946 resultados para combination HIV prevention


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Vaginal rings (VRs) are flexible, torus-shaped, polymeric devices designed to sustain delivery of pharmaceutical drugs to the vagina for clinical benefit. Following first report in a 1970 patent application, several steroid-releasing VR products have since been marketed for use in hormone replacement therapy and contraception. Since 2002, there has been growing interest in the use of VR technology for delivery of drugs that can reduce the risk of sexual acquisition of human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1), the causative agent of acquired immunodeficiency syndrome (AIDS). Although no vaginally-administered product has yet been approved for HIV reduction/prevention, extensive research efforts are continuing and a number of VR devices offering sustained release of so-called ‘HIV microbicide’ compounds are currently being evaluated in late-stage clinical studies. This review article provides an overview of the published scientific literature within this important field of research, focusing primarily on articles published within peer-reviewed journal publications. Many important aspects of microbicide-releasing VR technology are discussed, with a particular emphasis on the technological, manufacturing and clinical challenges that have emerged in recent years.

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Les clients de TS sont considérés comme un groupe à risque de VIH et aussi agiraient comme un « pont de transmission » entre les TS et les femmes de la population générale. En dépit de leurs comportements sexuels à risque, les clients de TS ont été rarement étudiés. En conséquence, les objectifs spécifiques de cette thèse étaient : 1) estimer la prévalence du VIH, de la syphilis, du VHS-2 (virus de l’herpès simplex et 2) des facteurs de risque associés chez les clients de TS en Haïti, 2) examiner les déterminants de l’intention d’utilisation du condom, et 3) estimer la prévalence des comportements de violence et ses conséquences. Pour ce faire, une enquête transversale a été effectuée en 2006 auprès de 378 clients fréquentant les milieux de prostitution de St-Marc et de Gonaïves, en Haïti. Un questionnaire structuré ainsi que des échantillons de sang séché sur papier filtre ont été utilisés pour la collecte de données comportementales et biologiques. Notre premier article a montré une prévalence élevée du VIH et des ITS chez les clients. Ces hommes avaient plusieurs partenaires sexuelles avec lesquelles l’utilisation du condom variait. Les clients qui avaient déjà consommé de la marijuana, pratiquaient le vaudou, avaient des antécédents d’ITS ou étaient infectés par le VHS-2, avaient plus de chances d’être positifs au VIH. Le fait d’habiter Gonaïves, de ne pas être protestant, d’être employé et d’avoir déjà essayé la marijuana était associé à l’infection à la syphilis. Tandis que les clients plus vieux, ceux résidants à Gonaïves ainsi que ceux pratiquant le vaudou étaient plus souvent infectés par le VHS-2. Dans notre second article, nous avons démontré que les normes subjectives, le contrôle comportemental perçu et les attitudes étaient des déterminants importants de l’intention d’utilisation du condom. Les clients qui avaient des antécédents d’ITS ou avaient utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle avec la TS étaient aussi plus susceptibles d’avoir l’intention d’en faire usage dans le futur. Les résultats du dernier article ont montré que la prévalence des comportements de violence envers les partenaires intimes était élevée. De plus, la violence émotionnelle et physique était associée à l’utilisation inconstante du condom avec les différentes partenaires sexuelles. En conclusion, cette étude suggère que les clients de TS agiraient comme un pont de transmission facilitant la propagation du VIH/ITS dans la population générale en Haïti et que la violence semblerait également jouer un rôle dans la transmission de ces infections. Nos résultats soulignent le besoin d’interventions en prévention du VIH et des ITS ciblant cette population vulnérable, incluant la problématique de la violence.

