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La présente recherche porte sur la cohérence et la cohésion qu'il existe dans l'expression orale d'un jeune dysphasique du premier cycle du secondaire et dans la production écrite effectuée par celui-ci. Compte tenu du problème de langage parlé que présente entre autres la dysphasie, le risque de trouver le même problème est possiblement présent dans la production écrite. Cela a des répercussions au niveau scolaire dans l'expression de ses idées, l'apprentissage de l'écriture, peut-être même dans la compréhension de ce qu'il écoute et lit. Non seulement, cela a-t-il des conséquences dans les résultats académiques, mais aussi dans les relations sociales avec ses pairs et ses enseignants puisqu'il ne saisit pas certains énoncés du langage tels que des jeux de mots ou des métaphores. De plus, il a de la difficulté à exprimer clairement ses idées et ses opinions. Ces obstacles à l'expression orale et celle écrite peuvent éventuellement marginaliser le jeune dysphasique et le démotiver. Des études ont mis en évidence qu'il existe une relation entre le langage parlé et l'apprentissage de l'écriture : si le jeune dysphasique éprouve des difficultés à s'exprimer oralement, il en sera de même dans la production écrite. Toutefois, d'autres études démontrent que l'apprentissage de l'écriture aide à améliorer le langage oral. Toutes ces études ont été effectuées sur de jeunes enfants au niveau préscolaire ou au primaire; elles ont été faites à partir de textes narratifs restitués par des jeunes n'ayant par de problème de langage. Notre recherche, qui est exploratoire et descriptive, concerne des jeunes du premier cycle du secondaire et la collecte de données s'est faite à partir d'un texte courant. Elle visait deux objectifs spécifiques : premièrement, analyser la cohérence et la cohésion dans la restitution orale et celle écrite d'un sujet tout-venant et dans celles d'un jeune dysphasique; et deuxièmement, décrire les relations entre les restitutions des deux sujets. Pour ce faire, la collecte de données s'est déroulée de la manière suivante : nous avons demandé à deux jeunes de deuxième et troisième secondaires, l'un, tout-venant et l'autre, dysphasique, de restituer ce qu'ils se rappelaient de l'écoute d'un texte à dominante descriptive laquelle leur a été faite à tour de rôle. Dans un premier temps, ils devaient rappeler oralement le contenu du texte lu, et dans un deuxième temps, ils devaient écrire ce dont ils se souvenaient du même texte. Une fois les restitutions orales transcrites sous forme de Verbatim, elles ont été, tout comme les restitutions écrites, décrites et comparées entre elles selon les critères suivants : la cohérence (intégration et hiérarchisation et la cohésion (récurrence, coréférence, contiguïté sémantique et connecteurs). Les résultats obtenus montrent d'abord que les restitutions orales et écrites présentent des similitudes quant à la cohérence et la cohésion. Les restitutions écrites sont légèrement plus détaillées, c'est-à-dire quelques idées ont été ajoutées ou précisées. Par exemple, dans la restitution orale, comme dans celle écrite, le sujet tout-venant mentionne que les fourmis d'Argentine pourraient être "dangereuses pour les arbres fruitiers". Dans sa restitution écrite, il ajoute comme informations que ces insectes "aiment le sucre" et qu'elles "vont dans les maisons". Les observations montrent aussi une différence entre les restitutions du jeune toutvenant et celles du jeune dysphasique. Ce dernier rappelle les informations du texte de façon cohérente et presque complète alors que le sujet tout-venant ne restitue que les informations de la première partie, et ce, de la façon la plus simple, soit par l'énumération sans connecteurs autres que ceux de l'énumération. Par contre, le sujet tout-venant maîtrise les procédés cohésifs mieux que le sujet dysphasique. Quant à ce dernier, il semble mieux réussir à l'écrit qu'à l'oral. La compréhension des informations de façon globale et, peut-être, le type de texte influencent les résultats dans le rappel des informations. Le sujet dysphasique peut restituer les idées, et ce, de façon structurée s'il saisit bien l'idée globale du texte qu'il lui a été lu, mais la microstructure est moins maîtrisée, sauf l'utilisation des connecteurs qui a probablement un lien plus étroit - que les autres procédés cohésifs - avec la cohérence et la compréhension des idées. Donc, à partir de l'analyse des restitutions orale et écrite, il semble que le trouble de langage aurait des répercussions au niveau des procédés de la cohésion, sauf dans le cas des connecteurs. L'utilisation de ceux-ci et les procédés de cohérence sont maîtrisés par le jeune dysphasique qui a compris le contenu du texte qui lui a été lu.
