860 resultados para Vitamin D deficiency
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Subjects with chronic liver disease are susceptible to hypovitaminosis A due to several factors. Therefore, identifying patients with vitamin deficiency and a requirement for vitamin supplementation is important. Most studies assessing vitamin A in the context of hepatic disorders are conducted using cirrhotic patients. A cross-sectional study was conducted in 43 non-cirrhotic patients with chronic hepatitis C to evaluate markers of vitamin A status represented by serum retinol, liver retinol, and serum retinol-binding protein levels. We also performed the relative dose-response test, which provides an indirect estimate of hepatic vitamin A reserves. These vitamin A indicators were assessed according to the stage of liver fibrosis using the METAVIR score and the body mass index. The sample study was predominantly composed of male subjects (63%) with mild liver fibrosis (F1). The relative dose-response test was <20% in all subjects, indicating vitamin A sufficiency. Overweight or obese patients had higher serum retinol levels than those with a normal body mass index (2.6 and 1.9 µmol/L, respectively; P<0.01). Subjects with moderate liver fibrosis (F2) showed lower levels of serum retinol (1.9 vs 2.5 µmol/L, P=0.01) and retinol-binding protein levels compared with those with mild fibrosis (F1) (46.3 vs 67.7 µg/mL, P<0.01). These results suggested an effect of being overweight on serum retinol levels. Furthermore, more advanced stages of liver fibrosis were related to a decrease in serum vitamin A levels.
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Affiliation: Augustin Zeba & Hélène Delisle : Département de nutrition, Faculté de médecine, Université de Montréal
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La forme canadienne-française du syndrome de Leigh (LSFC) est une maladie métabolique associée à une déficience en cytochrome oxydase (COX) et caractérisée par des crises d’acidose lactique, menant à une mort prématurée. Les mécanismes qui sous-tendent l’induction des crises restent inconnus et il n’existe aucune thérapie efficace pour les prévenir. Cette étude vise à caractériser l'effet de facteurs métaboliques périphériques potentiellement altérés chez les patients LSFC sur la mort de lignées cellulaires issues de ces patients et de témoins puis, à identifier des agents thérapeutiques pouvant la prévenir. Nous postulons que (i) ces facteurs métaboliques induiront une mort prématurée des cellules de patients et que (ii) les interventions susceptibles de la prévenir pallieront les conséquences de la déficience en COX, soit la diminution des taux d’adénosine triphosphate (ATP) et l’augmentation du stress oxydant, du nicotinamide adénine dinucléotide (NADH) et des lipides toxiques. Un criblage de 8 facteurs sanguins et 10 agents thérapeutiques a été réalisé. Les paramètres mesurés incluent la nécrose, l’apoptose, l’ATP et l’activité de la COX. Les fibroblastes LSFC sont plus susceptibles à la mort par nécrose (39±6%) induite par du palmitate plus lactate, un effet associé à des niveaux d’ATP diminués (53±8%). La mort cellulaire est réduite de moitié par l’ajout combiné d’agents ciblant le NADH, l’ATP et les lipides toxiques, alors que l’ajout d’antioxydants l’augmente. Ainsi, un excès de nutriments pourrait induire la mort prématurée des cellules LSFC et, pour atténuer cette mort, il serait important de combiner plusieurs interventions ciblant différents mécanismes.
