930 resultados para Coins, Japanese.


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Immunogenicity of a long 20-mer NY-ESO-1f peptide vaccine was evaluated in a lung cancer patient TK-f01, immunized with the peptide with Picibanil OK-432 and Montanide ISA-51. We showed that internalization of the peptide was necessary to present CD8 T-cell epitopes on APC, contrasting with the direct presentation of the short epitope. CD8 T-cell responses restricted to all five HLA class I alleles were induced in the patient after the peptide vaccination. Clonal analysis showed that B*35:01 and B*52:01-restricted CD8 T-cell responses were the two dominant responses. The minimal epitopes recognized by A*24:02, B*35:01, B*52:01 and C*12:02-restricted CD8 T-cell clones were defined and peptide/HLA tetramers were produced. NY-ESO-1 91-101 on A*24:02, NY-ESO-1 92-102 on B*35:01, NY-ESO-1 96-104 on B*52:01 and NY-ESO-1 96-104 on C*12:02 were new epitopes first defined in this study. Identification of the A*24:02 epitope is highly relevant for studying the Japanese population because of its high expression frequency (60%). High affinity CD8 T-cells recognizing tumor cells naturally expressing the epitopes and matched HLA were induced at a significant level. The findings suggest the usefulness of a long 20-mer NY-ESO-1f peptide harboring multiple CD8 T-cell epitopes as an NY-ESO-1 vaccine. Characterization of CD8 T-cell responses in immunomonitoring using peptide/HLA tetramers revealed that multiple CD8 T-cell responses comprised the dominant response.

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BACKGROUND: The occurrence of depression in younger adults is related to the combination of long-standing factors such as personality traits (neuroticism) and more acute factors such as the subjective impact of stressful life events. Whether an increase in physical illnesses changes these associations in old age depression remains a matter of debate. METHODS: We compared 79 outpatients with major depression and 102 never-depressed controls; subjects included both young (mean age: 35 years) and older (mean age: 70 years) adults. Assessments included the Social Readjustment Rating Scale, NEO Personality Inventory and Cumulative Illness Rating Scale. Logistic regression models analyzed the association between depression and subjective impact of stressful life events while controlling for neuroticism and physical illness. RESULTS: Patients and controls experienced the same number of stressful life events in the past 12 months. However, in contrast to the controls, patients associated the events with a subjective negative emotional impact. Negative stress impact and levels of neuroticism, but not physical illness, significantly predicted depression in young age. In old age, negative stress impact was weakly associated with depression. In this age group, depressive illness was also determined by physical illness burden and neuroticism. CONCLUSIONS: Our data suggest that the subjective impact of life stressors, although rated as of the same magnitude, plays a less important role in accounting for depression in older age compared to young age. They also indicate an increasing weight of physical illness burden in the prediction of depression occurrence in old age.

