871 resultados para Dose-response
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OBJECTIVE: To compare the acute and sustained renal hemodynamic effects on hypertensive patients of 100 mg irbesartan and 20 mg enalapril each once daily. PATIENTS: Twenty patients (aged 35-70 years) with uncomplicated, mild-to-moderate essential hypertension and normal serum creatinine levels completed this study. STUDY DESIGN: After random allocation to treatment (n=10 per group), administration schedule (morning or evening) was determined by further random allocation, with crossover of schedules after 6 weeks' therapy. Treatment and administration assignments were double-blind. Twenty-four-hour ambulatory blood pressure was monitored before and after 6 and 12 weeks of therapy. Renal hemodynamics were determined on the first day of drug administration and 12 and 24 h after the last dose during chronic treatment. RESULTS: Administration of each antihypertensive agent induced a renal vasodilatation with no significant change in glomerular filtration rate. However, the time course appeared to differ: irbesartan had no significant acute effect 4 h after the first dose, but during chronic administration a renal vasodilatory response was found 12 and 24 h after the dose; enalapril was effective acutely and 12 h after administration, but no residual effect was found 24 h after the dose. Both antihypertensive agents lowered mean ambulatory blood pressure effectively, with no significant difference between treatments or between administration schedules (morning versus evening). CONCLUSIONS: Irbesartan and enalapril have comparable effects on blood pressure and renal hemodynamics in hypertensive patients with normal renal functioning. However, the time profiles of the renal effects appear to differ, which might be important for long-term renoprotective effects.
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Mitochondrial reactive oxygen species generation has been implicated in the pathophysiology of ischemia-reperfusion (I/R) injury; however, its exact role and its spatial-temporal relationship with inflammation are elusive. Herein we explore the spatial-temporal relationship of oxidative/nitrative stress and inflammatory response during the course of hepatic I/R and the possible therapeutic potential of mitochondrial-targeted antioxidants, using a mouse model of segmental hepatic ischemia-reperfusion injury. Hepatic I/R was characterized by early (at 2h of reperfusion) mitochondrial injury, decreased complex I activity, increased oxidant generation in the liver or liver mitochondria, and profound hepatocellular injury/dysfunction with acute proinflammatory response (TNF-α, MIP-1α/CCL3, MIP-2/CXCL2) without inflammatory cell infiltration, followed by marked neutrophil infiltration and a more pronounced secondary wave of oxidative/nitrative stress in the liver (starting from 6h of reperfusion and peaking at 24h). Mitochondrially targeted antioxidants, MitoQ or Mito-CP, dose-dependently attenuated I/R-induced liver dysfunction, the early and delayed oxidative and nitrative stress response (HNE/carbonyl adducts, malondialdehyde, 8-OHdG, and 3-nitrotyrosine formation), and mitochondrial and histopathological injury/dysfunction, as well as delayed inflammatory cell infiltration and cell death. Mitochondrially generated oxidants play a central role in triggering the deleterious cascade of events associated with hepatic I/R, which may be targeted by novel antioxidants for therapeutic advantage.
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We report the characterisation of 27 cardiovascular-related traits in 23 inbred mouse strains. Mice were phenotyped either in response to chronic administration of a single dose of the beta-adrenergic receptor blocker atenolol or under a low and a high dose of the beta-agonist isoproterenol and compared to baseline condition. The robustness of our data is supported by high trait heritabilities (typically H(2)>0.7) and significant correlations of trait values measured in baseline condition with independent multistrain datasets of the Mouse Phenome Database. We then focused on the drug-, dose-, and strain-specific responses to beta-stimulation and beta-blockade of a selection of traits including heart rate, systolic blood pressure, cardiac weight indices, ECG parameters and body weight. Because of the wealth of data accumulated, we applied integrative analyses such as comprehensive bi-clustering to investigate the structure of the response across the different phenotypes, strains and experimental conditions. Information extracted from these analyses is discussed in terms of novelty and biological implications. For example, we observe that traits related to ventricular weight in most strains respond only to the high dose of isoproterenol, while heart rate and atrial weight are already affected by the low dose. Finally, we observe little concordance between strain similarity based on the phenotypes and genotypic relatedness computed from genomic SNP profiles. This indicates that cardiovascular phenotypes are unlikely to segregate according to global phylogeny, but rather be governed by smaller, local differences in the genetic architecture of the various strains.
