817 resultados para Sagittal abdominal diameter
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Background: Gender differences are expected to influence the pattern and outcome of management of abdominal wall hernias. Some of these are left to speculations with few published articles on hernias in females. Objectives: To describe the clinical pattern of abdominal wall hernias in females. Method: A 5 year retrospective review. Result: There were 181 female patients with 184 hernias representing 27.9% of the total number of hernia patients operated. Mean age was 41.66±24.46 years with a bimodal peak in the 1st and 7th decades. Inguinal hernia accounted for majority (50.5%) but incisional hernia predominated in the 30-49 age group, while only inguinal and umbilical hernias were seen in the first two decades (p=0.04). There was no side predilection in the cases of inguinal hernia. There were 12 (6.6%) emergency presentations, most of which occurred in the 6th decade and above and none below 30 years (p=0.02). Umbilical (4 cases) and femoral hernias (3 cases) accounted for most of these cases. Incisional hernia was the commonest cause of recurrent hernias. Conclusion: Inguinal hernia is the commonest hernia type in females followed by incisional hernias which also accounteds for most recurrent cases. Age appears to be a risk factor for developing complications.
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We describe a case of a 35-year-old woman with a pedunculated uterine leiomyoma with diffuse hydropic degeneration presenting as a giant abdominal mass. The patient was admitted in the emergency department because of diffuse abdominal bloating and discomfort. Ultrasonography (US) showed a heterogeneous abdominopelvic mass. Magnetic resonance imaging (MRI) was performed to further characterise and revealed a myometrial pedunculated tumour. Despite its marked T2-signal heterogeneity and volume, there were no other suspicious findings to suggest a malignant nature; therefore, fertility-sparing myomectomy was performed. Leiomyomas frequently undergo degenerative changes altering their imaging appearances. Leiomyomas with uncommon degenerative changes may be difficult to differentiate from malignant myometrial tumours, based solely on imaging. To the best of our knowledge, a diffuse hydropic degeneration imaging appearance has only been described twice in the literature. We describe the imaging appearance of this rare form of leio
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El trauma abdominal es la tercera causa de muerte. Durante años se han utilizado muchos métodos diagnósticos para la evaluación del trauma abdominal: actualmente los utilizados son el lavado peritoneal diagnóstico, el cual es muy sensible pero invasivo y la ultrasonografía en formato enfocado FAST, una buena opción. Igualmente la tomografía computarizada ha mostrado buena sensibilidad diagnostica y ser no invasiva. Materiales y métodos: Se realizó un estudio descriptivo de seguimiento de una cohorte de pacientes que consultaron con trauma abdominal en la Unidad de Emergencia del HNR en el periodo de junio 2012 a mayo 2013, en quienes se utilizó métodos diagnósticos para dicho trauma abdominal. Se realizó también evaluación de pruebas diagnósticas. Resultados: Se encontró una muestra de 278 pacientes que cumplían criterios de inclusión. El lavado peritoneal fue el método más utilizado en nuestra serie en 147 pacientes (52.9%) seguido por el FAST 128 (46%). La modalidad de uso del lavado peritoneal fue de indicación en los pacientes con estado de choque y Glasgow más severo, y en traumas abiertos. La sensibilidad del lavado peritoneal fue de 100%, con especificidad del 87.5, y del FAST sensibilidad del 100% y especificidad del 91,80%. Conclusiones: El lavado peritoneal diagnóstico en nuestra serie fue el método más utilizado y en los pacientes con mayor grado de severidad de choque y Glasgow.
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Introduction: Abdominal pain, in etiology sometimes difficult to be defined, is a frequent complaint in childhood. Abdominal epilepsy is a rare cause of abdominal pain. Objectives: In this article, we report on 5 year old girl patient with abdominal epilepsy. Methods: Some investigations (stool investigation, routine blood tests, ultrasonography (USG), electrocardiogram (ECHO) and electrocardiograpy (ECG), holter for 24hr.) were done to understand the origin of these complaints; but no abnormalities were found. Finally an EEG was done during an episode of abdominal pain and it was shown that there were generalized spikes especially precipitated by hyperventilation. The patient did well on valproic acid therapy and EEG was normal 1 month after beginning of the treatment. Discussion: The cause of chronic recurrent paroxymal abdominal pain is difficult for the clinicians to diagnose in childhood. A lot of disease may lead to paroxysmal gastrointestinal symptoms like familial mediterranean fever and porfiria. Abdominal epilepsy is one of the rare but easily treatable cause of abdominal pain. Conclusion: In conclusion, abdominal epilepsy should be suspected in children with recurrent abdominal pain.
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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.