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La pierre et l'image. Etude monographique de l'église de Saint-Chef en Dauphiné: L'ancienne abbatiale de Saint-Chef-en-Dauphiné est située dans l'Isère, à 10 km de Bourgoin-Jallieu et à 2 km de l'ancienne voie romaine qui joignait Vienne à Aoste par le col du Petit-Saint-Bernard. L'abbaye dépendait, dès sa fondation, des archevêques de Vienne, dont la cité se trouvait à 70 km plus à l'ouest. Selon le récit de l'archevêque Adon de Vienne, écrit à la fin du IXe siècle, l'abbaye de Saint-Chef aurait été fondée au cours du VIe siècle par saint Theudère sur un territoire appartenant à sa famille, le Val Rupien. D'abord dédié à la Vierge le monastère est placé, dès l'époque carolingienne, sous le double patronage de la Vierge et du saint fondateur, dont les reliques furent déposées dans l'église. Sans doute détruite et abandonnée lors des guerres bosonides qui provoquèrent la ruine de Vienne (882), l'abbaye est restaurée quelques années plus tard par des moines venus de Champagne : en 887 les moines de Montier-en-Der, fuyant leur abbaye menacée par les invasions normandes, trouvent refuge à Saint-Chef. Afin de promouvoir la reconstruction de l'abbaye, l'archevêque Barnoin, soutenu par Louis l'Aveugle, roi de Bourgogne, lui offrent des privilèges d'exemption et plusieurs donations. Signe de la renommée et de la prospérité dont bénéficiait alors le monastère, Hugues, héritier de Louis l'Aveugle, y reçoit son éducation. Vers 925 ou 926, alors que la Champagne est à. nouveau pacifiée, les moines de Montier-en-Der regagnent leur abbaye d'origine après avoir reconstruit, selon les sources, le « petit monastère de Saint-Chef ». L'abbaye dauphinoise n'est pas pour autant abandonnée et reste vraisemblablement en contact avec les moines champenois : en 928, Hugues de Provence fait des donations importantes d l'abbaye qui est alors formellement placée sous la juridiction de l'Eglise de Vienne. En 962, le Viennois est intégré au royaume de Bourgogne puis, en 1032, au domaine impérial. Construction de l'abbaye : Après le départ des moines de Montier-en-Der, l'église dauphinoise a vraisemblablement été reconstruite par saint Thibaud, archevêque de Vienne entre 970 et l'an mil. Ayant peut-être reçu son éducation dans l'abbaye dauphinoise, il est enterré dans l'église qui, selon certaines sources, associe dès lors son patronage à celui du saint fondateur. Elevée en petit appareil irrégulier, la nef actuelle de l'église de Saint-Chef pourrait appartenir à cette phase de construction de l'église. Fils du comte Hugues de Vienne qui possédait d'importants territoires autour de Saint-Chef, Thibaud était aussi lié aux comtes de Troyes et de Champagne : ce sont ces liens qui expliquent la présence répétée de l'archevêque en Champagne et dans la région de Montier-en-Der. Or, à la même époque, l'église champenoise est reconstruite par le célèbre Adson, abbé de 968 à 992. Des ressemblances entre cette construction et celle de Saint-Chef suggèrent la réalisation, au Xe siècle, de deux églises-soeurs. L'église préromane de Montier-en-Der possédait, à. l'ouest, un massif à double étage et l'est, des tours jumelles s'élevant au-dessus des deux chapelles latérales entourant l'abside. Ce plan présente plusieurs points de comparaison avec l'église actuelle de Saint-Chef : on constate en particulier une équivalence au niveau des dimensions (largeur-longueur des nefs et le diamètre de l'abside), un choix identique pour l'emplacement du choeur et des entrées secondaires : à l'extrémité ouest du bas-côté nord et à l'extrémité orientale du bas-côté sud. Ces analogies nous aident à. restituer le plan de Saint-Chef, tel qu'il pouvait apparaître du temps de Thibaud : la partie orientale de l'église, alors élevée en petit appareil irrégulier comme la nef actuelle, était sans doute dépourvue de transept ; à l'image de l'église champenoise, des tours jumelles pouvaient toutefois s'élever au-dessus des deux chapelles orientales. Si notre hypothèse est exacte, le parti architectural adopté à Saint-Chef comme à Montier¬en-Der correspond au plan des églises monastiques réformées au Xe siècle par les abbayes de Fleury et de Gorze (dès 934). Dans ce type d'églises que l'on rencontre essentiellement dans l'ancienne Lotharingie, mais aussi dans une région proche de Saint-Chef, en Savoie, les tours orientales possédaient, à l'étage, des tribunes qui donnaient sur le choeur. La forme caractéristique de ces églises est déterminée par l'observance de coutumes liturgiques communes aux abbayes réformées. Ainsi, la règle établie par la réforme indiquait la nécessité d'espaces surélevés situés à l'est et à l'ouest de l'église : ces espaces avaient pour fonction d'accueillir les choeurs des moines dont les chants alternaient avec ceux des moines réunis au niveau inférieur, devant le sanctuaire. Par la suite, sans doute en raison de nouvelles pratiques liturgiques, la partie orientale de l'église de Saint-Chef, reconstruite en moyen appareil régulier, est augmentée d'un transept à quatre chapelles latérales. Les deux tours, si elles existaient, sont détruites pour être reconstruites aux extrémités du transept, abritant des chapelles hautes qui donnaient sur les bras du transept et le choeur. La vision latérale entre les deux tribunes est alors favorisée par l'alignement des baies des tribunes et des arcades du transept. Grâce à ce système d'ouverture, les choeurs des moines se voyaient et s'entendaient parfaitement. Ce système de tribunes orientales apparaît dans certaines églises normandes du XIe siècle ou dans d'autres églises contemporaines qui semblent s'en inspirer, telles que la cathédrale du Puy