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Le trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) est un des troubles comportementaux le plus commun chez les enfants. TDAH a une étiologie complexe et des traitements efficaces. Le médicament le plus prescrit est le méthylphénidate, un psychostimulant qui bloque le transporteur de la dopamine et augmente la disponibilité de la dopamine dans la fente synaptique. Des études précliniques et cliniques suggèrent que le cortisol peut potentialiser les effets de la dopamine. Un dysfonctionnement du système hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS) est associé avec plusieurs maladies psychiatriques comme la dépression, le trouble bipolaire, et l’anxiété. Nous avons fait l’hypothèse que le cortisol influence l’efficacité du traitement des symptômes du TDAH par le méthylphénidate. L’objectif de cette étude est de mesurer les niveaux de cortisol le matin au réveil et en réponse à une prise de sang dans un échantillon d’enfants diagnostiqué avec TDAH âgé de 8 ans. Le groupe était randomisé dans un protocole en chassé croisé et en double aveugle avec trois doses de méthylphénidate et un placebo pour une période de quatre semaines. Les enseignants et les parents ont répondu aux questionnaires SWAN et à une échelle d’évaluation des effets secondaires. Les résultats ont démontrés qu’un niveau de cortisol élevé au réveil prédit les sujets qui ne répondent pas au traitement du TDAH, si on se fie aux rapports des parents. En plus, la réactivité au stress élevé suggère un bénéfice additionnel d’une dose élevée de méthylphénidate selon les enseignants. Aussi, les parents rapportent une association entre la présence de troubles anxieux co-morbide avec le TDAH et une meilleure réponse à une dose élevée. Cette étude suggère qu’une forte réactivité de l’axe HHS améliore la réponse clinique à des doses élevées, mais qu’une élévation chronique du niveau de cortisol pourrait être un marqueur pour les non répondeurs. Les résultats de cette étude doivent être considérés comme préliminaires et nécessitent des tests plus approfondis des interactions possibles entre les médicaments utilisés pour traiter le TDAH et l’axe HHS.
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En raison de leur petite taille, les nanoparticules (NP) (< 100 nm) peuvent coaguler très rapidement ce qui favorise leur pénétration dans l’organisme sous forme d’agglomérats. L’objectif de cette recherche est d’étudier l’influence de l’état d’agglomération de NP de dioxyde de titane (TiO2) de trois tailles de départ différentes, 5, 10-30 ou 50 nm sur la toxicité pulmonaire chez le rat mâle (F344) exposé à des aérosols de 2, 7 ou 20 mg/m3 pendant 6 heures. Dans une chambre d’inhalation, six groupes de rats (n = 6 par groupe) ont été exposés par inhalation aiguë nez-seulement à des aérosols ayant une taille primaire de 5 nm, mais produits sous forme faiblement (< 100 nm) ou fortement (> 100 nm) agglomérée à 2, 7 et 20 mg/m3. De façon similaire, quatre autres groupes de rats ont été exposés à 20 mg/m3 à des aérosols ayant une taille primaire de 10-30 et 50 nm. Les différents aérosols ont été générés par nébulisation à partir de suspensions ou par dispersion à sec. Pour chaque concentration massique, un groupe de rats témoins (n = 6 par groupe) a été exposé à de l’air comprimé dans les mêmes conditions. Les animaux ont été sacrifiés 16 heures après la fin de l’exposition et les lavages broncho-alvéolaires ont permis de doser des marqueurs d’effets inflammatoires, cytotoxiques et de stress oxydant. Des coupes histologiques de poumons ont également été analysées. L’influence de l’état d’agglomération des NP de TiO2 n’a pu être discriminée à 2 mg/m3. Aux concentrations massiques de 7 et 20 mg/m3, nos résultats montrent qu’une réponse inflammatoire aiguë est induite suite à l'exposition aux aérosols fortement agglomérés. En plus de cette réponse, l’exposition aux aérosols faiblement agglomérés à 20 mg/m3 s’est traduite par une augmentation significative de la 8-isoprostane et de la lactate déshydrogénase. À 20 mg/m3, les effets cytotoxiques étaient plus importants suite à l’exposition aux NP de 5 nm faiblement agglomérées. Ces travaux ont montré dans l'ensemble que différents mécanismes de toxicité pulmonaire peuvent être empruntés par les NP de TiO2 en fonction de la taille de départ et de l’état d’agglomération.
