975 resultados para Judith Beveridge
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Commentaire / Commentary
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This dissertation examines gendered fictional dialogue in popular works by D.H. Lawrence, Ernest Hemingway and E.M. Forster, including Howards End (1910), The Sun Also Rises (1926) and Lady Chatterley’s Lover (1928). I apply Judith Halberstam’s notion of female masculinity to direct speech, to explore how speech traits inform modernist literary aesthetics. My introduction frames this discussion in sociolinguistics, Judith Butler’s theory of performativity, M.M. Bakhtin’s discourse theory, and gender studies. It provides an opportunity to establish experimental dialogue techniques, and the manipulation of gendered talk, in transgressive texts including James Joyce’s Ulysses (1922), Virginia Woolf’s Orlando (1928) and Radcyffe Hall’s The Well of Loneliness (1928). The first chapter discusses taboos and dialect in D.H. Lawrence’s fictional dialogue. The second chapter establishes gender subversion as a crucial element in Ernest Hemingway’s dialogue style. The third chapter contrasts Forster’s latently gendered speech with his techniques of dialect emphasis and dialect suppression. Finally, my conclusion discusses gender identity in the poetry of Dorothy Parker and Baroness Elsa von Freytag Loringhoven, and the temporality of gender in “Time Passes” from Virginia Woolf’s To the Lighthouse (1927). New Woman characters like Lady Brett Ashley typified a crucial moment in women’s liberation. They not only subverted stereotypes of womanhood through their dress or sexual freedom, they also adopted/adapted masculine idiom to shock, to rebel against and challenge male dominance. Different speech acts incited fashionable slang, became a political protest symbol or inspired psychoanalytic theory. The intriguing functions of women’s masculine speech in early twentieth century fiction establishes the need to examine additional connections between gender and talk in literary studies.
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Ce mémoire est l'occasion d'établir une courte généalogie des femmes vampires au cinéma, en mettant en avant la manière dont la figure de la femme vampire résonne avec celle de la femme fatale, dans la mesure où elle constitue à la fois une vision négative de la femme émancipée, tout en offrant une manière d’échapper au modèle féminin traditionnel. En me demandant si le vampirisme peut être une source de pouvoir émancipatoire pour les femmes, j’analyse attentivement Byzantium (2012) de Neil Jordan. À travers l’étude successive des deux personnages principaux, Clara et Eleanor, je montre comment le film résonne avec la généalogie des femmes vampires établie préalablement, ainsi qu’avec certains enjeux féministes. Surtout, l’accent est mis sur la manière dont les personnages féminins contestent le pouvoir masculin, à travers la performance des stéréotypes, pour Clara, et la prise de contrôle du récit, pour Eleanor. Enfin, je me concentre sur la manière dont, à travers des mouvements de devenirs, ces personnages sortent du cycle fatal de l’oppression masculiniste, qui mène habituellement à l’extinction de la femme vampire en fin de récit, mais qui ici aboutit à une tentative de réconciliation entre les sexes. Mon travail s’appuie sur de larges recherches concernant la figure du vampire, ainsi que sur les études féministes et gender studies relatives aux textes vampiriques. Je m’appuie également sur les réflexions de Judith Butler, les travaux deleuziens sur la notion de « devenir », et les considérations de Derrida sur le don.
