998 resultados para XVIIe et XVIIIe siècles


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Un effet fondateur survient lorsqu’un petit nombre d’immigrants forment une nouvelle population et qu’ainsi les descendants ont une majorité de gènes provenant de ces quelques ancêtres. L’effet fondateur québécois, qui résulte de l’établissement de quelques milliers d’immigrants français aux XVIIe et XVIIIe siècles, est bien documenté. Mais des effets fondateurs régionaux ont aussi été identifiés. Ce mémoire de maîtrise vise à déterminer si un effet fondateur régional est à l’oeuvre dans la région de Lotbinière (Chaudière-Appalaches), dont le peuplement initial remonte à la fin du XVIIe siècle. Le fichier BALSAC et le Registre de la population du Québec ancien ont permis de constituer deux groupes de descendants, 715 individus mariés à la fin du XVIIIe siècle, et 60 autres mariés à la fin du XXe siècle. Par généalogies ascendantes et descendantes, les fondateurs immigrants et régionaux de la région ont par la suite été identifiés. Les résultats indiquent que l’effet fondateur régional avait encore une forte empreinte chez le groupe de descendants du XVIIIe siècle, mais que l’impact s’atténue en ce qui concerne les descendants contemporains. L’homogénéité démontrée par les coefficients d’apparentement et l’indice de contribution génétique uniforme, le petit nombre de fondateurs régionaux et le fait que 65 % des gènes contemporains étaient déjà introduits en 1800 sont des signes qui pointent vers un effet fondateur régional. Par contre, le nonisolement de la région, la proportion modérée de gènes contemporains introduits par les premiers fondateurs régionaux et les niveaux de consanguinité semblables aux autres régions du centre du Québec, incitent à nuancer cette conclusion. En fait, il y a possiblement deux Lotbinière : le Lotbinière ancien, sur la rive et le Lotbinière nouveau, dans les terres; chacun ayant son pool génique et son historique de peuplement propre.

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Cette thèse a été réalisée en cotutelle entre l'Université de Montréal et l'École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris, sous la direction de Michel Duchesneau (UdeM) et Esteban Buch (EHESS). La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l'Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU).

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Cette thèse montre comment s’est constituée la figure du génie en France au cours des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, en mettant en évidence les paradoxes qui lui ont permis de devenir l’une des notions fondamentales de la modernité. Cette analyse s’articule autour de trois axes principaux. D’abord, il s’agit d’interroger les circonstances de l’invention du terme « génie » dans la langue française, en insistant sur son bagage culturel gréco-latin. La notion de génie apparaît alors comme intimement liée au génie de la langue française et à son histoire. Ensuite, l’analyse s’intéresse au rôle que la notion de génie joue dans le cadre régulateur de la théorie poétique à la fin du XVIIe siècle. Le génie, qui se définit alors comme une aptitude naturelle à l’exercice d’une régularité normée du faire, n’a cependant de valeur que si cette régularité est transgressée, dépassée. Cette relation fait apparaître le paradoxe social que représente le génie, considéré à la fois comme exceptionnel et exemplaire. Ce paradoxe du génie est ensuite analysé dans le cadre du développement des théories esthétiques au XVIIIe siècle, fondées sur une expérience communautarisante du beau. Cette problématique est étudiée au regard de l’intérêt des philosophes sensualistes pour le problème que constitue le génie, en particulier quant aux mécanismes de l’invention et de la découverte. À l’issue de ce parcours, il apparaît que le génie est à la fois problématique pour les théories qui tentent de le circonscrire et unificateur pour la communauté qu’il permet d’illustrer.

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Ce mémoire a pour objectif général de définir et de caractériser les présences amérindiennes sur l’île de Montréal au cours de la période s’échelonnant du Sylvicole supérieur à la fin du XVIIe siècle ainsi que de tenter de comprendre le rôle qu’exerça le mont Royal dans ce contexte. En nous appuyant sur des théories de l’archéologie du paysage, nous avons étudié la création consciente et inconsciente de paysages et la manière par laquelle ces lieux ont façonné les comportements et les identités de leurs occupants. Grâce à la continuité d’activités répétitives, liées au concept de taskscape, nous avons tenté d’y établir un modèle de trame d’occupation reflétant une utilisation dynamique et stratégique du paysage face aux politiques coloniales. La démarche adoptée est celle d’une approche holistique s’appuyant à la fois sur des données archéologiques, historiques, ethnohistoriques et ethnographiques émanant des rapports de fouilles archéologiques, des traditions orales et des différents documents coloniaux datant des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Cette étude a permis de déterminer différentes zones associées à des perceptions différentes du paysage reflétant une stratégie de continuité dans la conceptualisation, l’organisation et la manipulation de l’espace à la suite de l’appropriation des terres par le gouvernement colonial.

