855 resultados para conflicto de generaciones
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Tesis (Doctor en Filosofía con Acentuación en Ciencias Políticas) UANL, 2013.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Cette thèse porte sur les conflits entre centres et périphéries à l’intérieur des pays. Ces dernières années, de nombreux États ont vu l'émergence de régions ou territoires qui défient leurs «centres» politiques. Ces disputes peuvent atteindre divers degrés d'affrontement, en allant des simples divisions électorales à la sécession d'une périphérie rebelle. Pourquoi certaines régions défient-elles ouvertement leur centre, tandis que d'autres ne le font pas? Dans quelles conditions les différences entre le centre et les périphéries sont-elles maîtrisées et circonscrites, et quelles sont celles qui les exacerbent? La thèse cherche à répondre à ces questions en analysant les cas de la Bolivie et du Pérou. En Bolivie, pendant les années 2000, le conflit régional a donné lieu à un clivage entre centre et périphérie; au Pérou, malgré les similitudes avec la Bolivie, un clivage similaire ne s’est pas déployé. Pourquoi cette différence? La thèse répond à la question par une analyse historique comparée. Elle suggère que les conflits entre le centre et les périphéries doivent s’analyser à partir de la combinaison de deux dimensions. La première est l’absence ou la présence d’élites régionales qui, à partir d'organisations et de mises en discours qu'elles rendent légitimes, définissent et représentent les revendications de la région et négocient avec l'État central. La deuxième dimension renvoie aux conditions structurelles de la région, en particulier l'importance des ressources naturelles et la taille de sa population. La thèse développe une analyse historique de la façon dont les deux dimensions ont évolué en Bolivie et au Pérou au cours de la seconde moitié du XX siècle. Cette analyse permet d’expliquer la divergence entre les résultats dans chacun des cas, et de suggérer des réflexions plus générales sur les relations entre les centres et les périphéries.
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Le Pérou a sombré pendant vingt ans dans un climat de violence politique, opposant des groupes subversifs, comme le Sentier Lumineux, à l’armée péruvienne. Ce conflit a causé la disparition de 70 000 personnes, majoritairement des paysans andins quechuaphone. Poussés à fuir pour survivre, ils ont dû abandonner leurs terres pour migrer dans des centres urbains où l’adaptation n’a pas toujours été facile. C'est pourquoi on remarque, dès les années 90, avec la mise en place d'une politique de repeuplement par Fujimori, un retour des paysans dans leur communauté. Le retour, et par conséquent le déplacement, ont généré une nouvelle dynamique dans les communautés et perturbé les relations sociales. Les liens de confiance ont été rompus, les liens sociaux brisés et sont remplacés par un ressentiment qui déstructure l’organisation des communautés et principalement celle de Cayara. Le traumatisme pesant incite les Cayarinos au silence. Un silence qui ne peut être associé à l’oubli, mais qui a pour fonction de protéger les générations futures des horreurs du passé. Tout traitement de la souffrance causé par la violence suppose une politique de la mémoire. À cette mémoire silencieuse, que je qualifierai de traumatique s’oppose une mémoire active qui opère dans la ville d'Ayacucho. Les hommes représentant 80% des disparus, ce sont les femmes qui ont dû prendre en charge la gestion des communautés, en assumant de nouvelles responsabilités. Ce sont elles qui se sont battues pour amener la paix en dénonçant les horreurs commises. Et ce sont elles qui aujourd’hui luttent pour préserver la mémoire du conflit, afin que celui-ci ne se répète pas. À l’inverse du silence des communautés, à Ayacucho les femmes agissent activement, ce qui nous amène à penser que la transmission de la mémoire passerait par une spécialisation de celle-ci. On qualifierait la mémoire vive, de mémoire féminine.
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À travers d'un regard de la culture visuelle, ce mémoire de maîtrise explorera le débat entourant la mémoire du conflit armé au Pérou (1980-2000), suite à la présentation de l’Informe Final (2003) par la Commission de la vérité et de la réconciliation. Tout d’abord, nous tracerons un portrait des débats qui ont eu lieu dans la sphère politique pour ensuite nous concentrer sur la polémique entourant le Musée de la mémoire et le monument Ojo que llora. Par la suite, nous explorerons la représentation visuelle du conflit à travers l’exposition de photos Yuyanapaq (2004), les films La boca del lobo (1988), La vida es una sola (1993) et Sangre Inocente (2000), en établissant un dialogue avec les études sur la mémoire et la critique académique. Après avoir dressé le tableau des imaginaires visuels du conflit, nous nous attarderons sur l’étape postconflit (2000 à aujourd’hui) pour aborder le débat entourant la postmémoire dans les films Madeinusa (2005) et La teta asustada (2009). Nous croyons que les positions entourant ce débat et la représentation du conflit dans la culture visuelle suggèrent que les mémoires sont toujours en opposition encore aujourd'hui au Pérou. Certaines réaffirment un discours hégémonique, comme l’Informe de Uchuraccay (1983), alors que d’autres s’opposent aux visions totalitaires de la mémoire; pensons notamment à l’émergence d’un nouveau cinéma de région qui implique les populations touchées par la violence dans la production et la projection de ses propres visions du conflit.
