1000 resultados para rats, adolescence,  alcool, saccharine, système de récompense.


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Abstract - Cannabis: what are the risks ? Cannabinoids from cannabis have a dual use and display often opposite pharmacological properties depending on the circumstances of use and the administered dose. Cannabinoids constitute mainly a recreative or addictive substance, but also a therapeutic drug. They can be either neurotoxic or neuroprotector, carcinogenic or an anti-cancer drug, hyperemetic or antiemetic, pro-inflammatory or anti-inflammatory... Improvement in in-door cultivation techniques and selection of high yield strains have resulted in a steadily increase of THC content. Cannabis is the most frequently prohibited drug used in Switzerland and Western countries. About half of teenagers have already experimented cannabis consumption. About 10% of cannabis users smoke it daily and can be considered as cannabis-dependant. About one third of these cannabis smokers are chronically intoxicated. THC, the main psychoactive drug interacts with the endocannnabinoid system which is made of cellular receptors, endogenous ligands and a complex intra-cellular biosynthetic, degradation and intra-cellular messengers machinery. The endocannabinoid system plays a major role in the fine tuning of the nervous system. It is thought to be important in memory, motor learning, and synaptic plasticity. At psychoactive dose, THC impairs psychomotor and neurocognitive performances. Learning and memory abilities are diminished. The risk to be responsible of a traffic car accident is slightly increased after administration of cannabis alone and strongly increased after combined use of alcohol and cannabis. With the exception of young children, cannabis intake does not lead to potentially fatal intoxication. However, cannabis exposure can act as trigger for cardiovascular accidents in rare vulnerable people. Young or vulnerable people are more at risk to develop a psychosis at adulthood and/or to become cannabis-dependant. Epidemiological studies have shown that the risk to develop a schizophrenia at adulthood is increased for cannabis smokers, especially for those who are early consumers. Likewise for the risk of depression and suicide attempt. Respiratory disease can be worsen after cannabis smoking. Pregnant and breast-feeding mothers should not take cannabis because THC gets into placenta and concentrates in breast milk. The most sensitive time-period to adverse side-effects of cannabis starts from foetus and extends to adolescence. The reason could be that the endocannabinoid system, the main target of THC, plays a major role in the setup of neuronal networks in the immature brain. The concomitant use of other psychoactive drugs such as alcohol, benzodiazepines or cocaine should be avoided because of possible mutual interactions. Furthermore, it has been demonstrated that a cross-sensitisation exists between most addictive drugs at the level of the brain reward system. Chronic use of cannabis leads to tolerance and withdrawals symptoms in case of cannabis intake interruption. Apart from the aforementioned unwanted side effects, cannabis displays useful and original medicinal properties which are currently under scientific evaluation. At the moment the benefit/risk ratio is not yet well assessed. Several minor phytocannabinoids or synthetic cannabinoids devoid of psychoactive properties could find their way in the modern pharmacopoeia (e.g. ajulemic acid). For therapeutic purposes, special cannabis varieties with unique cannabinoids composition (e.g. a high cannabidiol content) are preferred over those which are currently used for recreative smoking. The administration mode also differs in such a way that inhalation of carcinogenic pyrolytic compounds resulting from cannabis smoking is avoided. This can be achieved by inhaling cannabis vapors at low temperature with a vaporizer device. Résumé Les cannabinoïdes contenus dans la plante de cannabis ont un double usage et possèdent