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Le diabète auto-immun résulte de la destruction des cellules bêta pancréatiques sécrétrices d’insuline par les lymphocytes T du système immunitaire. Il s’ensuit une déficience hormonale qui peut être comblée par des injections quotidiennes d’insuline d’origine exogène, toutefois il demeure à ce jour impossible de guérir les patients atteints de la maladie. De façon générale, un système immunitaire sain reconnaît une multitude d’antigènes différents et assure ainsi notre défense à l’égard de différents pathogènes ou encore de cellules tumorales. Il arrive cependant que, pour des raisons génétiques et/ou environnementales, les lymphocytes T puissent s’activer de façon aberrante suite à la reconnaissance d’antigènes provenant du soi. C’est ce bris de tolérance qui mène au développement de pathologies auto-immunes telles que le diabète auto-immun. Afin de limiter l’auto-immunité, des mécanismes de sélection stricts permettent d’éliminer la majorité des lymphocytes T présentant une forte affinité envers des antigènes du soi lors de leur développement dans le thymus. Certains de ces lymphocytes réussissent toutefois à échapper à l’apoptose et migrent en périphérie afin d’y circuler en quête d’un antigène spécifiquement reconnu. Il est alors primordial que des mécanismes périphériques assurent le maintien de la tolérance immunitaire en faisant obstacle à l’activation et à la prolifération des lymphocytes T auto-réactifs. L’une des avenues afin d’inhiber le développement de réponses immunitaires aberrantes est la génération de lymphocytes T régulateurs. Ces cellules, d’origine thymique ou périphérique, peuvent arborer différents phénotypes et agissent via de multiples mécanismes afin d’inactiver et/ou éliminer les cellules impliquées dans l’apparition de pathologies auto-immunes. L’utilisation de modèles murins transgéniques a permis la mise en évidence d’une population peu caractérisée de lymphocytes T au potentiel régulateur. En effet, la proportion de ces cellules T n’exprimant pas les corécepteurs CD4 et CD8 (double négatives, DN) a été inversement corrélée à la prédisposition à l’auto-immunité chez ces ii souris. L’objectif principal de cette thèse est de démontrer la fonction immuno-régulatrice des lymphocytes T DN, tout en investiguant les facteurs génétiques responsables du maintien de cette population cellulaire. Nous avons observé que les lymphocytes T DN exercent une activité cytotoxique à l’égard des lymphocytes B de façon spécifique à l’antigène, via la libération de granules cytolytiques contenant du granzyme B et de la perforine. Par ailleurs, nous avons établi qu’un unique transfert adoptif de ces cellules est suffisant afin d’inhiber le développement du diabète auto-immun chez des hôtes transgéniques prédisposés à la maladie. Le recours à des souris déficientes pour l’expression du gène CD47 a permis de constater que la voie de signalisation CD47-Sirp est essentielle dans le maintien de la proportion des lymphocytes T DN. De plus, le locus murin de prédisposition au diabète auto-immun Idd13, qui contient le gène Sirp, a été identifié pour son rôle dans la régulation de la proportion de ces cellules. Finalement, une analyse génétique a révélé que d’autres intervalles génétiques sont impliqués dans le contrôle de la population des lymphocytes T DN. Parmi ceux-ci, un locus situé en région proximale du chromosome 12 a été validé grâce à la création de souris congéniques. Grâce aux résultats présentés dans cette thèse, notre compréhension de la biologie ainsi que de la régulation des lymphocytes T DN est approfondie. Ces connaissances constituent un pas important vers la création de thérapies cellulaires novatrices permettant de prévenir et de guérir diverses pathologies auto-immunes.
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La stimulation du récepteur de la rénine/prorénine [(P) RR], un membre récemment découvert du système rénine-angiotensine (SRA), augmente l'activité du SRA et des voies de signalisation angiotensine II-indépendante. Pour étudier l'impact potentiel du (P)RR dans le développement de l`obésité, nous avons émis l'hypothèse que les souris déficientes en (P)RR uniquement dans le tissus adipeux (KO) auront une diminution du poids corporel en ciblant le métabolisme du tissu adipeux, l'activité locomoteur et/ou la prise alimentaire. Ainsi, des souris KO ont été générées en utilisant la technologie Cre/Lox. Le gain de poids et la prise alimentaire ont été évalués hebdomadairement dans les mâles et femelles KO et de type sauvage (WT) pendant 4 semaines alors qu’ils étaient maintenu sur une diète normal. De plus, un groupe de femelles a été placé pour 6 semaines sur une diète riche en gras et en glucides (HF/HC). La composition corporelle et l'activité ambulatoire ont été évaluées par l’EchoMRI et à l’aide de cages Physioscan, respectivement. Les tissus adipeux ont été prélevés et pesés. De plus, les gras péri-gonadaux ont été utilisés pour le microarray. Finalement, le niveaux d'expression d'ARNm du (P)RR ont été évalués. Comme le gène du (P)RR est situé sur le chromosome X, les mâles étaient des KOs complets et les femelles étaient des KOs partielles. Les souris KO avaient un poids corporel significativement plus petit par rapport à WT, les différences étant plus prononcées chez les mâles. De plus, les femelles KOs étaient résistantes à l'obésité lorsqu'elles ont été placées sur la diète HF/HC et donc elles avaient significativement moins de masse grasse par rapport aux WTs. L’analyse histologique des gras péri-gonadaux des KOs nous ont dévoilés qu’il avait une réduction du nombre d'adipocytes mais de plus grande taille. Bien qu'il n'y ait eu aucun changement dans la consommation alimentaire, une augmentation de près de 3 fois de l'activité ambulatoire a été détectée chez les mâles. De plus, nous avons observé que leurs tibias étaient de longueur réduite ce qui suggère fortement l'affection de leur développement. Les gras péri-gonadaux des souris KO avaient une expression réduite de l`ABLIM2 (Actin binding LIM protein family, member 2) qui est associé avec le diabète de type II chez l'humain. Ainsi, les données recueillies suggèrent fortement que le (P)RR est impliquée dans la régulation du poids corporelle.