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Presentado como Ponencia en Congreso de la UPV, Noviembre de 2008.
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This article was delivered as an area-paper to the Critical Political Science Meeting of Bilbao, November the 15th 2008, which was organized by the Political Science Department of the UPV (University of the Basque Country). The paper introduces an updated and synthetic version of the model designed by S.M. Lipset and S. Rokkan in 1967 in order to identify the confrontational divides distinctive of European modernization and, in this way, trace the origins of modern party systems. The expanded model proposed is applied, on the one hand, to a variety of empirical cases, prominently the postransitional Spanish case; and on the other, shows its usefulness in order to better understand the distinctive structure of the social conflict of the globalization era.
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Monográfico con el título: 'Educar para la convivencia Prevención, análisis y negociación, ayuda entre iguales, mediación'. Resumen basado en el de la publicación
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Se presenta memoria final de proyecto educativo que propone la aplicación de una metodología basada en el diálogo constructivo, la reflexión y la comunicación para la integración de la comunidad gitana y la superación de conflictos. Se realiza en el IES Francisco de los Cobos en Úbeda, Jaén. Los objetivos son: afrontar desde una posición teórica, práctica y dialógica, el problema del conflicto entre culturas, de la inmigración y de la creciente multiculturalidad de nuestras aulas; incentivar la comunicación intercultural; organización de jornadas de educación intercultural; creación del taller 'jugar y pensar'.
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Se presenta memoria final de proyecto educativo que pretende atender la detección de necesidades educativas y carencias socioculturales y su tratamiento mediante la organización de grupos flexibles y adaptación del currículum de la ESO. Se realiza en el IES Poetas Andaluces de Arroyo de la Miel, Málaga. Los objetivos son: acercar más a los niveles académicos reales del alumnado, estableciendo niveles reales de contenidos, como forma de solucionar parte del problema del fracaso escolar, desinterés, desmotivación, absentismo escolar, convivencia en el centro y falta de esfuerzo e indisciplina en día a día del aula; promover la reflexión del profesorado sobre su práctica con trabajo en equipo, y analizar la diversidad de situaciones de aprendizaje en cada aula y adoptar medidas que respondan a tal diversidad, al tiempo que se desarrollan los valores democráticos de la ciudadanía de modo integrado y transversal. El proceso consta de varias fases: identificación del alumnado con carencias o necesidades por motivos socioculturales; creación de agrupamientos flexibles y diversidad de grupos en el aula a partir de las competencias curriculares en las materias instrumentales; a partir de la observación y de las hojas de seguimiento, se realizan sesiones periódicas de análisis conjuntas por parte del profesorado. Los resultados han sido: establecimiento de niveles reales de contenidos que permitan trabajar sobre la realidad del alumnado desde la acción coordinada de los dos departamentos; fomento del trabajo en equipo entre los departamentos de matemáticas y lengua, y difusión de las rutinas de trabajo del proyecto a otros departamentos, interesando en particular a los de Ciencias Naturales y Ciencias Sociales, esto ha ayudado a mejorar la convivencia y a enfocar la atención del profesorado a la diversidad; sensible aumento de motivación en el alumnado; descenso sustancial del absentismo escolar.
