930 resultados para Qu, Yuan, approximately 343 B.C.-approximately 277 B.C.
Resumo:
A Organização Mundial de Saúde (OMS) calcula que existam mais de 350 milhões de pessoas no mundo infectadas de forma crônica pelo Vírus da hepatite B (VHB) e cerca de 180 milhões de pessoas com o Vírus da hepatite C (VHC), além de, aproximadamente, 40 milhões de pessoas vivendo com o HIV-1. Estima-se que entre dois e quatro milhões são co-infectados pelo VHB e que entre quatro e cinco milhões são co-infectados pelo VHC. A partir dessas informações, o presente estudo teve como objetivo avaliar a soroprevalência da co-infecção pelo VHB e pelo VHC em pessoas portadoras do HIV-1 e/ou com SIDA/AIDS da cidade de Belém, entre os usuários da URE-DIPE. As amostras foram testadas para a presença de marcadores da infecção pelo VHB (HBsAg, HBeAg, anti-HBs, anti-HBc, anti-HBc/IgM e anti-HBe) e VHC (anti-VHC) por meio de ensaios imunoenzimáticos. O grupo estudado foi composto por 170 homens (56,7%) e 130 mulheres (43,3%), sendo que 30% não chegaram a cursar o primeiro grau completo e apresentam renda familiar de até 3 salários mínimos. A co-infecção HIV-1/VHB foi detectada em 91 (30,3%), cinco (1,7%) apresentaram co-infecção HIV-1/VHC, e seis (2%) mostraram-se infectados pelo VHB e VHC. Em sete (2,7%), foi possível mostrar evidência de vacinação prévia ao VHB. Não foi possível mostrar diferença estatística entre os valores de carga viral e de contagem de linfócitos T CD4+ e linfócitos T CD8+ com a presença de anticorpos na duplo (HIV-1/VHC) e na triplo infecção (HIV-1/VHB/VHC), porém foi mostrado significância estatística entre os valores de carga viral e contagem de linfócitos T CD8+ entre os co-infectados HIV-1/VHB.
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Segundo a Organização Mundial de Saúde (OMS), existem no mundo, aproximadamente, 350 milhões de pessoas infectadas cronicamente pelo VHB e outras 170 milhões com infecção crônica pelo VHC. Assim, o presente trabalho teve como objetivo verificar a incidência da infecção pelos VHB e VHC e analisar possíveis fatores de risco entre 365 mulheres profissionais do sexo no Estado do Pará, sendo 32 participantes em Augusto Corrêa, 99 em Barcarena, 175 em Belém e 59 em Bragança. Destas participantes foram colhidas amostras de sangue , sendo os plasmas analisados por meio de um ensaio imunoenzimático e características epidemiológicas foram coletadas por meio de um questionário epidemiológico. Os resultados revelaram uma prevalência da infecção pelo VHB de 63,6%, sendo que para o HBsAg foi de 1,1% e para o anti-HBc de 61,9%. A soroprevalência do anti-VHC foi de 7,7% e, no que se refere à sororreatividade ao VHB e VHC simultaneamente foi de 4,4%. Entre as participantes, a imunização ao VHB foi observada em apenas 4,7% e 29,0% demonstraram suscetibilidade à infecção pelo VHB e VHC. Houve uma correlação significativa entre a soropositividade para os marcadores virais do VHB com a baixa renda familiar, o desconhecimento de doença hepática sob forma de hepatite e o uso ocasional do preservativo nas relações sexuais. Entretanto, não houve essa correlação entre as variáveis epidemiológicas com a sororreatividade para o marcador do VHC. Assim, as prevalências de infecção pelo VHB e o VHC na população de mulheres profissionais do sexo do Estado do Pará revelam padrão de intensa circulação desses vírus nessa população.
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Pós-graduação em Fisiopatologia em Clínica Médica - FMB
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Variable angle of incidence spectroscopic ellipsometry was used to determine the optical constants near the band edge of boron carbide (B5C) thin films deposited on glass and n-type Si(111) via plasma-enhanced chemical-vapor deposition. The index of refraction n, the extinction coefficient k, and the absorption coefficient are reported in the photon energy spectrum between 1.24 and 4 eV. Ellipsometry analysis of B5C films on silicon indicates a graded material, while the optical constants of B5C on glass are homogeneous. Line shape analyses of absorption data for the films on glass indicate an indirect transition at approximately 0.75 eV and a direct transition at about 1.5 eV. ©1996 American Institute of Physics.