ou l'abbatiale de Saint-Sever-sur-l'Adour. L'importance croissante des chants alternés dans les offices semble avoir favorisé l'émergence d'une telle architecture. L'étude du décor sculpté, et notamment des chapiteaux ornant les différentes parties de l'édifice, permet de dater les étapes de transformation de l'abbatiale. L'aménagement des chapelles orientales semble remonter à la première moitié du XIe siècle ; l'installation des piliers soutenant le transept et les deux tours de l'édifice est datable des années 1060-1080. Par la suite, sans doute du temps de Guillaume de la Tour-du-Pin, archevêque de Vienne entre 1165 et 1170, le transept et la croisée sont surélevés et voûtés et des fenêtres viennent ajourer le mur pignon oriental. Les indices de datation tardives, rassemblés au niveau supérieur du transept, ont été utilisés par les spécialistes de l'architecture, tels Raymond Oursel et Guy Barruol, pour dater l'ensemble de l'église du XIIe siècle. Pourtant, dans d'autres études, Otto Demus, Paul Deschamp et Marcel Thiboud dataient les peintures de Saint-Chef de la seconde moitié du XIe siècle, soit un demi-siècle au moins avant la datation proposée pour l'élévation architecturale. Cette contradiction apparente se trouve désormais résolue par la mise en évidence de phases distinctes de construction et de transformations de l'édifice. Les peintures : Le décor peint de l'abbatiale est conservé dans trois chapelles du transept : dans la chapelle Saint-Theudère, à l'extrémité sud du transept, dans la chapelle Saint-Clément, à son autre extrémité, et dans la chapelle haute s'élevant au-dessus de celle-ci. Selon une dédicace peinte derrière l'autel, cette chapelle est dédiée au Christ, aux archanges et à saint Georges martyr. L'analyse stylistique permet de dater les peintures du troisième ou du dernier quart du XIe siècle : leur réalisation semble donc succéder immédiatement à l'élévation du transept et des deux tours que l'on situe, on l'a vu, dans les années 1060-1080. Au cours de cette étude, on a aussi relevé la parenté des peintures avec des oeuvres normandes et espagnoles : ces ressemblances s'affirment par certaines caractéristiques de style, mais aussi par le traitement de l'espace. Par exemple, l'alignement des anges sur la voûte, ou des élus sur le mur ouest de la chapelle haute de Saint-Chef, rappellent certains Beatus du XIe siècle, tels que celui de Saint-Sever antérieur à 1072. Dans la chapelle haute, la hiérarchie céleste est distribuée par catégories autour du Christ, représenté au centre de la voûte ; cette disposition se retrouve à Saint-Michel d'Aiguilhe au Xe siècle, ainsi que dans le premier quart du XIIe siècle à Maderuelo en Catalogne et à Fenouilla en Roussillon. D'autres rapprochements avec des oeuvres ottoniennes et carolingiennes ont aussi été observés, ainsi qu'avec certaines enluminures d'Ingelard, moine à Saint-Germain des Prés entre 1030 et 1060. L'iconographie: Le sens de l'image avait donné lieu à quelques études ponctuelles. Cette thèse a permis, d'une part, la mise en évidence d'un unique programme iconographique auquel participent les peintures des trois chapelles de l'abbatiale et, d'autre part, la découverte des liens entre le choix iconographique de Saint-Chef et certaines sources littéraires. Ces rapports ont par exemple été relevés pour la figure de l'ange conduisant saint Jean à la Jérusalem céleste, sur le voûtain ouest de la chapelle haute. La figure très soignée de l'ange, portant les mêmes vêtements que le Christ peint au centre de la voûte, présente sur son auréole quelques traces sombres qui devaient à l'origine dessiner une croix : ce détail fait de l'ange une figure du Christ, figure qui apparaît dans certaines exégèses apocalyptiques telles que le Commentaire d'Ambroise Autpert au Ville siècle, celui d'Haymon d'Auxerre au IXe siècle ou, au début du XIIe siècle, de Rupert de Deutz. Pour Ambroise Autpert, l'ange guidant saint Jean est une image du Christ amenant l'Eglise terrestre à la Jérusalem céleste, à laquelle elle sera unie à la fin des temps. Les deux figures symboliquement unies par le geste du Christ empoignant la main de saint Jean est une image du corps mystique de Jésus, le corps étant l'Eglise et la tête, le Christ qui enseigne aux fidèles. L'iconographie des peintures de la chapelle haute est centrée autour de l'oeuvre de Rédemption et des moyens pour gagner le salut, la Jérusalem céleste étant le lieu de destination pour les élus. Au centre de la voûte, le Christ présente ses deux bras écartés, en signe d'accueil. Sur le livre ouvert qu'il tient entre les genoux, les mots pax vobis - ego sum renvoient aux paroles prononcées lors de son apparition aux disciples, après sa Résurrection et au terme de son oeuvre de Rédemption. A ses pieds, sur le voûtain oriental, la Vierge en orante, première médiatrice auprès de son Fils, intercède en faveur des humains. Grâce au sacrifice du Christ et à travers la médiation de la Vierge, les hommes peuvent accéder à la Jérusalem céleste : les élus sont ici représentés sur le dernier registre du mur ouest, directement sous la Jérusalem ; un cadre plus sombre y indique symboliquement l'accès à la cité céleste. A l'autre extrémité du voûtain, Adam et Eve sont figurés deux fois autour de l'arbre de la connaissance : chassés du paradis, ils s'éloignent de la cité ; mais une fois accomplie l'oeuvre de Rédemption, ils peuvent à nouveau s'acheminer vers elle. Les peintures de la chapelle inférieure participent elles aussi au projet iconographique de la Rédemption. Sur la voûte de la chapelle, les quatre fleuves paradisiaques entouraient à l'origine une colombe. Selon l'exégèse médiévale, ces fleuves