997 resultados para Maîtrise de la langue (Apprentissage d’une langue)--Évaluation
Resumo:
Em S.Tomé e Príncipe a língua portuguesa foi instituída como língua oficial após a proclamação da Independência a 12 de Julho de 1975. Esta língua, porém, vive em regime de coabitação com outros sistemas nacionais: o Forro, o Lunga Ngola, o Lunguyé e o Crioulo de Cabo Verde. Do contacto resultam as inevitáveis interferências que têm conferido à situação linguística são-tomense uma especificidade muito particular: é que a grande maioria da população estudantil tem como língua materna um sistema que se situa num continuum linguístico entre o Crioulo e o Português cuja norma é a do europeu e que à falta de uma designação mais adequada, à semelhança de Fernanda Pontífice, apelidaremos de falar são-tomense. Tal facto tem constituído um sério problema no processo de ensino/aprendizagem da língua portuguesa no país. Dada esta situação, por imperativos pedagógicos, a implementação de métodos e técnicas de ensino adequados se tornam indispensáveis. Impõem-se, pois, a premência e a necessidade de estudos e pesquisas sobre este falar para que se possa encontrar um quadro de intervenção pedagógica que melhor se adeque a essa especificidade. Impõe-se um estudo sobre as interferências, impõe-se que os professores possam dispor de informação e formação que lhes permitam distinguir nas produções dos seus alunos o que são desvios, portanto o que é tolerável, e como tal pode ser aceite como marca específica da identidade linguística do sujeito falante e o que são erros e enquanto tais, têm de ser corrigidos. Conscientes da necessidade e da importância do estudo desta problemática, desenvolvemos o presente trabalho com o objectivo de sensibilizar os diversos sectores e entidades para a necessidade de se desenvolver a investigação e trabalhos de pesquisa linguística e se dotarem os professores e agentes educativos de formação adequada. Só assim estes estarão em condições de responder às exigências que nestas circunstâncias o ensino-aprendizagem da língua oficial impõe.
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Malgré le succès de « Marxisme et philosophie du langage » (par la suite MPL) de V. Volochinov, ce texte n'a suscité que trois comptes rendus. Le quatrième est ébauché par A. Romm. Resté à l'état de notes, ce compte rendu est bien étudié par les chercheurs contemporains. En revanche, le compte rendu écrit par R. Chor n'a jamais été analysé de façon détaillée. Notre article a pour but de combler cette lacune et porte sur le contenu de l'analyse critique de MPL faite par Chor. Son examen révèle que le compte rendu écrit par cette dernière et MPL de Volochinov représentent la formulation de principes de base diamétralement opposés de la science du langage «marxiste». Cela se manifeste dans la réception des idées de F. de Saussure. Si Chor considère la conception de ce dernier comme fondement de la linguistique «théorique» portant sur la langue en tant que système de signes (ou de «signifiances» dans les termes de Chor), Volochinov rejette la théorie de Saussure. Il la considère comme «abstraite», d'où le nom «objectivisme abstrait» qu'il donne au saussurisme. En élaborant la philosophie du langage «marxiste», il s'appuie sur la néo-philologie idéaliste (les idées de Vossler et de son Ecole) définie dans MPL comme «subjectivisme individualiste». Volochinov propose d'étudier la «langue» comme fait réel, accessible à l'observation immédiate et non pas comme objet d'étude «théorique». Ce fait constitue une cible de la critique adressée par Chor à Volochinov
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Le Cipret-Valais, la Société Médicale du Valais (SMV), Pharmavalais et Promotion Santé Valais, ont lancé en 2013 une campagne de sensibilisation sur l'impact du tabac sur les maladies cardiovasculaires (MCV). Cette campagne, qui sera déclinée sur trois ans (2013-2016), informe et sensibilise la population sur les liens existant entre le tabagisme et les MCV. La campagne suit différents axes : sensibiliser les fumeurs de plus de 40 ans aux conséquences du tabagisme sur leur risque de MCV, les encourager à contrôler leur pression artérielle (en pharmacie) et les inciter à prendre les mesures nécessaires à la réduction de leur risque de MCV. Dans une seconde phase, les fumeurs seront guidés dans leur démarche d'arrêt, avec des offres de désaccoutumance. Cette évaluation, qui concerne la première partie de la campagne (novembre 2013 et mars 2014), a pour but d'apporter un complément qualitatif aux données quantitatives récoltées au cours de la campagne (valeurs de tension artérielle (TA)). Des entretiens ont ainsi été menés avec le responsable du Cipret-Valais (A. Dubuis) et le président du Cipret-Valais, également responsable de la SMV pour cette campagne (Dr. D. Evéquoz). Un focus-group avec un échantillon de pharmacien était également prévu. N'ayant pu avoir lieu du fait d'une participation trop faible, il a été remplacé par des entretiens téléphoniques. Pour la partie quantitative de l'évaluation, les données sur les prises de TA en pharmacie ont été fournies par le Cipret-Valais et Pharmavalais, et celles sur la fréquentation du site internet par Cipret-Valais.