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One letter sent from Valparaiso, Chile, in which Thompson discusses the political situation in that country and his own health.
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Paper. 15.7 x 11.4 cm. (13.3 x 9.3 cm.).
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Vol. 2 cite as: P.Col. IV
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The author is supported by an NSERC PDF.
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The author is supported by an NSERC PDF.
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Nous étudions dans cet article les tournures du type « Le gênant, c’est qu’Olivier ne sera pas seul », lesquelles sont fréquemment décrites, d’un point de vue formel, comme des structures de type article/adjectif substantivé. Après avoir analysé les propriétés morphosyntaxiques de notre tournure, nous montrons qu’en réalité on ne saurait parler d’adjectif substantivé par un article, dans la mesure où ni l’adjectif ne devient un substantif, ni l’article ne fonctionne comme un véritable article. Ce dernier, en effet, peut être défini comme un « article-démonstratif neutre ». Nous sommes dans cette perspective amené à repenser le schéma de l’article de la psychomécanique du langage, et à proposer du tenseur binaire guillaumien une vision élargie que l’on peut représenter par un schème trimorphe.
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La leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) représente environ 25% des cancers pédiatriques diagnostiqués chaque année. Dans 80 % des cas, une rémission complète est observée. Cependant, les patients résistants aux traitements ainsi que les patients en rechute présentent un mauvais pronostique. Les altérations épigénétiques sont des facteurs essentiels dans le développement et la progression de la maladie, ainsi qu’à la résistance aux traitements. Lors d’un criblage de médicaments approuvés par la FDA, nous avons découvert des molécules ayant des caractéristiques anticancéreux et épigénétiques. Pour évaluer l’activité de ces molécules, nous avons procédé à un criblage secondaire sur plusieurs lignées cellulaires leucémiques. Nous avons découvert qu’une de ces molécules, un glucoside cardiotonique appelé la proscillaridine A, avait une activité anticancéreuse spécifique pour des cellules leucémiques. Nous faisons donc l’hypothèse que la proscillaridine A pourrait avoir des effets épigénétiques et anticancéreux dans des modèles précliniques de LLA. Pour tester cette hypothèse, nous avons traité deux lignées cellulaires de LLA Nalm-6 (LLA pre-B) et Molt-4 (T-LLA) in vitro pendant 2 à 96 heures à des doses pertinentes sur le plan clinique. Nous avons alors pu observer une inhibition de croissance qui était dépendante de la dose administrée dans les deux lignées cellulaires, avec des valeurs de 50% d’inhibition de croissance (CI50) de 3.0 nM pour les Nalm-6 et de et 2.3 nM pour les Molt-4. De plus, nos études sur le cycle cellulaire par BrdU démontrent un arrêt en phase G2/M. Nous avons également détecté par immunobuvardage de type western des baisses significatives de l’acétylation de résidus de l’histone 3. Les niveaux d’expression des enzymes responsables de cette acétylation, les histones acétyltransférases CBP, P300 et TIP60 ainsi que de l’oncogène C-MYC étaient également diminuées. Par des analyses de séquençage de l’ARN, nous avons observé une augmentation de l’expression des gènes impliquées dans les processus d’apoptose et de différentiation cellulaire, ainsi qu’une diminution des gènes impliqués dans la prolifération cellulaire comme en particulier les gènes cibles de C-MYC. Ces résultats prometteurs suggèrent le potentiel prometteur de la proscillaridine A comme nouvelle thérapie pour les patients atteints de LLA.