représentent les quatre temps de l'histoire, les vertus ou les quatre évangiles, diffusés aux quatre coins de la terre. Selon une tradition littéraire et iconographique d'origine paléochrétienne, ce sont aussi les eaux paradisiaques qui viennent alimenter les fonts baptismaux : l'association de la colombe, figure du Saint-Esprit et des fleuves du paradis suggère la présence, au centre de la chapelle, des fonts baptismaux. L'image de la colombe se trouve, on l'a vu, dans le prolongement vertical du Christ ressuscité, représenté au centre de la voûte supérieure. Or, selon une tradition qui remonte à Philon et Ambroise de Milan, la source des quatre fleuves, de la Parole divine diffusée par les quatre Evangiles, c'est le Christ. Dans son traité sur le Saint-Esprit, l'évêque de Milan place à la source de l'Esprit saint l'enseignement du Verbe fait homme. Il ajoute que lorsqu'il s'était fait homme, le Saint-Esprit planait au-dessus de lui ; mais depuis la transfiguration de son humanité et sa Résurrection, le Fils de Dieu se tient au-dessus des hommes, à la source du Saint-Esprit : c'est la même logique verticale qui est traduite dans les peintures de Saint-Chef, le Christ ressuscité étant situé au-dessus du Saint-Esprit et des eaux paradisiaques, dans la chapelle haute. Si les grâces divines se diffusent de la source christique aux hommes selon un mouvement descendant, l'image suggère aussi la remontée vers Dieu : en plongeant dans les eaux du baptême, le fidèle initie un parcours qui le ramènera à la source, auprès du Christ. Or, cet ascension ne peut se faire qu'à travers la médiation de l'Eglise : dans la chapelle Saint-Clément, autour de la fenêtre nord, saint Pierre et Paul, princes de l'Eglise, reçoivent la Loi du Christ. Dans la chapelle supérieure, ici aussi autour de la fenêtre septentrionale, deux personnifications déversaient les eaux, sans doute contenues dans un vase, au-dessus d'un prêtre et d'un évêque peints dans les embrasures de la fenêtre : c'est ce dont témoigne une aquarelle du XIXe siècle. Ainsi baignés par l'eau vive de la doctrine, des vertus et des grâces issue de la source divine, les représentants de l'Eglise peuvent eux aussi devenir sources d'enseignement pour les hommes. Ils apparaissent, en tant que transmetteurs de la Parole divine, comme les médiateurs indispensables entre les fidèles et le Christ. C'est par les sacrements et par leur enseignement que les âmes peuvent remonter vers la source divine et jouir de la béatitude. Si l'espace nord est connoté de manière très positive puisqu'il est le lieu de la représentation théophanique et de la Rédemption, les peintures de la chapelle sud renvoient à un sens plus négatif. Sur l'intrados d'arc, des monstres marins sont répartis autour d'un masque barbu aux yeux écarquillés, dont les dents serrées laissent échapper des serpents : ce motif d'origine antique pourrait représenter la source des eaux infernales, dont le « verrou » sera rompu lors du Jugement dernier, à la fin des temps. La peinture située dans la conque absidale est d'ailleurs une allusion au Jugement. On y voit le Christ entouré de deux personnifications en attitude d'intercession, dont Misericordia : elle est, avec Pax, Justifia et Veritas, une des quatre vertus présentes lors du Jugement dernier. Sur le fond de l'absidiole apparaissent des couronnes : elles seront distribuées aux justes en signe de récompense et de vie éternelle. L'allusion au Jugement et à l'enfer est la vision qui s'offre au moine lorsqu'il gagnait l'église en franchissant la porte sud du transept. S'avançant vers le choeur où il rejoignait les stalles, le moine pouvait presque aussitôt, grâce au système ingénieux d'ouvertures que nous avons mentionné plus haut, contempler les peintures situées sur le plafond de la chapelle haute, soit le Christ en attitude d'accueil, les anges et peut-être la Jérusalem céleste ; de là jaillissaient les chants des moines. De façon symbolique, ils se rapprochaient ainsi de leurs modèles, les anges. Dans ce parcours symbolique qui le conduisait de la mer maléfique, représentée dans la chapelle Saint¬Theudère, à Dieu et aux anges, les moines pouvaient compter sur les prières des intercesseurs, de la Vierge, des anges et des saints, tous représentés dans la chapelle haute. A Saint-Chef, l'espace nord peut-être assimilé, pour plusieurs aspects, aux Westwerke carolingiens ou aux galilées clunisiennes. Les massifs occidentaux étaient en effet le lieu de commémoration de l'histoire du salut : sites Westwerke étaient surtout le lieu de la liturgie pascale et abritaient les fonts baptismaux, les galilées clunisiennes étaient réservées à la liturgie des morts, les moines cherchant, par leurs prières, à gagner le salut des défunts. A l'entrée des galilées comme à Saint-Chef, l'image du Christ annonçait le face à face auquel les élus auront droit, à la fin des temps. Elevée au Xe siècle et vraisemblablement transformée dans les années 1060-1080, l'église de Saint-Chef reflète, par son évolution architecturale, celle des pratiques liturgiques ; son programme iconographique, qui unit trois espaces distincts de l'église, traduit d'une manière parfois originale les préoccupations et les aspirations d'une communauté monastique du XIe siècle. On soulignera toutefois que notre compréhension des peintures est limitée par la perte du décor qui, sans doute, ornait l'abside et d'autres parties de l'église ; la disparition de la crypte du choeur nuit aussi à l'appréhension de l'organisation liturgique sur cette partie de l'édifice. Seules des fouilles archéologiques ou la découverte de nouvelles peintures pourront peut-être, à l'avenir, enrichir l'état de nos connaissances.