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La baisse de plus en plus marquée de l’âge au premier rapport sexuel et l’augmentation de l’âge au premier mariage impliquent une durée plus longue d’exposition au risque des grossesses prénuptiales et aux infections sexuellement transmissibles incluant le VIH/sida. C’est pourquoi des interventions ont été mises en place en vue de protéger la santé des adolescents et jeunes. L’Observatoire de Population en Épidémiologie Socio-Clinique (POSE) conçu et mis sur pied au Cameroun depuis 1995, a fait de la santé des adolescents et jeunes une de ses priorités de santé publique en Afrique à travers le programme de promotion de la santé reproductive des adolescents et jeunes au Cameroun (CAREH). Le Programme CAREH mène des activités d’intervention dans la préfecture de Bandjoun depuis juillet 2000, et dans plusieurs autres régions du Cameroun depuis 2003. Cette thèse vise à évaluer certains aspects de cette intervention, en examinant dans quelle mesure entre 2000 et 2002, les activités d’intervention menées auraient contribué : 1) au report à plus tard du premier rapport sexuel chez les adolescents de 10 à 20 ans ; 2) à la prévention des grossesses non désirées chez les jeunes de 10 à 29 ans ; et 3) à la prévention de l’infection à VIH chez les jeunes de 10 à 29 ans. Les données proviennent de l’Enquête sur la Famille et la Santé au Cameroun (EFSC), menée à Bandjoun en 2002. Un devis post-intervention a été utilisé après stratification des adolescents et jeunes en quatre groupes à savoir : jeunes exposés à l’intervention en milieu communautaire, jeunes exposés à l’intervention en milieu scolaire, jeunes non scolarisés non-exposés à l’intervention et jeunes scolarisés non-exposés à l’intervention. Les analyses descriptives et les analyses multivariées utilisant la régression logistique ont été utilisées pour examiner les associations présumées entre les variables d’intervention et les variables dépendantes considérées par rapport aux hypothèses de recherche émises. Nos analyses suggèrent que les adolescents scolarisés qui n’avaient pas déclaré avoir été exposés à l’intervention (RC = 1,973 ; IC =1,195-3,260) sont plus portés à avoir une perception négative de la sexualité prémaritale, que les adolescents non scolarisés n’ayant pas déclaré avoir été exposés aux activités d’intervention. Il n’y avait cependant pas de report significatif du premier rapport sexuel dans les groupes d’adolescents exposés à l’intervention par rapport à ceux non-exposés. Les connaissances sur la prévention des grossesses sont significativement plus élevées chez les jeunes scolarisés non-exposés (RC=1,953; IC=1,452 – 2,627), jeunes exposés à l’intervention en milieu communautaire (RC = 3,074 ; IC = 2,157 - 4,382) et les jeunes exposés à l’intervention en milieu scolaire (RC = 4,962 ; IC = 3,367 - 7,311) que chez les jeunes non scolarisés n’ayant pas déclaré avoir été exposés aux activités d’intervention. Il n’y a aucune différence statistiquement significative entre ces différents groupes quant à l’utilisation de la contraception moderne. La discussion sur la prévention des grossesses ou l’utilisation de la contraception avec un formateur était significativement associée à une amélioration des connaissances en prévention de grossesses chez les jeunes exposés à l’intervention en milieu scolaire (RC = 1,549 ; IC = 1,056 – 2,272), comparativement à leurs camarades exposés aux activités d’intervention en milieu communautaire sans avoir bénéficié d’une telle discussion. Les jeunes exposés à l’intervention en milieu communautaire (RC = 2,106 ; IC = 1,514 – 2,930) et ceux exposés l’intervention en milieu scolaire (RC = 3,117 ; IC = 2,192 – 4,433) connaissent mieux les modes de prévention de l’infection à VIH que les jeunes scolarisés mais n’ayant pas été exposés aux activités d’intervention. Il n’y avait toutefois pas de différences entre les groupes quant à l’utilisation du condom. Ces conclusions sont interprétables dans les limites des données disponibles. En effet, il n’a pas été possible de déterminer les niveaux de connaissances en prévention de grossesses ou du VIH avant l’exposition des jeunes à l’intervention. Ainsi, chez les jeunes exposés en milieu communautaire ou scolaire, on ne peut savoir quel aurait été leur niveau de connaissance en l’absence de l’intervention. Toutefois, il est très probable que l’intervention ait eu plus d’effets bénéfiques sur l’amélioration des connaissances que des comportements.