des propriétés opposées suivant les circonstances et les doses employées. Les cannabinoïdes, essentiellement drogue récréative ou d'abus pourraient, pour certains d'entre eux, devenir des médicaments. Selon les conditions d'utilisation, ils peuvent être neurotoxiques ou neuroprotecteurs, carcinogènes ou anticancéreux, hyper-émétiques ou antiémétiques, pro-inflammatoires ou anti-inflammatoires... Les techniques de culture sous serre indoor ainsi que la sélection de variétés de cannabis à fort potentiel de production ont conduit à un accroissement notable des taux de THC. Le cannabis est la drogue illégale la plus fréquemment consommée en Suisse et ailleurs dans le monde occidental. Environ la moitié des jeunes ont déjà expérimenté le cannabis. Environ 10 % des consommateurs le fument quotidiennement et en sont devenus dépendants. Un tiers de ces usagers peut être considéré comme chroniquement intoxiqué. Le THC, la principale substance psychoactive du cannabis, interagit avec le "système endocannabinoïde". Ce système est composé de récepteurs cellulaires, de ligands endogènes et d'un dispositif complexe de synthèse, de dégradation, de régulation et de messagers intra-cellulaires. Le système endocannabinoïde joue un rôle clé dans le réglage fin du système nerveux. Les endocannabinoïdes régulent la mémorisation, l'apprentissage moteur et la plasticité des liaisons nerveuses. À dose psychoactive, le THC réduit les performances psychomotrices et neurocognitives. Les facultés d'apprentissage et de mémorisation sont diminuées. Le risque d'être responsable d'un accident de circulation est augmenté après prise de cannabis, et ceci d'autant plus que de l'alcool aura été consommé parallèlement. À l'exception des jeunes enfants, la consommation de cannabis n'entraîne pas de risque potentiel d'intoxication mortelle. Toutefois, le cannabis pourrait agir comme facteur déclenchant d'accident cardiovasculaire chez de rares individus prédisposés. Les individus jeunes, et/ou vulnérables ont un risque significativement plus élevé de développer une psychose à l'âge adulte ou de devenir dépendant au cannabis. Des études épidémiologiques ont montré que le risque de développer une schizophrénie à l'âge adulte était augmenté pour les consommateurs de cannabis et ceci d'autant plus que l'âge de début de consommation était précoce. Il en va de même pour le risque de dépression. Les troubles respiratoires pourraient être exacerbés par la prise de cannabis. Les femmes enceintes et celles qui allaitent ne devraient pas consommer de cannabis car le THC traverse la barrière hémato-placentaire, en outre, il se concentre dans le lait maternel. La période de la vie la plus sensible aux effets néfastes du cannabis correspond à celle allant du foetus à l'adolescent. Le système endocannabinoïde sur lequel agit le THC serait en effet un acteur majeur orchestrant le développement des réseaux neuronaux dans le cerveau immature. La prise concomitante d'autres psychotropes comme l'alcool, les benzodiazépines ou la cocaïne conduit à des renforcements mutuels de leurs effets délétères. De plus, il a été montré l'existence d'une sensibilité croisée pour la majorité des psychotropes qui agissent sur le système de la récompense, le cannabis y compris, ce qui augmente ainsi le risque de pharmacodépendance. La prise régulière de doses élevées de cannabis entraîne l'apparition d'une tolérance et de symptômes de sevrage discrets à l'arrêt de la consommation. À part les effets négatifs mentionnés auparavant, le cannabis possède des propriétés médicales originales qui sont l'objet d'études attentives. Plusieurs cannabinoïdes mineurs naturels ou synthétiques, comme l'acide ajulémique, pourraient trouver un jour une place dans la pharmacopée. En usage thérapeutique, des variétés particulières de cannabis sont préférées, par exemple celles riches en cannabidiol non psychoactif. Le mode d'administration diffère de celui utilisé en mode récréatif. Par exemple, la vaporisation des cannabinoïdes à basse température est préférée à l'inhalation du "joint".