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Les EHEC de sérotype O157:H7 sont des agents zoonotiques d’origine alimentaire ou hydrique. Ce sont des pathogènes émergeants qui causent chez l’humain des épidémies de gastro-entérite aiguë et parfois un syndrome hémolytique-urémique. Les EHEC réussissent leur transmission à l’humain à partir de leur portage commensal chez l’animal en passant par l’étape de survie dans l’environnement. L’endosymbiose microbienne est une des stratégies utilisées par les bactéries pathogènes pour survivre dans les environnements aquatiques. Les amibes sont des protozoaires vivants dans divers écosystèmes et connus pour abriter plusieurs agents pathogènes. Ainsi, les amibes contribueraient à transmettre les EHEC à l'humain. La première partie de mon projet de thèse est centrée sur l'interaction de l’amibe Acanthamoeba castellanii avec les EHEC. Les résultats montrent que la présence de cette amibe prolonge la persistance des EHEC, et ces dernières survivent à leur phagocytose par les amibes. Ces résultats démontrent le potentiel réel des amibes à héberger les EHEC et à contribuer à leur transmission. Cependant, l’absence de Shiga toxines améliore leur taux de survie intra-amibe. Par ailleurs, les Shiga toxines sont partiellement responsables de l’intoxication des amibes par les EHEC. Cette implication des Shiga toxines dans le taux de survie intracellulaire et dans la mortalité des amibes démontre l’intérêt d’utiliser les amibes comme modèle d'interaction hôte/pathogène pour étudier la pathogénicité des EHEC. Durant leur cycle de transmission, les EHEC rencontrent des carences en phosphate inorganique (Pi) dans l’environnement. En utilisant conjointement le système à deux composantes (TCS) PhoB-R et le système Pst (transport spécifique de Pi), les EHEC détectent et répondent à cette variation en Pi en activant le régulon Pho. La relation entre la virulence des EHEC, le PhoB-R-Pst et/ou le Pi environnemental demeure inconnue. La seconde partie de mon projet explore le rôle du régulon Pho (répondant à un stress nutritif de limitation en Pi) dans la virulence des EHEC. L’analyse transcriptomique montre que les EHEC répondent à la carence de Pi par une réaction complexe impliquant non seulement un remodelage du métabolisme général, qui est critique pour sa survie, mais aussi en coordonnant sa réponse de virulence. Dans ces conditions le régulateur PhoB contrôle directement l’expression des gènes du LEE et de l’opéron stx2AB. Ceci est confirmé par l’augmentation de la sécrétion de l’effecteur EspB et de la production et sécrétion de Stx2 en carence en Pi. Par ailleurs, l’activation du régulon Pho augmente la formation de biofilm et réduit la motilité chez les EHEC. Ceci corrèle avec l’induction des gènes régulant la production de curli et la répression de la voie de production d’indole et de biosynthèse du flagelle et du PGA (Polymère β-1,6-N-acétyle-D-glucosamine).