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Un remodelage vasculaire anormal est à la base de la pathogenèse des maladies cardio-vasculaires (MCV) telles que l’athérosclérose et l’hypertension. Des dysfonctionnements au niveau de la migration, l’hypertrophie et la prolifération des cellules musculaires lisses vasculaires (CMLV) sont des évènements cellulaires qui jouent un rôle primordial dans le remodelage vasculaire. L’insulin-like growth factor 1 (IGF-1), puissant facteur mitogène, contribue au développement des MCV, notamment via l’activation des protéines MAPK et PI3-K/PKB, composantes clés impliquées dans les voies de croissance cellulaire. Ces molécules sont également impliquées dans la modulation de l’expression de nombreux facteurs de transcription, incluant le facteur Egr-1. Egr-1 est régulé à la hausse dans différents types de maladies vasculaires impliquant les voies de signalisation de croissance et de stress oxydant qui par ailleurs peuvent être déclenchées par l’IGF-1. Cependant, la question d’une possible modulation de l’expression d’Egr-1 dans les CMLV demeure inabordée; plus spécifiquement, la caractérisation de la voie de signalisation reliant l’action d’IGF-1 à l’expression d’Egr-1 reste à établir. Dans cette optique, l’objectif de cette étude a été d’examiner l’implication de MAPK, PKB et des dérivés réactifs de l’oxygène (DRO) dans l’expression d’Egr-1 induite par l’IGF-1 dans les CMLV. L’IGF-1 a induit une augmentation marquée du niveau protéique de l’Egr-1 en fonction du temps et de la concentration utilisés. Cette augmentation a été inhibée en fonction des doses d’agents pharmacologiques qui ciblent les voies de signalisation de MAPK, PKB et DRO. De plus, l’expression du facteur de transcription, Egr-1, en réponse de l’IGF-1, a été atténuée suite à un blocage pharmacologique des processus cellulaires responsables de la synthèse d’ARN et de synthèse protéique. Pour conclure, on a démontré que l’IGF-1 stimule l’expression d’Egr-1 via les voies de signalisation, impliquant ERK1/2/JNK, PI3K/PKB. On a également proposé que les DRO jouent un rôle important dans ce processus. Dans l’ensemble, nous avons suggéré un nouveau mécanisme par lequel l’IGF-1 promeut la prolifération et l’hypertrophie cellulaire, processus à la base des anomalies vasculaires.
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Introduction : Bien que la pratique de l’usage de la warfarine se soit améliorée au cours de la dernière décennie, aucune recommandation claire basée sur le dosage de l’amiodarone n’a été jusqu’à maintenant standardisée, ce qui représente un grand obstacle pour les cliniciens. La warfarine a un index thérapeutique étroit nécessitant un suivi régulier et un ajustement individuel de la posologie, ceci afin de déterminer la dose thérapeutique, tout en prévenant les effets secondaires qui pourraient être fatals dans certains cas. La variabilité interindividuelle de la réponse à la warfarine dépend de plusieurs facteurs, dont l’âge, le sexe, le poids, l’alimentation et l’interaction médicamenteuse, mais ceux-ci n’expliquent que partiellement les différences de sensibilité à la warfarine. Les polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 jouent un rôle important dans la réponse à la warfarine et expliquent jusqu’à 50% de la variabilité des doses. L’utilisation d’antiarythmiques telle l’amiodarone peut accentuer considérablement l’effet de la warfarine et nécessite généralement une diminution de 30 à 50% de la dose de la warfarine. Aucune étude à ce jour n’a tenté de déterminer l’utilité du génotypage des polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 chez les patients sous traitement combiné de warfarine et amiodarone. Objectif : Notre étude a pour objectif tout d’abord de déterminer si des facteurs génétiques influencent la première dose de stabilisation de la warfarine chez les patients en FA après l’introduction de l’amiodarone. Nous allons également tenter de confirmer l’association préalablement rapportée entre les facteurs génétiques et la première dose de stabilisation de warfarine dans notre population à l’étude. Méthodes : Un devis de cohorte rétrospective de patients qui fréquentaient la clinique d'anticoagulothérapie de l’Institut de cardiologie de Montréal entre le 1er janvier 2007 et le 29 février 2008 pour l’ajustement de leur dose selon les mesures d'INR. Au total, 1615 patients ont été recrutés pour participer à cette étude de recherche. Les critères de sélection des patients étaient les patients avec fibrillation auriculaire ou flutter, ayant un ECG documenté avec l'un de ces deux diagnostics et âgé de moins de 67 ans, en raison d’une moindre comorbidité. Les patients souffrant d’insuffisance hépatique chronique ont