977 resultados para philosophical toy


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This study focuses on teacher practices in publicly funded music schools in Finland. As views on the aims of music education change and broaden, music schools across Europe share the challenge of developing their activities in response. In public and scholarly debate, there have been calls for increased diversity of contents and concepts of teaching. In Finland, the official national curriculum for state-funded music schools builds on the ideal that teaching and learning should create conditions which promote ‘a good relationship to music’. The meaning of this concept has been deliberately left open in order to leave room for dialogue, flexibility, and teacher autonomy. Since what is meant by ‘good’ is not defined in advance, the notion of ‘improving’ practices is also open to discussion. The purpose of the study is to examine these issues from teachers’ point of view by asking what music school teachers aim to accomplish as they develop their practices. Methodologically, the study introduces a suggestion for building empirical research on Alperson’s ‘robust’ praxial approach to music education, a philosophical theory which is strongly committed to practitioner perspectives and musical diversity. A systematic method for analysing music education practices, interpretive practice analysis, is elaborated with support from interpretive research methods originally used in policy analysis. In addition, the research design shows how reflecting conversations (a collaborative approach well-known in Nordic social work) can be fruitfully applied in interpretive research and combined with teacher inquiry. Data have been generated in a collaborative project involving five experienced music school teachers and the researcher. The empirical material includes transcripts from group conversations, data from teacher inquiry conducted within the project, and transcripts from follow-up interviews. The teachers’ aspirations can be understood as strivings to reinforce the connection between musical practices and various forms of human flourishing such that music and flourishing can sustain each other. Examples from their practices show how the word ‘good’ receives its meaning in context. Central among the teachers’ concerns is their hope that students develop a free and sustainable interest in music, often described as inspiration. I propose that ‘good relationships to music’ and ‘inspiration’ can be understood as philosophical mediators which support the transition from an indeterminate ‘interest in music’ towards specific ways in which music can become a (co-)constitutive part of living well in each person’s particular circumstances. Different musical practices emphasise different aspects of what is considered important in music and in human life. Music school teachers consciously balance between a variety of such values. They also make efforts to resist pressure which might threaten the goods they think are most important. Such goods include joy, participation, perseverance, solid musical skills related to specific practices, and a strong sense of vitality. The insights from this study suggest that when teachers are able to create inspiration, they seem to do so by performing complex work which combines musical and educational aims and makes general positive contributions to their students’ lives. Ensuring that teaching and learning in music schools remain as constructive and meaningful as possible for both students and teachers is a demanding task. The study indicates that collaborative, reflective and interdisciplinary work may be helpful as support for development processes on both individual and collective levels of music school teacher practices.

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Traduction. commençant par : « Prologue ou preface du translateur de ce present livre. Combien que la commune oppinion des docteurs de l'Eglise et autres philozophes... » et finissant par : «... et laisse tel soing et cure à ceulx qui vivront apres toy. Cy finist le second livre, où il est disputé de fortune adverse »

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A l'exception des ex-libris et annotations de Jean Flamel, le manuscrit ne contient que la fin du Psautier sur une colonne (f. 4v) : « Sire, delivre nous en l'eure de la mort. / Sire, delivre (a exponctué) nous au jour du jugement ...-.... Sire, oy m'oroison / Et mon cri a toy viengne ». « Dex a qui propre chose est d'avoir merci ...-.... que la grant misericorde de ta pitié nous absoille. Par Crist nostre Seigneur. Ainsi soit il ». « Ci fine le Psautier en françois ». « Ci doit venir aprés le livre des paraboles Salemon ».

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Contient : « Lamentacions S. BERNARD » ; incomplètes du premier feuillet ; « Meditacions saint BERNARD » ; « Contemplacions saint AUGUSTIN » ; « Livre saint AUGUSTIN des seulx parlers de l'ame à Dieu » ; « Oraison de saint AUGUSTIN à Dieu » ; « Les méditacions saint AUGUSTIN » ; « Comment on doit Dieu amer. Fins amans sont appelez ceulz et celles qui Dieu ayment... » ; « La voye comment nous devons aler en paradis. La voye par quoy nous devons aller en paradis... » ; « L'ordenance du char Helye. La sainte Escripture dist que Helyas le prophete... » ; « Un preschement de nostre Seigneur. Simile est regnum celorum homini qui seminavit... » ; « Comment on doit Dieu amer, et le monstre par plusieurs raisons. Cuers en qui Dieu habite... » ; « Livre à la misere de l'omme [par le diacre Lothier, plus tard INNOCENT III, en trois livres]... Pourquoy issi ge du ventre ma mere... » (Cf. Romania (1887), t. XVI, p. 68) ; « Du livre de la science des phylosophes [et] de la science des moralités [Enseignements des philosophes]. Talent m'estoit pris que je racontasse... » ; « Livre des biens que tribulacion fait à l'ame, en laquelle tribulacion on doit esjoir. Da nobis, Domine, auxilium de tribulacione. A toy, ame livrée aus temptacions... » ; « Comment IIII. pechiez mortelz sont segnefiez par quatre bestes sauvagez. De nulle viande ne menjust Dieux... » ; « Aucuns bons enseignemens pour eschiver les pechiez de luxure, d'avarice et d'accide. Ilz sont VIII. choses qui donnent occasion de cheoir... » ; « De la demande que fist la mere saint Jhean, S. Jaque à nostre Seigneur et de la response. Quant nostre Seigneur Jhesucrist aloit par terre... » ; « Comment on se doit garder contre aucunes temptacions. Nous trouvons ou vielz Testament d'un roy qui ot nom Nas... » ; « De l'age Adam, et comment il envoya Seth, son filz, en paradiz terrestre. Après ce que Adam nostre premier pere... » ; « De la devise de la messe. Quant on sonne la messe... » ; « De l'ordonnance comment on se doit confesser. Quiconques se vuelt à droit confesser... » ; « Enseignemens que le bon roy S. LOYS fist et escript de sa main et les envoya de Carthage, où il estoit, à roy Phelippe » ; Autres Enseignements envoyés par S. LOUIS « à la royne de Navarre, sa fille, etc. » ; « La fin du bon roy S. Loys que il ot à sa mort, que l'evesque de Thunes envoya à Thybault, roy de Na[va]rre et conte de Champaigne et de Brie » ; « Les proverbes que SENEQUES fist en prose » ; « Les dis et proverbes des sages. Chaton. N'est pas sire de son pays... »