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Rats with periodontitis and catheter-induced aortic valve vegetations underwent dental extractions. Cultures of blood obtained 1 min later showed polymicrobial bacteremia in 19 of 19 rats, mostly due to viridans streptococci (18 of 19), Morganella (15 of 19), group G streptococci (13 of 19), and Staphylococcus aureus (10 of 19). Viridans streptococci circulated in higher numbers than did group G streptococci and S. aureus (P less than .01). Three days after dental extractions, 18 of 20 rats had endocarditis. Fifteen (83%) of 18 infections were due to group G streptococci, 9 (50%) of 18 were due to S. aureus, and 2 (11%) of 18 were due to viridans streptococci (P less than .05). In vitro, adherence to platelet-fibrin matrices of endocarditis strain 8 of group G streptococcus was two times greater than that of endocarditis strain S. aureus 23 and three to four times greater than that of Streptococcus sanguis 44 and Morganella morganii 93 (P less than 10(-5)). The inoculum size that produced endocarditis in 90% of rats after iv challenge was 10(5) cfu for group G streptococcus strain 8 and 10(7) for S. sanguis 44.

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Recent progress in neuroscience has yielded major findings regarding brain maturation during adolescence. Unlike the body, which reaches adult size and morphology during this period, the adolescent brain is still maturing. The prefrontal cortex appears to be an important locus of maturational change subserving executive functions that may regulate emotional and motivational issues. The recent expansion of the adolescent period has increased the lag between the onset of emotional and motivational changes activated by puberty and the completion of cognitive development-the maturation of self-regulatory capacities and skills that are continuing to develop long after puberty has occurred. This "disconnect" predicts risk for a broad set of behavioral and emotional problems. Adolescence is a critical period for high-level cognitive functions such as socialization that rely on maturation of the prefrontal cortex. Intervention during the period of adolescent brain development provides opportunities and requires an interdisciplinary approach.

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Cette recherche sur les jeux d'argent et de hasard au sein de la population des jeunes résidents Suisses avait trois objectifs. Pour avoir des données de base, nous nous sommes d'une part intéressés à la prévalence de ce comportement et, basé sur des critères de fréquence, avons mis en évidence une population plus à risque de subir des conséquences néfastes du jeu;à savoir ceux qui jouent au minimum une fois par semaine. Le deuxième objectif était de déterminer s'il existait une association entre la fréquence du jeu et 1) l'utilisation de substances, 2) une mauvaise santé mentale et/ou 3) un faible support social, comme cela a été décrit dans la littérature pour les joueurs pathologiques. Finalement, pour savoir si les joueurs fréquents étaient «fixés» sur un seul type de jeu ou au contraire jouaient de manière non-sélective, nous avons effectué la corrélation entre la fréquence de jeu et le nombre de jeux différents dans lesquels les jeunes étaient impliqués.Pour ces analyses, nous avons utilisé la base de données de l'Enquête Suisse sur la Santé 2007, une étude transversale interrogeant des résidents suisses âgés de 15 ans ou plus. Cette enquête a été menée en deux étapes: 1) un questionnaire téléphonique (taux de réponse: 66.3%) puis 2) un questionnaire écrit (taux de réponse: 80.5% de ceux qui ont répondu à l'interview téléphonique). En tenant compte de la pondération pour l'échantillon de participants ayant répondu aux deux types d'interviews, nous avons considéré uniquement les personnes âgées de 15 à 24 ans. Au total 1116 (582 hommes) participants ont été retenus pour notre étude.Pour répondre au second objectif, nous avons comparé trois groupes. Les non-joueurs (NJ, n=577), les joueurs occasionnels (JO, n=388) et les joueurs fréquents (JF, n=151) ont été étudiés d'abord grâce à des analyses bivariées, puis à une régression multinomiale permettant de tenir compte des facteurs confondants. La sélection des variables pour la régression a été basée sur une méthode «bootstrap» permettant de produire des résultats représentatifs de la population entière et pas uniquement de l'échantillon analysé.Nous avons procédé de manière similaire pour répondre à la troisième question de recherche, mais en comparant uniquement les joueurs occasionnels et les joueurs fréquents.Les résultats ont mis en évidence que 48.3% des jeunes résidents suisses étaient impliqués dans au moins un type de jeu dans l'année précédente. Par ailleurs, 13.5% (n=151) des 15 à 24 ans jouaient au minimum une fois par semaine.Au niveau bivarié, la fréquence de jeu était associée à des facteurs sociodémographiques comme le sexe masculin, l'âge (les JO étant les plus âgés), et le revenu personnel. La fréquence de jeu était également significativement associée au fait de fumer du tabac quotidiennement, d'être actuellement fumeur de cannabis et d'avoir une consommation d'alcool à risque (beuveries). La mauvaise santé mentale (épisode de dépression majeure ou détresse psychologique) et le faible support relationnel (personne de confiance dans l'entourage ou activités de loisirs) n'étaient pas associés à la fréquence de jeu de manière significative, bien qu'une nette tendance en faveur des NJ ait pu être mise en évidence. Au niveau multivarié, les JO et JF étaient plus âgés, plus souvent de sexe masculin et habitaient plus souvent en Suisse romande que les NJ. Les JO étaient plus à risque que les NJ de se soumettre à des beuveries de manière occasionnelle et les JF étaient plus à risque que les NJ d'être des fumeurs de tabac quotidiens.En comparant les JO et les JF, nous avons obtenu une correlation élevée (r=0.85;p<0.0001) entre la fréquence de jeu et le nombre de jeux dans lesquels les jeunes étaient impliqués. Ceci indiquant que les JF ne semblent pas très sélectifs quant au type de jeu auquel ils jouent.Dans la mesure où le jeu est un comportement très prévalent au sein de la population des jeunes résidents suisses, il doit probablement être vu comme une conduite faisant partie des comportements exploratoires de l'adolescence. Néanmoins, au vu des comportements à risque qui y sont associés, la question du jeu devrait être soulevée par les médecins s'occupant de jeunes adultes à des fins de prévention.