été écartés de l’étude. Tous les patients devaient signer un consentement éclairé pour leur participation au projet et échantillon de sang a été pri pour les tests génétiques. La collecte des données a été effectuée à partir du dossier médical du patient de l’Institut de cardiologie de Montréal. Un formulaire de collecte de données a été conçu à cet effet et les données ont ensuite été saisies dans une base de données SQL programmée par un informaticien expert dans ce domaine. La validation des données a été effectuée en plusieurs étapes pour minimiser les erreurs. Les analyses statistiques utilisant des tests de régression ont été effectuées pour déterminer l’association des variants génétiques avec la première dose de warfarine. Résultats : Nous avons identifié une association entre les polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 et la dose de la warfarine. Les polymorphismes génétiques expliquent jusqu’à 42% de la variabilité de dose de la warfarine. Nous avons également démontré que certains polymorphismes génétiques expliquent la réduction de la dose de warfarine lorsque l’amiodarone est ajoutée à la warfarine. Conclusion : Les travaux effectués dans le cadre de ce mémoire ont permis de démontrer l’implication des gènes CYP2C9 et VKORC1 dans la réponse au traitement avec la warfarine et l’amiodarone. Les résultats obtenus permettent d’établir un profil personnalisé pour réduire les risques de toxicité, en permettant un dosage plus précis de la warfarine pour assurer un meilleur suivi des patients. Dans le futur, d’autres polymorphismes génétiques dans ces gènes pourraient être évalués pour optimiser davantage la personnalisation du traitement.
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Cereal commodities are frequently contaminated with mycotoxins produced by the secondary metabolism of fungal infection. Among these contaminants, deoxynivalenol (DON), also known as vomitoxin, is the most prevalent type B trichothecene mycotoxin worldwide. Pigs are very sensitive to the toxic effects of DON and are frequently exposed to naturally contaminated feed. Recently, DON naturally contaminated feed has been shown to decrease porcine reproductive and respiratory syndrome virus (PRRSV) specific antibody responses following experimental infection. The objective of this study was to determine the impact of DON naturally contaminated feed on the immune response generated following vaccination with PRRSV live attenuated vaccine. Eighteen pigs were randomly divided into three experimental groups of 6 animals based on DON content of the diets (0, 2.5 and 3.5 mg DON/kg). They were fed these rations one week prior to the vaccination and for all the duration of the immune response evaluation. All pigs were vaccinated intra-muscularly with one dose of Ingelvac® PRRSV modified live vaccine (MLV). Blood samples were collected at day −1, 6, 13, 20, 27 and 35 post vaccination (pv) and tested for PRRSV RNA by RT-qPCR and for virus specific antibodies by ELISA. Results showed that ingestion of DON-contaminated diets significantly decreased PRRSV viremia. All pigs fed control diet were viremic while only 1 (17%) and 3 (50%) out of 6 pigs were viremic in the groups receiving 3.5 and 2.5 mg of DON/kg, respectively. Subsequently, all pigs fed control diet developed PRRSV specific antibodies while only viremic pigs that were fed contaminated diets have developed PRRSV specific antibodies. These results suggest that feeding pigs with DON-contaminated diet could inhibit vaccination efficiency of PRRSV MLV by severely impairing viral replication.
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Air-dried and 3 mm pore size sieved soil was amended with neem crude formulations (leaves and cake) @ 3% w/w and a refined product, aza @ 0.05 and 0.1 w/w. Three days after treatment, 500 eggs of M. javanica held in 2 ml water were added in each dish. In another experiment, soil was amended with neem crude formulations @ 10. 5, 2.5 and 1% w/w and refined formulation aza @ 0.025, 0.05, 0.1 and 0.5% w/w. Three days after amendment 1000 plus minus 21 freshly hatched J2 held in 3 ml water were added to the amended soil. Untreated soil was kept as control. Comparison of treatments means showed that all the neem formulations caused significant reduction of hatching. Neem crude formulations were more effective in reducing hatching as compared to commercial product aza. Among the crude formulations, neem leaves were most effective in reducing hatching. In other experiment all the doses of neem crude and refined formulations differed significantly with control in reducing the mobility of juveniles. It was observed that by increasing the dose of the formulations the mobility was reduced accordingly.
