970 resultados para Tax rates


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This thesis investigates the design of optimal tax systems in dynamic environments. The first essay characterizes the optimal tax system where wages depend on stochastic shocks and work experience. In addition to redistributive and efficiency motives, the taxation of inexperienced workers depends on a second-best requirement that encourages work experience, a social insurance motive and incentive effects. Calibrations using U.S. data yield higher expected optimal marginal income tax rates for experienced workers for most of the inexperienced workers. They confirm that the average marginal income tax rate increases (decreases) with age when shocks and work experience are substitutes (complements). Finally, more variability in experienced workers' earnings prospects leads to increasing tax rates since income taxation acts as a social insurance mechanism. In the second essay, the properties of an optimal tax system are investigated in a dynamic private information economy where labor market frictions create unemployment that destroys workers' human capital. A two-skill type model is considered where wages and employment are endogenous. I find that the optimal tax system distorts the first-period wages of all workers below their efficient levels which leads to more employment. The standard no-distortion-at-the-top result no longer holds due to the combination of private information and the destruction of human capital. I show this result analytically under the Maximin social welfare function and confirm it numerically for a general social welfare function. I also investigate the use of a training program and job creation subsidies. The final essay analyzes the optimal linear tax system when there is a population of individuals whose perceptions of savings are linked to their disposable income and their family background through family cultural transmission. Aside from the standard equity/efficiency trade-off, taxes account for the endogeneity of perceptions through two channels. First, taxing labor decreases income, which decreases the perception of savings through time. Second, taxation on savings corrects for the misperceptions of workers and thus savings and labor decisions. Numerical simulations confirm that behavioral issues push labor income taxes upward to finance saving subsidies. Government transfers to individuals are also decreased to finance those same subsidies.

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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.

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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.

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After decennia of research on economic voting, it is now established that the state of the economy affects voting behaviour. Nevertheless, this conclusion is the result of a focus on predominantly national-level economies and national-level elections. In this paper, we show that at a local level as well, mechanisms of accountability linked to the economy are at work. The local economic context affected voting behaviour in the 2012 Belgian municipal elections, with a stronger increase of unemployment rates in their municipality significantly decreasing the probability that voters choose an incumbent party. Additionally, we observe that voters are not opportunistically voting for incumbents who lower tax rates. Instead, voters seem to be holding local incumbents accountable for local economic conditions. We hence conclude that voters care about economic outcomes, not about what specific policies are implemented to reach these outcomes.

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In a dividend imputation tax system, equity investors have three potential sources of return: dividends, capital gains and franking (tax) credits. However, the standard procedures for estimating the market risk premium (MRP) for use in the capital asset pricing model, ignore the value of franking credits. Officer (1994) notes that if franking credits do affect the corporate cost of capital, their value must be added to the standard estimates of MRP. In the present paper, we explicitly derive the relationship between the value of franking credits (gamma) and the MRP. We show that the standard parameter estimates that have been adopted in practice (especially by Australian regulators) violate this deterministic mathematical relationship. We also show how information on dividend yields and effective tax rates bounds the values that can be reasonably used for gamma and the MRP. We make recommendations for how estimates of the MRP should be adjusted to reflect the value of franking credits in an internally consistent manner.

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The first chapter analizes conditional assistance programs. They generate conflicting relationships between international financial institutions (IFIs) and member countries. The experience of IFIs with conditionality in the 1990s led them to allow countries more latitude in the design of their reform programs. A reformist government does not need conditionality and it is useless if it does not want to reform. A government that faces opposition may use conditionality and the help of pro-reform lobbies as a lever to counteract anti-reform groups and succeed in implementing reforms.^ The second chapter analizes economies saddled with taxes and regulations. I consider an economy in which many taxes, subsidies, and other distortionary restrictions are in place simultaneously. If I start from an inefficient laissez-faire equilibrium because of some domestic distortion, a small trade tax or subsidy can yield a first-order welfare improvement, even if the instrument itself creates distortions of its own. This may result in "welfare paradoxes". The purpose of the chapter is to quantify the welfare effects of changes in tax rates in a small open economy. I conduct the simulation in the context of an intertemporal utility maximization framework. I apply numerical methods to the model developed by Karayalcin. I introduce changes in the tax rates and quantify both the impact on welfare, consumption and foreign assets, and the path to the new steady-state values.^ The third chapter studies the role of stock markets and adjustment costs in the international transmission of supply shocks. The analysis of the transmission of a positive supply shock that originates in one of the countries shows that on impact the shock leads to an inmediate stock market boom enjoying the technological advance, while the other country suffers from depress stock market prices as demand for its equity declines. A period of adjustment begins culminating in a steady state capital and output level that is identical to the one before the shock. The the capital stock of one country undergoes a non-monotonic adjustment. The model is tested with plausible values of the variables and the numeric results confirm the predictions of the theory.^