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Contient : « Le Doctrinal Sauvage. » Cf. P. Meyer, Romania, t. VI, p. 21 ; F. Bonnardot, Bull. Soc. des Anc. textes, t. II, p. 76 ; Sentences latines, extraites de Sénèque, S. Ambroise, S. Léon, etc. Début : « Quod Deus est, scimus... » ; Extraits d'ouvrages latins sur la pénitence ; « Les enseignemens que le roy saint Louys fist à son filz. » Début : « Chier filz, la premiere chose que je t'enseigne, si est que tu mettes ton cuer en Dieu... » ; Avis sur l'éducation des enfants ; Sur les huit béatitudes. Début : « Pour entendre aucunement en gros la matiere de l'Euvangille de la Toussains... » ; « Traictié de Mellibée et de Prudance, » par Christine de Pisan. Début : « Après, ma treschiere dame, que j'ay fait sur Boece de Consolation a voustre service... » Imprimé ; cf. Brunet, Manuel du Libraire, t. I, col. 1036 ; t. III, col. 1589 ; « La manière de vouloir faire aucum testament. » Début : « In nomine Patris... saichant tout que je, Tel, en plaine vie... » ; « La signification de la messe. » Début : « Nostre Seigneur nous aprent... » ; « S'ensuit ung petit livre contre détraction. Début : « Se aucuns se repute religieux, comme dit saint Jacques... » ; « Douze considerations pour que l'âme soit exaucée de Dieu. » Début : « Cy vient à toy, Sauveur Jhesus, ceste ta serve... » ; Dialogue en vers entre Dieu, la raison, le coeur et les cinq sens ; Exemples moraux. Début : « Ung abbé demanda à ung larron qui le vouloit rober... » ; « La vie monsieur Saint Thiebault. » Début : « Sains Thiebaus fut néz de l'eveschié de Troyes... » ; « Le deduit de chiens et de chacier, » en vers, par « Herdoin, seigneur de Fontaine-Guérin » ; « Li aguillons d'amours. » Début : « O mes doulx Dieux, je qui en toy ay ma fiance... » ; « Medetacion devote et meritoire aux vii heures du jour. Début : « Tu dois savoir, quar ame espirituelment... » ; « Li purgatoire saint Patrice. » Début : « En ce temps que sain Patrices li grans preeschoit... » ; « Le miroer des pecheurs, » sermon traduit du latin. Début : « Mes tres chiers freres, nous sommes en ce monde fuians et passans noz jours... » ; Vers sur la Passion ; Traité sur les fins de l'homme, par G. de Mérucourt ; « Moralité faitte ou college de Navarre à Paris, le jour saint Anthoine l'an mil IIIIc XXVI, a cinq personnages, c'est assavoir, Dieu, le docteur, pechié, le dyable et l'omme. » — « Explicit la vigile de l'Ascension Nostre Seigneur l'an 1433, avant disner »

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Contient : 1 « Le riche don d'amoureuse mercy ». « Me NICOLE OSMONT » ; 2 « En vray amour il n'est riens impossible ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 3 « L'arbre de vie en l'isle fortunée ». « Me JEHAN ALYNE » ; 4 « Le sainct desert plain de manne angelique ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 5 « Le grant decret d'auctorité divine ». « Me JAQUES FILLASTRE » ; 6 « Le restaurant qui pour mort rend la vie ». « COURNILLE, alias TOURMENTE » ; 7 « Romme où se tient le sainct pape Innocent ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 8 « Le bien de paix aux humains necessaire ». « Me NICOLE DU PUYS » ; 9 « Dessus la loy d'humaine congnoissance ». « Me YSAMBERT BUSQUET » ; 10 « Femme parfaicte en nature imparfaicte ». « Me GUILLAUME THIBAULD » ; 11 « La souveraine en parfaicte beaulté ». « PIERRE CRIGNON » ; 12 « Ung corps parfaict sus ordre elementaire ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 13 « Au fondz d'yver printemps qui rend verdure ». « Me INNOCENT TOURMENTE » ; 14 « La purité du feu elementaire ». « Me P. AVRIL » ; 15 « La digne couche où le roy reposa ». « Me CLEMENT MAROT » ; 16 « Harnoys d'espreuve au puissant roy de gloire ». « PIERRES CRIGNON » ; 17 « Le regne franc de la loy tributaire ». « Me GUILLAUME THIBAULD » ; 18 « Saine et entiere en note et escripture ». « Me CHARLES DE SAINCT GERMAIN » ; 19 « Femme en la loy et hors la loy conceue ». « Me JO. DE BEAUVOYS » ; 20 « Selon ton nom louenge te soit faicte ». « Le general DE CAEN » ; 21 « Au grant festin du cereal convive ». « Me THOMAS LE PREVOST » ; 22 « La saincte Bible où verité repose ». « Me GUILLAUME THYBAULD » ; 23 « Pour le tout beau conceue toute belle ». « Me JEHAN DE BEAUVOYS » ; 24 « Fille obtenant la grace de son pere ». « Me ADAM LAIR » ; 25 « Le noble cueur commencement de vie ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 26 « Triumphanment la victoire obtenue ». « GUILLAUME DE SEVYNGUEHEN » ; 27 « Le feu d'amour pour reschauffer le monde ». « Me NICOLE DU PUYS » ; 28 « Du faulx serpent la puissance a destruicte ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 29 « Vray Mythridat contre mordz de vipere ». « Me INNOCENT TOURMENTE » ; 1 « Toute belle en ame et corps nect ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 2 « La bouge plaine de salutz ». « DUPUYS » ; 3 « La main armée aux ennemys ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 4 « La terre rendent bled de grace ». « Me GUILLAUME THIBAULT » ; 5 « Le nombre d'or de l'an de grace ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 6 « Victoire sur mes ennemys ». « Me JAQUES LELYEUR » ; 7 « Pour les siens poison importable ». « Me REUIL DOUBLET » ; 8 « Entre deux vertes une meure ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 9 « Entre deux vertes une meure ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 10 « Entre imparfaictz toute parfaicte ». « Me GUILLAUME DE SEVYNGUEHEN » ; 11 « Il n'est à Dieu rien impossible ». « Me GUILLAUME THYBAULT » ; 12 « Toutes à l'oeil, mais une au cueur ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 13 « Grace en toy par divin plaisir ». « Damp NICOLLE LESCARRE » ; 14 « Conception plaine de grace » ; 15 « Juste balence et loyal poix ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 16 « La haulte tour de fortitude ». « LESCARRE » ; 17 « La franche terre du grand roy ». « JEHAN PARMENTIER » ; 18 « D'azur à trois fleurs de lys d'or ». « PIERRE CRIGNON » ; 19 « Pour humains lyez deslier ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 20 « Corde l'homme et Dieu accordant ». « LIEUR » ; 21 « Ne craignez plus, la beste est prise ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 1 « Seule sans cy ». « Me JAQUES LE LIEUR » ; 2 « Par devolut ». « Me PIERRES AVRIL » ; 3 « Le povre Adam ». « Me NICOLE DU PUYS » ; 4 « Fors vous ». « Me NICOLE OSMONT » ; 5 « En fleur et fruict ». « Me JEHAN ALYNE » ; 6 « En unité ». « Me PIERRES AVRIL » ; 7 « Comme nature ». « Me CLEMENT MAROT » ; 8 « Grace sur grace » « Me THOMAS LEPREVOST » ; 9 « En mon concept ». « Me INNOCENT TOURMENTE » ; 10 « Ou bien de Dieu ». « GUILLAUME DE SEVYNGUEHEN » ; 11 « Une et non plus ». « Me THOMAS LEPREVOST » ; 12 « En tout honneur ». « Me PIERRES AVRIL » ; 13 « Pour moy sans plus ». « Me GUILLAUME TYBAULD » ; 14 « Grace nous vient ». « Damp NICOLE LESCARRE » ; 15 « Par mon cher filz ». « Me GUILLAUME THIBAULD » ; 16 « Mauldict serpent ». « AVRIL » ; 17 « Voulez vous myeulx ». « Me JEHAN BROYSE » ; 18 « Nonobstant loy ». « G. DE SEVYNGUEHEN » ; 19 « Au gré d'amour ». « Me GUILLAUME TYBAULD » ; 20 « Est ce bien faict ». « L'abbé DE SAINCT VANDRILLE » ; 21 « Hors paradis ». « Me JAQUES LE LYEUR » ; 1 « Deploracion de l'acteur » ; 2 « Espitre », par « LE LIEUR »