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This paper reviews Bayesian procedures for phase 1 dose-escalation studies and compares different dose schedules and cohort sizes. The methodology described is motivated by the situation of phase 1 dose-escalation studiesin oncology, that is, a single dose administered to each patient, with a single binary response ("toxicity"' or "no toxicity") observed. It is likely that a wider range of applications of the methodology is possible. In this paper, results from 10000-fold simulation runs conducted using the software package Bayesian ADEPT are presented. Four designs were compared under six scenarios. The simulation results indicate that there are slight advantages of having more dose levels and smaller cohort sizes.
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Objectives: To investigate the impact of apolipoprotein E (apoE) genotype on the response of the plasma lipoprotein profile to eicosapentaenoic acid (EPA) versus docosahexaenoic acid (DHA) intervention in humans. Methods and results: 38 healthy normolipidaemic males, prospectively recruited on the basis of apoE genotype (n = 20 E3/E3 and n = 18 E3/E4), completed a double-blind placebo-controlled cross-over trial, consisting of 3 × 4 week intervention arms of either control oil, EPA-rich oil (ERO, 3.3 g EPA/day) or DHA-rich oil (DRO, 3.7 g DHA/day) in random order, separated by 10 week wash-out periods. A significant genotype-independent 28% and 19% reduction in plasma triglycerides in response to ERO and DRO was observed. For total cholesterol (TC), no significant treatment effects were evident; however a significant genotype by treatment interaction emerged (P = 0.045), with a differential response to ERO and DRO in E4 carriers. Although the genotype × treatment interaction for LDL-cholesterol (P = 0.089) did not reach significance, within DRO treatment analysis indicated a 10% increase in LDL (P = 0.029) in E4 carriers with a non-significant 4% reduction in E3/E3 individuals. A genotype-independent increase in LDL mass was observed following DRO intervention (P = 0.018). Competitive uptake studies in HepG2 cells using plasma very low density lipoproteins (VLDL) from the human trial, indicated that following DRO treatment, VLDL2 fractions obtained from E3/E4 individuals resulted in a significant 32% (P = 0.002) reduction in LDL uptake relative to the control. Conclusions: High dose DHA supplementation is associated with increases in total cholesterol in E4 carriers, which appears to be due to an increase in LDL-C and may in part negate the cardioprotective action of DHA in this population subgroup.
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Delayed peak response of plasma retinyl esters (RE) relative to plasma triacylglycerols (TAG) and apolipoprotein (Apo) B-48 responses following a fat load supplemented with vitamin A raised doubts about the use of vitamin A to label dietary-derived lipids and lipoproteins. The present study compared the use of water-miscible and oil-soluble retinyl palmitate (RP) as markers of dietary-derived lipoproteins in healthy subjects along with the measurements of postprandial plasma TAG and ApoB-48 responses to investigate whether the delayed peak response observed was due to delayed intestinal output of RE from oil-based solutions. Nine healthy female subjects were given a standard test meal containing a dose (112 mg) of RP in either water-miscible or oil-soluble form in random order, on two separate occasions after a 12 h overnight fast. The results showed that the mean plasma RE concentrations reached a peak significantly later than mean plasma TAG and ApoB-48 concentrations when oil-soluble RP was consumed, whereas plasma RE peaked earlier relative to plasma TAG and ApoB-48 responses when water-miscible RP was used. The results suggested a more rapid absorption with a significantly higher and earlier peak response of plasma RE when water-miscible RP was consumed. This was in contrast to the delayed initial appearance and later sustained higher concentrations of plasma RE during the late postprandial period when oil-soluble RP was consumed. The RE response to the water-miscible RP showed better concordance with plasma TAG response than that of oil-soluble RP.
