989 resultados para Bérgson, Henri, 1859-1941.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire de maîtrise utilisant les archives trouvées aux Archives Nationales de France ( AN section Paris), aux archives du Ministère des Affaires étrangères de France (AMAE) et celles du fond d'archives Colonna Walewski (ACW).
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Réalisé en cotutelle avec l'Université de la Sorbonne - Paris IV
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L’histoire des relations franco-japonaises est source de bien des surprises pour les historiens, ces deux pays n’ayant, à première vue, que peu de raisons de se rapprocher. La France du Second Empire est l’une des premières puissances à se rendre au Japon et elle démontre rapidement un vif intérêt pour le développement du Japon. Dès la signature des premiers traités en 1859, la présence française se développe pour atteindre son sommet quelques années plus tard. Malgré les changements de régime au Japon et en France, cette présence restera forte jusqu’au début des années 1880, avant de décliner. Qu’est-ce qui explique cet intérêt? Et, surtout, qu’est-ce qui explique le désintérêt de la France après les années 1880? Il n’y a que quelques auteurs qui ont tenté d’y trouver des réponses, et celles-ci sont, à notre point de vue, peu concluantes: soit la France agit pour faire grandir son prestige, soit elle agit en fonction de ses représentants. Nous tenterons dans le présent travail de cerner et, si possible, de trouver en utilisant une variété de sources françaises une autre cause plus convaincante comme explication de la position française au Japon. Serait-ce le commerce qui a motivé la France au Japon, notamment à cause de la crise du ver à soie? Serait-ce la religion, avec toute la question des persécutions des chrétiens? Ou encore, est-ce une raison plus globale liée à la colonisation de l’Indochine? Afin d’y répondre, nous avons étudié avec minutie les archives du gouvernement français ainsi que les données économiques de l’époque, afin de cerner l’importance qu’ont eue certaines raisons, telles la crise de la soie, les persécutions religieuses et la présence française en Indochine, dans les décisions du gouvernement français.
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En 1936, l’American Music League publiait le recueil de chansons afro-américaines Negro Songs of Protest collectées par le folkloriste communiste Lawrence Gellert. Puis en 1938 et 1939, grâce au financement du mouvement communiste américain, le producteur John Hammond présentait deux concerts intitulés From Spirituals to Swing au Carnegie Hall de New York. En plus de rendre hommage à l’histoire de la musique noire américaine, ces deux concerts défiaient la ségrégation raciale, permettant au Noirs et aux Blancs d’être rassemblés sur une même scène et de s’asseoir ensemble dans l’assistance. Au même moment, la chanteuse jazz Billie Holiday faisait fureur au Café Society, premier club « intégré » de New York et lieu de rassemblement de la gauche radicale, en interprétant soir après soir la chanson ‘’Strange Fruit’’ qui dénonçait l’horreur du lynchage toujours en vigueur dans le Sud des États-Unis. C’était l’époque du Front Populaire, la plus importante période d’influence du mouvement communiste aux États-Unis et, de surcroît, le moment de l’histoire américaine durant lequel la gauche organisée détenait un pouvoir sans précédent sur la culture de masse. Partant d’une discussion sur le potentiel révolutionnaire de la musique noire américaine et cherchant à comprendre le positionnement des mouvements sociaux vis-à-vis la culture, ce mémoire met en lumière le point de vue des communistes américains blancs face à l’émergence et à la popularité grandissante du blues et du jazz noirs aux États-Unis. En fonction des trois principales phases politiques du Parti Communiste américain (CPUSA) – la phase du colorblind class (1919-1928); la phase du nationalisme noir (1928-1935); le Front Populaire (1935-1940) – ce mémoire retrace les changements d’attitude de la vieille gauche envers la culture populaire et suggère que le mouvement communiste américain a tenté d’utiliser le blues et le jazz à des fins d’agit-prop.
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Dilucidar el papel que la ENF ha desempeñado en la transformación cultural de Asturias y, especialmente, sobre las mujeres de la comunidad asturiana. Génesis, desarrollo y configuración de la Escuela Normal Femenina de Asturias. Esta investigación se divide en tres bloques. En el primero se analizan aspectos biofísicos, vitales y culturales del pueblo asturiano y medios educativos que ofrecía a la mujer. En el segundo se reflexiona sobre las dificultades coyunturales que condicionan la génesis y cierre de la escuela y su posterior reapertura, así como sobre las finalidades políticas que se perseguían con su creación. En el tercero se analizan elementos del modelo pedagógico utilizado por la ENF: objetivos, contenidos de enseñanza, recursos instrumentales y elementos materiales, personales y funcionales. Fondos documentales de los archivos de la Escuela Normal. Actas de los plenos de la Diputación Provincial y del Ayuntamiento. Boletín Oficial de Oviedo. Legislación referida a las Escuelas Normales. Enfoque metodológico desde una perspectiva global y contextual. Recurre a un modelo integral, partiendo de un enfoque de tipo sistémico. La evolución histórica de la ENF de Asturias debe ser analizada en tres grandes etapas. La primera (1872-1900) se caracterizó por: estar subordinada a la Normal de Maestros, tener una infraestructura inadecuada, carecer de los medios pedagógicos elementales, presentar una mayor preocupación por consolidar las técnicas instrumentales de aprendizaje que por ofrecer una cultura amplia y profunda. La segunda etapa (1900-1907) se caracterizó por: elevar el nivel cultural de las alumnas, iniciar una mejora en el equipamiento de medios y dar comienzo a un formación científico-técnica. La tercera etapa (1908-1931) se caracterizó por: aumentar el número de alumnas, mejorar el equipamento de bienes muebles e inmuebles, unificar los estudios para evitar la discriminación entre las alumnas de estudios elementales y superiores. Esta fue la etapa más conflictiva de todas ya que se rompió el clima democrático de la Escuela, se entorpecieron las relaciones entre el profesorado de ambas Normales, se dividió al profesorado de la propia Escuela y se produjeron escándalos tanto a nivel regional como nacional, estableciéndose un régimen totalitario. Desde una perspectiva conservadora, su labor se puede considerar positiva ya que favoreció y fomentó la perpetuación, reproducción y mantenimiento de los roles atribuidos tradicionalmente a la mujer. Desde una perspectiva más liberal y progresista su labor fue totalmente negativa ya que no sólo no favoreció, sino que entorpeció el desarrollo personal de las alumnas tanto bajo el punto de vista de su propia configuración personal como de su propia emancipación.
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Resumen basado en el del autor
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Resumen tomado de la publicación
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Se analiza el pensamiento psicopedagógico de Henry Wallon, quién configuró una forma especial de ver la ciencia en general y la Psícología del Niño y la Pedagogía en particular. La Psicología Genética, la reflexión dialéctica, la importancia del medio humano, la dimensión cualitativa de la psicogénesis, la interdisciplinariedad, el Holismo, son aspectos que caracterizan su obra y la conforman como generadora de una escuela de pensamiento dentro del campo de la psicopedagogía. En el primer capítulo se tratan los aspectos epistemológicos y conceptuales vinculados a la figura de Henry Wallon. El segundo capítulo analiza la psicomotricidad y su papel en la piscogénesis, mientras en el tercer capítulo se aborda la teoría de la emoción y el cuarto se dedica al desarrollo del pensamiento. El quinto capítulo se dedica al desarrollo de la sociabilidad y finalmente se aborda el desarrollo psicológico en el capítulo sexto.
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