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Cette thèse trace la généalogie culturelle de la jeune fille en Occident en ciblant les moments charnières de son devenir femme au sein de structures de savoir qui ont activement participé à forger cette figure hétéronormative. Mon objectif est de produire une analyse culturelle en forgeant une cartographie des adolescences au féminin. Afin de sortir de la temporalité téléologique de la virginité et de la défloration, j’emprunte un mot étranger, parthénos, qui fait appel à l’idée de la jeune fille, sans nécessairement se limiter à ses connotations conventionnelles. La première partie, intitulée « La virginité, une affaire de jeunes filles », laisse place à une analyse du concept de parthénos à partir d’une lecture au carrefour de la médecine, de la loi et du mythe. Une lecture du traité hippocratique De la maladie des jeunes filles dévoile comment la défloration et la grossesse deviennent une cure érotique, une discipline du corps, qui décide du passage de la jeune fille dans une temporalité utile à la Cité. Un déplacement paradigmatique s’opère au 19e siècle dans les écrits médico-légaux, parce que l’hymen, auparavant inexistant dans la doxa hippocratique, devient le signe matériel par excellence pour examiner le statut de virginité de la fille. L’analyse de ces traités (frères Beck, Ambroise Tardieu, Paulier et Hétet) révèle la configuration de pratiques et de discours d’infantilisation des victimes de viol, et le refus des médecins légistes de reconnaître qu’une femme mariée puisse être violée. À partir d’une lecture contemporaine des tragédies L’Orestie d’Eschyle et Antigone de Sophocle, je montre que les figures d’Antigone et d’Électre constituent des exemples et des symboles convaincants de ce destin funeste de la parthénos qui n’accède jamais au statut de femme mariée. À ces figures mortelles, se télescopent les figures d’Artémis et des Érinyes pour montrer le potentiel de régénération inhérent à la figure de la parthénos. La deuxième partie, qui porte le titre « Le liminaire. Repenser les devenirs de l’adolescence », engage une réflexion à la lisière du contexte contemporain des Girlhood Studies, de la psychanalyse sociale et des études féministes sur le corps et le sexe, pour faciliter le déploiement d’une cartographie plus contextualisée du concept de parthénos. Je montre ici les écueils et les effets du danger qu’engendre la rationalité économique (cf. Henry A. Giroux) pour les espaces de liberté et d’exploration propres à l’adolescence. Cette posture est appuyée sur une lecture des récentes études en psychanalyse sociale (Anne Bourgain, Olivier Douville et Edmond Ortigues). Il est ainsi question d’identifier ce qui marque le passage entre l’adolescence et l’âge adulte : la crainte de la disparition et le fantasme de la naissance de soi. La théorie de la volatilité corporelle qu’élabore Elizabeth Grosz à propos de la sexualité féminine, ainsi que les théories de Michel Foucault, reprises par Judith Butler, en ce qui concerne les disciplines du corps, répondent à mon objectif de sortir de l’écueil d’une temporalité téléologique pour saisir les effets et les ramifications du discours sur la matérialité du corps de la jeune fille, sur ce qui lui arrive lorsqu’elle ne correspond pas tout à fait à l’idéal de régulation. Enfin, la dernière partie, qui porte le titre « Temporalités de la parthénos en tant que sujet liminaire », est traversée par les modalités particulières de la parthénia qui semble désincarnée dans la littérature contemporaine. L’objectif est de prouver que la virginité est toujours un marqueur symbolique qui déploie le destin de la fille dans un horizon particulier, trop souvent celui de la disparition. En proposant un éventail de cinq textes littéraires que j’inscris au sein d’une posture généalogique, je souhaite voir dans la littérature contemporaine, une volonté, parfois aussi un échec, dans cette pensée de la parthénos en tant que sujet liminaire. Le récit Vu du ciel de Christine Angot montre que l’ascension vers le statut d’ange concerne seulement les victimes enfants. Le récit d’Angot met donc en lumière la distinction entre la vraie victime, toujours innocente et pré-pubère, et la fausse victime, l’adolescente. Contrairement à Vu du ciel, The Lovely Bones d’Alice Sebold met en scène la possibilité d’une communauté politique de filles qui sera en fait limitée par le refus du potentiel lesbien. La question du viol sera ici centrale et sera abordée à partir de l’insistance sur la voix de la narratrice Susan. La littérature devient un espace propice à la survie de la jeune fille, puisqu’elle admet la reprise de l’expérience de la première relation sexuelle. Si la communauté est convoquée dans The Lovely Bones, elle est associée à l’image de l’identité sororale dans le roman Virgin Suicides de Jeffrey Eugenides. La pathologie virale et la beauté virginale que construit le narrateur polyphonique et anonyme font exister le discours médical sur la maladie des vierges dans un contexte contemporain. Le récit médical rejoint alors le récit érotique puisque le narrateur devient médecin, détective et voyeur. À la différence de ces trois récits, Drames de princesses d’Elfriede Jelinek montre une parthénos, Blanche Neige, qui fait face à son agresseur pour s’inscrire dans une historicité discursive. Cette collision dialogique ranime le cycle tragique (celui d’une Antigone confrontant Créon) et traduit de nouveau le danger d’une superstructure sociétale composée d’images et de discours où la fille est construite comme un accessoire pour le plaisir éphémère de l’homme. À l’inverse de l’image de la vierge sacrée et désincarnée que proposent les récits d’Angot, de Sebold, d’Eugenides et de Jelinek, Virginie Despentes offre une autre réflexion dans Apocalypse bébé. Le personnage de Valentine est configuré comme une sœur des parthénoi qui préfère le suicide et la terreur à la domestication, faisant ainsi appel à une temporalité radicale et inachevable, celle de la fin de la jeune fille. Mon souhait est enfin de souligner la nécessité de penser au mérite autant épistémologique, intime que politique, d’explorer le temps des éclosions sexuelles de la fille par delà l’idée de la première relation sexuelle.