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An NMR-based pharmacometabonomic approach was applied to investigate inter-animal variation in response to isoniazid (INH; 200 and 400 mg/kg) in male Sprague-Dawley rats, alongside complementary clinical chemistry and histopathological analysis. Marked inter-animal variability in central nervous system (CNS) toxicity was identified following administration of a high dose of INH, which enabled characterization of CNS responders and CNS non-responders. High-resolution post-dose urinary (1)H NMR spectra were modeled both by their xenobiotic and endogenous metabolic information sets, enabling simultaneous identification of the differential metabolic fate of INH and its associated endogenous metabolic consequences in CNS responders and CNS non-responders. A characteristic xenobiotic metabolic profile was observed for CNS responders, which revealed higher urinary levels of pyruvate isonicotinylhydrazone and β-glucosyl isonicotinylhydrazide and lower levels of acetylisoniazid compared to CNS non-responders. This suggested that the capacity for acetylation of INH was lower in CNS responders, leading to increased metabolism via conjugation with pyruvate and glucose. In addition, the endogenous metabolic profile of CNS responders revealed higher urinary levels of lactate and glucose, in comparison to CNS non-responders. Pharmacometabonomic analysis of the pre-dose (1)H NMR urinary spectra identified a metabolic signature that correlated with the development of INH-induced adverse CNS effects and may represent a means of predicting adverse events and acetylation capacity when challenged with high dose INH. Given the widespread use of INH for the treatment of tuberculosis, this pharmacometabonomic screening approach may have translational potential for patient stratification to minimize adverse events.
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Recent evidence from animal and adult human subjects has demonstrated potential benefits to cognition from flavonoid supplementation. This study aimed to investigate whether these cognitive benefits extended to a sample of school-aged children. Using a cross-over design, with a wash out of at least seven days between drinks, fourteen 8-10 year old children consumed either a flavonoid-rich blueberry drink or matched vehicle. Two hours after consumption, subjects completed a battery of five cognitive tests comprising the Go-NoGo, Stroop, Rey’s Auditory Verbal Learning Task, Object Location Task, and a Visual N-back. In comparison to vehicle, the blueberry drink produced significant improvements in the delayed recall of a previously learned list of words, showing for the first time a cognitive benefit for acute flavonoid intervention in children. However, performance on a measure of proactive interference indicated that the blueberry intervention led to a greater negative impact of previously memorised words on the encoding of a set of new words. There was no benefit of our blueberry intervention for measures of attention, response inhibition or visuo-spatial memory. While findings are mixed, the improvements in delayed recall found in this pilot study suggest that, following acute flavonoid-rich blueberry interventions, school aged children encode memory items more effectively.
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Stings by Polistes wasps can cause life-threatening allergic reactions, pain and inflammation. We examined the changes in microvascular permeability and neutrophil influx caused by the venom of Polistes lanio a paper wasp found in southeastern Brazil. The intradermal injection of wasp venom caused long-lasting paw oedema and dose-dependently increased microvascular permeability in mouse dorsal skin. SR140333, an NK(1) receptor antagonist, markedly inhibited the response, but the NK(2) receptor antagonist SR48968 was ineffective. The oedema was reduced in capsaicin-treated rats, indicating a direct activation of sensory fibres. Dialysis of the venom partially reduced the oedema and the remaining response was further inhibited by SR140333. Mass spectrometric analysis of the venom revealed two peptides (QPPTPPEHRFPGLM and ASEPTALGLPRIFPGLM) with sequence similarities to the C-terminal region of tachykinin-like peptides found in Phoneutria nigniventer spider venom and vertebrates. Wasp venom failed to release histamine from mast cells in vitro and spectrofluorometric assay of the venom revealed a negligible content of histamine in the usual dose of P.l. lanio venom (1 nmol of histamine/7 mu g of venom)that was removed by dialysis. The histamine H(1) receptor antagonist pyrilamine, but not bradykinin B(1) or B(2) receptor antagonists, inhibited venom-induced oedema. In conclusion, P. l. lanio venom induces potent oedema and increases vascular permeability in mice, primarily through activation of tachykinin NK(1) receptors by substance P released from sensory C fibres, which in turn releases histamine from dermal mast cells. This is the first description of a neurovascular mechanism for P. l. lanio venom-mediated inflammation. The extent to which the two tachykinin-like peptides identified here contribute to this neurogenic inflammatory response remains to be elucidated. (c) 2008 Elsevier Ltd. All rights reserved.