1000 resultados para oligotiofeni politiofeni tiofeni S-monossido tiofeni S,S-diossido celle solari BHJ
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It is well known that standard asymptotic theory is not valid or is extremely unreliable in models with identification problems or weak instruments [Dufour (1997, Econometrica), Staiger and Stock (1997, Econometrica), Wang and Zivot (1998, Econometrica), Stock and Wright (2000, Econometrica), Dufour and Jasiak (2001, International Economic Review)]. One possible way out consists here in using a variant of the Anderson-Rubin (1949, Ann. Math. Stat.) procedure. The latter, however, allows one to build exact tests and confidence sets only for the full vector of the coefficients of the endogenous explanatory variables in a structural equation, which in general does not allow for individual coefficients. This problem may in principle be overcome by using projection techniques [Dufour (1997, Econometrica), Dufour and Jasiak (2001, International Economic Review)]. AR-types are emphasized because they are robust to both weak instruments and instrument exclusion. However, these techniques can be implemented only by using costly numerical techniques. In this paper, we provide a complete analytic solution to the problem of building projection-based confidence sets from Anderson-Rubin-type confidence sets. The latter involves the geometric properties of quadrics and can be viewed as an extension of usual confidence intervals and ellipsoids. Only least squares techniques are required for building the confidence intervals. We also study by simulation how conservative projection-based confidence sets are. Finally, we illustrate the methods proposed by applying them to three different examples: the relationship between trade and growth in a cross-section of countries, returns to education, and a study of production functions in the U.S. economy.
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Ce texte propose des mthodes dinfrence exactes (tests et rgions de confiance) sur des modles de rgression linaires avec erreurs autocorrles suivant un processus autorgressif dordre deux [AR(2)], qui peut tre non stationnaire. Lapproche propose est une gnralisation de celle dcrite dans Dufour (1990) pour un modle de rgression avec erreurs AR(1) et comporte trois tapes. Premirement, on construit une rgion de confiance exacte pour le vecteur des coefficients du processus autorgressif (φ). Cette rgion est obtenue par inversion de tests dindpendance des erreurs sur une forme transforme du modle contre des alternatives de dpendance aux dlais un et deux. Deuximement, en exploitant la dualit entre tests et rgions de confiance (inversion de tests), on dtermine une rgion de confiance conjointe pour le vecteur φ et un vecteur dintrt M de combinaisons linaires des coefficients de rgression du modle. Troisimement, par une mthode de projection, on obtient des intervalles de confiance marginaux ainsi que des tests bornes exacts pour les composantes de M. Ces mthodes sont appliques des modles du stock de monnaie (M2) et du niveau des prix (indice implicite du PNB) amricains
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La lecture numrique prend de plus en plus de place dans l'espace global de la lecture des tudiants. Bien que les premiers systmes de lecture numrique, communment appels livres lectroniques, datent dj de plusieurs annes, les opinions quant leur potentiel divergent encore. Une varit de contenus universitaires numriques soffre aujourdhui aux tudiants, entranant par le fait mme une multiplication d'usages ainsi qu'une varit de modes de lecture. Les systmes de lecture numrique font maintenant partie intgrante de lenvironnement lectronique auquel les tudiants ont accs et mritent dtre tudis plus en profondeur. Maintes exprimentations ont t menes dans des bibliothques publiques et dans des bibliothques universitaires sur les livres lectroniques. Des recherches ont t conduites sur leur utilisabilit et sur le degr de satisfaction des lecteurs dans le but den amliorer le design. Cependant, trs peu dtudes ont port sur les pratiques de lecture proprement dites des universitaires (notamment les tudiants) et sur leurs perceptions de ces nouveaux systmes de lecture. Notre recherche sintresse ces aspects en tudiant deux systmes de lecture numrique, une Tablet PC (dispositif nomade) et un systme de livres-Web, NetLibrary (interface de lecture intgre un navigateur Web). Notre recherche tudie les pratiques de lecture des tudiants sur ces systmes de lecture numrique. Elle est guide par trois