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La documentation scientifique fait état de la présence, chez l’adulte, de cellules souches et progénitrices neurales (CSPN) endogènes dans les zones sous-ventriculaire et sous-granulaire du cerveau ainsi que dans le gyrus denté de l’hippocampe. De plus, un postulat selon lequel il serait également possible de retrouver ce type de cellules dans la moelle épinière et le néocortex des mammifères adultes a été énoncé. L’encéphalopathie de Wernicke, un trouble neurologique grave toutefois réversible qui entraîne un dysfonctionnement, voire une défaillance du cerveau, est causée principalement par une carence importante en thiamine (CT). Des observations récentes laissent envisager que les facteurs en cause dans la prolifération et la différenciation des CSPN pourraient également jouer un rôle important lors d’un épisode de CT. L’hypothèse, selon laquelle l’identification de nouveaux métabolites entrant dans le mécanisme ou la séquence de réactions se soldant en une CT pourraient en faciliter la compréhension, a été émise au moyen d'une démarche en cours permettant d’établir le profil des modifications métaboliques qui surviennent en de telles situations. Cette approche a été utilisée pour constater les changements métaboliques survenus au niveau du foyer cérébral dans un modèle de rats déficients en thiamine (rats DT), particulièrement au niveau du thalamus et du colliculus inférieur (CI). La greffe de CSPN a quant à elle été envisagée afin d’apporter de nouvelles informations sur la participation des CSPN lors d’un épisode de CT et de déterminer les bénéfices thérapeutiques potentiels offerts par cette intervention. Les sujets de l’étude étaient répartis en quatre groupes expérimentaux : un premier groupe constitué de rats dont la CT était induite par la pyrithiamine (rats DTiP), un deuxième groupe constitué de rats-contrôles nourris ensemble (« pair-fed control rats » ou rats PFC) ainsi que deux groupes de rats ayant subi une greffe de CSPN, soit un groupe de rats DTiP greffés et un dernier groupe constitué de rats-contrôles (rats PFC) greffés. Les échantillons de foyers cérébraux (thalamus et CI) des quatre groupes de rats ont été prélevés et soumis à des analyses métabolomiques non ciblées ainsi qu’à une analyse visuelle par microscopie à balayage électronique (SEM). Une variété de métabolites-clés a été observée chez les groupes de rats déficients en thiamine (rats DTiP) en plus de plusieurs métabolites dont la documentation ne faisait pas mention. On a notamment constaté la présence d’acides biliaires, d’acide cynurénique et d’acide 1,9— diméthylurique dans le thalamus, alors que la présence de taurine et de carnosine a été observée dans le colliculus inférieur. L’étude a de plus démontré une possible implication des CSPN endogènes dans les foyers cérébraux du thalamus et du colliculus inférieur en identifiant les métabolites-clés ciblant les CSPN. Enfin, les analyses par SEM ont montré une amélioration notable des tissus à la suite de la greffe de CSPN. Ces constatations suggèrent que l’utilisation de CSPN pourrait s’avérer une avenue thérapeutique intéressante pour soulager la dégénérescence symptomatique liée à une grave carence en thiamine chez l’humain.
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La réparation par excision de nucléotides (NER) permet l'élimination des lésions provoquant une distorsion de la double hélice de l’ADN. Ces lésions sont induites par plusieurs agents environnementaux comme les rayons UV, ainsi que par certaines drogues chimio- thérapeutiques tel que le cisplatine. Des défauts dans la NER conduisent à de rares maladies autosomiques héréditaires : La xérodermie pigmentaire (XP), le syndrome de Cockayne (CS), le syndrome de sensibilité aux UVSS et la trichothiodystrophie (TTD). Ces maladies sont associées soit à une prédisposition élevée au cancer de la peau et / ou à de graves anomalies du développement neurologique. Le groupe de patients XP-A représente le deuxième groupe (XP) le plus fréquent, et possède la forme la plus sévère combinant cancer de la peau avec un haut risque de dégénérescence neurologique. À date, aucune explication n`a été proposée pour les symptômes neurologiques observés chez ces patients. Nous avions suggéré ainsi que la protéine XPA possède d`autres fonctions dans d`autres processus cellulaires, ceci en interagissant avec des partenaires protéiques différents de ceux déjà connus. Afin de confirmer cette hypothèse nous avions réalisé une étude protéomique à grande échelle en combinant la spectrométrie de masse à une immunoprécipitation en Tandem d`affinité (TAP), afin d`identifier de nouvelles protéines interagissant directement avec XPA. Nous avions montré que XPA peut interagir avec MRE11, la protéine clé de la réparation par recombinaison homologue. Des études additionnelles sont requises pour confirmer cette interaction et comprendre sa fonction
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The high-affinity bindings of [3H]-5-hydroxytryptamine to serotonin S-1 receptors, [3H]-ketanserin to serotonin S-2 receptors in the cerebral cortex, [3H]- fluphenazine to dopamine D-1 receptors, and [3H]-spiroperidol to dopamine D-2 receptors in the corpus striatum were studied in pyridoxine-deficient rats and compared to pyridoxine-supplemented controls. There was a significant increase in the maximal binding (Bmax) of serotonin S-1 and S-2 receptors with a significant decrease in their binding affinities (Kd). However, there were no significant changes either in the maximal binding or binding affinity of striatal dopamine D- 1 and D-2 receptors. Receptor sensitivity seems to correlate negatively with the corresponding neurotransmitter concentrations in the pyridoxine-deficient rats.