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L’objectif général de cet essai est de proposer des solutions qui facilitent la réduction du gaspillage alimentaire dans l’industrie agroalimentaire au Québec. Le gaspillage alimentaire se produit à toutes les étapes de la chaîne agroalimentaire. Les pertes économiques sont énormes. Chaque jour, des tonnes de denrées comestibles sont jetées, alors que plusieurs personnes ne mangent pas à leur faim. Le gaspillage alimentaire provoque une importante utilisation inutile de ressources naturelles et une grande pollution environnementale. L’analyse de la problématique du gaspillage alimentaire a permis de constater que ce phénomène est peu étudié au Québec. Le gouvernement québécois n’est pas assez impliqué dans la lutte au gaspillage alimentaire. Les actions gouvernementales prévues ont été retardées. Des solutions étrangères de réductions des pertes alimentaires ont été analysées pour déterminer leur pertinence pour le Québec. La belle province fait piètre figure si elle est comparée à certains États et à son homologue canadien la Nouvelle-Écosse. Les conclusions de l’essai montrent qu’une réduction efficace du gaspillage alimentaire au Québec passe par la mise en place d’actions concrètes dans les secteurs public et privé. Dans l’industrie agroalimentaire, les critères esthétiques pour les aliments et la mise au rebut des produits moins frais sont les axes d’intervention à privilégier. Dans le domaine public, la législation est le moyen priorisé pour l’atteinte des objectifs québécois en matière de détournement des résidus organiques. Les initiatives proposées à l’industrie agroalimentaire sont des options très intéressantes, car elles deviennent rapidement profitables. Il est conseillé au ministère du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques d’aller de l’avant avec son projet de loi interdisant l’enfouissement des résidus putrescibles. Revenu Québec devrait changer la réglementation pour rendre le don alimentaire plus profitable pour les entreprises. La modification des champs d’application du double système de datation canadien par Santé Canada faciliterait l’interprétation de la date de péremption.
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Tese de mestrado, Ciências da Educação (Avaliação em Educação), Universidade de Lisboa, Instituto de Educação, 2010
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Relatório da prática de ensino supervisionada, Mestrado em Ensino da Matemática, Universidade de Lisboa, 2010
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L’agrobiodiversité est le résultat de la domestication, de l’amélioration des caractères génétiques, de la conservation et de l’échange des semences par les agriculteurs depuis la première révolution agricole, il y a près de 10 000 ans. Toutefois, cette diversification agricole s’amenuise, s’érode. Cette érosion touche désormais les espèces végétales majeures. Plusieurs variétés de plantes cultivées sont abandonnées au profit de variétés artificialisées et uniformisées. Suivant une logique plus économique, les ressources génétiques végétales ou phytogénétiques, d’abord qualifiées de patrimoine commun de l’humanité, deviennent rapidement des biens prisés par l’industrie biotechnologique confortant les pays riches en biodiversité, mais économiquement faibles, à subordonner cette richesse au principe de la souveraineté permanente sur les ressources naturelles. Ce principe à la base du droit international a permis aux États hôtes de contrôler l’accès aux ressources biologiques sur leur territoire, mettant ainsi fin au pillage de celles-ci, mais également au libre accès pour tous à la ressource. À l’évidence, la nature hybride des ressources phytogénétiques enclenche un processus complexe d’exclusivismes et de prérogatives. D’une part, ces ressources composent la base de notre alimentation et à ce titre elles intéressent l’humanité entière, d’autre part, elles sont la matière première utilisée par les oligopoles semenciers, une double vocation qui suscite un partage antagonique à plusieurs égards. Cette thèse analyse les perspectives offertes par le droit international public afin de réconcilier ces positions au bénéfice de la sécurité alimentaire mondiale durable, et s’interroge sur le meilleur cadre juridique que le droit international puisse attribuer aux ressources phytogénétiques afin d’améliorer la circulation et la disponibilité des denrées agricoles et alimentaires. À cet effet, l’entrée en vigueur du Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture va créer une sorte de système compromissoire conciliant dans un même souffle, l’intérêt général et l’appropriation privative au profit de la sécurité alimentaire mondiale durable : le Système multilatéral d’accès et de partage des avantages. Un dispositif ad hoc exceptionnel qui facilite l’accès à une partie négociée de ces ressources ainsi que le partage juste et équitable des avantages qui découlent de leur utilisation entre tous les usagers. Le Système multilatéral est la clé de voûte du Traité. Par le truchement de ce système, le Traité matérialise un ordre juridique raffiné et complexe qui opère une récursivité des ressources phytogénétiques vers le domaine public international, et par incidence, invite à considérer ces ressources comme des biens communs libres d’accès pour la recherche, l’amélioration et le réensemencement. Outre cette requalification, ce système ouvrira la voie à une nouvelle forme de gestion fiduciaire octroyant des droits et impliquant des responsabilités à l’égard d’un groupe d’usagers particuliers.