questions de recherche qui sarticulent autour (1) des stratgies de lecture employes par des tudiants (avant, pendant et aprs la lecture), (2) des lments du systme de lecture qui influencent (positivement ou ngativement) le processus de lecture et (3) des perceptions des tudiants vis--vis la technologie du livre lectronique et son apport leur travail universitaire. Pour mener cette recherche, une approche mthodologique mixte a t retenue, utilisant trois modes de collecte de donnes : un questionnaire, des entrevues semi-structures avec les tudiants ayant utilis lun ou lautre des systmes tudis, et le prlvement des traces de lecture laisses par les tudiants dans les systmes, aprs usage. Les rpondants (n=46) taient des tudiants de lUniversit de Montral, provenant de trois dpartements (Bibliothconomie & sciences de linformation, Communication et Linguistique & traduction). Prs de la moiti dentre eux (n=21) ont t interviews. Paralllement, les traces de lecture laisses dans les systmes de lecture par les tudiants (annotations, surlignages, etc.) ont t prleves et analyses. Les donnes des entrevues et des rponses aux questions ouvertes du questionnaire ont fait l'objet d'une analyse de contenu et un traitement statistique a t rserv aux donnes des questions fermes du questionnaire et des traces de lecture. Les rsultats obtenus montrent que, dune faon gnrale, lobjectif de lecture, la nouveaut du contenu, les habitudes de lecture de ltudiant de mme que les possibilits du systme de lecture sont les lments qui orientent le choix et lapplication des stratgies de lecture. Des aides et des obstacles la lecture ont t identifis pour chacun des systmes de lecture tudis. Les aides consistent en la prsence de certains lments de la mtaphore du livre papier dans le systme de lecture numrique (notion de page dlimite, pagination, etc.), le dictionnaire intgr au systme, et le fait que les systmes de lecture tudis facilitent la lecture en diagonale. Pour les obstacles, linstrumentation de la lecture a rendu lappropriation du texte par le lecteur difficile. De plus, la lecture numrique (donc sur cran ) a entran un manque de concentration et une fatigue visuelle notamment avec NetLibrary. La Tablet PC, tout comme NetLibrary, a t perue comme facile utiliser mais pas toujours confortable, linconfort tant davantage manifeste dans NetLibrary. Les tudiants considrent les deux systmes de lecture comme des outils pratiques pour le travail universitaire, mais pour des raisons diffrentes, spcifiques chaque systme. Lvaluation globale de lexprience de lecture numrique des rpondants sest avre, dans lensemble, positive pour la Tablet PC et plutt mitige pour NetLibrary. Cette recherche contribue enrichir les connaissances sur (1) la lecture numrique, notamment celle du lectorat universitaire tudiant, et (2) limpact dun systme de lecture sur lefficacit de la lecture, sur les lecteurs, sur latteinte de lobjectif de lecture, et sur les stratgies de lecture utilises. Outre les limites de ltude, des pistes pour des recherches futures sont prsentes.
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Ce rapport de recherche porte sur une tude sintressant au transfert des connaissances tacites chez les gestionnaires, cest--dire le partage de ces connaissances et leur utilisation informelle, durant une situation de coordination dans un service municipal. La thse est articule autour des questions suivantes : Quelles sont les situations de coordination vcues par les gestionnaires municipaux? Quelles sont les sources de connaissances tacites partages et utilises? Quelles sont les relations de connaissances mobilises de faon informelle lors du transfert des connaissances tacites? Quels sont les facteurs encourageant ou inhibant le transfert informel des connaissances tacites? partir dun modle bas sur une approche situationnelle (Taylor, 1989 et 1991), nous avons revu la documentation touchant nos questions de recherche. Nous avons dfini notamment la rcursivit des connaissances et le rseau de connaissances, de mme que prsent le modle de la conversion des connaissances (Nonaka, 1994) et celui de lactualisation de soi (St-Arnaud, 1996). Nous avons questionn 22 rpondants laide dinstruments de mesure qui combinent les techniques de lincident critique, de lentrevue cognitive et rflexive, le questionnement sur les rseaux organisationnels et lobservation participante. Tels des filets, ces instruments ont permis de traquer et dobtenir des donnes dune grande richesse sur les connaissances tacites et les comportements informels durant le transfert de connaissances en situation de