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This dissertation analyzes the effects of political and economic institutions on economic development and growth.^ The first essay develops an overlapping-generations political economy model to analyze the incentives of various social groups to finance human capital accumulation through public education expenditures. The contribution of this study to the literature is that it helps explain the observed differences in the economic growth performance of natural resource-abundant countries. The results suggest that the preferred tax rates of the manufacturers on one hand and the political coalition of manufacturers and landowners, on the other hand, are equal to the socially optimal tax rate. However, we show that owners of natural resources prefer an excessively high tax rate, which suppresses aggregate output to a suboptimal level.^ The second essay examines the relationship between the political influence of different social classes and public education spending in panel data estimation. The novel contribution of this paper to the literature is that I proxy the political power and influence of the natural resource owners, manufacturers, and landowners with macroeconomic indicators. The motivation behind this modeling choice is to substantiate the definition of the political power of social classes with economic fundamentals. I use different governance indicators in the estimations to find out how different institutions mediate the overall impact of the political influence of various social classes on public education spending. The results suggest that political stability and absence of violence and rule of law are the important governance indicators.^ The third essay develops a counter argument to Acemoglu et al. (2010) where the thesis is that French institutions and economic reforms fostered economic progress in those German regions invaded by the Napoleonic armies. By providing historical data on urbanization rates used as proxies for economic growth, I demonstrate that similar different rates of economic growth were observed in the regions of France in the post-Napoleonic period as well. The existence of different economic growth rates makes it hard to argue that the differences in economic performance in the German regions that were invaded by the French and those that were spared a similar fate follow from regional differences in economic institutions.^

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In his discussion - S Corporations Can Benefit Many Closely-Held Hospitality Firms - by John M. Tarras, Assistant Professor, School of Hotel, Restaurant & Institutional Management at Michigan State University, Assistant Professor Tarras initially offers: “Organization as an S corporation has many advantages for hospitality firms since passage of the Tax Reform Act of 1986. The author discusses those advantages and lists the disadvantages as well.” In the opening paragraphs Tarras alludes to the relationship between hospitality firms, S corporations, and the Tax Reform Act of 1986, and then defines what an S corporation is. “An S corporation is a form of business entity that combines many of the tax advantages of partnerships with the legal attributes of a corporation, including limited liability for its shareholders. Its name is obtained from a subchapter of the Internal Revenue Code. Except for tax purposes, the S corporation is treated in the same manner as any regular corporation. Like a partnership, income and losses for an S corporation are generally passed through directly to shareholders for inclusion on their individual returns. An S corporation thus avoids the double tax problem facing regular corporations.” There are certain criteria to be met and caveats to be avoided in qualifying for S corporation status. Tarras lists and cites these for you. “Due to the complicated nature of S corporations, the election may be inadvertently terminated if the eligibility requirements are violated,” Tarras expands and cites. As the article suggests at the outset, there are advantages and disadvantages to S corporation status; the author outlines some examples for you. “Traditionally, the S corporation has been used by hospitality firms wishing to avoid the "double tax" problem of a regular corporation,” Tarras informs you. “Regular corporations are taxed once at the corporate level, and again at the shareholder level when income is distributed to shareholders in the form of dividends.” Tarras advises you as to why an S corporation is an advantage in this situation. “Since the S corporation generally is not subject to any corporate taxes, it generally makes no difference whether distributions to shareholders of S corporations are characterized as compensation or dividends,” thus the double tax is avoided. This is just one such positive illustration. Assistant Professor Tarras wants you to know: “Perhaps the most important reason to consider the S corporation has to do with the downward revision of tax rates for both individuals and corporations.” He highlights a case study for you. Some of the disadvantages of S corporation affiliation are the caveats alluded to earlier. They include, “the limitation of an S corporation of 35 shareholders,” Tarras cites. “Also, there are limits as to who may own stock in an S corporation.” These are but two of the limitations of an S corporation. Tarras closes with a further glimpse of the down-sides of an S corporation.