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Relatório da Prática de Ensino Supervisionada, Mestrado em Ensino de História e de Geografia no 3º Ciclo do Ensino Básico e Ensino Secundário, Universidade de Lisboa, 2011
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Tese de doutoramento, História (História Medieval), Universidade de Lisboa, Faculdade de Letras, 2014
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Wetland socio-ecological systems provide livelihood benefits for many poor people throughout the developing world, yet their sustainable development requires local utilisation strategies that balance both environmental and development outcomes. Community-based local institutional arrangements that mediate peoples’ relationships with their environment and facilitate adaptive co-management offer one means of achieving this, and increasingly many NGOs and development practitioners have sought to integrate local institutional capacity-building into development projects. In the context of wider academic debates surrounding the long-term sustainability of externally-facilitated local institutions, this paper draws on the experiences of the three-year Striking a Balance (SAB) project in Malawi which sought to embed sustainable wetland management practices within community-based local institutional arrangements. Drawing on field data collected through participatory methods at three project sites some five years after the cessation of project activities, we examine the extent to which SAB’s local institutional capacity-building has been successful, and from this draw some lessons for externally-driven project interventions which seek win-win outcomes for people and the environment. With reference to Elinor Ostrom’s design principles for long-enduring common property resource institutions, we suggest that the observed declining effectiveness of SAB’s local institutions can be attributed to issues of stakeholder inclusiveness and representations; their sustainability was arguably compromised from their inception on account of them being nested within pre-existing, externally-driven village ‘clubs’ whose membership and decision-making was not congruent with all the wetland stakeholders within the community.
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This study explores the extent to which work and organizational (W&O) psychology practitioners use evidence, how they apply it to the everyday contexts in which they work and the types of barriers they encounter in so doing. It adopts a mixed methods approach involving the administration of a survey to a UK sample (N=163) of W&O psychologists and a series of semi-structured interviews (N=25) exploring in greater depth how evidence is applied in practice. Findings reveal that practitioners consult a wide range of different types of evidence which they employ at various stages of engagement with client organisations and that this evidence is pressed into service in the pursuit of solutions which are both acceptable from the client perspective and consistent with the scientific standards underpinning professional knowledge and expertise in W&O psychology. Barriers to evidence-use were mainly practical in nature, concerning issues around managing the client-consultant relationship and the particularities of implementation context, both of which were shown to influence evidence utilisation. The study contributes to current debate on the extent to which W&O psychologists adopt an evidence-based approach and provides a valuable and much called-for empirical insight into the enactment of the scientist-practitioner model in W&O psychology
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Several approaches can be used to analyse performance, energy consumption and CO2 emissions in freight transport. In this paper we define and apply a vehicle-oriented, bottom up survey approach, the so called ‘vehicle approach’, in contrast to a ‘supply chain approach’. The main objective of the approach is to assess the impacts of various freight transport operations on efficiency and energy use. We apply the approach, comparing official statistics on freight transport and energy efficiency in Britain and France. Results on freight intensity, vehicle utilisation, fuel use, fuel efficiency and CO2 intensity are compared for the two countries. The results indicate comparable levels of operational and fuel efficiency in road freight transport operations in the two countries. Issues that can be addressed with the vehicle approach include: the impacts of technology innovations and logistics decisions implemented in freight companies, and the quantification of the effect of policy measures on fuel use at the national level.