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Contient : 1° « La Magnesie de ARCHISTRANT sur le fait de la grant pierre » ; 2° « Aultre Magnesie » ; 3° « Le Livre qui est appellé la Trinité, faisant mencion de la pierre des philozophes » ; 4° « Le Livre appellé le Liz, faisant mencion de la pierre des philozophes » ; 5° « Le Livre appellé la Fleur d'alkimie », par « maistre JEHAN DE MEUN » ; 6° Opérations de science naturelle ; 7° « Aristotes dist au roy Alixandre ce qui s'enssuit sur le fait de la pierre des philozophes » ; 8° « Les Lettres de Frere NICOLAS à Frere Bernard, sur l'art philosophical, translatées par moi Frere JEHAN PILLES » ; 9° « Le Tresor de philozophie de Frere BERNARD DE VERDUN » ; 10° « La Lettre envoyée à maistre Jehan Marcel par Frere JEHAN DE FRAXIS » ; 11° « Aqua vegetabilis » (recettes) ; 12° Traité du régime en trois parties, astronomie, physionomie et médecine

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Contient : « Réflexions sur la Grammaire chinoise de M. Fourmont. 1744 » ; Copies et extraits de la correspondance du P. Parennin, jésuite, et de M. Dortous de Mairan, et de lettres des PP. Du Halde, Gaubil, etc. (1728-1741), suivies d'extraits du Mercure suisse, de 1734 (fol. 216), et des Philosophical Transactions, de 1730 (fol. 248), sur la littérature, l'histoire et les coutumes des Chinois. — Cf. C. Sommervogel, Bibliothèque de la Compagnie de Jésus (1895), t. VI, col. 285 et suiv