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Problématique : Les femmes travailleuses du sexe (TS) constituent la population le plus à risque d’infection au VIH dans différents pays d’Afrique subsaharienne. Plusieurs interventions y ont ainsi été menées pour réduire le risque d’infection en influant sur les facteurs de risque. Parmi ces interventions, on peut citer la promotion de l’utilisation du préservatif de même que le dépistage et le traitement des infections sexuellement transmissibles (IST). Cependant, certaines composantes sont peu représentées dans ce panel d’interventions offertes aux femmes TS. Le conseil dépistage volontaire pourrait s’avérer une intervention utile de prévention primaire et secondaire pour cette population mais son acceptabilité est mal connue. Par ailleurs, en termes de surveillance de l’épidémie, l’évaluation de la validité de l’auto-rapport d’utilisation du préservatif, indicateur fréquemment utilisé lors d’enquêtes populationnelles serait souhaitable. Enfin, pour ce qui est de la prévention de l’infection dans cette population, l’effet du désir d’enfant sur l’utilisation non systématique du condom avec le principal partenaire régulier non payant est peu connu. Il en est de même pour la prévalence de certaines IST comme le VPH-16 et l’effet combiné de facteurs sociodémographiques, comportementaux et préventifs sur la présence de ces IST. Objectifs : Les objectifs de cette thèse sont 1) de mesurer l’acceptabilité et les conséquences du conseil dépistage volontaire du VIH chez les femmes TS de Conakry en Guinée; 2) d’évaluer la validité de l’auto-rapport de l’utilisation du préservatif dans cette population grâce à un indicateur biologique de présence de sperme, l’antigène spécifique de la prostate (PSA); 3) d’estimer la fréquence d’utilisation systématique du préservatif avec les partenaires clients et non-clients des femmes TS et d’étudier l’importance du désir d’enfant dans l’utilisation non systématique du préservatif avec le principal partenaire régulier non-client et 4) de mesurer la prévalence des IST et du VIH et d’étudier les facteurs sociodémographiques, comportementaux et préventifs qui y sont associés. Méthodologie : Nous avons mené une étude longitudinale dans la ville de Conakry en Guinée auprès de 421 femmes TS recrutées dans trois services de santé adaptés pour elles. Un devis mixte répété un an plus tard a permis de collecter des données quantitatives et qualitatives. Des analyses biologiques de dépistage des IST et du VIH ont été effectuées. Résultats : Le premier article de résultats présenté dans cette thèse montre que l’acceptabilité du conseil dépistage volontaire est élevée chez les femmes TS. En effet, les taux d’acceptation du test, de retour pour la prise de résultats et de notification du statut sérologique avoisinaient les 100%. Cette acceptabilité semblait être le fait d’une perception de risque d’infection élevé, mais aussi d’une pression sociale du milieu prostitutionnel pour effectuer le dépistage et révéler le statut sérologique. Les conséquences négatives au dépistage étaient rares. Le deuxième article montre que l’auto-rapport de l’usage récent du préservatif a une très faible sensibilité lorsque comparé à l’étalon d’or que constitue la PSA. Ainsi, la plupart des personnes chez qui la PSA était retrouvée ne rapportaient aucun rapport non protégé récent. La discordance entre l’auto-rapport d’utilisation récente du préservatif et la présence de PSA était associée à une perception de risque d’infection au VIH élevé. Enfin, la troisième section montre que si l’utilisation systématique du préservatif était très fréquente avec les clients, elle l’est beaucoup moins avec le principal partenaire régulier non-client. Le désir d’enfant de la femme TS contribue de manière significative à l’utilisation non systématique du condom avec ce type de partenaire. Des facteurs sociodémographiques, comportementaux et la coinfection par d’autres IST sont associés à la présence d’IST/VIH, ces dernières étant fréquentes dans la population des femmes TS malgré les nombreuses interventions qui y sont menées. Conclusion : En conclusion, l’on peut dire que la prévention du VIH chez les femmes TS constitue un défi nécessitant des interventions intégrées tenant compte du contexte commercial dans lequel ces interventions sont implantées et des aspirations des femmes TS en matière de reproduction.

