de s’auto-définir et comment il a été défini par l’Altérité. Finalement, le chapitre IX analysera la manière dont les auteurs chrétiens se sont approprié le terme « γένος » et comment ils l’ont redéfini sur la base de critères cultuels ou religieux afin de présenter l’originalité distinctive du mouvement chrétien.

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Rapport de Synthése : Introducfíon : la maladie diverticulaire est devenue un problème majeur de santé communautaire et occupe la cinquième place en termes de coûts des maladies digestives. La diverticulite représente sa complication la plus fréquente chez environ 20-25% des patients avec une maladie diverticulaire. Son taux de récidive après un premier épisode de diverticulite est estimé à 20%. Historiquement, il était accepté que le taux de complications et d'échec du traitement conservateur de la diverticulite soient plus élevés lors de récidive qu'après un épisode initial. Ceci a amené la communauté médicale ä un consensus qui est de proposer une sigmoidectomie élective suite à un 2ème épisode de diverticulite. De nouvelles données et réinterprétations de travaux antérieurs ont remis en question ce consensus. Par ces faits, les dernières recommandations de la société américaine de chirurgie colorectale restent encore évasives dues au manque d'évidence. Le but de cette thèse est de déterminer si la récidive de diverticulite a une présentation clinique et radiologique différente d'un épisode initiale et si le risque d'échec du traitement est réellement plus élevé. Méthode : étude rétrospective .de 271 patients consécutifs admis dans le service. de chirurgie viscérale CHUV pour diverticulite, confirmée par CT-scan, de 2001 à 2004. 202 patients présentaient un épisode initial (groupe I), et 69 une récidive (groupe R). Au total 20 paramètres cliniques et 15 radiologiques ont été analysés et comparés entre les 2 groupes, dont le taux de prise en charge chirurgicale, la présentation clinique initiale, la réponse au traitement, les complications, les paramètres de laboratoires, la présence de liquide libre, d'abcès ou de pneumopéritoine au scanner. Une analyse statistique univariée a été effectuée. Résultats : aucun des paramètres cliniques ou radiologiques n'étaient différents entre les deux groupes. Concernant la chirurgie, 15.8% des patients dans le groupe I ont nécessité une prise en charge chirurgicale à l'admission comparé à 5.8% dans le groupe R (p=0.04). Le taux d'échec du traitement conservateur dans les deux groupes était similaire (10.7% vs 10.0% ; p=0.84). Le taux de mortalité à 30 jours était de 3% dans le groupe I et 0% dans le groupe R (p= 0.34). Conclusion : selon les résultats de cette étude, la récidive de diverticulite n'entraîne pas plus de complications ni d'échec du traitement conservateur. De plus, le taux de prise en charge chirurgicale à l'admission du patient est moins fréquent en cas de récidive. Ces résultats remettent en questions le consensus actuel de prise en charge chirurgicale élective.

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Avec prologues et « capitula ». Job (2) ; Tobias (20) ; Judith (27v) ; Esther (37) ; Macchab. I-II (46v) ; Ezechiel (84v) ; XII Proph. min. (122) ; Isaias (151v). — Epist. Pauli, depuis Rom. I, 1, jusqu'à Philipp. 21, et depuis Hebr. II, 18, jusqu'à la fin, avec Epist. ad Laodicenses (184v).

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F. I. Fragments d'un temporal d'hiver. Extraits d'Isaïe, LV, LVI, LX-LXII : « Omnes sitientes... », « Surge illuminare... », « Gaudens gaudebo... » F. 1-7. Le premier cahier contenant des homélies liées à la fête de l'Ascension, provient certainement d'un homéliaire d'été : sermons sur Matth., XIX, 21 et VIII, 5 (f. 1-2) ; sermons de s. Augustin et de s. Léon sur l'Ascension (f. 3-7). F. 8-224. Partie primitive du manuscrit : temporal d'hiver suivi de la fête de s. André. — Vers sibyllins (Carmen de die Judicii) (40) ; — Oratio Jeremiae (214v)F. 218v, début du sanctoral (9 leçons).