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Contient : 1 Sept vers latins exprimant par un mot la caractéristique de chaque mois dans l'année ; « Pocula Janus amat et Februus algeo clamat... » ; 2 Catéchisme en flamand. Extrait ; 3 Copie faite en 1570, par « Philippe Harduyn de S. Jaques », d'un traité imprimé à Louvain en 1550, traité composé « par frere ADRIEN DE MALINES, de l'ordre de S. François », sur la manière de se préparer à recevoir la communion. En flamand ; 4 Extrait concernant la médecine des sauvages de la Floride, tiré de « LESCARBOT, en son Histoire » de la Nouvelle-France, imprimée en 1609, « livre VI, chapitre XV » ; 5 Traduction par « PH. HARD[UIN] de S. JA[CQUES] » du traité dont nous avons la copie plus haut, sous le n° 3 ; 6 Extraits tirés de l'« Histoire de la mission de quelques capucins en l'isle de Maragnan, livre Ier, chap. III, VIII, XXXV, XXXVIII, XLII, XLIV », sous les rubriques « maladies contagieuses... poissons estranges... oyseaux... arbres... la saison des vents au pays du Bresil... fruicts qui se trouvent en l'isle de Maragnan... papillons... admirable longueur de vie » ; 7 Les serments « de l'espée... de la dague... du baston à deux bouz... de la roue » ; 8 « Basse dance commune » ; 9 Citation : « Quid enim bonum ejus est... » ; 10 Date de la naissance de Philippe Coifin ; 11 Copie de la « requeste presentée par ceux d'Anvers, qui communement se faisoyent nommer gueux, au roy catholique, leur souverain seigneur » ; 12 « A monseigneur Mr le comte de Hoocstraede, gouverneur pour S. M. en la ville d'Anvers, et messigneurs les bourgmeesters et eschevins et conseil aud. Anvers », requête ; 13 « De la noblesse », discours ; 14 « Exemple memorable d'un serment frauduleusement fait », tiré de « PAUL EMILE, lib. Ier des Gestes des François » ; 15 « De nomine Ernesto, ex WOLFGANGO LAZIO », dans l'ouvrage de cet auteur qui a pour titre : « De gentium aliquot migrationibus ». En latin ; 16 « Ex sancta BRIGIDA », citation, en latin ; 17 Quatre vers latins prophétiques ; 18 Huit vers latins prophétiques ; 19 Deux vers latins sous le titre : « Volumen anni 1588 » ; 20 « Aliud distichon chronicon » ; 21 « Denombrement des archeveschez, eveschez, duchez, baronnies et comtez, villes et villages, feux et arpens de terre du roiaume de France » ; 22 « Longueur de vie, fécondité des femmes », extrait de l' « Histoire de la mission de quelques capucins en l'Isle de Maragnan, chap. XLIV » ; 23 Lettre de BODIN : « Mr, j'ay envoyé à Mr le procureur general les procez verbaux, comme il m'estoit enjoint, de l'execution de l'arrest de la cour, l'ayant receu dimenche dernier XIXe de mars... » ; 24 Lettre de BODIN : « Mr, ce petit mot servira de messager pour vous prier de me faire sçavoir comment Mr d'Ogier et sa famille se portent... » ; 25 Lettre de BODIN : « Mr, j'ay eu peur que vostre ville ne fut contrainte, par faute de vivres, de capituler à dures conditions, ayant sceu que la livre de beurre s'estoit vendue quinze solz... Ce 15e jour » d' « aoust 1589 » ; 26 Lettre de BODIN : « Mr, je desyre sçavoir de voz nouvelles et de vostre famille et qui soyent bonnes, combien qu'il est impossible, en une calamité si generale... De Laon, ce 7e jour de novembre 1591 » ; 27 Lettre de BODIN : « Mr, contre tant de calamitez si faut il chercher tous les moyens de se consoler, quand l'occasion s'y presente... Ce ... 12e janvier 1593 » ; 28 Lettre d' « ALEXANDRE FANCESCHI,... à l'illustrissime et reverendissime ! Monseigneur, cela que j'ay dit et exposé à vostre seigneurie illme aprez luy avoir presenté le bref de creance de la part de N. S. Pere... » ; 29 « Lettre de Mr BODIN, imprimée à Paris par Guillaume Chaudiere. Mr, depuis trois jours un de mes amiz vous ayant visité m'a rescrit que vous estiez demeuré fort estonné de ce que j'estoy ligueur... De Laon, ce 20 janvier 1590 » ; 30 Relation sommaire des actes de la conference tenue à Suresnes en 1593 ; 31 « Le procez, par PIERRE DE RONSARD, Vandosmois », pièce de 272 vers adressée « à tres illustre prince Charles, cardinal de Lorraine » ; 32 Deux vers latins relatifs audit procès ; 33 Deux vers latins répondant aux deux qui précèdent ; 34 « Animaux terrestres qui se touvent à Maragnan... animaux rampans » ; 35 « De l'imprimerie » ; 36 « Sententiae selectae ex diversis authoribus ». En latin ; 37 « Praecepta quaedam » ; 38 « Recueil des choses advenues en France » ès années 1559, 1560, 1574 et 1575 ; Mariage d'Élisabeth de France, fille de Henri II, avec Philippe II, roi d'Espagne ; Supplice d'Anne Du Bourg, conseiller au parlement, convaincu d'hérésie ; Mort de Henri II, roi de France, blessé dans un tournoi par le comte de Montgomery ; Tumulte d'Amboise ; Siège de Domfront par le Sr de Matignon, en 1574 ; Mort de Charles IX ; Arrivée de Henri III à Lyon ; « Lances et brandons de feu », vus dans le ciel en 1574 et en 1575 ; 39 Deux vers ; 40 « Marque du vray François » ; 41 Deux vers ; 42 « Marque du vray catholique françois » ; 43 « Discours de ce que le general PORTAL expedia au voyage qu'il fit au camp du prince de Condé » ; 44 « Fragment de la remonstrance et requeste faite à Leurs Majestez par le general PORTAL » ; 45 « Discours merveilleux de Malchus » ; 46 « Stances de la Chasse aux dames » ; 47 « Dictons vulgaires » (fol. 49) ; 48 « Feux merveilleux advenuz à Rouen », en « 1118... 1100... 1126... 1073... 1193... 1203... 1220... 1228... 1243... 1514... 1513... 1515... 1569... 1330... 1472... 1415... 1480... 1519... 1453... 1315... 1483... 1513... 1550... 1523... 1347... 1477... 1479 » ; 49 « L'orloge de la passion de nôtre sauveur et redempteur Jesu-Chrit » ; 50 Maximes de droit féodal : « Le prince ou signeur qui fait felonnie à son vassal... » ; 51 « Les sept archeveschez du royaume de France » ; 52 « De corona imperatoria. Imperator romanus tribus coronis debet coronari... » ; 53 « Versus (5) vulgares de septem electoribus imperii » ; 54 « De la cité de Venise. La cité de Venise ne reconnoit aucun supérieur en temporalité... » ; 55 Note ; 56 Note sur les ressources que l'on peut tirer d'un impôt de 20 livres par clocher en France ; 57 « Le pris des monnoyes d'or et d'argent, publié en France, l'an 1532, au mois de mars, et l'an 1533, au moys d'avril », note ; 58 « Aetates hominis », tableau ; 59 « Cur Beda venerabilis titulo decoretur », note, en latin ; 60 Comment St Jérôme ordonna le service liturgique de l'église, note ; 61 Note sur trois baptêmes de cloches à Fleury-sur-Andelle, l'an 1529 ; 62 Baptêmes de cloches à « Noion-sur-Andelle, à present dit Charleval... l'an 1574 » ; 63 « La suscription des cloches de Charleval » mentionnées ci-dessus. En latin ; 64 « Epitaphium Georgii Fereyi Carlovalli, in divi Dyonisii aede sepulti, a patre Joanne Fereyo compositum ». En latin ; 65 « Outiz d'un cordouannier : un tranchet, une allenne. Il y en a de propres à besongner en liege... » ; 66 « Motz de gaudisserie », note ; 67 « Declaration des benefices estans à la donnaison et presentation de l'archevesque de Rouen, au diocese dud. Rouen ». En latin ; 68 « Lettre du roy CHARLES IX au Sr de Carrouges, gouverneur de Rouen » ; 69 « Epigramma de morte Molaei, propter conspiratam regis mortem capite truncati anno 1574 » ; 70 « De musices tonis. Primus tonus, qui dorius alio nomine dicitur... ». En latin ; 71 « De sainte Maxellende, vierge et martyre » du Cambrésis. « Au tems du roy de France, nommé Thierry,... laquelle celebre sa feste le XIIIe de novembre » ; 72 Note sur Hardouin, doyen du Mans, qui l'an 1161 fut fait archevêque de Bordeaux ; 73 « Recueil d'un dialogue auquel est introduite Alythie, c'est-à-dire Verité, laquelle est logée en ces quartiers de la Hongrie, qui est souz la puissance du Turc, par l'autheur, qui est inconnu, si ce n'est qu'aucuns l'attribuent au Sr Du Plessis, de la maison de Bouy, huguenot » ; 74 « Capitulation faite par le Sr de Mattignon avec ceux de Carenten, l'an 1574 » ; 75 « Lettre de la royne, mere du roy, regente en France, au bailly de Gisors... Nous avons entendu que plusieurs personnes, tant nobles que roturieres, qui estoyent en la guerre de Normendie... Donné à Paris, le 17 juillet 1574. Signé : CATHERINE » ; 76 « Lettre de M. DE LA MAILLERAYE, gouverneur en Normendie, en l'absence du duc de Bouillon, au bailly de Gisors. Mr le bailly, je ne vous sçauroy mieux instruire de l'intention de la royne... De La Mailleraye, le XXIIIIe de juillet 1574. DE MOY » ; 77 « Quibus planetis unumquodque musices intervallum tribuatur. Jupiter habet gratiam vocis octavae simul et quintae... Musicae genera elementis simul atque quatuor humoribus convenire dicebant veteres... coelo stellato contribuerunt ». En latin ; 78 « ERASMUS, in epistola ad Joannem et Stanislaum Bonneros, fratres polonos, Terentii comoediis praefixa : Nihil homini melius pietate... ». En latin ; 79 « Anticlaudianus. De peculiari multorum artificum dote » ; 80 « PIERRE RONSARD » ; 81 « ANTHOINE BAÏF » ; 82 Sentences en latin ; « Quemadmodum bona prudentiae pars... » ; « Ad parandam eruditionem... » ; « Ea demum in omnem vitam... » ; 83 « Stadium spatium est quod centum et viginti quinque nostros efficit passus... », définition du stade d'après Pline, livre II, chap. XXIII. En latin ; 84 Sentences et réflexions, en latin ; « Difficile est, ut divus Hieronymus ait, senum mutare linguam... ». En marge on lit : « FUCHSIUS, in epistola nuncupatoria medicinae paradoxis affixa » ; « Nullum imperium, imo ne religio quidem ipsa sine literarum praesidio conservari potest... » ; « Si linguas literasque bonas rebus humanis princeps exemerit... » ; « Principum nostrae aetatis... » ; « Neque melius, neque honestius... » ; « Adulatores unum hoc conantur... » ; « Illa in studiis dissensio ac conflictatio Hesiodo, atque adeo Galeno, utque mortalibus longe utilissima sit prohatur... » ; « Arabes medici in universum omnes nihil aliud conati sunt, nisi quod ex aliorum... » ; « Convenit ut princeps imperii sui ac rerum agendarum initia a gloriae Dei propagatione capiat... » ; « Anno M. D. XXXIV scripsit Leonarthus Fuchsius libros Paradoxorum medicinae... » ; « Nihil indecorum est docere, quod didicisse sit utile et honestum » ; 85 « La riviere du Nil sourd du lac appellé Zaïre... » ; 86 « Quatrain sur les estatz tenus à Blois au mois de decembre 1576 » ; 87 « Autre » quatrain sur les états de Blois en 1576 ; 88 Pensées, sentences et réflexions, en latin ; « Ut poesis suam a musica άρμονίαν, geometria proportiones ab arithmetica mutuatur... ». En marge on lit : « Ex JACOBI OMPHALII jureconsulti nomologia » ; « Quemadmodum Apelles et Parrhasius suam imaginibus addiderunt symmetriam... » ; « Ut apud Platonem Socrates,... » ; « Clysteris usus ibi Aegiptiae avi... » ; « Absolvitur reus... » ; « Absens in criminibus damnari non debet, ut divus Adrianus,... » ; « Cicero Asiaticorum levitatem... » ; « Mentitur in carcere, qui dolorem pati potest... » ; « Sicut frons parva modestiae... » ; « Certus et constans usus plenam in re omni parit perfectionem » ; « Quo quenque naturae έ'ξις ferat... » ; « Quemadmodum medici leviter aegrotantes leviter curant... » ; « Ut tempestates saepe certo aliquo coeli signo commoventur... ». En marge on lit : « EX CICERONIS oratione pro Murena,... » ; « Argumentationes viscera ac veluti nervi sunt orationis... » ; « Diversum argumentandi morem rhetor a dialectico sectatur... » ; « Argumentatio syllogismorum figuras ac modos complectitur... » ; « Nasica disoit qu'il estoit bon que Romme eust toujours un ennemy à qui faire la guerre... ». D'après « FLORUS » ; « Nullae laudes tam firmae... ». A la marge on lit : « JOAN. PICARDUS JONKERIANUS, de prisca celtopaedia lib. I » ; « Ut ex medicina nihil oportet putare proficisci... ». En marge on lit : CICERO, lib. de Inventione » ; « Sicut medico diligenti, priusquam conetur aegro adhibere medicinam... ». En marge on lit : « Idem [CICERO] lib. II de Oratore » ; « JUSTINIANUS de lege Aquilia, tit. III. Institutionum imperialium : Si medicus qui servum tuum secuit... » ; « Qui moritur minis sepelitur crepitibus asininis » ; « Vinum et musica laetificant cor... » ; « Tibiae et psalterium... » ; 89 Distique accompagnant un cadeau envoyé, le 23 novembre 1594, à-Philippe Harduyn de St-Jacques, le lendemain de son mariage avec Geneviève Drouet ; Aureus est annus, sunt aurea munera, dulces... » ; 90 « Le soleil dechasse les tenebres... » ; 91-92 « Sur les figures nouvellement erigées à l'Horloge du Palais, à Paris. Quadrains » ; 93 « 1587. De quinque Henricis : Valesio, Guisio, Navarraeo, Condaeo, Montmorencio » ; 94 Six vers composés par « le president FAUCHET », après avoir « veu son effigie representée à S. Germain en Laye souz le nom de Neptune » ; 95 Proverbes ; « El fuer de Aragon... ». En espagnol ; « Noyer en vigne... » ; 96 Examen de la question suivante : « A sçavoir si les femmes doivent estre rejettées de l'heritage du royaume, comme aussy de son gouvernement, par le droict francogallique. Chap. XIX » ; 97 « La vraye origine de ces mos Guelphes et Gibelins. Les divisions et partialitez qui avindrent en Italie... » ; 98 « Pourquoy les Normans ont esté ainsy appellez. BELLEFOREST, au IIIe livre de son Histoire universelle, chap. XL, rejette l'opinion commune de ce mot Norman... » ; 99 Pensées diverses, en latin. « Levior majori succedens labor ipso magis otio recreat... » ; 100 GESNERUS, « in epistola nuncupatoria bibliothecae, sive catalogi universalis omnium scriptorum : De theriaco remedio tres Galeni (ut creditur) libros habemus... ». Extrait, en latin ; 101 « Bussii epitaphium, magistro nostro HANGAR, doctore theologo parisiensi authore » ; 102 « Jacobi de Levi, herois Queslaei, epitaphium in [aede] divi Pauli (ubi honorificentissime, jussu Henrici III, regis