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Resistant varieties have been the preferred means to control Magnaporthe grisea, the causal organism of the rice blast disease. The objective of this study was to examine the degree of diversity of the pathogen in different rice growing regions of São Paulo State, Brazil. Blast samples collected from rice varieties in three different regions (Tremembé, Mococa and José Bonifácio) were analyzed for race structure employing the Japanese rice differentials. The highest degree of virulence diversity was observed in Tremembé with 22 different races in three different varieties. Furthermore, no resistance gene in the Japanese differentials was effective to all isolates of M. grisea from São Paulo State.

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Assessing the total energy expenditure (TEE) and the levels of physical activity in free-living conditions with non-invasive techniques remains a challenge. The purpose of the present study was to investigate the accuracy of a new uniaxial accelerometer for assessing TEE and physical-activity-related energy expenditure (PAEE) over a 24 h period in a respiratory chamber, and to establish activity levels based on the accelerometry ranges corresponding to the operationally defined metabolic equivalent (MET) categories. In study 1, measurement of the 24 h energy expenditure of seventy-nine Japanese subjects (40 (SD 12) years old) was performed in a large respiratory chamber. During the measurements, the subjects wore a uniaxial accelerometer (Lifecorder; Suzuken Co. Ltd, Nagoya, Japan) on their belt. Two moderate walking exercises of 30 min each were performed on a horizontal treadmill. In study 2, ten male subjects walked at six different speeds and ran at three different speeds on a treadmill for 4 min, with the same accelerometer. O2 consumption was measured during the last minute of each stage and was expressed in MET. The measured TEE was 8447 (SD 1337) kJ/d. The accelerometer significantly underestimated TEE and PAEE (91.9 (SD 5.4) and 92.7 (SD 17.8) % chamber value respectively); however, there was a significant correlation between the two values (r 0.928 and 0.564 respectively; P<0.001). There was a strong correlation between the activity levels and the measured MET while walking (r(2) 0.93; P<0.001). Although TEE and PAEE were systematically underestimated during the 24 h period, the accelerometer assessed energy expenditure well during both the exercise period and the non-structured activities. Individual calibration factors may help to improve the accuracy of TEE estimation, but the average calibration factor for the group is probably sufficient for epidemiological research. This method is also important for assessing the diurnal profile of physical activity.