coordination. Ces donnes ont t analyses selon une approche mthodologique essentiellement qualitative combinant lanalyse de contenu, la schmatisation heuristique et lanalyse des rseaux sociaux. Nos rsultats montrent que la complexit dune situation de coordination conditionne le choix des mcanismes de coordination. De plus, les sources de connaissances sont, du point de vue individuel, le gestionnaire et ses artefacts, de mme que son rseau personnel avec ses propres artefacts. Du point de vue collectif, ces sources sont rifies dans le rseau de connaissances. Les connaissances cls dune situation de coordination sont celles sur le rseau organisationnel, le contexte, les expriences en gestion et en situation complexe de coordination, la capacit de communiquer, de ngocier, dinnover et celle dattirer lattention. Individuellement, les gestionnaires privilgient lactualisation de soi, lautoformation et la formation contextualise et, collectivement, la coprsence dans laction, le rseautage et laccompagnement. Cette tude fournit un modle valide du transfert contextualis des connaissances qui est un cas de coordination complexe dactivits en gestion des connaissances. Ce transfert est concomitant dautres situations de coordination. La nature tacite des connaissances prvaut, de mme que le mode informel, les mdias personnels et les mcanismes dajustement mutuel. Les connaissances tacites sont principalement transfres au dbut des processus de gestion de projet et continuellement durant la rtroaction et le suivi des rsultats. Quant aux connaissances explicites, les gestionnaires les utilisent principalement comme un symbole la fin des processus de gestion de projet. Parmi les personnes et les groupes de personnes dune situation de transfert contextualis des connaissances, 10 % jouent des rles cls, soit ceux dexperts et dintermdiaires de personnes et dartefacts. Les personnes en priphrie possdent un potentiel de structuration, cest--dire de connexit, pour assurer la continuit du rseau de connaissances organisationnel. Notre tude a largi le modle gnral de la complexit dune situation (Bystrom, 1999; Choo, 2006; Taylor, 1986 et 1991), la thorie de la coordination (Malone et Crowston, 1994), le modle de la conversion des connaissances (Nonaka, 1994), celui de lactualisation de soi (St-Arnaud, 1996) et la thorie des rseaux de connaissances (Monge et Contractor, 2003). Notre modle raffirme la concomitance de ces modles gnraux selon une approche constructiviste (Giddens, 1987) o la dualit du structurel et la comptence des acteurs sont confirmes et enrichies.
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Lintroduction ventuelle, au Qubec, de la force excutoire pour les actes notaris soulve, du point de vue conomique, deux questions. La premire porte sur les effets prvisibles de cette mesure, notamment sur le march des services juridiques de rdaction dactes. Du ct de loffre, il convient de distinguer selon que lacte notari est obligatoire ou facultatif. Du ct de la demande, le changement tendrait diminuer le cot de ralisation dun droit. Le gain qui en rsulte peut profiter, en partie, aux notaires. Lampleur de leffet dpend de la probabilit quil faille recourir lexcution force. Leffet irait dans le sens de rduire le cot du crdit et daugmenter sa disponibilit. Pour le dbiteur, lengagement deviendrait plus risqu, mais du mme coup, lui permettrait de signaler sa crdibilit . Les chiffres fournis dans une tude ralise par le groupe Secor en 1995 font voir une conomie plutt modeste de ces mesures. Pour valuer lampleur du dsengorgement prvisible des tribunaux, il faudrait connatre limportance des procdures essentiellement engages pour la perception de crances. Au-del des effets immdiats, les enjeux de cette mesure sont de deux ordres. Dabord, ils soulvent la question de la justification daccorder lavantage comparatif de la force excutoire aux actes notaris et eux seuls. Cette question nous conduit celle du statut dofficier public des notaires, plus prcisment aux caractristiques qui doivent tre juges essentielles pour ce statut. Car si lon ne peut prter au notaire une aussi grande confiance quau juge, il convient de sinterroger, aux fins de lexcution force, sur les limites imposer au contenu des actes ayant force excutoire. Les rponses ces questions prsupposent des donnes quon peut difficilement obtenir autrement que par lexprience prudente. Les chiffres disponibles permettent de prvoir des conomies modestes. Lintroduction de la force excutoire doit saccompagner de mesures de stricte surveillance, notamment en matire de conflits dintrt potentiels.