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Cet article tente d'entrevoir une expérience féminine redéfinie selon le concept d'expérience propre à la théorie pragmatiste originairement développée par John Dewey. Le concept d'une expérience spécifiquement féminine est à la fois central dans l'histoire du féminisme et très critiqué par celui-ci. Pour Richard Rorty, il maintient un espace problématique à l'extérieur du langage et selon Judith Grant il implique la nécessité qu'il existe une forme de dénominateur commun à l'existence de toutes les femmes. Afin de répondre à ces critiques, nous étudierons en quoi les prémisses du pragmatisme de Dewey, de Timothy V. Kaufman Osborn et même de Richard Rorty lui-même rejoignent celle de l’épistémologie féministe telle quelle est conçue depuis les années 90 ; et en quoi, à la lumière de ces prémisses et de la définition de la femme que propose Sally Haslanger, la notion d’expérience féminine peut être comprise et réhabilitée.
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Avec The Liberalism of Fear, Judith N. Shklar s’inscrit en marge des postulats classiques du libéralisme politique. La croyance propre au libéralisme traditionnel, selon Shklar, doit faire place à une conscience historique de la cruauté. La charge institutionnelle du politique est dès lors appelée à se déplacer, et c’est cette « peur » même de l’avenir qu’il s’agit d’institutionnaliser en s’appuyant, de manière paradoxale, sur la peur de l’institution elle-même. Conscience historique d’un cycle à freiner, ce retournement du politique contre lui-même prône la cessation des modes d’exercice traditionnels du pouvoir. Si la nouvelle formulation d’un libéralisme minimal rejoint plusieurs de nos intuitions morales, l’impératif d’une politique immobiliste – sinon régressive – en appelle à beaucoup plus de prudence. Ce court essai entend examiner les conséquences d’un plaidoyer politique en faveur de la peur. Le libéralisme de Shklar est-il un appel à la passivité ? Doit-on y lire le désaveu de l’Histoire – et, le cas échéant, quelles en sont les parentés avec les penseurs de la fin de l’histoire (Fukuyama, 1989) et de la privatisation de l’existence (Rorty, 1989) ?
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Im ersten Kapitel dieser Arbeit, dem theoretischen Rahmen, erhalten die Ergebnisse der Fernsehprogrammanalyse ihre theoretische Grundlage. Anhand von Beispielen aus der alltäglichen Mediennutzung von Kindern werden die in der Einleitung entfalteten Annahmen über Orientierungsbedürfnisse von Kindern nochmals aufgegriffen. Diese Orientierungsbedürfnisse werden als Selbstschutzbedürfnisse definiert und es werden Strategien aufgezeigt, die Kinder entwickeln, um diesen Selbstschutz aufrecht zu erhalten. Die Kompetenzen, die Kinder im Umgang mit Medien in ihrem privaten Alltag entwickelt haben, spielen dabei eine Rolle, aber auch die Fähigkeit, vorgegebene Strukturen der Medien und im Umgang mit ihnen zu durchschauen, zu reflektieren und gezielt für ihre eigenen Bedürfnisse einzusetzen. Als Vertreter eines pädagogischen Verständnisses von Medienkompetenz, das Mediennutzer als vor allem im gesellschaftlichen Kontext handlungsfähig denkt, wird Dieter Baacke im zweiten Theorieteil angeführt. Seine vier Dimensionen von Medienkompetenz bildeten