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Cette thèse porte sur les gestes et attitudes qui ont caractérisé la figure aristocratique dans l’art européen entre 1661 et 1789. Cet intervalle correspond à la durée de vie d’un paradigme corporel noble appelé « le bon air et la bonne grâce », de son élaboration à la cour de Louis XIV et de sa diffusion hégémonique en Europe, jusqu’à son rejet définitif à la Révolution française. La société d’Ancien Régime a déployé tout un arsenal de moyens (exercices, instruments orthopédiques,…) pour intérioriser une grâce qui devait paraître innée et prouver la noblesse. Le maître à danser détenait le monopole de l’inculcation de cette grâce et de son élaboration suivant des critères hautement esthétiques. Les gestes et positions inventoriés ici, sont décrits et associés à leurs connotations d’origine, montrant qu’une connaissance approfondie et minutieuse de la gestuelle peut affiner notre compréhension d’un large pan de l’art des XVIIe et XVIIIe siècles. L’auteur démontre que cette hexis corporelle contemporaine transcende tous les domaines concernés par le corps noble (éducation, théâtre, danse, opéra, arts martiaux, etc.) et en vient à infiltrer la majorité des genres picturaux, bousculant les traditions artistiques déjà en place et s’affichant comme une alternative moderne à la grâce des Anciens. Le portrait, la gravure de mode, les figurines de porcelaine, les vues de villes et de jardins sont les plus touchés par ce phénomène. La bonne grâce s’affirme ainsi dans une culture visuelle qui, par ricochet, en vient à renforcer les pratiques sociales dont elle était le reflet. Cet aller-retour des attitudes aristocratiques entre l’art et la vie occasionne la standardisation de la figure et du corps aristocratiques. Dans la pastorale, la peinture d’histoire et la scène de genre, l’idéal aristocratique se manifeste, tantôt en négatif dans la figure du paysan, du Pierrot et de l’Arlequin, tantôt de manière idéalisée dans celles du berger et du héros galants. La substitution de gestes emphatiques et d’expressions faciales explicites par une gestuelle fondée sur la retenue et la dissimulation des passions, fondera une nouvelle historia moins lisible que la traditionnelle, mais plus subtile et insinuée, répondant ainsi mieux au goût et à la sensibilité aristocratique.

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Périodicité : Mensuel

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Graduel à l'usage de l'église cathédrale Sainte-Croix d'Orléans. F. 1-164v Temporale. Incomplet du début par lacune matérielle, le temporal commence le 27 décembre, au milieu du graduel de s. Jean apôtre, et se termine avec la fête de la Trinité, placée à la suite du 23e dimanche après la Pentecôte. Les versets alleluiatiques des dimanches après la Pentecôte sont attestés à Orléans; cf. Leroquais, Versets alleluiatiques, ms. NAL 3164, f. 41-41v. F. 164v-168v "In dedicatione ecclesie" (164v-166v); — "In festo s. Crucis" (166v-168v). F. 168v-235v Sanctorale. De festis s. Mariae (168v-177v); — de angelis (177v-179); — de s. Johanne Baptista (179-182); — de apostolis (182-192v); — de s. Laurentio (192v-195v) et de martyribus (195v-220); — de confessoribus (220-228); — de una virgine (228-235v); — pro fidelibus defunctis (235v-237). Le manuscrit a été composé à l'usage de l'église cathédrale Sainte-Croix d'Orléans: l'usage est celui d'Orléans, et la fête de la Sainte-Croix suit immédiatement celle de la dédicace. Le manuscrit a servi longtemps: au bas de nombreux feuillets des mains différentes, datables du XVe au XVIIe s., ont développé la musique et le texte des versets psalmodiques de l'introit. A plusieurs reprises le texte et la musique des versets alleluiatiques ont été effacés et changés, notamment ff. 107, 108v, 112-113 et ff. 133, 134v-135 pour les semaines de Pâques et de la Pentecôte. Notes en français dans les marges des ff. 105, 124v, etc.

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Contiene: BALAGNA, JOSÉE, L'Imprimerie arabe en Occident (XVIe, XVIIe et XVIIIe siécles). París, Maisonneuve et Larose. 1984, 153 pp. 21 cm. Islam et Occident, II / Manuela Marín ; MIQUEL BARCELÓ Y OTROS, Historia de los pueblos de España, vol. 2, «Los antiguos territorios de la Corona de Aragón. Aragón, Baleares, Cataluña, País Valenciano». Argos Vergara, Barcelona, 1984, 499 pp. / Míkel de Epalza ; NURI MUcAMMAR, Muhammad b. Waddab al-Qurtubi, mu'assis madrasat al-hadit bi-l-Andalus maCa Baqi b. Majlad Rabat: Dar al-MaCarif, 1403/1983, 480 pp., 24 cm. / María Isabel Fierro.