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Aquest treball estudia els personatges femenins de la filmografia de Yasujiro Ozu durant el període d'ocupació nord-americana a l'estat japonès (1945-1953).

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El treball estudia els dos tipus de textos bilingües japonès-anglès (llibres i revistes) que existeixen per a estudiants de japonès. La primera part analitza quatre antologies des de la perspectiva de la paratextualitat i de la teoria funcionalista de Christiane Nord (1997). A continuació, s'estudien les tècniques de traducció, a partir dels desenvolupaments teòrics d'Amparo Hurtado i Lucía Molina (2002), en el conte «The Third Night» de Natsume Sôseki. A la segona part s'investiguen dues revistes d'idiomes mensuals, Nihongo Journal i Hiragana Times. Es tracta d’analitzar la influència del propòsit pedagògic en les traduccions. Se segueix el procediment ja emprat a la primera part, exceptuant l'anàlisi de les tècniques

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The inhibition of ethylene action by 1-methylcyclopropene (1-MCP) extends shelf and storage life of many climacteric fruits. However, 1-MCP appears to have limited effects on stone fruit depending on specie and cultivar. The effects of 1-MCP on ripening and quality of 'Laetitia' plums were determined during ripening at 23ºC following harvest and cold storage. Japanese plums (Prunus salicina, cv. Laetitia) were harvested at mature pre-climacteric stage, cooled to 2ºC within 36 hours of harvest and then treated with 0, 0.05, 0.10, 0.50 or 1.00 muL L-1 of 1-MCP at 1°C for 24 hours. Following treatment, fruits were either held at 23ºC for 16 days or stored at 1ºC for 50 days. Fruits were removed from cold storage at 10-day intervals and allowed to ripe at 23°C for five days. A delay of climacteric respiration and ethylene production by 1-MCP treatment during ripening following harvest and cold storage was associated to a slow rate of fruit softening. 1-MCP treatment also delayed the loss of titratable acidity and changes of flesh and skin color, whereas it had little or no effect on soluble solids content. 1-MCP effects were concentration- and storage duration-dependent and, generally, a saturation fruit response to 1-MCP occurred between 0.5 and 1.0 muL L-1. During ripening, 1-MCP treated fruits attained quality similar to that of controls. Results indicated that 1-MCP treatment may extend shelf life (23ºC) and storage life (1ºC) of 'Laetitia' plums by approximately six and 20 days, respectively.

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El trabajo trata la traducción del manga al castellano (cuestiones lingüísticas, metodológicas y técnicas): las características principales del japonés, el proceso de traducción, los métodos y las opciones de adaptación empleados por las editoriales españolas, y la compatibilidad de escritura en equipos españoles. Finalmente, incluye un ejemplo real de traducción.

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Garlic viruses often occur in mixed infections under field conditions. In this study, garlic samples collected in three geographical areas of Brazil were tested by Dot-ELISA for the detection of allexiviruses using monoclonal specific antibodies to detect Garlic virus A (GarV-A), Garlic virus B (GarV-B), Garlic virus C (GarV-C) and a polyclonal antiserum able to detect the three virus species mentioned plus Garlic virus D (GarV-D). The detected viruses were biologically isolated by successive passages through Chenopodium quinoa. Reverse Transcriptase Polimerase Chain Reaction (RT-PCR) was performed using primers designed from specific regions of the coat protein genes of Japanese allexiviruses available in the Genetic Bank of National Center of Biotechnology Information (NCBI). By these procedures, individual garlic virus genomes were isolated and sequenced. The nucleotide and amino acid sequence analysis and the one with serological data revealed the presence of three distinct allexiviruses GarV-C, GarV-D and a recently described allexivirus, named Garlic mite-borne filamentous virus (GarMbFV), in Brazil.