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De la naissance à la mort, les existences individuelles suivent des cheminements qui, loin d'être déterminés par la seule volonté ou le hasard, s'inscrivent dans des causalités sociales et psychologiques fortes. Les auteurs, psychologues et sociologues, se fondant sur de vastes enquêtes réalisées en Suisse, aux États-Unis et en Allemagne, apportent un éclairage original sur les «parcours de vie». De l'adolescence au grand âge, cet ouvrage analyse les étapes et les transitions marquant ces trajectoires, en soulignant les défis propres à chacune et les stratégies d'adaptation déployées par les individus. Si ces trajectoires sont marquées par des contraintes biologiques et le contexte historique, elles le sont tout autant par l'horloge sociale qui, tant du point de vue familial que professionnel, rappelle à chacun son heure. De cette combinaison d'influences se dégagent, dans toute leur complexité, les «parcours de vie» caractéristiques du temps présent.

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OBJECTIVES: This study aimed to identify the genetic defect in a family with idiopathic ventricular fibrillation (IVF) manifesting in childhood and adolescence. BACKGROUND: Although sudden cardiac death in the young is rare, it frequently presents as the first clinical manifestation of an underlying inherited arrhythmia syndrome. Gene discovery for IVF is important as it enables the identification of individuals at risk, because except for arrhythmia, IVF does not manifest with identifiable clinical abnormalities. METHODS: Exome sequencing was carried out on 2 family members who were both successfully resuscitated from a cardiac arrest. RESULTS: We characterized a family presenting with a history of ventricular fibrillation (VF) and sudden death without electrocardiographic or echocardiographic abnormalities at rest. Two siblings died suddenly at the ages of 9 and 10 years, and another 2 were resuscitated from out-of-hospital cardiac arrest with documented VF at ages 10 and 16 years, respectively. Exome sequencing identified a missense mutation affecting a highly conserved residue (p.F90L) in the CALM1 gene encoding calmodulin. This mutation was also carried by 1 of the siblings who died suddenly, from whom DNA was available. The mutation was present in the mother and in another sibling, both asymptomatic but displaying a marginally prolonged QT interval during exercise. CONCLUSIONS: We identified a mutation in CALM1 underlying IVF manifesting in childhood and adolescence. The causality of the mutation is supported by previous studies demonstrating that F90 mediates the direct interaction of CaM with target peptides. Our approach highlights the utility of exome sequencing in uncovering the genetic defect even in families with a small number of affected individuals.