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Se realizó un estudio genético – poblacional en dos grupos etarios de población colombiana con la finalidad de evaluar las diferencias genéticas relacionadas con el polimorfismo MTHFR 677CT en busca de eventos genéticos que soporten la persistencia de este polimorfismo en la especie humana debido que este ha sido asociado con múltiples enfermedades. De esta manera se genotipificaron los individuos, se analizaron los genotipos, frecuencias alélicas y se realizaron diferentes pruebas genéticas-poblacionales. Contrario a lo observado en poblaciones Colombianas revisadas se identificó la ausencia del Equilibrio Hardy-Weinberg en el grupo de los niños y estructuras poblacionales entre los adultos lo que sugiere diferentes historias demográficas y culturales entre estos dos grupos poblacionales al tiempo, lo que soporta la hipótesis de un evento de selección sobre el polimorfismo en nuestra población. De igual manera nuestros datos fueron analizados junto con estudios previos a nivel nacional y mundial lo cual sustenta que el posible evento selectivo es debido a que el aporte de ácido fólico se ha incrementado durante las últimas dos décadas como consecuencia de las campañas de fortificación de las harinas y suplementación a las embarazadas con ácido fólico, por lo tanto aquí se propone un modelo de selección que se ajusta a los datos encontrados en este trabajo se establece una relación entre los patrones nutricionales de la especie humana a través de la historia que explica las diferencias en frecuencias de este polimorfismo a nivel espacial y temporal.
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Introducción: Las deficiencias de micronutrientes continúan siendo un problema de salud pública en la población infantil, dentro de las ellas se ha encontrado a la deficiencia de zinc causa importante de morbi-mortalidad en los países en desarrollo, la nutrición adecuada de zinc es esencial para un crecimiento adecuado, inmunocompetencia y desarrollo neuroconductual; se dispone de información insuficiente sobre el estado de zinc en la población preescolar lo cual dificulta la expansión de las intervenciones para el control de su deficiencia. Colombia presenta una deficiencia de este micronutriente, considerándose a nivel mundial como un problema de salud pública moderado a severo. Una evaluación sobre la prevalencia y factores determinantes asociados puede proporcionar datos sobre el riesgo de deficiencia de zinc en una población, considerando factores demográficos, sociales y nutricionales que podrían predisponer a la población preescolar colombiana a sufrir este déficit. Metodología: Estudio observacional de corte transversal que incluyó 4275 niños entre 1 y 4 años, utilizando datos de la Encuesta Nacional de Situación Nutricional (ENSIN-2010). Se realizaron análisis bivariados y multivariados para determinar factores asociados positiva y negativamente con deficiencia de zinc. Resultados: El 49,1% de los niños encuestados cursaban con deficiencia de zinc. Los factores de riesgo asociados a deficiencia de zinc encontrados fueron menor edad, peso y talla bajos, vivir en región Atlántica, región Central, Territorios Nacionales, vivienda en área de población dispersa, pertenencia a etnia afrocolombiana, pertenencia a etnia indígena, estar afiliado a régimen subsidiado, no estar afiliado a ningún régimen de salud, madre sin educación, no asistencia a programa de alimentación dirigido y el grado severo de inseguridad Conclusiones: El déficit de zinc en los niños entre 1 y 4 años de edad es multifactorial, siendo un reflejo probable de la situación de inequidad de la población colombiana, en especial, la más pobre y vulnerable. Palabras clave: Zinc, Deficiencia de zinc, factores asociados, niños entre 1 y 4 años, Colombia