die Ausgangsposition für die qualitative Fernsehprogrammanalyse. Unter dem Vorzeichen kultureller Handlungsfähigkeit wird im dritten Teil der Theorie der Versuch unternommen, den theoretischen Rahmen für die Analyse von Programmangeboten abzustecken, die „anders“ sind als andere. Wesentlich dabei ist der Gedanke, sich mit Mitteln der Dekonstruktion und Eigeninterpretation durchschaubar zu machen. Solche Angebote können als Chance für Mediennutzer begriffen werden, Differenzerfahrungen fruchtbar für sich und andere zu gestalten und zu nutzen. Die methodische Vorgehensweise bei der qualitativen Fernsehprogrammanalyse und Operationalisierung der Fragestellung sind in Kapitel zwei beschrieben. Ausgehend von dem Versuch, Dieter Baackes vier Dimensionen von Medienkompetenz zur Operationalisierung der Fragestellung heranzuziehen, wurde während des Zeitraums von zwei Jahren versucht, „Medienkompetenz“ als kodierbare Variable zu definieren und Sendungen qualitativ darauf zu untersuchen, ob sie Elemente enthalten, die Kinder dabei unterstützen, das Fernsehprogrammangebot und andere Medien zu ordnen und zu (er)klären und es den Zuschauern ermöglichen, darin zu manövrieren. Das Datenmaterial zu dieser Untersuchung stammt aus dem Forschungsprojekt „Jährliche Bestandsaufnahme zum Kinderfernsehen – qualitative und quantitative Fernsehprogrammanalyse in der Sicht der Kinder“ der Medienpädagogik der Universität Kassel. In mehreren Schritten wird verdeutlicht, wie die Kategorienbildung zur Einordnung der analysierten Programme und Programmelemente erfolgte. Die qualitative Fernsehprogrammanalyse teilt sich in zwei Kapitel: In Kapitel drei wird das exemplarische Programmangebot innerhalb der in Kapitel eins und zwei beschriebenen Kategorien „Regeln geben“, „Regeln anwenden“ und „Regeln brechen“ diskutiert. Die Analyse bezieht sich dabei auf das Fernsehprogrammangebot aus den Jahren 2000 bis 2003. Kapitel vier ist eine Auskopplung aus der ersten Kategorie des dritten Kapitels „Regeln geben“ und widmet sich den „orientierenden Elementen“, also Programmangeboten, die hinweisenden und werbenden Charakter haben. Solche Elemente, auch wenn sie aus Sicht der Programmanbieter für das Programm werben sollen, strukturieren das Fernsehprogramm zum einen intramedial, zum anderen bieten sie über diese inhaltlich und zeitlich strukturierenden Elemente den Zuschauer Bezugspunkte, die Zuschauer als Freiraum zum Navigieren nutzen können. Dieser Teil, das Programmangebot an orientierenden Elementen, wird in erster Linie aufgrund des Umfangs der Ausarbeitung in einem eigenen Kapitel behandelt. Zum anderen würde sich diese Trennung aber auch aufgrund der Tatsache rechtfertigen lassen, dass die Elemente, die als orientierenden Elemente bezeichnet werden, als intramediale Verweisstrukturen auf das Fernsehprogramm selbst verweisen, die in Kapitel drei behandelten Sendungen hingegen eher einen expliziten Alltagsbezug der Mediennutzer aufweisen. In Kapitel fünf, dem Fazit, werden die zentralen Ergebnisse der Fernsehprogrammanalyse zusammengefasst. In Bezug auf die Fragestellung „Fördert Fernsehen Medienkompetenz?“ und den theoretischen Rahmen, der dieser Arbeit zugrunde liegt, werden die Angebote des Fernsehen für Orientierungsbedürfnisse der Zuschauer betrachtet und mögliche Konsequenzen formuliert.