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L'auteur, autour du thme de l'avenir de la famille, explore deux manifestations de ce qu'il appelle l'objectivation de celle-ci. Ce phnomne, issu d'une pluralisation des modes de vi, s'illuste en un premier temps par l'clatement de la filiation du une certaine rification de la personne. D'un modle binaire et sexu, copi de la nature, on accepte aujourd'hui tant la filiation unilinaire qu'homosexuelle et on se rapproche d'une possible filiation trilinaire. En ce sens, l'clatement du modle semble consomm. En un second temps, cette objectivisation de la famille dcoule de la pluralit des types d'unions. L'auteur, tout en prsentant sommairement la rglementation actuelle du mariage et de la rcente union civile, soulve la question d'une ventuelle extension de l'union de droit dans la lgislation qubcoise.
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Article publi avec l'autorisation de la Chambre des notaires du Qubec et dans le cadre des cours de perfectionnement du notariat.
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La jurisprudence portant sur les droits ancestraux ou issus de traits des peuples autochtones fait peu de place aux ordres juridiques antrieurs la cration de colonies franaises ou anglaises. Les tribunaux saccordent dailleurs une trs grande discrtion dans lutilisation de ces normes ; ils assurent galement la prminence du systme juridique canadien. Ils mnagent toutefois un meilleur accueil aux rcits traditionnels qui sont susceptibles de constituer des lments de preuve. Par ailleurs, antrieurement au XIXe sicle, les peuples autochtones jouissent de droits de nature internationale ; les traits conclus avec eux rsultent souvent de ngociations orales. Les droits qui en rsultent sont maintenant constitutionnaliss, ce qui carte certaines conceptions de lpoque comme celle voulant que les gouvernements taient libres de faire abstraction de ces engagements. Par ailleurs, les litiges actuels soulvent des questions qui ntaient pas susceptibles de se poser il y a deux sicles. Dans ces conditions, lhistoire ne peut fournir de rponses dfinitives ou univoques.
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Rapport de stage prsent la Facult des sciences infirmires en vue de l'obtention du grade de Matrise s sciences (M. Sc.) en Sciences infirmires option formation
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Dpartement de linguistique et de traduction
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UANL
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Ce mmoire porte sur la constitution du tiers secteur franais en tant quacteur social et politique. Dans de nombreux pays, les relations entre ltat et les organismes mutualistes, coopratifs et associatifs de la socit civile (un ensemble htrogne quon appelle ici le tiers secteur ) ont t rcemment formalises par des partenariats. En France, cette institutionnalisation sest concrtise en 2001 par la signature dune Charte (CPCA). Nous explorons lhypothse qu travers linstitutionnalisation, le tiers secteur franais se construit en tant quacteur ayant une (ou des) identits propres de mme quun projet de socit relativement bien dfini. La perspective dominante prsente dans la littrature internationale traitant de linstitutionnalisation des rapports entre ltat et le tiers secteur est celle dune instrumentalisation des organisations du tiers secteur au dtriment de leurs spcificits et de leur autonomie. Cette perspective nous semble limitative, car elle semble tre aveugle la capacit daction des organisations. Par consquent, dans ce mmoire, nous cherchons comprendre si une transformation identitaire a eu lieu ou est en cours, au sein du tiers secteur franais, et donc sil se transforme en acteur collectif. Pour apporter certains lments de rponse nos hypothses et questions de recherche, nous avons effectu une analyse des discours via deux sources de donnes; des textes de rflexion rdigs par des acteurs cls du tiers secteur franais et des entretiens effectus avec certains dentre eux au printemps 2003 et lautomne 2005. Sur la base de deux inspirations thoriques (Hobson et Lindholm, 1997 et Melucci, 1991), notre analyse a t effectue en deux tapes. Une premire phase nous a permis didentifier deux cadres cognitifs partir desquels se dfinissent les acteurs du tiers secteur franais, les cadres association et conomie solidaire . Une deuxime phase danalyse consistait dterminer si les deux cadres cognitifs pouvaient tre considrs comme tant des tensions existant au sein dun seul et mme acteur collectif. Nos rsultats nous permettent de conclure que les organisations du tiers secteur franais ne se peroivent pas globalement comme un ensemble unifi. Nanmoins, nous avons pu dgager certains lments qui dmontrent que les cadres sont partiellement conciliables. Cette conciliation est grandement subordonne aux contextes sociopolitiques et conomiques franais, europen et international et est galement conditionnelle la dcouverte dun mode de fonctionnement convenant tous les acteurs.