christianiss., cui έταϊρος chariss. et in deliciis summopere fuit, idem Queslaeus sepultus jacet, ibique monimentum marmoreum valde superbum ab eodem rege erectum est in ejusdem Queslaei memoriam) literis aureis marmori insculptum » ; 103 « Ad idem epitaphium velut responsum in laudem victoris Entragaei, ab eodem theologo » ; 104 « Hoc sequens prognosticon inventum fuit in libro quodam manuscripto apud Carthusienses parisinos, fol. LXXV, circa annum Domini [1422], dum regnaret in sede lilii Carolus nomine Sextus, circiter quadragesimum tertium seu postremum annum regni ejusdem : « Cum rex Henricus regnabit origine Francus... » ; En latin ; 105 « Epistola domini PII, papae, transmissa Ludovico, christianiss. Francorum regi, ad quassationem... Sanctionis Pragmaticae. Charissime in Christo fili, salutem et apostolicam benedictionem. Accepimus ex literis venerabilis fratris nostri Johannis, episcopi Atrebatensis... Datum Romae, die XXVI octobris, anno Domini 1461, pontificatus nostri anno quarto ». En latin ; 106 « Ex epistola nuncupatoria quarti libri ARNOLDI FERRONII de Gestis Gallorum. Tres causae quibus homines ad historiam scribendam maxime stimulantur... ». En latin ; 107 « Industria, honore et liberalitate alitur... ». En latin ; 108 Six lignes, en latin, concernant Maximilien Ier, empereur d'Allemagne ; 109 « Breve instruction de musique » ; 110 « Des cometes » ; 111 « Extrait d'un livre intitulé : la Fontaine de toutes sciences, fait par le philosophe SIRACH, et imprimé à Paris, l'an 1486, le 20e de fevrier, auquel le roy Boetus demande et led. Sirach respond » ; 112 Notes à l'usage de celui qui veut faire bâtir ; 113 « Quando et quis primum in Hispania rex catholicus sit dictus ». En latin ; 114 « Discours ... tiré d'un livre intitulé : Response des vrays catholiques françois à l'avertissement des catholiques anglois, pour l'exclusion du roy de Navarre, nommé Henry de Bourbon, de la couronne de France, imprimé l'an 1588, sans exprimer autrement le nom de l'autheur et de l'imprimeur, combien que l'on se doubte que l'autheur soit un nommé D'ORLEANS, advocat, lequel on estime aussy avoir composé luy-mesme l'advertissement des catholiques anglois aux catholiques françois » ; 115 Sentence tirée du même livre, « laquelle l'autheur attribue à Pacianus, evesque de Barcelonne » ; 116 Mesures de capacité dans leurs applications au vin, au blé, au sel, à l'avoine. Mesures pour le bois, le foin et la paille ; 117 Noms latins de plusieurs parties de la tête ; 118 Sentences latines accompagnées de la traduction en français ; 119 HENRICUS LORITUS GLAREANUS, in praefatione operum Boethii : Philosophia mutas vocat meretriculas... ». En latin ; 120 « Voyage ou navigation de JEAN VAN HUYGHEN DE LINSCHOT, imprimé à Amstelredam, 1596. Commencé l'an 1579, le 6e de decembre, depuis l'isle de Texel jusques en Seville, dans un navire qui alloit à S. Lucas de Barrameda... » ; 121 « Thema latinum ad charissimum patremmeum ». En latin ; 122 Lettre, en français, dudit écolier « JOANNES SANJACOBAEUS », adressée à son père. Il y parle de son précepteur, « Mr Greslet » ; 123 Récit de l'entrée de Marie de Médicis, reine de France, en Avignon, en novembre 1600 ; 124 Épitaphe de « Jehan Fourcade, dit Portet, natif de Paris », décédé à Blois, le 18 janvier 1602, apres avoir « servi S. M. et les defuncts rois ses predecesseurs, de pere en fils, l'espace de cent vingt ans » ; 125 Notes concernant don Juan d'Autriche, 1571 : ; 126 Mémoire sur la maison de Joyeuse, par « MARCEL VILTERS » ; 127 Notes ; « Medecins du Japon » ; « Croyance des sauvages, apprise du grand Sagamo des Algoulmequins, appellé Besouat, par le Sr Champlein, nonmé Samuel, tirée de l'Histoire de la Nouvelle France, livre III, chap. 2, page 294 » ; « Maladie estrange [jambes enflées, guéries par l'annedda], chap. 24 du livre III de l'Histoire de la Nouvelle France » ; « Maladies estranges » : scrofule, goître, scorbut. Histoire de la Nouvelle France, livre IV, chap. 6, page 468 ; « Marsoins, poissons » ; « Des devins. L'ESCARBOT, dans son Histoire de la Nouvelle France, livre VI, chap. 5, page 725 » ; 128 « Enfantement merveilleux. Marguerite, fille et heritiere de Florent, comte de Hollande, et de Mathilde,... de Brabant, accoucha, tout d'une ventrée, de 364 enfants, tant masles que femelles, l'an... 1276, le jour du jeudi absolut, à neuf heures du matin, estant âgée de 42 ans.... » ; Le même fait a été raconté en latin, par ERASME et par JEAN LOUIS VIVES, que notre ms. cite ; Le compilateur blâme Erasme d'avoir mis la vérité de ce fait en doute ; 129 « Fragment de quelques demandes catholiques aux prelats presens à la mort de M. de Guise, à Blois, faite par le commandement de Henri III, roi de France. 1588. Si ce sanglant homicide fut advenu par un premier et soudain mouvement de courroux... » ; 130 « Memoires propheticques. Si le plain de la lune est rouge à coulleur d'or, signifie vents... » ; 131 « Les quattre mariages de Philippe d'Austriche, roi des Espaignes » ; 132 Inscriptions, en latin, rappelant la prise de Calais sur les Anglais, en 1558, par le duc de Guise, François de Lorraine, et la libéralité de Henri II, accordant audit duc de Guise et à sa postérité une maison dans Calais, en mémoire de ce haut fait ; 133 Résumé de « la capitulation de la citadelle et chasteau de Montmelian » ; 134 « Genealogie et succession des rois à la couronne de France, et le nombre des ans qu'ils ont regné », depuis Pharamond jusqu'à Henri III inclusivement ; 135 Quatre vers latins composés par « M. PETRUS L'AFFILEUS » sur le symbole et la dévise adoptés par Henri III, roi de France ; 136 Note de trois lignes sur la reine Élisabeth d'Angleterre ; 137 « Des medecins et chirurgiens sauvages » ; 138 « Du mot de Saga » ; 139 Note tirée de « L'ESCARBOT, en son Histoire » de la Nouvelle France, « livre VI, chap. 6, pages 736 et 737 », touchant plusieurs « mots françois derivez du grec » ; 140 Note sur la mort de « Jacobus Picolominus,... cardinalis papiensis », décédé en septembre 1479. En latin ; 141 Note sur « le prieur de Mondidier » qui, en 1613, avala, pour se guérir d'une pituite, quatre balles de plomb ; 142 La valeur de l'écu à Paris en 1465, d'après un passage du IVe livre de « la Mer des histoires et chroniques de France, imprimez à Paris » en « 1518 » ; 143 « De nobilitate collectanea ». En latin ; 144 Récit concernant l'histoire de la Ligue à Paris, du 15 novembre au 8 décembre 1591 ; 145 Noms de « ceux qui ont escrit qu'il faloit tuer les tyrans » ; 146 Passage tiré de « L'ESCARBOT, en son Histoire, livre VI, chap. 7, page 787 », concernant les « philosophes et theologiens appellez Sarronides et beaucoup plus anciens que les Druides » ; 147 Autre passage tiré de « L'ESCARBOT, en son Histoire, livre VI, chap. 11, page 840 », concernant le « breuvage des Floridiens, casiné », et celui des Brésiliens, « caouin » ; 148 Récit des cérémonies observées pour l'abjuration et l'absolution du roi Henri IV à St-Denis, le 25 juillet 1593 ; 149 « Lettres closes envoyées par ledict HENRY [IV] à ses cours de parlement, touchant sa conversion... Escrit à S. Denis en France, ce dimenche 25 juillet 1593 » ; 150 Resumé de la sentence prononcée contre Pierre Barriere, accusé d'être venu de Lyon à Melun pour tuer le roi Henri IV. 1593 ; 151 « Escrit... affiché aux carrefours des rues de la ville de Paris, le 28e d'octobre 1593 », et adressé « au peuple de Paris », en faveur du roi Henri IV ; 152 « Sommaire du traité fait entre l'empereur Charles Ve et le roy de Tunes, nommé Muleassem, le VIe d'août mil VC; XXXV, etans en leurs personnes pres La Goullette dud. Tunes » ; 153 « Sommaire des lettres de l'empereur [Charles V], du 16 d'out [1535], écrites en la galere, au goulfe de La Goulette » ; 154 « Requete presentée par la noblesse » des « Pays-Bas à Mme de Parme, lors gouvernante e dis Pays Bas, pour le roy catholique, son frere, le IIIe d'avril 1566 » ; 155 « Les articles avec lad. requete presentés » ; 156 « Apostille de S. A., rendue le VIe d'avril, au Sr de Brederode, contes de Culenbourg, Ludovic de Nassau et Van den Berghe, accompagnés de la noblesse » ; 157 « Promesse faite aus gentishommes assemblés en la ville de Bruxelles, par les chevaliers de l'ordre, le VIe d'avril » 1566 ; 158 « Discours sur le fait de la religion ès Pays-Bas » ; 159 « Lettre envoyée à Mme de Parme par JAN DE LIGNE,... De Harlingen, ce 6e de may 1567 » ; 160 Note sur les personnages nommés dans la lettre indiquée ci-dessus ; 161 « Extrait de la lettre du lieutenant de Grueninge, escritte au comte d'Arenberghe, au lieu de Schermer, en date du 4 de may » ; 162 « Lettre d'ANNE DE LORRAINE à Mme de Parme,... De Nancy, ce premier d'aoust » ; 163 « Sentences » ; 164 « Rondeau fait par Mme D'ENTRAGUES » ; 165 « Enseignement d'auteur incertain » ; 166 Explication de quelques termes employés par « l'auteur des Eschets » ; 167 « Echo » ; 168 « Noms des vieux poëtes françois » ; 169 Anecdote sur « le roy Demetrius » ; 170 « Echo » sur les Gueux ; 171 « Epitaphium Joannis Hanard, baronis de Likerke » ; 172 Extraits de S. Bernard, S. Mathieu, S. Augustin, S. Grégoire, S. Jérome, Isidore de Séville, l'Ecclésiaste, S. J. Chrysostome, S. Paul, S. Ambroise, le livre des Proverbes. En latin ; 173 « Bona que proveniunt ex sumptione Eucharistiae ». En latin ; 174 « Septem peccata criminalia » et « virtutes contrariae ». En latin ; 175 « Douse degrés d'humilité » ; 176 « L'effet des cometes en leur signe », note ; 177 « Lettre de PONCE PILATE, envoyée à l'empereur Tybere, prise des ecris d'EGESIPPE et mise en françois par FRANÇOIS BOURGOING » ; 178 Notes sur « Hérodiade » et « Hérode,... Octavian Cesar Auguste,... Pilate » ; 179 Lettre de « PONCE PILATE à Claude Tybere » ; 180 Note sur « Theodoze,... prince des Juifs... au temps de Justinian, empereur, bon chrestien » ; 181 Notes sur S. Mathieu, S. Jacques, S. Justin, une erreur du pape Jean XXII, concernant la vision de Dieu, « Here, pamphilien », les opinions contraires de Protagore et d'Anaxagore sur l'existence de Dieu, Crésus, roi de Lydie, Cambyse et Otanès, fils de Sisanès, Heliogabale, Maximin, Socrate, déclaré vicieux par un « jongleur... Zeleuque, roi des Locres », qui se fit crever un oeil pour se punir de la fante commise par son fils ; 182 Six vers sur le bonheur qui attend apres la mort celui qui a bien vécu ; 183 « Nihil est in rebus humanis magnum, nisi animus magna despiciens » ; 184 Maximes et sentences ; 185 Anecdote concernant Alphonse, roi de Naples, lequel fut guéri par la lecture de Quinte-Curce d'une maladie qui avait résisté aux remèdes des médecins ; 186 Concordance chronologique de Philon et de Métasthène avec l'Ecriture, touchant les événements principaux de l'histoire des Babyloniens et de celle des Perses ; 187 « De militia ». Extraits tirés de « Frontinus,... Helinandus,... Valerius,... Aristoteles ». En latin ; 188 « De religione ». Extraits tirés de « Macrobius,... Tullius ». En latin ; 189 « Sententiae ex diversis authoribus ». En latin ; 190 « Quae sequuntur ex JOANNE COCHLAEO in Paraclisi ad semper victricem Germaniam decerpta sunt ». En latin ; 191 Anecdote concernant « Abrincus,... Guysoïnus,... Wapingo », princes de Neustrie, « au tems de Jule Cesar » ; 192 Maxime tirée d'« EPICTETE, philosophe stoïque grec, traduit par Rivaudeau, Poitevin. Tais-toy, la pluspart du tems... » ; 193 Organisation religieuse, judiciaire et militaire des Romains ; a ; « Des estas establiz à Rome pour le fait de la religion... Du grand pontife et ses collegiaux » ; « Des duumvires, decemvires et quindecimvires etabliz au fet de la religion » ; « Des augures » ; « Du roy des sacrifices » ; « Du flamine dial et autres » ; « Des confreres que les Latins appeloét sodales » ; « Des vierges vestales » ; « Des septemvires epulons » ; « Des feciales et victimaires » ; b ; « Des magistratz civilz ordinaires... Des consuls » ; « Des proconsuls » ; « Des lieutenans consulaires ; « Des preteurs » ; « Des tribuns du peuple » ; « Des censeurs » ; « Des questeurs » ; « Des ediles » ; c ; « Principaus... magistraz civilz... extraordinaires... Des dictateurs et mètre des chevaliers » ; « Du tribun des gendarmes » ; d « Maniere de fere mout notable, qu'observoet les Rommeins aus obseques de leurs mors, et memement come iz bruloét les cors des empereurs, et come les canonizoét » ; 194 « Certeines monnoyes des anciens reduites à la monnoye de France » ; 195 « Explication d'aucuns moz et passages contenuz en Suetone Tranquille » ; 196 « Sonnet sur la paix de l'an 1570 » ; 197 Sonnet adressé « à Mr Du Tronchet,... par DEMONGISON » ; 198 « Autre sonnet » du même ; 199 « Huitain » ; 200 Requete, en vers, adressée au « duc d'Albe » par son « musicien Theodore Ristel » ; 201 « Coq à l'ane d'un Parisien » ; 202 Recette « pour bien choisir un cheval » ; 203 « Propos cruel de Charles, duc de Bourgongne », après le massacre des habitants de Nesle, en Picardie ; 204 « Histoire du laurier » ; 205 Quatre lignes sur le Danube ; 206 « De la proportion de l'homme » ; 207 Érection du duché de Bohême en royaume ; 208 « Histoire merveilleuse d'un roy de Gracchovie... Popiel,... qui fut mangé des raz » ; 209 D' « un evesque de Mayence, nommé Hatto », qui fut mangé par les rats vers « l'an 914 » ; 210 Noms des inventeurs de l'imprimerie et de l'artillerie et dates de ces découvertes ; 211 « Petit discours de la vie de Martin Luther », jusqu'en 1520 ; 212 Vie et miracles des saintes « Maure et Brigide, vierges et martyres » ; 213 Lettre relative à la convocation des états en 1576 ; 214 Note datée du 9 mai 1571, concernant la valeur de plusieurs chapes ? En latin ; 215 Note du « 3e janvier 1611 », qui est le résumé, semble-t-il, d'un procès-verbal d'autopsie