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In ihrer Arbeit "Mobiles Lernen. Analyse des Wissenschaftsprozesses der britischen und deutschsprachigen medienpädagogischen und erziehungswissenschaftlichen Mobile-Learning-Diskussion." zeichnet Judith Seipold die Phasen und Entwicklungslinien der bisherigen und naturwüchsigen Diskussion um das Mobile Lernen nach. Dabei eröffnet sie mit ihrer Analyse des vornehmlich britischen Wissenschaftsprozesses des Mobilen Lernens ab Beginn des 21. Jahrhunderts den Blick auf die Struktur der medienpädagogischen und erziehungswissenschaftlichen Mobile-Learning-Diskussion, auf deren Kontexte, Bezugspunkte, Perspektiven und theoretische Schwerpunkte, aber auch Erfolge und Problembereiche in der praktischen Umsetzung des Lernens mit Mobiltechnologien in formalisierten Lernkontexten wie dem des Schulunterrichts. Auf diese Weise liefert die Autorin eine Systematik, die nicht nur die britische Diskussion für die deutschsprachige Medienpädagogik verfügbar macht, sondern auch eine neue und systematisch begründete Reflexionsebene für eine aktuelle medienpädagogische Entwicklung – das Mobile Lernen – bildet. Zunächst widmet sich die Autorin der Analyse des Wissenschaftsprozesses der bisherigen britischen und teils auch der deutschsprachigen Mobile-Learning-Diskussion. Um diesen Prozess in seiner Struktur greifbar zu machen, skizziert sie die Bezugsdisziplinen, aus denen die medienpädagogische und erziehungswissenschaftliche Mobile-Learning-Forschung schöpft, arbeitet die Legitimationsbasis auf, auf die sich Mobiles Lernen stützt, zeichnet die historische Entwicklung der Diskussion nach, die sowohl Alltagsnutzung von Mobiltechnologien als auch den Fachdiskurs einschließt, und erläutert innerhalb ihres Modells der Phasen und Entwicklungslinien Mobilen Lernens Theorien, Konzepte und Modelle, die in der Mobile-Learning-Community als zentral für Analyse und Planung Mobilen Lernens erachtet werden. Konzepte und Modelle, die in der Mobile-Learning-Diskussion die Rolle der Lernenden in das Zentrum der Betrachtungen rücken und eine explizite Handlungsorientierung unterstützen, sind Kernbereich des theoriebasierten Teils der Arbeit. Überlegungen zu einer „Sozio-kulturellen Ökologie Mobilen Lernens“, zu „user-generated contexts“ und zu einer „kulturökologisch informierten Didaktik des Mobilen Lernens“ sind dabei sowohl reflektierende Einordnung aktueller Konzepte und Modelle als auch theoretische und konzeptionelle Basis für die praktische Umsetzung Mobilen Lernens. Um die Rolle der Handlungskompetenzen, kulturellen Praktiken und Strukturen der Lerner bei der Nutzung von Mobiltechnologien für Lernen analytisch zu fassen, finden im Praxis-Kapitel Planungs- und Analyseschemata unter Rückgriff auf Beispiele aus der Praxisforschung und der Implementierung mobilen Lernens in den Schulunterricht Anwendung. Ihre Erörterungen rahmt die Autorin abschließend kritisch und weist zum einen auf bildungspolitische, strukturelle und handlungspraktische Implikationen hin, die sich aus der Mobile-Learning-Diskussion ergeben; zum anderen lenkt sie das Augenmerk auf Gegensätze und Dialektiken des Mobilen Lernens, die sich im Spannungsfeld zwischen alltäglicher mobiler Mediennutzung und der teils theoretisch informierten schulischen Verwendung von Mobiltechnologien zum Lernen entfalten. Sie gilt es, im weiteren Verlauf der Diskussion zu hinterfragen und aufzulösen.
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Se presenta experiencia educativa que propone concienciar al alumnado sobre el cuidado del medio ambiente. Se realiza en el CEIP Virgen de la Cabeza en Beas de Granada, Granada. Los objetivos son: desarrollar aptitudes para el trabajo en equipo; planificar de forma previa todas las actividades propuestas por el grupo de trabajo; realizar investigaciones a fin de comprobar algunas hip??tesis relacionadas con el tema; ampliar nuestros conocimientos relativos al entorno f??sico a trav??s de consulta bibliogr??fica; adquirir un compromiso personal con el medio ambiente; encauzar la formaci??n adquirida en este grupo de trabajo y las actividades que se propongan hacia el aprendizaje de nuestro alumnado; identificar aquellas conductas del ser humano que tengan repercusiones negativas sobre el medio ambiente; impulsar el cuidado del medio ambiente, desarrollando conceptos sobre educaci??n medioambiental en la vida cotidiana del centro y la localidad; estimular en las futuras generaciones la participaci??n en la toma de decisiones relacionadas con el cuidado del entorno; concienciarles de la importancia del medio ambiente en su vida diaria, incluyendo el conocimiento y cuidado de forma amplia y no puntual.