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Report produced as part of the Green Logistics project (EPSRC and Department for Transport funded). Light goods vehicles play a key role in providing goods and services to businesses and other organisations in Britain. In order to better understand the relationship between costs and benefits of LGV operations it is necessary to gain a more detailed appreciation of the roles that these vehicles are fulfilling. This report aims to provide a better understanding of this sector by examining LGV fleet and operations in terms of their characteristics, utilisation and efficiency and purpose. Important potential external impacts of LGVs are also considered.
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The review illustrates the importance of road movements in goods distribution in urban areas. It highlights the major economic, environmental and social impacts associated with this freight activity and reviews policy options available to those responsible for regulation. A wide range of possible solutions to problems posed by urban freight operations are also covered including approaches related to: consolidation, facilities, vehicle design, information capture and utilisation, and non-road modes.
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Recently, the development of highly inspired biomaterials with multi-functional characteristics has gained considerable attention, especially in biomedical, and other health-related areas of the modern world. It is well-known that the lack of antibacterial potential has significantly limited biomaterials for many challenging applications such as infection free wound healing and/or tissue engineering etc. In this perspective, herein, a series of novel bio-composites with natural phenols as functional entities and keratin-EC as a base material were synthesised by laccase-assisted grafting. Subsequently, the resulting composites were removed from their respective casting surfaces, critically evaluated for their antibacterial and biocompatibility features and information is also given on their soil burial degradation profile. In-situ synthesised phenol-g-keratin-EC bio-composites possess strong anti-bacterial activity against Gram-positive and Gram-negative bacterial strains i.e., B. subtilis NCTC 3610, P. aeruginosa NCTC 10662, E. coli NTCT 10418 and S. aureus NCTC 6571. More specifically, 10HBA-g-keratin-EC and 20T-g-keratin-EC composites were 100% resistant to colonisation against all of the aforementioned bacterial strains, whereas, 15CA-g-keratin-EC and 15GA-g-keratin-EC showed almost negligible colonisation up to a variable extent. Moreover, at various phenolic concentrations used, the newly synthesised composites remained cytocompatible with human keratinocyte-like HaCaT, as an obvious cell ingrowth tendency was observed and indicated by the neutral red dye uptake assay. From the degradation point of view, an increase in the degradation rate was recorded during their soil burial analyses. Our investigations could encourage greater utilisation of natural materials to develop bio-composites with novel and sophisticated characteristics for potential applications.
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Preemptions account for a non-negligible overhead during system execution. There has been substantial amount of research on estimating the delay incurred due to the loss of working sets in the processor state (caches, registers, TLBs) and some on avoiding preemptions, or limiting the preemption cost. We present an algorithm to reduce preemptions by further delaying the start of execution of high priority tasks in fixed priority scheduling. Our approaches take advantage of the floating non-preemptive regions model and exploit the fact that, during the schedule, the relative task phasing will differ from the worst-case scenario in terms of admissible preemption deferral. Furthermore, approximations to reduce the complexity of the proposed approach are presented. Substantial set of experiments demonstrate that the approach and approximations improve over existing work, in particular for the case of high utilisation systems, where savings of up to 22% on the number of preemption are attained.
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Consider the problem of designing an algorithm with a high utilisation bound for scheduling sporadic tasks with implicit deadlines on identical processors. A task is characterised by its minimum interarrival time and its execution time. Task preemption and migration is permitted. Still, low preemption and migration counts are desirable. We formulate an algorithm with a utilisation bound no less than 66.¯6%, characterised by worst-case preemption counts comparing favorably against the state-of-the-art.