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Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »

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Numerous definitions of forgiveness have been proposed in the literature (e.g.. North, 1987; Enright, Freedman & Rique, 1998), most ofwhich are based on religious or philosophical notions, rather than on empirical evidence. Definitions employed by researchers have typically set very high standards for forgiveness. This research was designed to investigate the possibility that these definitions describe an ideal of forgiveness and may not reflect laypersons' beliefe and experiences. Using Higgins' Self-Discrepancy Theory as a fiamework, three types of forgiveness beliefs were investigated: actual, ideal, and ought Q-methodology (which permits intensive study ofphenomena in small samples) was employed to examine and compare participants' beliefs about forgiveness across these domains. Thirty participants (20 women), 25 to 78 years of age, were recruited firom the community. They were asked to sort a set of66 statements about forgiveness according to their level of agreement with each statement This process was repeated three times, with the goal of modelling participants' actual experiences, their ideals, and how they believed forgiveness ought to be. Three perspectives on forgiveness emerged across the domains: forgiveness as motivated by religious beliefs, reconciliation-focussed forgiveness, and conflicted forgiveness. These perspectives indicated that, for many participants, the definitions presented in the literature may coincide with their beliefs about how forgiveness would ideally be and should be, as well as with their experiences of forgiveness; however, a large number of participants' experiences of, and beliefs about, forgiveness do not conform to the standards set out in the literature, and to exclude these participants' experiences and beliefs would mean overlooking what forgiveness means to a large portion of people. Results of this study indicate that researchers need to keep an open mind about what forgiveness may mean to their participants.