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The potential to increase the concentrations of n-3 polyunsaturated fatty acids (PUFAs) in milk fat was investigated by studying the effects of feeding a xylose-treated, whole cracked linseed supplement ( rich in alpha-linolenic acid) to dairy cows. Also the effect of increasing the dietary intake of vitamin E on the vitamin E status of milk was investigated. The effect of pasteurisation on milk fatty acid composition was also examined. Using a 3 x 2 factorial design, a total of 60 Holstein dairy cows were fed a total mixed ration based on grass silage supplemented with one of three levels of whole cracked linseed (78, 142 or 209 g . kg(-1) diet dry matter (DM); designated LL, ML or HL, respectively) in combination with one of two levels of additional dietary vitamin E intake ( 6 or 12 g vitamin E . animal(-1) . day(-1); designated LE or HE, respectively). Increasing lipid supplementation reduced (P < 0.01) diet DM intake and milk yield, and increased (P < 0.001) the overall content of oleic, vaccenic, alpha-linolenic and conjugated linoleic acids, and total PUFAs and monounsaturated fatty acids (MUFA). Myristic and palmitic acids in milk fat were reduced ( P < 0.001) through increased lipid supplementation. While α-linolenic acid concentrations were substantially increased this acid only accounted for 0.02 of total fatty acids in milk at the highest level of supplementation (630 g α-linolenic acid &BULL; animal(-1) &BULL; day(-1) for HL). Conjugated linoleic acid concentrations in milk fat were almost doubled by increasing the level of lipid supplementation (8.9, 10.4 and 16.1 g &BULL; kg(-1) fatty acids for LL, ML and HL, respectively). Although milk vitamin E contents were generally increased there was no benefit (P > 0.05) of increasing vitamin E intake from 6 to 12 g . animal(-1) . day(-1). The fatty acid composition of milk was generally not affected by pasteurisation.
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With the aim of reducing the degree of saturation and increasing the C18:1 cis fatty acid content of milk fat, the effects of feeding high levels of whole cracked rapeseed to dairy cows was investigated together with the effect of increasing dietary intake of vitamin E on the vitamin E content of milk. Using a 3 x 3 factorial design, 90 Holstein dairy cows were fed one of three levels of whole cracked rapeseed (0 (ZR), 134 (MR) and 270 g . kg(-1) diet dry matter (DM) (HR)) in combination with one of three intakes of supplementary vitamin E (0 (ZE), 2 (ME) and 4 g . cow(-1) . d(-1) (HE)). Supplementing with up to almost 2 kg . d(-1) of rapeseed oil (diet HR) significantly (P < 0.001) increased C18: 1cis in milk fat, from 181 (ZR) to over 400 g &BULL; kg(-1) (HR) of total milk fatty acids. Concentrations of C18: 0, C18: 2 and C18: 3 fatty acids were also increased ( P < 0.001) but by a much lesser degree, and the saturated fatty acids C4: 0 to C16: 0 decreased substantially. Vitamin E supplementation increased ( P < 0.01) milk vitamin E concentrations from 1.29 (ZE) to 1.68 mg &BULL; kg(-1) whole milk (HE). Thus substantial changes in milk fat composition with potentially beneficial effects on human health were achieved and without any adverse effects on milk taste. However, these improvements must be offset against the substantial reductions ( P < 0.001) observed in voluntary feed DM consumption (ZR, 20.6; HR, 15.2 kg DM . d(-1)), milk yield (ZR, 22.9; HR, 13.2 kg . d(-1)) and milk fat concentration (ZR, 42.1; HR, 33.4 g . kg(-1)) which would not be commercially sustainable unless a considerable premium was paid for this modified milk. It seems likely that the optimum dose of dietary rapeseed is lower than used in this study.