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Aims The pubococcygeal line (PCL) is an important reference line for determining measures of pelvic organ support on sagittal-plane magnetic resonance imaging (MRI); however, there is no consensus on where to place the posterior point of the PCL. As coccyx movement produced during pelvic floor muscle (PFM) contractions may affect other measures, optimal placement of the posterior point is important. This study compared two methods for measuring the PCL, with different posterior points, on T2-weighted sagittal MRI to determine the effect of coccygeal movement on measures of pelvic organ support in older women. Methods MRI of the pelvis was performed in the midsagittal plane, at rest and during PFM contractions, on 47 community-dwelling women 60 and over. The first PCL was measured to the tip of the coccyx (PCLtip) and the second to the sacrococcygeal joint (PCLjnt). Four measures of pelvic organ support were made using each PCL as the reference line: urethrovesical junction height, uterovaginal junction height, M-line and levator plate angle. Results During the PFM contraction the PCLtip shortened and lifted (P < 0.001); the PCLjnt did not change (P > 0.05). The changes in the four measures of pelvic organ support were smaller when measured relative to the PCLtip as compared to those to the PCLjnt (P < 0.001). Conclusions Coccyx movement affected the length and position of the PCLtip, which resulted in underestimates of the pelvic-organ lift produced by the PFM contraction. Therefore, we recommend that the PCL be measured to the sacrococcygeal joint and not to the tip of the coccyx
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Introduction: The current study was designed to determine the effect of home-based treadmill training on epicardial and abdominal adipose tissue in postmenopausal women with metabolic syndrome (MS). A secondary objective was to identify significant correlations between imaging and conventional anthropometric parameters. Material and methods: Sixty postmenopausal women with MS volunteered for the current trial. Thirty were randomly assigned to perform a supervised home-based 16-week treadmill training program, 3 sessions/week, consisting of a warm-up, 30-40 min treadmill exercise (increasing 5-minutes each 4-weeks) at a work intensity of 60-75% of peak heart rate (increasing 5% each 4-weeks) and cooling-down. Epicardial fat thickness (EFT) was assessed by echocardiography. Abdominal fat mass in the lumbar regions L1-L4 and L4-L5 was determined by dual X-ray absorptiometry. Results: Epicardial fat thickness and abdominal fat percentages were significantly improved after the completion of the training program. Another striking feature of the current study was the moderate correlation that was found between EFT and waist circumference (WC). Conclusion: Home-based treadmill training reduced epicardial and abdominal fat in postmenopausal women with MS. A secondary finding was that a moderate correlation was found between EFT and WC. While current investigations are promising, future studies are still required to consolidate this approach in clinical application.
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Introduction: The nutritional state is the independent factor that most influences the post-operational results in elective surgeries. Objective: to evaluate the influence of the nutritional state on the hospitalization period and on the post-operative complications of patients submitted to abdominal surgery. Methods: prospective study with 99 surgical patients over 18 years of age, submitted to abdominal surgeries in the period from April to October of 2013, in the Instituto de Medicina Integral Professor Fernando Figueira (IMIP). All patients were submitted to anthropometric nutritional evaluations through the body mass Index (BMI), arm circumference (AC) and triceps skinfold thickness (TEST). The biochemical evaluation was carried out from the leukogram and serum albumin results. The identification of candidate patients to nutritional therapy (NT) was carried out through the nutritional risk (NR) evaluation by using the BMI, loss of weight and hypoalbuminemia. The information about post-operational complications, hospitalization period and clinical diagnosis was collected from the medical records. Program SPSS version 13.0 and significance level of 5% were used for the statistical analysis. Results: The malnutrition diagnosed by the AC showed significant positive association with the presence of post-operative complications (p=0.02) and with hospitalization period (p=0.02). The presence of NR was greater when evaluated by hypoalbuminemia (28.9%), however, only 4% of the sample carried out the NT in the pre-operational period. The hospitalization period was greater for patients with malignant neoplasia (p<0.01). Conclusion: The malnutrition diagnosis of patients submitted to abdominal surgeries is associated to greater risk of post-operational complications and longer hospitalization permanence.