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On s’accorde à dire que les adolescents constituent l’avenir quel que soit le temps et l’espace considéré. Il est également reconnu que le développement de leur capital humain et social, nécessaire pour une vie adulte de qualité, dépend des conditions dans lesquelles ils vivent et de l’environnement dans lequel s’opérera la transition vers cette vie adulte. Plus que dans toute autre partie du monde, ce constat est encore plus d’actualité en Afrique sub-Saharienne où, à la situation socio-économique déjà précaire, s’ajoutent d’importants problèmes de santé sexuelle et reproductive auxquels font face les adolescents en particulier le VIH. Conscients de l’enjeu majeur que représente la santé des adolescents, les gouvernements en Afrique sub-Saharienne, aidés en cela par les organismes non-gouvernementaux et toute la communauté internationale, ont inscrit la promotion de stratégies efficientes en santé sexuelle et reproductive des adolescents comme haute priorité dans leurs agendas. Mais force est de constater que l’élaboration et la mise en œuvre de telles stratégies supposent la production de connaissances sans cesse actualisées ainsi que la formulation de politiques innovatrices basées sur des données probantes et éprouvées en matière de santé sexuelle et reproductive, ce qui n’est pas toujours le cas. De plus, le fait que ce segment particulier de la population ne constitue pas un groupe homogène pose un défi supplémentaire quant à l’élaboration de stratégies généralisables. Fort de ce qui précède, le présent travail, qui porte sur le Burkina Faso, le Ghana, le Malawi et l’Ouganda, fait d’abord le point sur les problèmes majeurs de santé sexuelle et reproductive auxquels fait face cette frange spécifique de la population, tout en jetant un regard critique sur les efforts déployés par les sciences sociales pour les analyser. Il apporte ensuite des réponses à des questions spécifiques de recherche que nous nous sommes posées à travers les trois articles qui constituent l’ossature de cette thèse et dont l’essentiel de l’analyse empirique peut être résumé comme suit : Dans le premier article, nous sommes partis du constat suivant : dans les quatre pays étudiés, une importante proportion des adolescents qui se déclarent non encore sexuellement actifs pensent paradoxalement que leurs chances de contracter le VIH sont très grandes. Face à un tel constat, la question que l’on est en droit de se poser est celle de savoir pourquoi sont-ils si préoccupés? Quels sont les facteurs qui déterminent cette perception du risque? Les résultats confirment ce que certaines études ont déjà démontré à savoir que les individus élaborent leur propre définition du risque qui peut ne pas se résumer nécessairement à une opposition binaire «risque/aucun risque», mais est plutôt fonction des caractéristiques individuelles mais aussi du contexte social et épidémiologique dans lesquels ils vivent. Le deuxième article de la thèse analyse le contexte dans lequel s’opère la transition vers le premier rapport sexuel chez les adolescentes des quatre pays étudiés. Il part du constat selon lequel les recherches ont très souvent abordé les comportements sexuels des adolescents sous un angle marqué par la dichotomie entre les «sexuellement actifs» et les «non encore sexuellement actifs». Or le calendrier de l’entrée en sexualité et le contexte dans lequel elle a lieu (dans l’union ou hors union) sont non seulement des marqueurs des comportements sexuels à risque vis-à-vis du VIH, mais ils conditionnent aussi et surtout la qualité de la transition vers l’entrée dans la vie adulte. Les résultats montrent ici également que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité pour les adolescents d’initier la sexualité hors de l’union. Quant au troisième article, il se penche sur un cas précis de comportement à risques chez les adolescents: le multipartenariat sexuel aggravé par la non utilisation systématique du condom, pourtant le seul moyen pour l’instant (en dehors de l’abstinence) de se protéger contre les infections sexuellement transmissibles et le VIH/SIDA. Les résultats montrent entre autres que le contrôle parental est significativement associé à une faible probabilité de comportement sexuel à risque, défini ici comme étant la co-occurrence de plusieurs partenaires sexuels au cours de 12 derniers mois et la non-utilisation systématique du condom avec chacun des partenaires. Sur un plan programmatique, ce résultat est plutôt encourageant car il prouve que l’autorité parentale jadis considérée comme érodée, demeure une pierre angulaire dans les stratégies de prévention du VIH chez les adolescents.

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Ce mémoire interroge les possibilités présentes et futures d’actions concertées pour remettre en question les structures sociales d’exclusion qui affectent des groupes désignés à risque, entre autres en les rendant plus vulnérables à l’infection au VIH. En Inde, l’attention grandissante portée aux travailleuse(r)s du sexe (TS) par la santé publique dans les interventions contre le VIH contribue à façonner l’identité des groupes ciblés en les associant à l’épidémie du VIH et à sa prévention. L’acceptation et la réorganisation de cette catégorie servent de base d’organisation d’efforts collectifs pour un groupe de TS de Mysore, dans l’état du Karnataka. Les membres de ce collectif, nommé Ashodaya, déploient des actions concertées pour remettre en question les limites de catégories qui leur sont assignées (avec des tentatives pour désamorcer certaines dynamiques d’exclusion sociale -en limitant la stigmatisation), et s’imposer comme un groupe de citoyennes à part entière en s’incluant dans des sphères civiles comme citoyens, comme représentants d’une occupation et non comme individus marginalisés ou « représentants » d’une maladie. L’inclusion d’Ashodaya dans les efforts de prévention du VIH offre un accès à des ressources humaines et matérielles qui lui seraient autrement inaccessibles, mais limitent les possibilités d’actions du groupe en restreignant sa participation à la prévention. Le contexte particulier de l’engagement et du programme d’Avahan, branche indienne de la Bill and Melinda Gates souligne la fragilité des acquis de groupes comme Ashodaya.