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A feedlot trial was conducted to determine the effect of dietary vitamin A concentration and roasted soybean (SB) inclusion on carcass characteristics, adipose tissue cellularity, and muscle fatty acid composition. Angus-crossbred steers (n = 168; 295 +/- 1.8 kg) were allotted to 24 pens (7 steers each). Four treatments, in a 2 x 2 factorial arrangement, were investigated: no supplemental vitamin A, no roasted soybeans (NANS); no vitamin A, roasted SB (20% of the diet on a DM basis; NASB); with supplemental (2,700 IU/kg) vitamin A, no roasted SB (WANS); and with supplemental vitamin A, roasted SB (WASB). Diets included high moisture corn, 5% corn silage, 10 to 20% supplement, and 20% roasted SB in the SB treatments on a DM basis. The calculated vitamin A concentration in the basal diet was < 1,300 IU/kg of DM. Blood samples (2 steers/pen) were collected for serum vitamin A determination. Steers were slaughtered after 168 d on feed. Carcass characteristics and LM composition were determined. Fatty acid composition of LM was analyzed, and adipose cellularity in the i.m. and s.c. depots was determined. No vitamin A x SB interactions were detected (P > 0.10) for cattle performance, carcass composition, or muscle fatty acid composition. Low vitamin A diets (NA) did not affect (P > 0.05) ADG, DMI, or G:F. Quality grade tended (P = 0.07) to be greater in NA steers. Marbling scores and the percentage of carcasses grading > or = Choice(-) were 10% greater for NA steers, although these trends were not significant (P = 0.11 and 0.13, respectively). Backfat thickness and yield grade were not affected (P > 0.26) by vitamin A supplementation. Composition of the LM was not affected (P > 0.15) by vitamin A or SB supplementation. Serum retinol at slaughter was 44% lower (P < 0.01) for steers fed NA than for steers supplemented with vitamin A (23.0 vs. 41.1 microg/dL). A vitamin A x SB interaction occurred (P < 0.05) for adipose cellularity in the i.m. depot; when no SB was fed, vitamin A supplementation decreased cell density and increased cell size. However, when SB was fed, vitamin A supplementation did not affect adipose cellularity. Adipose cellularity at the s.c. depot was not affected (P > 0.18) by vitamin A or SB treatments. Fatty acid profile of the LM was not affected by vitamin A (P > 0.05), but SB increased (P < 0.05) PUFA (7.88 vs. 4.30 g/100 g). It was concluded that feeding NA tended to increase marbling without affecting back-fat and yield grade. It appeared that NA induced hyperplasia in the i.m. but not in the s.c. fat depot.
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To determine the effect of duration of dietary vitamin A restriction on site of fat deposition in growing cattle, 60 Holstein steers (BW = 218.4 ± 6.55 kg) were fed a diet based on high-moisture corn with 2,200 IU supplemental vitamin A/kg DM (C) or no supplemental vitamin A for a long (243 d; LR) or short (131 d; SR) restriction prior to harvest at 243 d. The SR steers were fed the C diet for the first 112 d. Steers were penned individually and fed for ad libitum intake. Jugular vein blood samples for serum retinol analysis were collected on d 1, 112, and 243. Carcass samples were collected for composition analysis. Subcutaneous fat samples were collected for fatty acid composition. Fat samples from the i.m. and s.c. depot were collected to measure adipocyte size and density. Feedlot performance (ADG, DMI, and G:F) was not affected (P > 0.05) by vitamin A restriction. On d 243, the i.m. fat content of the LM was 33% greater (P < 0.05) for LR than for SR and C steers (5.6 vs. 3.9 and 4.2% ether extract, respectively). Depth of back fat and KPH percentage were not affected (P = 0.44 and 0.80, respectively) by vitamin A restriction. Carcass weight, composition of edible carcass, and yield grade were similar among treatments (P > 0.10). Liver retinol (LR = 6.1, SR = 6.5, and C = 44.7 µg/g; P < 0.01) was reduced in LR and SR vs. C steers. On d 243, LR and SR steers had similar serum retinol concentrations, and these were lower (P < 0.01) than those of C steers (LR = 21.2, SR = 25.2, and C = 36.9 µg/dL). Intramuscular adipose cellularity (adipocyte/mm2 and mean adipocyte diameter) on d 112 and d 243 was not affected (P > 0.10) by vitamin A restriction. Restricting vitamin A intake for 243 d increased i.m fat percentage without affecting s.c. or visceral fat deposition, feedlot performance, or carcass weight. Restricting vitamin A intake for 131 d at the end of the finishing period appears to be insufficient to affect the site of fat deposition in Holstein steers.