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Colloque tenu en Sorbonne les 17-19 janvier 2008

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« Notices sur quelques manuscrits arabes, par M. Woepke (fol. 1) ; — Notices sur quelques mss. sanscrits, par M. Fauriel (fol. 6) ; — Notices sur quelques mss. sanscrits (fol. 40) ; — Notices sur quelques mss. sanscrits en caractère bengali, par M. Loiseleur Deslongchamps (fol. 58) ; — Notices sur quelques mss. arabes, par M. Hassler (fol. 94) ; — Notices sur quelques mss. arabes, par M. Reinaud (fol. 99) ; — Catalogue des mss. orientaux de l'ancienne maison de la Sorbonne, par M. Reinaud (fol. 126) ; — Catalogue des mss. orientaux de l'ancien couvent de l'Oratoire, par M. Reinaud (fol. 136) ; — Catalogue des mss. orientaux des différentes bibliothèques publiques de Paris (fol. 146) ; — Liste des livres et des mss. orientaux venus d'Alger et adressés à la Bibliothèque royale, le 30 nov. 1832 (fol. 152) ; — Note de quelques mss. orientaux appartenant à M. Wahl (fol. 156) ; — Mss. orientaux provenant de feu M. Schultz (fol. 157 et 159) ; — Mss., papiers et autres objets provenant de feu M. Schultz (fol. 163) ; — Collection Asselin (fol. 165 et 270) ; — Lettres et pièces relatives au fonds Asselin (fol. 263) ; — Mss. arabes, persans, samskrits et hindous tanys, cédés à la Bibliothèque du Roi par M. de Polier (fol. 291 et 293) ; — Évaluation de 47 mss. arabes, persans, maures, bengalis, etc., provenant de feu Ouessant, interprète de la Compagnie de Pondichéry (fol. 295) ; — Mss. arabes, turcs et persans de M. Ducaurroy (fol. 298) ; — Collection des mss. orientaux appartenant à la succession de feu M. le baron Rousseau, consul général à Tripoly de Barbarie (fol. 303) ; — Liste des mss. tamouls cédés à la Bibliothèque du Roi par M. Ducler (fol. 309) ; — Liste des mss. tamouls donnés à la Bibliothèque du Roi par M. Reydelet (fol. 311) ; — Mss, arabes et berbères de M. Delaporte père, 4848 (fol. 314) ; — État sommaire de quelques mss. réputés venir de feu M. Huet,... trouvés dans la maison Kerboeuf (fol. 323) ; — Mss. orientaux distraits du fonds Renaudot (fol. 324) ; — Mss. arabes rapportés d'Égypte par le citoyen Raiye (fol. 325) ; — Cinq volumes arabes mss. offerts à la Bibliothèque royale par S. A. R. Mgr le duc de Nemours (fol. 326) ; — Liste des livres qu'on a envoyés à Mrs de la Compagnie, en tamoul, 14 déc. 1729 (fol. 327) ; — Catalogue des mss. indiens de la Bibliothèque du Roi (fol. 328) ; — « Mémoire concernant l'acquisition des mss. persiens qu'il conviendroit de faire aux Indes pour la Bibliothèque du Roy » (fol. 362) ; — Mémoire de livres à rechercher dans le Levant pour la Bibliothèque du Roy (fol. 366) ; — État des mss. à rechercher à Constantinople pour la Bibliothèque impériale (fol. 384) ; — Catalogue des mss. orientaux appartenant à M. R. Johnson, 1806 (fol. 386) ; — Liste des mss. orientaux de la bibliothèque de sir Thomas Phillipps à Middlehill, 1829 (fol. 396) ; — Indication des mss. arabes les plus importants de la bibliothèque d'Alger (fol. 398) ; — Liste des livres et mss. venus d'Alger (fol. 402) ; — Liste des bibliothèques turques de Constantinople, 1854 (fol. 404) ; — Bibliothèque du sultan Ahmet III, au vieux sérail : catalogue des livres d'histoire, 1854 (fol. 408) ; — Note des mss. orientaux extraits de la bibliothèque de Vienne, que le conservatoire de la Bibliothèque impériale juge entièrement inutiles (fol. 416) ; — Notice par Ascari de l'ancien ms. syriaque 13 (fol. 418) ; — Manuscrits persans historiques de l'Indoustan, et livres en langue samscretam, apportés à la Bibliothèque du Roi en 1778 » (fol. 420).