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We investigated the potential of secretory phospholipase A(2) (sPLA(2))-induced pancreatitis to promote abdominal hyperalgesia, as well as to depolarize sensory fibres in vitro using a grease-gap technique. Pancreatitis was induced by the injection of sPLA(2) from Crotalus durissus terrificus (sPLA(2) Cdt, 300 mu g kg(-1)) venom into the common bile duct of rats. Pancreatic inflammatory signs, serum amylase levels and abdominal hyperalgesia were evaluated in rats treated or not with SR140333, a tachykinin NK1 receptor antagonist. Injection of sPLA(2) Cdt caused pancreatic oedema formation and increased pancreatic neutrophil infiltration and serum amylase at 4 h, which returned to normality by 24 h, except for the neutrophil infiltration, which was still increased at this time point. Animals injected with sPLA(2) exhibited a lower withdrawal threshold to electronic von Frey stimulation in the upper abdominal region at 4 h, but not 24 h, post-injection when compared with saline-injected rats. Pre-treatment of animals with SR140333 significantly reduced the sPLA(2) Cdt-induced abdominal hyperalgesia, without affecting the other parameters. Neither sPLA(2) Cdt nor sPLA(2) from Naja mocambique mocambique venom depolarized capsaicin-sensitive sensory fibres from rat vagus nerve, but they decreased the propagated compound action potentials in both A and C fibres. These data show for the first time that NK1 receptors play an important role in the early abdominal hyperalgesia in a rat model of sPLA(2)-induced pancreatitis, suggesting that these receptors are of importance in the development of pain in the pancreatitis condition. We also provide evidence that sPLA(2)s do not directly depolarize sensory fibres in vitro. (C) 2011 European Federation of International Association for the Study of Pain Chapters. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Irritable bowel syndrome and functional constipation represent a relevant and common health issue. However, real-world clinical practice includes patients with constipation who may or may not have other abdominal complaints (pain, bloating, abdominal discomfort) with variable frequency. The goal of the present study was to obtain information on the workload entailed by patients with constipation and associated abdominal complaints, predominant clinical behaviors, education needs, and potential daily practice aids both in Primary Care and gastroenterology settings. The clinical behavior of doctors is generally similar at both levels, despite differences in healthcare approach: use of empiric therapies and clinically guided diagnostic tests, with some differences in colonoscopy use (not always directly accessible from Primary Care). Regarding perceptions, general support and osmotic laxatives are most valued by PC doctors, whereas osmotic laxatives, combined laxatives, and linaclotide are most valued by GE specialists. Furthermore, over half of respondents considered differentiating both diagnoses as challenging. Finally, considerable education needs are self-acknowledged at both levels, as is a demand for guidelines and protocols to help in managing this issue in clinical practice. A strength of this study is its providing a joint photograph of the medical approach and the perceptions of constipation with abdominal discomfort from a medical standpoint. Weaknesses include self-declaration (no formal validation) and a response rate potentially biased by professional motivation.
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La presente investigación surge como respuesta a la necesidad de comparar diferentes dosis de citrato de fentanyl en su capacidad protectora de los cambios en la presión arterial sistólica, diastólica, media, frecuencia cardíaca y saturación de oxígeno posterior a la intubación orotraqueal. Esto insistió a formular el Tema: Citrato de fentanyl a diferentes dosis en su capacidad protectora ante los cambios hemodinámicos posterior a la intubación orotraqueal en pacientes de cirugía abdominal, en hospital nacional de Santiago de María, año 2015. Por ello se elaboró el Objetivo: Comparar citrato de fentanyl a diferentes dosis en su capacidad protectora ante los cambios hemodinámicos posterior a la intubación orotraqueal. Se construyó la Metodología base de estudio: La investigación es de tipo ensayo clínico controlado, ya que evaluamos experimentalmente el fentanil a diferentes dosis y se controlaron las variables. La selección de los pacientes se realizó mediante la determinación de criterios de inclusión. Los instrumentos que se utilizaron para la obtención de la información son la guía de observación, en la cual se llevó un control y monitoreo continuo de los signos vitales de los pacientes que formaron parte de la investigación. Asimismo se obtuvieron los Resultados que fueron procesados por medio del sistema SPSS versión 19, determinando si tenían una distribución normal mediante Shapiro-Wilk dependiendo de esto se le aplicaron pruebas estadísticas de T-Student, U de Mann Whitney, determinando que el fentanyl a dosis de 4 mcg/kg proporciona una mayor estabilidad en los cambios hemodinámicos que se dan posterior a la intubación orotraqueal.
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Después de una laparotomía del 70 al 95de pacientes tienen algún grado de adherencias, las que se manifestarán dependiendo de su consistencia y ubicación con cuadros clínicos de obstrucción intestinal agudos o crónicos, dolor abdominal crónico de casa no bien definido, dispareunias, infertilidad. El tratar la causa y el lavado de cavidad peritoneal son puntales principales en el tratamiento de la inflamación peritoneal desencadenante de la formación de adherencias. Para el lavado los cristaloides son los más indicados y de ellos la solución salñina y el lactato de Ringer los más usados. El objetivo fue conocer la capacidad para disminuir la formación de adherencias intraabdominales con el uso de lactato de ringer en comparación con la solución salina al contacto con el peritoneo, en ausencia de patología abdominal, en ratas Wistar. Para esto se realizó un estudio experimental clínico controlado aleatorizado en ratas wistar de laboratorio, formando dos grupos de 38 especímenes en cada uno, que cumplan los criterios de inclusión y exclusión, a las cuales les introdujo 5cc, de lactato de ringer y el otro grupo 5cc de solución salina al 0.9a 37 grados Celsius en la cavidad abdominal por punción con aguja Verres. A las 6 semanas se sacrificó a los animales y se realizó una valoración de las adherencias con clasificación macroscópica y estudio microscópico. De 75 casos, 35 del grupo de Lactato de Ringer y 36 del grupo de Solución salina, solamente 3 (8,10) ratas del grupo de Lactato de Ringer y 3 (7,89) del grupo de Solución Salina presentaron adherencias intraperitoneales. RR: 0,97 (0,18-5,15)