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The first chapter analizes conditional assistance programs. They generate conflicting relationships between international financial institutions (IFIs) and member countries. The experience of IFIs with conditionality in the 1990s led them to allow countries more latitude in the design of their reform programs. A reformist government does not need conditionality and it is useless if it does not want to reform. A government that faces opposition may use conditionality and the help of pro-reform lobbies as a lever to counteract anti-reform groups and succeed in implementing reforms. The second chapter analizes economies saddled with taxes and regulations. I consider an economy in which many taxes, subsidies, and other distortionary restrictions are in place simultaneously. If I start from an inefficient laissez-faire equilibrium because of some domestic distortion, a small trade tax or subsidy can yield a first-order welfare improvement, even if the instrument itself creates distortions of its own. This may result in "welfare paradoxes". The purpose of the chapter is to quantify the welfare effects of changes in tax rates in a small open economy. I conduct the simulation in the context of an intertemporal utility maximization framework. I apply numerical methods to the model developed by Karayalcin. I introduce changes in the tax rates and quantify both the impact on welfare, consumption and foreign assets, and the path to the new steady-state values. The third chapter studies the role of stock markets and adjustment costs in the international transmission of supply shocks. The analysis of the transmission of a positive supply shock that originates in one of the countries shows that on impact the shock leads to an inmediate stock market boom enjoying the technological advance, while the other country suffers from depress stock market prices as demand for its equity declines. A period of adjustment begins culminating in a steady state capital and output level that is identical to the one before the shock. The the capital stock of one country undergoes a non-monotonic adjustment. The model is tested with plausible values of the variables and the numeric results confirm the predictions of the theory.

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After decennia of research on economic voting, it is now established that the state of the economy affects voting behaviour. Nevertheless, this conclusion is the result of a focus on predominantly national-level economies and national-level elections. In this paper, we show that at a local level as well, mechanisms of accountability linked to the economy are at work. The local economic context affected voting behaviour in the 2012 Belgian municipal elections, with a stronger increase of unemployment rates in their municipality significantly decreasing the probability that voters choose an incumbent party. Additionally, we observe that voters are not opportunistically voting for incumbents who lower tax rates. Instead, voters seem to be holding local incumbents accountable for local economic conditions. We hence conclude that voters care about economic outcomes, not about what specific policies are implemented to reach these outcomes.

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This thesis investigates the design of optimal tax systems in dynamic environments. The first essay characterizes the optimal tax system where wages depend on stochastic shocks and work experience. In addition to redistributive and efficiency motives, the taxation of inexperienced workers depends on a second-best requirement that encourages work experience, a social insurance motive and incentive effects. Calibrations using U.S. data yield higher expected optimal marginal income tax rates for experienced workers for most of the inexperienced workers. They confirm that the average marginal income tax rate increases (decreases) with age when shocks and work experience are substitutes (complements). Finally, more variability in experienced workers' earnings prospects leads to increasing tax rates since income taxation acts as a social insurance mechanism. In the second essay, the properties of an optimal tax system are investigated in a dynamic private information economy where labor market frictions create unemployment that destroys workers' human capital. A two-skill type model is considered where wages and employment are endogenous. I find that the optimal tax system distorts the first-period wages of all workers below their efficient levels which leads to more employment. The standard no-distortion-at-the-top result no longer holds due to the combination of private information and the destruction of human capital. I show this result analytically under the Maximin social welfare function and confirm it numerically for a general social welfare function. I also investigate the use of a training program and job creation subsidies. The final essay analyzes the optimal linear tax system when there is a population of individuals whose perceptions of savings are linked to their disposable income and their family background through family cultural transmission. Aside from the standard equity/efficiency trade-off, taxes account for the endogeneity of perceptions through two channels. First, taxing labor decreases income, which decreases the perception of savings through time. Second, taxation on savings corrects for the misperceptions of workers and thus savings and labor decisions. Numerical simulations confirm that behavioral issues push labor income taxes upward to finance saving subsidies. Government transfers to individuals are also decreased to finance those same subsidies.

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Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

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Rezension von: Tobias Feldhoff: Schule organisieren, Der Beitrag von Steuergruppen und Organisationalem Lernen zur Schulentwicklung, Wiesbaden: VS Verlag für Sozialwissenschaften 2011 (322 S.; ISBN 978-3-531-18100-4)

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For fiscal year 2016-2017 (July 1, 2016 through June 30, 2017), Budget Provisos 93.7 and 117.86 direct the Revenue Department to reduce the rate of interest paid on eligible refunds by a total of three percentage points. The interest rate to be applied to underpayments and overpayments of taxes is listed.