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Bas sur lapproche des parcours de vie, le prsent mmoire se veut une tude du processus par lequel les ingalits fondes sur lethnicit se dploient dans le march du travail au Qubec. Faites partir des donnes de lEnqute sur les travailleurs slectionns (n=1541), des rgressions logistiques effets alatoires valuent linfluence de la rgion de naissance des nouveaux immigrants sur la prsence en emploi tout au long des quatre premires annes et demie de sjour au Qubec. Les rsultats obtenus dmontrent que la prsence en emploi est influence par la rgion de naissance. Quatre profils principaux ressortent. Les travailleurs slectionns provenant dEurope de lOuest et des tats-Unis, catgorie de rfrence, bnficient dune situation relativement favorable. Les rpondants originaires du Maghreb, dsavantags au cours de la premire anne, verront leur situation relative samliorer au fil du temps, sans pour autant atteindre une prsence en emploi quivalente celle de la catgorie de rfrence. Les travailleurs slectionns provenant dEurope de lEst et ex-URSS, dAsie de lEst et Ocanie et dAsie de lOuest et Moyen-Orient sont dsavantags durant la premire anne. Cette situation demeura au mme niveau tout au long de la priode dobservation. Les travailleurs slectionns originaires dAfrique sub-saharienne et Amrique (sauf tats-Unis) dbuteront leur sjour dans une position dfavorable et verront leur situation relative se dtriorer au fil du temps.
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Dans cet article, pour etendre la theorie du consommateur a ses choix d'epargne et de placements, on utilise a la fois la theorie usuelle, celle des caracteristiques et celle du raisonnement quantitatif. on en deduit un systeme complet de demandes comprenant simultanement les quantites de biens et de services physiques, les quantites d'actifs financiers et les prix des actifs contingents elementaires eventuels.
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[franais] Lobjectif de cette recherche est danalyser lorganisation interne dune firme de sondage sous langle des sphres du milieu de travail telles quidentifies par Blanger, Giles et Murray (2004), soient : la gestion de la production, lorganisation du travail et la relation lemploi. Plus spcifiquement, nous chercherons savoir comment se comporte la firme enqute face la gestion de la flexibilit organisationnelle et quel est limpact de celle-ci sur les trois sphres du travail. Lanalyse utilise la mthodologie de ltude de cas et fait appel divers types de matriaux : des observations ponctuelles, des entrevues informelles et les bases de donnes administratives ainsi que les rapports dvaluation des entrevues tlphoniques effectues par les intervieweurs. De mme, lanalyse des rsultats utilise la fois des mthodes plus classiques telles que les corrlations ainsi que des reprsentations graphiques et des analyses qualitatives. Lanalyse permet de reprer une logique de fonctionnement luvre dans les diffrentes sphres de lemploi : limportante standardisation des processus de travail (dans le champ de la gestion de la production), la rduction des marges de manuvre (dans le champ de lorganisation du travail) et la non reconnaissance de lexpertise des intervieweurs (dans le champ de la relation lemploi). Les contradictions repres dans lanalyse, entre les sphres de lemploi et les objectifs de flexibilit, montrent que les structures mises en place bloquent, dans une certaine mesure, la capacit dinitiative et dadaptation que la flexibilit exige. La recherche a montr que ce quon demande aux intervieweurs est la fois le reflet des exigences de la flexibilit, tel que constat dans ce mmoire, mais aussi, des exigences sociales face la mthodologie de sondage. Tout porte dduire que celles-ci peuvent engendrer un plafonnement de la performance des employs. Mots-cls : centres dappels, intervieweurs, firmes de sondage, flexibilit organisationnelle, gestion de la production, organisation du travail, relation lemploi, travail motionnel.