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Introduction In Difference and Repetition, Deleuze compares and contrasts Kierkegaard's and Nietzsche's ideas of repetition. He argues that neither of them really give a representation of repetition. Repetition for them is a sort of selective task: the way in which they determine what is ethical and eternal. With Nietzsche, it is a theater of un belie f. ..... Nietzsche's leading idea is to found the repetition in the etemal return at once on the death of God and the dissolution of the self But it is a quite different alliance in the theater of faith: Kierkegaard dreams of alliance between a God and a self rediscovered. I Repetition plays a theatrical role in their thinking. It allows them to dramatically stage the interplay of various personnae. Deleuze does give a positive account ofKierkegaard's "repetition"; however, he does not think that Kierkegaard works out a philosophical model, or a representation of what repetition is. It is true that in the book Repetition, Constantin Constantius does not clearly and fully work out the concept of repetition, but in Sickness Unto Death, Kierkegaard gives a full explanation of the self and its temporality which can be connected with repetition. When Sickness Unto Death is interpreted according to key passages from Repetition and The Concept of Anxiety, a clear philosophical concept of repetition can be established. In my opinion, Kierkegaard's philosophy is about the task of becoming a self, and I will be attempting to show that he does have a model of the temporality of self-becoming. In Sickness Unto Death, Kierkegaard explains his notions of despair with reference to sin, self, self-becoming, faith, and repetition. Despair is a sickness of the spirit, of the self, and accordingly can take three forms: in despair not to be conscious of having a self (not despair in the strict sense); in despair not to will to be oneself; in despair to will to be oneself2 In relation to this definition, he defines a self as "a relation that relates itself to itself and in relating itself to itself relates to another.''3 Thus, a person is a threefold relationship, and any break in that relationship is despair. Despair takes three forms corresponding to the three aspects of a self s relation to itself Kierkegaard says that a selfis like a house with a basement, a first floor, and a second floor.4 This model of the house, and the concept of the stages on life's way that it illustrates, is central to Kierkegaard's philosophy. This thesis will show how he unpacks this model in many of his writings with different concepts being developed in different texts. His method is to work with the same model in different ways throughout his authorship. He assigns many of the texts to different pseudonyms, but in this thesis we will treat the model and the related concepts as being Kierkegaard's and not only the pseudonyms. This is justified as our thesis will show this modelremains the same throughout Kierkegaard's work, though it is treated in different ways by different pseudonyms. According to Kierkegaard, many people live in only the basement for their entire lives, that is, as aesthetes ("in despair not to be conscious of having a self'). They live in despair of not being conscious of having a self They live in a merely horizontal relation. They want to get what they desire. When they go to the first floor, so to speak, they reflect on themselves and only then do they begin to get a self In this stage, one acquires an ideology of the required and overcomes the strict commands of the desired. The ethical is primarily an obedience to the required whereas the aesthetic is an obedience to desire. In his work Fear and Trembling (Copenhagen: 1843), Johannes de Silentio makes several observations concerning this point. In this book, the author several times allows the desired ideality of esthetics to be shipwrecked on the required ideality of ethics, in order through these collisions to bring to light the religious ideality as the ideality that precisely is the ideality of actuality, and therefore just as desirable as that of esthetics and not as impossible as the ideality of ethics. This is accomplished in such a way that the religious ideality breaks forth in the dialectical leap and in the positive mood - "Behold all things have become new" as well as in the negative mood that is the passion of the absurd to which the concept "repetition" corresponds.s Here one begins to become responsible because one seeks the required ideality; however, the required ideality and the desired ideality become inadequate to the ethical individual. Neither of them satisfy him ("in despair not to will to be oneself'). Then he moves up to the second floor: that is, the mystical region, or the sphere of religiousness (A) ("despair to will to be oneself). Kiericegaard's model of a house, which is connected with the above definition ofdespair, shows us how the self arises through these various stages, and shows the stages of despair as well. On the second floor, we become mystics, or Knights of Infinite Resignation. We are still in despair because we despair ofthe basement and the first floor, however, we can be fiill, free persons only ifwe live on all the floors at the same time. This is a sort of paradoxical fourth stage consisting of all three floors; this is the sphere of true religiousness (religiousness (B)). It is distinguished from religiousness (A) because we can go back and live on all the floors. It is not that there are four floors, but in the fourth stage, we live paradoxically on three at once. Kierkegaard uses this house analogy in order to explain how we become a self through these stages, and to show the various stages of despair. Consequently, I will be explaining self-becoming in relation to despair. It will also be necessary to explain it in relation to faith, for faith is precisely the overcoming of despair. After explaining the becoming of the self in relation to despair and faith, I will then explain its temporality and thereby its repetition. What Kierkegaard calls a formula, Deleuze calls a representation. Unfortunately, Deleuze does not acknowledge Kierkegaard's formula for repetition. As we shall see, Kierkegaard clearly gives a formula for despair, faith, and selfbecoming. When viewed properly, these formulae yield a formula for repetition because when one hasfaith, the basement, firstfloor, and secondfloor become new as one becomes oneself The self is not bound in the eternity ofthe first floor (ethical) or the temporality of the basement (aesthete). I shall now examine the two forms of conscious despair in such a way as to point out also a rise in the consciousness of the nature of despair and in the consciousness that one's state is despair, or, what amounts to the same thing and is the salient point, a rise in the consciousness of the self The opposite to being in despair is to have faith. Therefore, the formula set forth above, which describes a state in which there is not despair at all, is entirely correct, and this formula is also the formula for faMi in ^elating itself to itself and in willing to be itself, the self rests transparently in the power that established it.