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Situar aspectos del lenguaje en general en un marco de referencias psicolingüísticas. Se cuestiona la autonomía lingüística y se defiende que la lingüística es en sí misma sociolingüística. Se intenta demostrar que es el aparato escolar el que proporciona las claves para poder hacer un análisis textual de los códigos retóricos. Textos predominantemente incursos de la decada de 1854-1864. Se realiza un estudio del género literario denominado 'Retórica formal pública' comparándose fragmentos de los discursos de distintos políticos, textos y opiniones de otros autores. Bibliografía. Transcripciones de las sesiones de cortes. Análisis lingüístico del discurso político, centrándose en la búsqueda de antagonismos, contradicciones, autocontradicciones y ataques. Realiza un recorrido histórico sobre los acontecimientos, instituciones y sujetos de la época. Analiza las diferencias psicosociolingüísticas entre las diferentes clases sociales. Presenta fragmentos de discursos políticos analizando el tipo de oraciones utilizado, las negaciones teóricas pero no prácticas y las negaciones prácticas pero no teóricas y los lexemas referidos a valores sociales. Hace una serie de reflexiones acerca de la retórica vulgar y la retórica vacía y sobre el debate mantenido acerca de la igualdad de oportunidades ante la educación. Con respecto a este último aspecto afirma que la diferencia de nivel educativo producía una situación piramidal, en cuyo vértice se situaban los escasos individuos con un elevado metalenguaje, y en los escalones intermedios, y sobre todo en la base, una enorme masa no escolarizada que se limitaba a escuchar un lenguaje que no entendía, construyendo un nuevo lenguaje que, a su vez, era incomprensible para los expertos, o simplemente se callaba. Explica cómo surge la ideología de escuela 'correctiva'. Analiza el concepto de semiomaquia. Aporta un glosario de términos. El análisis de lo que en el siglo XIX era la escolarización primaria y secundaria permite una mayor formalización de los efectos de la Enseñanza Primaria y Superior tanto sobre la retórica elevada como sobre cualquier actividad lingüística que tenga por objeto modificar actitudes intersubjetivas. El autor reconoce para su trabajo el mérito de haber intentado abrir algunos pasillos desde la Lengua a la Psicología Social entendida inevitablemente como Historia, y haber apuntado algunos modelos para interrelacionar la retórica, las mentalidades y la escuela. Quedaría por justificar el término 'Psicosociolingüística' ya que, según el autor, la lengua al ser conducta es un asunto psíquico y social, con lo que bastaría decir 'Lingüística' para entender 'Psicosociolingüística'.
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Conocer la naturaleza de los conflictos que se dan en las escuelas interculturales a partir de la comprensión de las percepciones y actitudes de los distintos miembros de la comunidad educativa. Identificar las preocupaciones e inquietudes del profesorado en relación a las situaciones de convivencia entre alumnos de diferentes culturas en sus centros escolares. Describir cuáles son los problemas con los que se encuentran los profesores a la hora de desarrollar su labor como educadores en escuelas interculturales. Comprender las concepciones e ideas educativas de los docentes ante los conflictos interculturales. Descubrir cuáles son las dificultades y conflictos con los que se encuentran los alumnos de origen inmigrante en su integración en la comunidad educativa, a partir del pensamiento de los profesores, familias y los propios alumnos. Conocer las percepciones y actitudes educativas de los docentes ante el alumnado de origen inmigrante. Indagar en los mecanismos de gestión y regulación de conflictos que desarrollan los docentes en su práctica cotidiana. Analizar los recursos y apoyos de la comunidad educativa para contribuir a mejorar las relaciones entre familias inmigrantes y escuela. Conocer la imagen que tienen los alumnos y sus familias sobre los conflictos interculturales contrastándola con la que tienen los profesores a fin de comprender la existencia de convergencias o distorsiones en sus percepciones. Estudiar los planteamientos educativos de las escuelas interculturales respecto a la gestión y regulación de los conflictos escolares. Obtener una visión compleja sobre los distintos planteamientos educativos de los docentes y de los propios centros escolares en relación al establecimiento de medidas de Educación Intercultural y de regulación de conflictos interculturales a partir de la comprensión y análisis de los proyectos educativos interculturales de los mismos. Se sigue el principio de adecuación de la metodología al objeto de estudio, y se basa en un paradigma interpretativo que vincula metodologías cualitativas y cuantitativas. La parte cuantitativa se desarrolla mediante un cuestionario, y la parte cualitativa, a través de cuatro estudios de casos. Para el estudio cuantitativo, se utiliza una muestra total de 41 docentes de Educación Infantil y Primaria, entre los cuales hay 31 profesoras y 10 profesores. Todos ellos pertenecen a centros educativos públicos de la ciudad de Málaga en los que se desarrollan proyectos educativos de Educación Intercultural. Para determinar el tamaño de la muestra que resultó de 62 docentes, se establece un nivel de confianza del 95 por ciento. No se realiza un sistema de muestreo probabilístico y estratificado al ser una población total bien delimitada: profesorado de Colegios de Educación Infantil y Primaria (CEIP) adscrito a proyectos de Educación Intercultural. El instrumento cuantitativo utilizado es un cuestionario. Concretamente, se diseña un cuestionario que está compuesto tanto por ítems de respuesta cerrada, como por ítems de respuestas múltiples, y por ítems de escala tipo Likert. En la metodología cualitativa se realizan cuatro estudios de casos. Estos estudios han empleado como instrumentos de recogida de información la entrevista, la recopilación documental y el diario investigador. Se estudia las concepciones pedagógicas que sobre la Educación Intercultural tienen cuatro docentes que pertenecen a distintos centros educativos de Educación Infantil y Primaria, y que realizan distintas funciones docentes u ocupan diferentes puestos o responsabilidades educativas. Para el análisis de los datos cualitativos recogidos en los cuatro estudios de casos realizados, se utiliza el programa informático Nudist-Vivo 2.0. Una gran mayoría de profesores, el 75 por ciento, valoran los conflictos como herramientas potencialmente significativas para el aprendizaje en su aula y en su escuela. Se descubre que los docentes son conscientes de la importancia de aprovechar las situaciones conflictivas para educar en valores y en la interculturalidad. Además, hay que expresar que existe una mayoría de profesores que consideran que la educación en valores es el instrumento clave en la concepción educativa del conflicto, es decir, es necesario educar desde y en el conflicto intercultural, para poder profundizar en la interculturalidad como promotora de desarrollo de los valores de solidaridad, democracia, tolerancia y paz. En segundo lugar, se subraya que los docentes consideran que la mejor opción para afrontar situaciones conflictivas o problemáticas en sus escuelas es aprovechar dichas situaciones para educar en valores. En tercer lugar, otro resultado que revela la importancia de las acciones educativas interculturales radica no tanto en el significado práctico de dichas acciones, sino en el valor conceptual y reflexivo de dichas actuaciones para llevar a cabo una Educación Intercultural generadora de respuestas eficaces y creativas ante los conflictos interculturales. En cuarto lugar, se comprueba la importancia de que los proyectos educativos interculturales estén sustentados en equipos de docentes comprometidos con el desarrollo práctico y reflexivo de la interculturalidad. En quinto lugar, se subraya la importancia de la dimensión afectiva en la concepción educativa del conflicto intercultural, y también en el propio planteamiento y desarrollo de acciones educativas interculturales. Finalmente, la puesta en práctica de acciones educativas interculturales será una invención poco fructífera y relativamente intercultural, si no se producen cambios en diversas dimensiones del profesorado (cognitiva, emocional, procedimental y ética), de la estructura institucional de los centros educativos (concepción educativa de los equipos directivos de las escuelas interculturales, la participación de las familias, los tiempos y los espacios para realizar actividades educativas relevantes y creativas), y desde luego, de la participación de la sociedad en su conjunto (entidades y asociaciones socioculturales, medios de comunicación...) en las instituciones educativas como escenarios vivos y en permanente cambio. La Educación Intercultural plantea un nuevo enfoque de la convivencia escolar donde instituciones educativas y personas (profesorado, familias, alumnado, agentes socioeducativos) necesariamente trabajen en escuelas entendidas en términos de comunidades de aprendizaje, lo cual supone todo un conjunto de iniciativas que suponen una transformación de la organización escolar para que la diversidad cultural sea acogida y promovida como un eje educativo fundamental en el aprendizaje de la convivencia intercultural. Esto supone, por tanto, una actitud de valoración crítica por parte del profesorado hacia la comunicación e interacción entre culturas, y hacia la comprensión de la interculturalidad como un factor positivo y necesario en la dinamización comunitaria de las escuelas del siglo XXI.
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Resumen basado en el de la publicación
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Este estudio versa sobre las relaciones de convivencia en la ense??anza no universitaria en la Comunidad Aut??noma Aragonesa y sobre los conflictos relacionales que en ella surgen prestando una especial atenci??n a los casos de acoso entre alumnos. El estudio se ha realizado bajo una doble dimensi??n metodol??gica: cuantitativa y cualitativa. Para la realizaci??n del an??lisis cuantitativo se remitieron tres cuestionarios dirigidos a profesores, AMPAS y alumnos. Desde el punto de vista cualitativo, la investigaci??n ha permitido profundizar en la comprensi??n de la realidad socioeducativa. El trabajo se distribuye en cuatro cap??tulos. En el primero, se plantea el tema de la educaci??n para la convivencia. El segundo, se refleja el an??lisis cuantitativo de los resultados obtenidos de los cuestionarios. El tercero, se presenta el discurso de los informantes, profesores, AMPAS y alumnos. En el cuarto, se recogen las actuaciones que se est??n desarrollando para favorecer la convivencia en los centros. Por ??ltimo, se incluyen unas conclusiones finales y diferentes propuestas de acci??n.
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Resumen tomado de la publicaci??n