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La leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) représente environ 25% des cancers pédiatriques diagnostiqués chaque année. Dans 80 % des cas, une rémission complète est observée. Cependant, les patients résistants aux traitements ainsi que les patients en rechute présentent un mauvais pronostique. Les altérations épigénétiques sont des facteurs essentiels dans le développement et la progression de la maladie, ainsi qu’à la résistance aux traitements. Lors d’un criblage de médicaments approuvés par la FDA, nous avons découvert des molécules ayant des caractéristiques anticancéreux et épigénétiques. Pour évaluer l’activité de ces molécules, nous avons procédé à un criblage secondaire sur plusieurs lignées cellulaires leucémiques. Nous avons découvert qu’une de ces molécules, un glucoside cardiotonique appelé la proscillaridine A, avait une activité anticancéreuse spécifique pour des cellules leucémiques. Nous faisons donc l’hypothèse que la proscillaridine A pourrait avoir des effets épigénétiques et anticancéreux dans des modèles précliniques de LLA. Pour tester cette hypothèse, nous avons traité deux lignées cellulaires de LLA Nalm-6 (LLA pre-B) et Molt-4 (T-LLA) in vitro pendant 2 à 96 heures à des doses pertinentes sur le plan clinique. Nous avons alors pu observer une inhibition de croissance qui était dépendante de la dose administrée dans les deux lignées cellulaires, avec des valeurs de 50% d’inhibition de croissance (CI50) de 3.0 nM pour les Nalm-6 et de et 2.3 nM pour les Molt-4. De plus, nos études sur le cycle cellulaire par BrdU démontrent un arrêt en phase G2/M. Nous avons également détecté par immunobuvardage de type western des baisses significatives de l’acétylation de résidus de l’histone 3. Les niveaux d’expression des enzymes responsables de cette acétylation, les histones acétyltransférases CBP, P300 et TIP60 ainsi que de l’oncogène C-MYC étaient également diminuées. Par des analyses de séquençage de l’ARN, nous avons observé une augmentation de l’expression des gènes impliquées dans les processus d’apoptose et de différentiation cellulaire, ainsi qu’une diminution des gènes impliqués dans la prolifération cellulaire comme en particulier les gènes cibles de C-MYC. Ces résultats prometteurs suggèrent le potentiel prometteur de la proscillaridine A comme nouvelle thérapie pour les patients atteints de LLA.
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Time-activity patterns and the airborne pollutant concentrations encountered by children each day are an important determinant of individual exposure to airborne particles. This is demonstrated in this work by using hand-held devices to measure the real-time individual exposure of more than 100 children aged 8-11 years to particle number concentrations and average particle diameter, as well as alveolar and tracheobronchial deposited surface area concentration. A GPS-logger and activity diaries were also used to give explanation to the measurement results. Children were divided in three sample groups: two groups comprised of urban schools (school time from 8:30 am to 1:30 pm) with lunch and dinner at home, and the third group of a rural school with only dinner at home. The mean individual exposure to particle number concentration was found to differ between the three groups, ranging from 6.2×104 part. cm-3 for children attending one urban school to 1.6×104 part. cm-3 for the rural school. The corresponding daily alveolar deposited surface area dose varied from about 1.7×103 mm2 for urban schools to 6.0×102 mm2 for the rural school. For all of the children monitored, the lowest particle number concentrations are found during sleeping time and the highest were found during eating time. With regard to alveolar deposited surface area dose, a child's home was the major contributor (about 70%), with school contributing about 17% for urban schools and 27% for the rural school. An important contribution arises from the cooking/eating time spent at home, which accounted for approximately 20% of overall exposure, corresponding to more than 200 mm2. These activities represent the highest dose received per time unit, with very high values also encountered by children with a fireplace at home, as well as those that spend considerable time stuck in traffic jams.
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The Hepatitis C virus (HCV) affects some 150 million people worldwide. However, unlike hepatitis A and B there is no vaccination for HCV and approximately 75% of people exposed to HCV develop chronic hepatitis. In Australia, around 226,700 people live with chronic HCV infection costing the government approximately $252 million per year. Historically, the standard approved/licenced treatment for HCV is pegylated interferon with ribavirin. There are major drawbacks with interferon-based therapy including side effects, long duration of therapy, limited access and affordability. Our previous survey of an at-risk population reported HCV treatment coverage of only 5%. Since April 2013, a new class of interferon-free treatments for chronic HCV is subsidised under the Pharmaceutical Benefits Scheme: boceprevir and telaprevir - estimated to cost the Australian Government in excess of $220 million over five years. Other biologic interferon-free therapeutic agents are scheduled to enter the Australian market. Use of small molecule generic pharmaceuticals has been advocated as a means of public cost savings. However, with the new biologic agents, generics (biosimilars) may not be feasible or straightforward, due to long patent life; marketing exclusivity; and regulatory complexity for these newer products.