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En una muestra de 119 estudiantes de cuarto de Educación Secundaria Obligatoria (ESO) y primero de Bachillerato (52,6% mujeres) se analizan los conocimientos sobre la prevención de la transmisión sexual del virus del sida, las expectativas de resultados y de autoeficacia respecto a los métodos preventivos y el tipo de prevención utilizada durante la última relación sexual. Para evitar las respuestas inducidas respecto a los comportamientos preventivos se emplea un formato de pregunta abierta. Los resultados muestran que sólo el 23,5% de los estudiantes han dado dos respuestas totalmente correctas sobre estrategias consideradas eficaces en la prevención sexual del VIH: uso del preservativo y abstinencia (por este orden). El 70,5% valoran totalmente o muy eficaz el preservativo para evitar la transmisión sexual del VIH y el 95% de los que dan la segunda respuesta juzgan totalmente eficaz la práctica de la abstinencia con la misma finalidad. En el caso del preservativo se sienten totalmente o muy capaces de usarlo el 64,3%, mientras que cuando se trata de la abstinencia sólo se perciben con esa competencia el 20%. Por lo que se refiere al uso autoinformado de métodos preventivos en la última relación, por parte de los 29 estudiantes que tuvieron actividad sexual durante el mes anterior, se observa que 21 de ellos emplearon el preservativo, dos la píldora anticonceptiva, otros dos no precisan el tipo de precaución y el resto no tomó ninguna. Tanto el reducido nivel de conocimientos sobre prevención, como la baja percepción de autoeficacia para mantenerse abstinentes, nos alertan sobre la necesidad de hacer un mayor esfuerzo de información para eliminar creencias equivocadas, como por ejemplo: sobre la pretendida eficacia protectora de tener relaciones sexuales con una pareja estable o conocida. Así mismo, conviene insistir en el uso del preservativo como anticonceptivo de elección entre los adolescentes

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Se revisan diversos trabajos realizados por las autoras desde 1993 sobre la percepción de riesgo frente al sida y su capacidad predictiva respecto a las conductas sexuales preventivas. Los resultados obtenidos muestran que: (1) la percepción de riesgo personal está sesgada de forma optimista y no predice ni la preocupación ni el interés por la prevención, y (2) los jóvenes universitarios no suelen detectar el elevado riesgo que supone la llamada monogamia serial (monogamia con parejas afectivas sucesivas), y se muestran favorables a mantener relaciones sexuales sin preservativo en esas circunstancias en mayor medida que con una pareja ocasional. Asimismo, estudios más recientes de las autoras ponen de manifiesto un incremento en el número de jóvenes que estarían dispuestos a mantener relaciones sexuales sin preservativo con una pareja a la que se acaba de conocer, y una disminución en los porcentajes de los que piensan en el sida al informar sobre su intención de conducta en dicha situación

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En la actualidad, los adolescentes son uno de los grupos que por sus características conductuales, cognitivas y sociales, se encuentran en mayor riesgo frente al posible contagio con el VIH. Esta amenaza para la salud y el bienestar de los adolescentes, se ha venido a sumar a otros problemas ya existentes en este colectivo: los embarazos no deseados y las enfermedades de transmisión sexual (ETS), que también se derivan de la no utilización de precauciones en las relaciones sexuales. En este trabajo se exponen diversos factores biológicos, psicológicos (conductuales y cognitivos) y sociales que pueden facilitar, dificultar o impedir los comportamientos sexuales de prevención de los adolescentes, y se revisan y valoran algunas de las intervenciones preventivas realizadas. A partir de esta revisión se argumenta sobre la conveniencia de unificar los programas para la prevención simultánea de los tres trastornos, maximizando de esta forma los recursos disponibles