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A nonhypotensive dose of endotoxin was administered to normal conscious rats to evaluate the vascular and humoral effects of endotoxemia per se. Mean blood pressure and heart rate remained stable during the 45 min infusion of Escherichia coli endotoxin (0.01 mg/min). However, a marked increase in plasma renin activity (4.2 +/- 0.48 vs. 30.2 +/- 6 ng.ml-1.h-1, mean +/- SE, P less than 0.01), plasma epinephrine (0.112 +/- 0.04 vs. 1.71 +/- 0.5 ng/ml, P less than 0.01), and plasma norepinephrine (0.269 +/- 0.028 vs. 1.3 +/- 0.2 ng/ml, P less than 0.001) was observed during infusion in endotoxin-treated rats when compared with the vehicle-treated animals. In addition, the blood pressure response to exogenous norepinephrine was significantly reduced during nonhypotensive endotoxemia. Significant changes in regional blood flow distribution, as assessed by radiolabeled microspheres, were observed in endotoxemic rats; in particular a decrease in renal blood flow (7.39 +/- 0.43 vs. 5.97 +/- 0.4 ml.min-1.g-1, P less than 0.05) and an increase in coronary blood flow (5.01 +/- 0.38 vs. 6.44 +/- 0.33 ml.min-1.g-1, P less than 0.01) were found. The role of prostaglandins in the vascular and humoral alterations induced by nonhypotensive endotoxemia was also examined. Pretreatment with indomethacin (5 mg) prevented the increase in plasma renin activity as well as plasma catecholamine levels. On the contrary, the decreased vascular reactivity and the reduction in renal blood flow observed during endotoxemia were not affected by prostaglandin synthesis inhibition. Thus significant vascular and humoral changes have been found during endotoxemia even in absence of hypotension.(ABSTRACT TRUNCATED AT 250 WORDS)

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Many individuals with unhealthy alcohol use have few or no contact with the health care system and are therefore unlikely to receive information or a brief intervention from a health care professional. Consequently, many Internet-based interventions have been developed. These interventions can reach a large population. We present in this report www.alcooquizz.ch, a website providing tailored feedback and information on alcohol use and its consequences. In six months and a half, more than 15000 individuals visited the website. It appropriately targets individuals with unhealthy alcohol use and users' satisfaction was high. Internet is a valuable option to provide health related information and secondary prevention interventions for unhealthy alcohol use.

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Aquaporin 9 facilitates the diffusion of water but also glycerol and monocarboxylates, known as brain energy substrates. AQP9 was recently observed in catecholaminergic neurons that are implicated in energy homeostasis and also possibly in neuroendocrine effects of diabetes. Recently it has been observed that the level of AQP9 expression in hepatocytes is sensitive to the blood concentration of insulin. Furthermore, insulin injection in the brain is known to be related to the energy homeostasis. Based on these observations, we investigated if the concentration of insulin affects the level of brain AQP9 expression and if so, in which cell types. This study has been carried out, in a model of the diabetic rat generated by streptozotocin injection and on brainstem slices. In diabetic rats showing a decrease in systemic insulin concentration, AQP9 is only increased in brain areas containing catecholaminergic neurons. In contrast, no significant change is detected in the cerebral cortex and the cerebellum. Using immunocytochemistry, we are able to show that the increase in AQP9 expression is specifically present in catecholaminergic neurons. In brainstem slice cultures, 2 microM insulin induces a significant decrease in AQP9 protein levels 6 h after application, suggesting that brain AQP9 is also regulated by the insulin. These results show that the level of expression of brain AQP9 is affected by variations of the concentration of insulin in a diabetic model and in vitro.

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Objective: To examine whether drawing is useful in the detection of problems of psychosocial adaptation in children and adolescents with type 1 diabetes (T1D) and in improving communication with health professionals. Methods: We performed an exploratory descriptive study in 199 children and adolescents with T1D aged 413 years. The participants were asked to render a drawing on a suggested topic. The variables analyzed were related to the drawing and to clinical and sociodemographic data. Results: Most participants showed evidence of having a well-balanced personality, but there were also signs of affective or psychosocial difficulties. Conclusion: Drawing is a useful technique by which to identify children"s and adolescents" feelings and possible problems in adapting to T1D, as well as to gain information directly from the children themselves. Future studies should delimit the possibilities of this technique in clinical practice in greater detail.