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Phénomène reconnu de longue date, dont les rhéteurs et les écrivains ont même souvent vanté l'efficacité pour réaliser un portrait moral convaincant, la caractérisation langagière des personnages n'a été que peu observée selon une perspective générale, comme si son étude ne pouvait s'envisager en dehors du projet esthétique d'un auteur particulier. Cependant, on peut envisager la caractérisation langagière comme procédant d'une poétique du récit, c'est-à-dire comme un mécanisme du texte narratif, dont certaines constantes peuvent être décrites. L'objectif du présent travail est ainsi de mettre au jour les conditions, tant textuelles que contextuelles, devant être réunies pour que certains aspects des discours rapportés fassent sens en tant qu'éléments de caractérisation. La nature indirecte de ce phénomène demande en effet de porter une attention particulière à ce qui relève des conditions de production et d'interprétation du texte, autrement dit des éléments contextuels que le texte convoque (liés à la langue, aux genres, au « texte » de la culture, etc.) afin de (re)construire par inférence ce qui est dit « sans être dit ». Ainsi la caractérisation langagière reposet- elle sur la reconnaissance d'un rôle thématique endossé par le personnage, rôle défini en partie par certains « habitus » discursifs. Mais il importe également de considérer la caractérisation langagière comme un effet de la textualité. Cela concerne d'abord des unités manipulées par les auteurs (mots, structures syntaxiques, phonologie...). Néanmoins, rien ne se joue sur un unique élément ; au contraire, d'une part, il faut qu'une série de traits s'organisent en un réseau isotope, et cela de la réplique isolée au texte entier ; d'autre part, la caractérisation dérive encore des relations que le discours d'un personnage entretient avec des discours avoisinants, en premier lieu celui du narrateur. Se concentrant sur des oeuvres comiques ou satiriques des XVIIe et XVIIIe siècles, l'approche proposée ici veut également tenir compte d'une tradition rhétorique et poétique qui associe portrait moral et parole représentée, tradition encore très présente dans un tel corpus, qui a par ailleurs l'avantage de laisser entrer dans le monde de la fiction des personnages de toutes conditions, dotés de leurs langages spécifiques.
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L'affirmation de soi à travers l'adoption d'un pseudonyme se présente comme une forme d'autocréation qui répond à l'acte d'écriture, en tant que forme première d'une individualité dans la langue. Le nouveau nom remplit la fonction symbolique d'invention de soi par la nomination, tout en jouant, chez certains écrivains d'Afrique noire, de l'inscription d'une autre langue au sein de l'onomastique française. Pour certains d'entre eux, l'autonomination apparaît même comme un acte de guérilla, une affirmation de soi et non une dissimulation, marquée au coin de l'onomastique africaine et d'un contexte historico-politique qui lui donne sens. Dans le cadre de cet article, à considérer comme l'esquisse d'une réflexion abordant un champ encore peu exploré, il s'agit d'envisager les divers enjeux de la nomination en Afrique noire, puis d'interroger les pratiques d'écrivains pseudonymes, tels Sony Labou Tansi, Mongo Beti et Ken Bugul, qui constituent des cas de figure particulièrement significatifs de cette pratique. Self-affirmation via the adoption of a pseudonym constitues a form of self-creation springing from the act of writing, in the guise of a primary shape given within language to an individual. The new name fulfills the symbolic function of inventing oneself through nomination while playing on - in the instance of certain black African writers - the inscription of another language within French onomastics. For one, self-naming appears as a « guerilla action », an affirmation of self and not its dissimulation, marked on the edges by African onomastics and an historico-political context that gives the meaning. In this article, offered as an outline of an approch to an little-explored field of investigation, we seek to identify the various stakes related to naming in black Africa, before examining specific techniques demonstrated by pseudonymous writers such as Sony Labou Tansi, Mongo Beti, and Ken Bugul, taken as exemplary and particulary significant in this domain.
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Les glorificateurs russes du nom avancent des arguments nombreux pour affirmer une autre vision sur le mot et son origine et sur la langue en général. Ainsi la référence sur la nature divine du mot et de la langue, l'unité de la forme et du contenu, le lien étroit entre le mot et la pensée ou le sens. Ils ont voulu poser la question de l'ontologie de la langue pour éclaircir certains problèmes de son emploi. Rappelons, que cette réflexion fut entamée par les penseurs antiques, notamment par Platon et Aristote, continué aux premières décennies du christianisme, et reprise par la philosophie russe au début du XIXe siècle.