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Objetivos: Conocer la prevalencia del uso auto informado del preservativo en la última relación sexual, así como algunas actitudes, creencias y percepciones sobre su uso para la prevención de la transmisión del VIH por vía heterosexual, en jóvenes de las ciudades de Nampula, Bemba y Lichinga, en Mozambique. Diseño: Estudio transversal de encuesta. Participantes: Seiscientos treinta y dos estudiantes de secundaria (56,8% varones), con edades comprendidas entre 15 y 24 años, seleccionados mediante un muestreo aleatorio estratificado proporcional. El porcentaje de participación es del 79%. Mediciones principales: Mediante un cuestionario, se evalúan en una escala de 0 a 10 las actitudes hacia el uso del preservativo, expectativas de resultados y de autoeficacia y aceptación percibida sobre su utilización. Asimismo se evalúa el uso auto informado del preservativo en la última relación sexual. Resultados: Sólo un 47,4% (IC 0,95 = 42,0:52,8) de los jóvenes sexualmente activos utilizó el preservativo en la última relación sexual. En general las mujeres tienen una actitud más favorable respecto a su uso y creen más en su eficacia que los hombres, pero lo utilizan menos y se sienten poco capaces de pedir su uso al varón, principalmente si se trata de su actual pareja. La autoeficacia percibida para utilizar o pedir el uso del preservativo aumenta en el caso de una pareja ocasional tanto en hombres como en mujeres. Conclusiones: Se requieren acciones institucionales y sociales que promocionen el uso del preservativo entre los jóvenes de Mozambique. Los programas preventivos deberían insistir en el cambio de actitudes y creencias, y enfatizar los beneficios que se derivan de su uso adecuado y sistemático desde la primera relación coital

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La mayor parte de las nuevas infecciones con el VIH en el mundo se producen por transmisión sexual entre adultos jóvenes y se aprecia una mayor vulnerabilidad en las mujeres (Gregson et al., 2002). Los principales objetivos de este trabajo son: estudiar la prevalencia del uso auto informado del preservativo durante la última relación sexual en los estudiantes de secundaria de Mozambique y la intención de emplearlo en las futuras relaciones, sea con la pareja actual o con una ocasional. Los resultados muestran que: 1) el 47% de los va rones y el 62% de las mujeres no utilizaron el preservativo, 2) tanto ellos como ellas están más seguros de que lo utilizarán con una pareja ocasional que con la actual y 3) los que emplearon el preservativo en su última relación sexual tienen más intención de volver a usarlo que aquellos que no lo emplearon

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Las mutaciones secundarias de resistencia al manejo antiretroviral es una realidad, y determina el éxito o fracaso del manejo del VIH. En Colombia, los casos de resistencia asociadas a mutaciones han aumentado. Para determinar esta condición en nuestra población, se realiza un estudio de tipo casos y controles, en pacientes VIH manejados en una IPS especializada en manejo y seguimiento de la enfermedad. Toman 71 pacientes con fracaso terapéutico por resistencia antiretroviral, y se documentaron las mutaciones confirmadas con Genotipo, pacientes que han manejado los diferentes esquemas antirretrovirales, y se comparan con pacientes controles que no desarrollaron resistencia a pesar de haber recibido un manejo antiretroviral similar e iniciado al mismo tiempo. Se busca evidenciar factores predictivos para controlar presencia de estas mutaciones a futuro. El estudio encontró que en ambos grupos, no existen diferencias significativas en cuanto a género, preferencia sexual, uso de psicoactivos, nivel social y las etapas de la enfermedad clasificadas según CDC. Observando que los pacientes con resistencia al tratamiento, eran más jóvenes que los controles (OR: 0,891; p> 0,001), y con una menor carga viral al momento del diagnóstico. La adecuada adherencia al tratamiento, se mostró como un factor protector al desarrollo de resistencia (OR: 0,030, p< 0,000). Se evidencia que existe mayor riesgo de generación de mutaciones en pacientes jóvenes. Respecto a los tipos de mutaciones evidenciadas por genotipos, se describen múltiples mutaciones, observando mutaciones para inhibidores de la transcriptasa reversa nucleosidos (33 mutaciones) y no nucleosidos (32 mutaciones), principalmente M184V en INTR (81%) y K103N en INNTR (40%), mutaciones para inhibidores de proteasa (57 mutaciones), principalmente L24I (40%); esta prevalencia de mutaciones son similares a estudios realizados y descritos en la literatura médica (1)