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Although p53-gene mutations occur with significant frequency in diffuse low-grade and high-grade astrocytomas, and are postulated to play an important role in tumorigenesis in these cases, the role of the p53 gene in pilocytic astrocytomas remains unclear. Published data using DNA-based assays for p53-gene analysis in these tumors have shown contradictory results in mutation frequency (0-14%). It is not known whether these heterogeneous results stem from the biological diversity of this tumor group or from technical problems. To re-evaluate p53-gene status in pilocytic tumors, we analyzed 18 tumors chosen to represent the clinical and biological heterogeneity of this tumor type with respect to anatomical location, patient age, gender, ethnic origin (Caucasian or Japanese) and the concomitant occurrence of neurofibromatosis type 1 (NF1). All primary tumors were histologically diagnosed as pilocytic astrocytoma (WHO grade I), except for one anaplastic pilocytic astrocytoma (WHO grade III) which developed in an NF1 patient and recurred as glioblastoma multiforme (WHO grade IV). p53 mutations were detected using an assay in yeast which tests the transcriptional activity of p53 proteins synthesized from tumor mRNA-derived p53-cDNA templates. None of 18 tumors, including 3 NF1-related tumors, showed p53-gene mutations between and including exons 4 and 11. We conclude that p53-gene mutations are extremely rare findings in pilocytic astrocytomas, and are absent even in those exceptional cases in which malignant progression of such tumors has occurred.

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Les régions Nord-Pas-de-Calais, Lorraine, Alsace, Picardie, Champagne-Ardenne et Franche-Comté, de Lille à Strasbourg, ont tissé une relation unique avec les voyageurs, travailleurs, artistes, soldats, réfugiés, rapatriés et " sans-papiers " venus des Suds. Depuis le dernier tiers du XIXe siècle, le Nord-Est est une véritable frontière d'empire : il a reçu plus d'un million de combattants et travailleurs coloniaux lors des trois conflits qui opposèrent la France à l'Allemagne. Parallèlement, des dizaines d'expositions coloniales et ethnographiques contribuent à la formation d'une culture coloniale et accompagnent un premier flux d'originaires des colonies vers la métropole, notamment dans les mines du Nord. Durant tout le XXe siècle, venus des quatre coins de l'empire et du monde, recrutés et dockers chinois, soldats et étudiants d'Afrique noire, combattants, travailleurs et militants du Maghreb, migrants et ouvriers turcs, mobilisés indochinois et rapatriés vietnamiens ou d'Algérie, militants et enfants des deuxième et troisième générations, passent ou se fixent dans ces régions... Ce livre raconte leurs parcours et s'attache également au regard posé sur ces centaines de milliers de migrants, aujourd'hui composante importante de la société locale. A travers des images exceptionnelles et inédites, c'est l'histoire " aux confins d'un empire " qui se révèle ici. Histoire longue, complexe et étonnante, toujours en mouvement, constitutive en partie des mémoires et des identités locales.

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Protein electrophoresis was used to assess the phylogenetic relationships of populations of the phenotypically variable Asian house shrew Suncus murinus. These populations represent a sample of both commensal and wild forms. They were compared to another taxon, S. montanus, which was formerly considered conspecific with S. murinus. Suncus dayi was used as an outgroup in all phylogenetic reconstructions. Within the S. murinus lineage, the allozyme data show very low levels of genetic differentiation among both wild and commensal Southeast Asian and Japanese samples when compared to the Indian populations. This pattern is consistent with the classical hypothesis of a recent introduction by man in Eastern Asia. The higher genetic diversity found within S. murinus from India, as well as previous mitochondrial and karyological results suggest that this area is the probable centre of origin for the species. Although the lack of gene flow between S. murinus and S. montanus is clearly established in an area of sympatry in Southern India, one Asian house shrew sampled in Nepal was more closely related to S. montanus. This could either reflect the retention of an ancestral polymorphism, or result from a hybridization episode between S. murinus and S. montanus. Similar conclusions were also suggested in mitochondrial DNA studies dealing with animals sampled in the Northern parts of the Indian subcontinent. Clearly, further data on Suncus from this area are needed in order to assess these hypotheses. (C) 1995 The Linnean Society of London