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This thesis poses two fundamental issues regarding Hegel's philosophy of intersubjectivity. Firstly, it examines Kojeve's problematic interpretation of Hegelian intersubjectivity as being solely rooted in the dialectic of lordship and bondage. It is my contention that Kojeve conflates the concepts of recognition {Anerkennung) with that of desire (Begierde), thereby reducing Hegel's philosophy of intersubjectivity to a violent reduction of the other to the same. This is so despite the plenary of examples Hegel uses to define intersubjectivity as the mutual (reciprocal) recognition between the self and the other. Secondly, it examines Hegel's use of Sophocles' Antigone to demonstrate the notion of the individual par excellence. I contend that Hegel's use of Antigone opens a new methodological framework through which to view his philosophy of intersubjectivity. It is Antigone that demonstrates the upheaval of an economy of exchange between the self and the other, whereby the alterity of the other transcends the self Ultimately, Hegel's philosophy of intersubjectivity must be reexamined, not only to dismiss Kojeve's problematic interpretation, but also to pose the possibility that Hegel's philosophy of intersubjectivity can viably account for a philosophy of the other that has a voice in contemporary philosophical debate.

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The main thrust of this thesis is the re-exploration of Friedrich Nietzsche's "critique of nihilism" through the lenses of Gilles Deleuze. A Deleuzian reading of Nietzsche is motivated by a post-deconstrnctive style of interpretation, inasmuch as Deleuze goes beyond, or in between, henneneutics and deconstrnction. Deleuze's post-deconstrnctive reading of Nietzsche is, however, only secondary to the main aim of this thesis. The primary thrust of this study is the critique of a way of thinking characterized by Nietzsche as nihilistic. Therefore, it should be noted that this study is not about Deleuze's reading per se; rather, it is an appraisal of Nietzsche's "critique of nihilism" using Deleuze's experimental reading. We will accrue Nietzsche's critique and Deleuze's post-deconstrnctive reading in order to appraise Nietzsche's critique itself. Insofar as we have underscored Deleuze's purported experimentation of Nietzschean themes, this study is also an experiment in itself. Through this experimentation, we will find out whether it is possible to partly gloss Nietzsche's critique of nihilism through Deleuzian phraseology. Far from presenting a mere exposition of Nietzsche's text, we are, rather, re-reading, that is, re-evaluating Nietzsche's critique of nihilism through Deleuze's experimentation. This is our way of thinking with Nietzsche. Nihilism is the central problem upon which Nietzsche's philosophical musings are directed; he deems nihilism as a cultural experience and, as such, a phenomenon to be reckoned with. In our reconstruction of Nietzsche's critique of nihilism, we locate two related elements which constitute the structure of the prescription of a cure, Le., the ethics of affirmation and the ontology of becoming. Appraising Nietzsche's ethics and ontology amounts to clarifying what Deleuze thinks as the movement from the "dogmatic image of thought" to the "new image of thought." Through this new image of thought, Deleuze makes sense of a Nietzschean counterculture which is a perspective that resists traditional or representational metaphysics. Deleuze takes the reversal of Platonism or the transmutation of values to be the point of departure. We have to, according to Deleuze, abandon our old image of the world in order to free ourselves from the obscurantism of foundationalist or essentialist thinking. It is only through the transmutation of values that we can make sense of Nietzsche's ethics of affirmation and ontology of becoming. We have to think of Nietzsche's ethics as an "ethics" and not a moral philosophy, and we have to think of his ontology as 1/ ontology" and not as metaphysics. Through Deleuze, we are able to avoid reading Nietzsche as a moral philosopher and metaphysician. Rather, we are able to read Nietzsche as one espousing an ethical imperative through the thought of the eternal return and one advocating a theory of existence based on an immanent, as opposed to transcendent, image of the world.

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This thesis explores the debate and issues regarding the status of visual ;,iferellces in the optical writings of Rene Descartes, George Berkeley and James 1. Gibson. It gathers arguments from across their works and synthesizes an account of visual depthperception that accurately reflects the larger, metaphysical implications of their philosophical theories. Chapters 1 and 2 address the Cartesian and Berkelean theories of depth-perception, respectively. For Descartes and Berkeley the debate can be put in the following way: How is it possible that we experience objects as appearing outside of us, at various distances, if objects appear inside of us, in the representations of the individual's mind? Thus, the Descartes-Berkeley component of the debate takes place exclusively within a representationalist setting. Representational theories of depthperception are rooted in the scientific discovery that objects project a merely twodimensional patchwork of forms on the retina. I call this the "flat image" problem. This poses the problem of depth in terms of a difference between two- and three-dimensional orders (i.e., a gap to be bridged by one inferential procedure or another). Chapter 3 addresses Gibson's ecological response to the debate. Gibson argues that the perceiver cannot be flattened out into a passive, two-dimensional sensory surface. Perception is possible precisely because the body and the environment already have depth. Accordingly, the problem cannot be reduced to a gap between two- and threedimensional givens, a gap crossed with a projective geometry. The crucial difference is not one of a dimensional degree. Chapter 3 explores this theme and attempts to excavate the empirical and philosophical suppositions that lead Descartes and Berkeley to their respective theories of indirect perception. Gibson argues that the notion of visual inference, which is necessary to substantiate representational theories of indirect perception, is highly problematic. To elucidate this point, the thesis steps into the representationalist tradition, in order to show that problems that arise within it demand a tum toward Gibson's information-based doctrine of ecological specificity (which is to say, the theory of direct perception). Chapter 3 concludes with a careful examination of Gibsonian affordallces as the sole objects of direct perceptual experience. The final section provides an account of affordances that locates the moving, perceiving body at the heart of the experience of depth; an experience which emerges in the dynamical structures that cross the body and the world.