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Contient : 1 « L'Avril » [de REMY BELLEAU] ; 2 « May » (fol. 2) ; 3 « A Madame », cinq quatrains ; 4 « Discours sur une des histoires tragicques du Bandel, contenant les amours infortunées de Didaco et de Violante, et leur mort » (fol. 3) ; 5 « La Mort de Rodemont et sa descente », dédié « à monseigneur de Carnavalet, chevalier de l'ordre du roy et gouverneur de monseigneur le duc d'Anjou » [de PH. DESPORTES] (fol. 17) ; 6 « Imitation de la complainte de Bradamant, au 33e chant, stanc. 18 jusques à 24 » de l' « Orlando furioso » [par le même] (fol. 30) ; 7 « Ellegie premiere de Diane, imitation de l'Arioste au XLVe chant » [de DESPORTES] (fol. 31) ; 8 Trois autres élégies (fol. 33, 35, 39) ; 9 Cinq sonnets (fol. 41 et 42) ; le quatrième « à la royne », le cinquième « à Monsieur » ; 10 « A Madame », dialogue, composé de sept sixains, entre l' « aucteur » et « Amour » (fol. 42) ; 11 Quatre sonnets (fol. 43 et 44) ; 12 Combat de l'amour (fol. 45) : ; 13 Suite de cent dix quatrains et distiques [plusieurs se trouvent dans les oeuvres de MELLIN DE SAINT-GELAIS] adressés alternativement à un homme et à une femme (fol. 48) ; 14 Trente-trois sonnets (fol. 64) ; 15 « De l'Arioste, sur le discours de Roland furieux » [de PH. DESPORTES] (fol. 72) ; 16 Odes, élégies et poésies diverses ; « Sortez, amoureuses delices... » ; « Quand premier vous me fistes veoir... » ; « Quand je vai recuillant dessus tes levres douces... » ; « Noble race des dieux, semence titannine... » ; « Lorsque Beaumont entra dans les enfers... » ; « Le fort cheval et l'aigle genereux... » ; « Comme un guerrier animé de prouesse... » ; « Si ce n'estoit qu'apres cette mortelle... » ; 17 Débat sur la nature de l'amour, entre huit chevaliers de Bretagne et huit autres d'Irlande (fol. 99) ; 18 Énigme (fol. 103) ; 19 « Discours d'un amoureux desesperé et de son compagnon qui le console et d'Amour qui le reprend » (fol. 104) ; 20 « Stances pour jouer sur la lyre, un joueur respondant à l'autre » (fol. 112) ; 21 Suite d'épitaphes, sonnets, rondeaux, quatrains, sixains, etc

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Contient : 1 « La nef de Dieu qui porta Jhesus Crist » ; 2 « Precieux cours et d'eau vive fontaine » ; 3 « La fleur du liz plaine de tonte grace » ; 4 « La tour David puissante et invincible » ; 5 « La plus belle que langue sauroit dire » ; 6 « La plus belle que Dieu crea jamais » ; 7 « Le jardin clos en beaulté pardurable » ; 8 « Jardin paré de verdure eternelle » ; 9 « Dedens Anne conceüe en innocence » ; 10 « Sans deshonneur le paradis d'amours » ; 11 « Vaisseau sacré, plain de grace divine » ; 12 « Du grant Jacob la tres luisante estelle » ; 13 « Du bon Jacob la pure et clere estelle » ; 14 « Le hault tresor de grace et de salut » ; 15 « Pour le tout beau toute belle je suis » ; 16 « L'arche de paix et vray tresor de grace » ; 17 « Royne des cieulx, sans tache, toute belle » ; 18 « Vierge sans sy, des autres la plus belle » ; 19 « Sacraire sainct du sacré consistore » ; 20 « Vierge et mere pour tiltre singullier » ; 21 « Pour son plaisir Dieu la fist toute belle » ; 22 (Même refrain) ; 23 « Maison de Dieu, de peché separée » ; 24 « Vierge mere, sans macule conceüe » ; 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31 (Même refrain) ; 32 « Relucence de lumiere eternelle » ; 33 « Concepcion toute belle par grace » ; 34 « Concepcion plaine de toute grace » ; 35 « La fleur des fleurs, sur toutes la plus belle » ; 36 « Escharboucle d'excellente lumiere » ; 37 « Sur tous parfais la plus en biens parfaicte » ; 38 « Dont il appert qu'elle est tres excellente » ; 39 « Toute belle, conceuë sans macule » ; 40 « La plus belle des cieulx et de la terre » ; 41 « Le cyon plain de verdure eternelle » ; 42 « Mere et fille du tres hault roy de gloire » ; 43 « Conceue en grace, exempte de peché » ; 44 « Fille de Adam toute plaine de grace » ; 45 « Toute belle, preservée de vice » ; 46 « Toute belle tant de ame que de corps » ; 47 « Pour tous humains parfaicte medecine » ; 48 « Le pur concept de la vierge Marie » ; 49 « La nef portant l'homme à port de salut » ; 50 « Lune luysante en lumiere eternelle » ; 51 « Medecine donnante aux humains vie » ; 52 « La plus belle qui nacquit onc de mere » ; 53 « Le beau palais de la vierge Marie » ; 54 « En ce concept Dieu fit vraye lumiere » ; 55 « De Eve et de Adam la premiere sans vice » ; 56 « De tous pechez exempte, clere et saine » ; 57 « Le resfuge de l'humaine nature » ; 58 « Mere d'un filz qui la fit toute belle » ; 59 « Toute belle, saincte et inmaculée » ; 60 « En son concept toute plaine de grace » ; 61 « Repos plaisant, plain de grace divine » ; 62 « Precieux lis où sont toutes beaultez » ; 63 « Vaisseau sacré, plain de beatitude » ; 64 « Toute tres belle en sa concepcion » ; 65 « Du Filz de Dieu la loyale amoureuse » ; 66 « Du Filz de Dieu le sainct reclinatoire » ; 67 « Fille de Dieu, son espouse et sa mere » ; 68 « Toute belle, sans premiere et seconde » ; 69 « Le fort chasteau de vice preservé » ; 70 « Mere d'un filz qui la fist toute belle » ; 71, 72, 73, 74 (Même refrain) ; 75 « Virginité saincte et inmaculée » ; 76 « Son filz le peult et lui veult ceste grace » ; 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94 (Même refrain) ; 95 « Le champ royal dont vint la fleur de grace » ; 96 « Toute belle pour porter fruict de vie » ; 97 « L'an jubillé de grace et de salut » ; 98 « Vierge en concept pure et inmaculée » ; 99 « Le nouveau temps de paix et de concorde » ; 100 « Seulle en concept que Dieu tres belle fist » ; 101 « Cité de Dieu toute plaine de grace » ; 102 « Celle qui n'est ne fut oncquez pollue » ; 103 « Mere et fille du redempteur du monde » ; 104 « Vaisseau d'honneur et chef d'oeuvre en nature » ; 105 « Pour delivrer les humains de misere » ; 106 « La plus belle qui jamais vint au monde » ; 107 « Preservée par grace specialle » ; 108 « L'escu d'argent semé de fleurs de lis » ; 109 « A tous humains donner lectre de grace » ; 110 « Vigne royalle où fut pris fruit de vie » ; 111 « Pour impetrer aux humains sauvement » ; 112 « D'ung arbre sec la fructueuse olive » ; 113 Sans refrain, Premier vers : « Es plaidz royaulx tenus en paradis » ; 114 « Le doulx ruysseau rendant eau de vie » ; 115 « La tour David forte et inexpugnable » ; 116 « Le pellican et l'humble turterelle » ; 117 « L'isle saincte pour le port de salut » ; 118 « Le pur fourment dont fut fait pain de vie » ; 119 « Fin de douleur et principe de joye » ; 120 « Vaisseau nagant par la mer sans fortune » ; 121 « Joye aux humains apporte à sa venue » ; 122 « La fleur de lis, des aultres la plus belle » ; 123 « Tenant humains par coulpe paternelle » ; 124 « Comme le lis en buisson espineux » ; 125 « Couronne d'or sur son chef glorieux » ; 126 « Cedre exalté sur le mont de Syon » ; 127 « Gloire sans fin pour le corps et pour l'ame » ; 128 « Le sacré jour de son assumpcion » ; 129 « Le jour sacré de son assumpcion » ; 130 « Impassible, plain de gloire assouvie » ; 131 « Le triumphe qui tous aultres surpasse » ; 132 « Sur champ d'azur fleur de lis couronnée » ; 133 « Repos sans fin d'eternelle memoire » ; 134 « Soubs le soleil si clere creature » ; 135 « Couronne d'or par puissance royalle » ; 136 « Couronnée royne sur tous les cieulx » ; 137 « Royne regnant en gloire inmarcessible » ; 138 « Royne des cieulx, dame des benoitz anges » ; 139 « En champ royal victoire triumphante » ; 140 « Le triumphe de tous les corps celiques » ; 141 « Tribut d'honneur et triumphe de grace » ; 142 « Pour triumphe couronne de victore » ; 143 « Ceptre en la main et au chef la couronne » ; 144 « L'aigle royal qui survolle les cieulx » ; 145 « A dextre Dieu couronne triumphante » ; 146 « Ceptre royal en signe de victore » ; 147 « La porte d'or du divin paradis » ; 148 « L'assumpcion de son corps glorieux » ; 149 « Le cerf vollant es fontaines de vie » ; 150 « L'immortel bien de glorieuse vie » ; 151 « Pour bruyt d'honneur triumphe pardurable »