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This project will produce animations in order to increase understandings of safe sex practices and address low perceptions of personal risk among two of the most vulnerable groups to HIV infection in Thailand. The animations will be incorporated into a prevention outreach program via Ipods, mobile phones and mobile-based portable devices to men who have sex with men (MSM) in their 'hide-outs', that is, parks, clubs and public toilets and male sex workers (MSW) in sex venues such as brothels, go-go bars and beats. To produce these animations, the project is first researching the sexual practices of MSM and MSW because of the lack of any substantive investigation of their social and sexual networks. This use of technology, informed by social research rather than behavioral studies, offers new possibilities to stem rapidly rising infection rates because it takes into account the diverse MSM and MSW identities. Overall, an estimated one- fifth (21%) of new HIV infections in Thailand occur in men who have unsafe sex with men. This disquieting increase highlights the fact that MSM are not adequately reached through HIV prevention programmes, most likely because little is known about their particular situations, contexts and practices.

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Background Men who have sex with men (MSM) remain the group most at risk of acquiring HIV infection in Britain. HIV prevalence appears to vary widely between MSM from different ethnic minority groups in this country for reasons that are not fully understood. The aim of the MESH project was to examine in detail the sexual health of ethnic minority MSM living in Britain. Methods/Design The main objectives of the MESH project were to explore among ethnic minority MSM living in Britain: (i) sexual risk behaviour and HIV prevalence; (ii) their experience of stigma and discrimination; (iii) disclosure of sexuality; (iv) use of, and satisfaction with sexual health services; (v) the extent to which sexual health services (for treatment and prevention) are aware of the needs of ethnic minority MSM. The research was conducted between 2006 and 2008 in four national samples: (i) ethnic minority MSM living in Britain; (ii) a comparison group of white British MSM living in Britain; (iii) NHS sexual health clinic staff in 15 British towns and cities with significant ethnic minority communities and; (iv) sexual health promotion/HIV prevention service providers. We also recruited men from two "key migrant" groups living in Britain: MSM born in Central or Eastern Europe and MSM born in Central or South America. Internet-based quantitative and qualitative research methods were used. Ethnic minority MSM were recruited through advertisements on websites, in community venues, via informal networks and in sexual health clinics. White and "key migrant" MSM were recruited mostly through Gaydar, one of the most popular dating sites used by gay men in Britain. MSM who agreed to take part completed a questionnaire online. Ethnic minority MSM who completed the online questionnaire were asked if they would be willing to take part in an online qualitative interview using email. Service providers were identified through the British Association of Sexual Health and HIV (BASHH) and the Terrence Higgins Trust (THT) CHAPS partnerships. Staff who agreed to take part were asked to complete a questionnaire online. The online survey was completed by 1241 ethnic minority MSM, 416 men born in South and Central America or Central and Eastern Europe, and 13,717 white British MSM; 67 ethnic minority MSM took part in the online qualitative interview. In addition 364 people working in sexual health clinics and 124 health promotion workers from around Britain completed an online questionnaire. Discussion The findings from this study will improve our understanding of the sexual health and needs of ethnic minority MSM in Britain.

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Vaginal practices in sub-Saharan Africa may increase HIV transmission and have important implications for development of microbicides and future HIV prevention technologies. It remains unclear which women undertake vaginal practices and what factors predict prevalence, practice type and choice of products. Using cross-sectional data from mixed research methods, we identify factors associated with vaginal practices among women in KwaZulu-Natal, South Africa. Data were gathered through focus group discussions, in-depth and key-informant interviews, followed by a province-wide, multi-stage cluster household survey, using structured questionnaires in face-to-face interviews with 867 women. This paper details six types of vaginal practices, which--despite their individual distinctiveness and diverse motivations--may be clustered into two broad groups: those undertaken for purposes of 'hygiene' (genital washing, douching and application) and those for 'sexual motivations' (application, insertion, ingestion and incisions). Multivariate analysis found significant associations between 'hygiene' practices and media access, religiosity and transactional sex. 'Sexual' practices were associated with partner concurrency, religiosity and use of injectable hormonal contraceptives. Future interventions relating to vaginal practices as well as microbicides need to reflect this characterisation of practices as sexual- and/or hygiene-related.