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A partir d'un questionnement sur les données relatives au concept linguistique de langue «littéraire», concept central d'une théorie scientifique prospère en Union soviétique à partir des années 1960 jusqu'aujourd'hui, je cherche à proposer des explications qui pourraient rendre compte de l'ensemble des données analysées dans ma thèse. Mes conclusions se présentent sous trois angles : épistémologique (genèse et évolution du concept), historique et sociologique.Du point de vue de sa genèse, la théorie des langues «littéraire» mélange plusieurs sources: elle «greffe» l'apport des historiens de la langue comme A.A. Saxmatov (1864-1920) sur une longue réflexion, menée dès le XVIIIe s., l'époque de M.V. Lomonosov (1711-1765), sur ce qui est la langue de la civilisation russe. Le terme de langue «littéraire» russe est passé des littéraires aux linguistes pour tomber chez les sociolinguistes soviétiques (L. Krysin, E. Zemskaja) avec à chaque passage un contenu différent sans que pour autant ces différences soient explicitées de façon satisfaisante. Comparée aux définitions antérieures de la langue «littéraire», celle de la période des années 1960-90 est nettement plus prescriptive et renvoie à un usage réel qui serait supérieur à tous les autres et engloberait tout l'espace russophone en vertu de ses prétendues propriétés systémiques, jamais démontrées par les chercheurs.Les écueils de la théorie des langues «littéraires» et sa vitalité trouvent des explications si l'on prend en compte l'historicité des phénomènes. En replaçant les textes de linguistes dans un contexte anthropologique (historique, politique, institutionnel) plus large, je propose un récit des événements et des influences différent de récits canoniques présentés dans les ouvrages soviétiques. Je situe dans les années 1930 une mise en place de l'édifice du concept de langue «littéraire» à venir, inauguré dans les travaux de L.P. Jakubinskij (1892-1945) et V.M. Zirmunskij (1891-1971), où sous la désignation de «langue nationale» est décrite dans les grandes lignes 1e. concept de langue «littéraire» de la linguistique soviétique à venir.L'étude du contexte historique et l'examen de la validité de la théorie des langues «littéraire» m'ont amenée à formuler l'hypothèse qu'il existe une représentation sociale de la langue «littéraire» contenant plusieurs éléments du concept linguistique du même nom et partagée par des groupes sociaux plus larges que celui de professionnels du langage. J'ai entrepris d'établir les contours de cette représentation en appliquant les procédés proposés dans les travaux en psychologie sociale sur les représentations. D'après mon analyse, la représentation de la langue «littéraire» est plutôt stable. Du point de vue de sa formation et de son fonctionnement, c'est une représentation du type idéologique. Du point de vue de son organisation, elle présente plusieurs similitudes avec les représentations de la nation, qui se manifestent par l'adhésion des sujets à un héritage, supposé commun, de valeurs dont la langue fait partie et où elle est investie d'une forte charge identitaire. Cette valeur de la langue «littéraire» nationale est soutenue par l'État, l'enseignement, des institutions de régulation et les spécialistes du langage.Ainsi, une étude historique d'une théorie linguistique particulière présente un autre intérêt que celui de dresser un récit cohérent des événements et des influences, à savoir d'approcher à travers un corpus de textes de linguistes le domaine d'opinions des locuteurs sur leur usage langagier.
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Collection : Les grands écrivains de la France
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Collection : Les grands écrivains de la France
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Collection : Les grands écrivains de la France
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Collection : Les grands écrivains de la France
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Collection : Les grands écrivains de la France
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Collection : Collection de monuments pour servir à l'étude de la langue néo-hellénique ; n° 8
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La thèse se propose d'étudier la question de la littérature dans l'oeuvre de Theodor W. Adorno. Elle fait apparaître la fonction utopique que le philosophe allemand attribue à la littérature en tant que celle-ci dessine l'horizon d'une « langue sans terre », ligne de fuite hors de la « Dialektik der Aufklàrung » et de l'autodestruction de la Raison. Tandis que le discours philosophique a sans cesse reproduit dans son appareil conceptuel la violence mythico- rationnelle à l'encontre du singulier non-identique, la langue littéraire semble en mesure d'indiquer la possibilité de parvenir par le concept au-delà du concept, ce qui constitue le désir utopique de la pensée comme dialectique négative. L'enjeu n'est pas seulement épistémique : il est bien éthico-politique, lié à la possibilité d'établir des rapports à l'autre libérés de la contrainte de l'identité.¦Dans les oeuvres littéraires dont il entreprend la lecture - qu'il s'agisse de celles d'Eichendorff, de Hôlderlin, de Proust, de Valéry, de Beckett ou encore de Kafka - Adorno ne cherche cependant pas une figure concrète de l'utopie, mais la trace de « ce qui nous appartient en propre et qui a été laissé en blanc» - aussi bien dans les textes que dans l'Histoire. La littérature porte alors en creux ce possible impossible dont la puissance hante le présent entre ses lignes ; elle est de la réconciliation ( Versôhnung) une image sans image, tout à la fois ressource de la critique radicale des conditions existantes et réserve du désir d'un autre à venir.¦A partir d'une esquisse du geste inaugural de l'utopie de la littérature dans le premier romantisme de Iéna, la thèse expose les enjeux philosophiques, esthétiques et politiques de la littérature dans la pensée adornienne, puis procède - et c'est là le coeur du travail - à une « lecture de lectures », à une traversée des essais qu'Adorno consacra, tout au long de sa vie, aux textes littéraires, pour trouver en ceux-ci les indices de l'utopie à l'oeuvre.