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Contient : 1° « Les Livres de BOECE de Consolacion », traduction en vers [par JEAN DE MEUNG] ; 2° « Des soubtilz Faiz en armes », extraits de « VALERE » [MAXIME] et de « FRONTIN » ; 3° « Chy commenche des empereurs », chronologie jusqu'en 1220 ; 4° Éphémérides ; 5° « De Papirius » ; 6° « De Sanson le Fort ». (Ibid) ; 7° « Du rois Conus d'Engleterre, qui vaut regner contre le volenté de Dieu » ; 8° « Les.XII. Abusions du monde ». (Ibid) ; 9° « De Neron l'empereur ». (Ibid) ; 10° « Des Demandes que li rois Boctus demanda à Sydrac » ; 11° « Un Serventois de Nostre Dame » ; 12° « Le Voie d'infer et de paradis » ; 13° « Le Livre du Renclus de Moylains » ; 14° « Le Livre de Phisionomie, que li princes des philosophes ARISTOTES fit et ordonna pour l'amour du roy Alixandre » ; 15° Extrait de « Sydrac » ; 16° « Le Nombre d'agorisme ». (Ibid) ; 17° « Livre de Nature », compilation française traduite de divers auteurs ; 18° Le « Respit de mort » [par JEAN LEFEVRE]

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Commençant par : « Affin que honnourables avenues et notables aventures faittes en armes, lesquelles sont avenues par les guerres de France et d'Engleterre... » et finissant par : «... et tindrent les Françoys frontiere au Dune, à Carenten, à Sainct Lo, et par toutes les marches sur le cloux de Constantin » . Ce ms. ne contient que le livre I des Chroniques.

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Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »