80 resultados para CvL
Resumo:
In Brazil, human and canine visceral leishmaniasis (CVL) caused by Leishmania infantum has undergone urbanisation since 1980, constituting a public health problem, and serological tests are tools of choice for identifying infected dogs. Until recently, the Brazilian zoonoses control program recommended enzyme-linked immunosorbent assays (ELISA) and indirect immunofluorescence assays (IFA) as the screening and confirmatory methods, respectively, for the detection of canine infection. The purpose of this study was to estimate the accuracy of ELISA and IFA in parallel or serial combinations. The reference standard comprised the results of direct visualisation of parasites in histological sections, immunohistochemical test, or isolation of the parasite in culture. Samples from 98 cases and 1,327 noncases were included. Individually, both tests presented sensitivity of 91.8% and 90.8%, and specificity of 83.4 and 53.4%, for the ELISA and IFA, respectively. When tests were used in parallel combination, sensitivity attained 99.2%, while specificity dropped to 44.8%. When used in serial combination (ELISA followed by IFA), decreased sensitivity (83.3%) and increased specificity (92.5%) were observed. Serial testing approach improved specificity with moderate loss in sensitivity. This strategy could partially fulfill the needs of public health and dog owners for a more accurate diagnosis of CVL.
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In this study, a BCR-ABL expressing human chronic myelogenous leukaemia cell line (K562) was used to investigate the antitumoral potential of a novel lectin (CvL) purified from the marine sponge Cliona varians. CvL inhibited the growth of K562 cells with an IC50 value of 70 g/ml, but was ineffective to normal human peripheral blood lymphocytes in the same range of concentrations tested (180 g/ml). Cell death occurred after 72 h of exposure to the lectin and with sign of apoptosis as analysed by DAPI staining. Investigation of the possible effectors of this process showed that cell death occurred in the presence of Bcl-2 and Bax expression, and involved a caspase-independent pathway. Confocal fluorescence microscopy indicated a major role for the lysosomal protease cathepsin B in mediating cell death. Accordingly, pre-incubation of K562 cells with the cathepsin inhibitor L-trans-epoxysuccinyl-L-leucylamido-(4-guanidino)butane (E-64) abolished the cytotoxic effect of CvL. Furthermore, we found upregulation of tumor necrosis factor receptor 1 (TNFR1) and down-modulation of p65 subunit of nuclear factor kappa B (NFB) expression in CvL-treated cells. These effects were accompanied by increased levels of p21 and downmodulation of pRb, suggesting that CvL is capable of cell cycle arrest. Collectively, these findings suggest that cathepsin B acts as death mediator in CvL-induced cytotoxicity possibly in a still uncharacterized connection with the membrane death receptor pathway
Resumo:
L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.
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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.
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Objetivo: Establecer la relación entre la exposición ocupacional a altas temperaturas o sobrecarga térmica con el comportamiento fisiológico, metabólico y electrocardiográfico. Métodos: estudio de corte transversal, donde se incluyeron dos grupos (expuesto y no expuesto a altas temperaturas) en una empresa minera, en el departamento de Boyacá, Colombia, en el año 2016. El número de participantes fue de 160 trabajadores del género masculino, grupo expuesto (n=86) y grupo no expuesto (n=74). La exposición ocupacional a sobrecarga térmica se evaluó con el índice de temperatura de globo y bulbo húmedo (TGBH), el comportamiento fisiológico con el índice de costo cardiaco relativo (ICCR) con mediciones de frecuencia cardiaca (FC), el comportamiento metabólico con la determinación del colesterol total (CT), colesterol de alta densidad (C-HDL), colesterol de baja densidad (C-LDL), triglicéridos (TG) y glicemia basal (GL). Las alteraciones electrocardiográficas con la toma de Electrocardiograma de 12 derivaciones. También fueron evaluadas variables antropométricas, tensión arterial, hábitos y antecedentes de enfermedad cardiovascular en ambos grupos. Resultados: incrementos significativos del ICCR (p<0.001) y la carga física (p<0.001) fueron encontrados en los trabajadores expuestos a altas temperaturas. Los índices lipídicos y glicemia, así como los antecedentes personales cardiovasculares, IMC, consumo de cigarrillo y consumo de alcohol, no mostraron significancia. El antecedente familiar de ACV (p=0.043) y el EKG alterado (p=0.011) mostraron una asociación significativa con la exposición a altas temperaturas. El modelo de regresión lineal múltiple explicó la relación entre el incremento del ICCR y la exposición a altas temperaturas (β=4,213, IC 95%: 1.57,6.85) ajustado por variables fisiológicas y electrocardiográficas. Conclusiones: La exposición ocupacional a altas temperaturas, presenta asociación con las alteraciones cardiovasculares a nivel fisiológico y electrocardiográfico, aumentando el ICCR y la carga física de trabajo (GE trabajo).