925 resultados para Parent-child relations


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BACKGROUND: Parents are a major supplier of alcohol to adolescents, often initiating use with sips. Despite harms of adolescent alcohol use, research has not addressed the antecedents of such parental supply. This study investigated the prospective associations between familial, parental, peer, and adolescent characteristics on parental supply of sips. METHODS: Participants were 1729 parent-child dyads recruited from Grade 7 classes, as part of the Australian Parental Supply of Alcohol Longitudinal Study. Data are from baseline surveys (Time 1) and 1-year follow-up (Time 2). Unadjusted and adjusted logistic regressions tested prospective associations between Time 1 familial, parental, peer, and adolescent characteristics and Time 2 parental supply. RESULTS: In the fully adjusted model, parental supply was associated with increased parent-report of peer substance use (odds ratio [OR] = 1.20, 95% confidence ratio [CI], 1.08-1.34), increased home alcohol access (OR = 1.07, 95% CI, 1.03-1.11), and lenient alcohol-specific rules (OR=0.88, 95% CI, 0.78-0.99). CONCLUSIONS: Parents who perceived that their child engaged with substance-using peers were more likely to subsequently supply sips of alcohol. Parents may believe supply of a small quantity of alcohol will protect their child from unsupervised alcohol use with peers. It is also possible that parental perception of peer substance use may result in parents believing that this is a normative behavior for their child's age group, and in turn that supply is also normative. Further research is required to understand the impacts of such supply, even in small quantities, on adolescent alcohol use trajectories.

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Contexte. Depuis quelques années, plusieurs études se sont intéressées aux effets protecteurs des repas en famille sur divers aspects du développement des enfants et des adolescents. Objectif. Identifier les associations prospectives entre l'environnement des repas en famille à 6 ans et le développement bio-psycho-social à 10 ans. Méthode. Les participants sont 1 085 filles et 1 138 garçons faisant partie de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ), qui a sélectionné un échantillon aléatoire et stratifié en utilisant le registre des naissances du Québec. Dans ce devis prospectif-longitudinal, les parents ont fourni une mesure sur l'environnement de leurs repas en famille à l'âge de 6 ans. Quatre années plus tard, les parents ont également fourni des mesures sur le niveau de condition physique de leur enfant ainsi que sa fréquence de consommation de boissons gazeuses; les enseignants ont mesuré la réussite en lecture et en mathématiques; les enfants ont auto-rapporté leurs niveaux d’agressivité physique globale, d’opposition, du trouble du comportement non agressif et d’agressivité réactive. Des analyses de régressions multiples ont été réalisées. Résultats. Un environnement plus sain lors des repas en famille à 6 ans a prédit les bénéfices suivants à 10 ans : une augmentation de la condition physique (β = 0,24; 95 % intervalle de confiance [IC], 0,12 à 0,36) ainsi qu'une diminution de la consommation de boissons gazeuses (β = -0,43; 95 % IC, -0,62 à -0,23), de l'agressivité physique globale (β = -0,38; 95 % IC, -0,58 à -0,18), de l'opposition (β = -0,72; 95 % IC, -1 à -0,4), du trouble du comportement non agressif (β = -0,33; 95 % IC, -0,50 à -0,17) et de l'agressivité réactive (β = -0,70; 95 % IC, -0,98 à -0,42). Contrairement à nos attentes, l'environnement des repas en famille n'était pas significativement relié au rendement scolaire. Conclusion. Les repas familiaux ont une forte influence à long terme sur le développement de l'enfant, par rapport à sa santé physique et à son ajustement social. Par conséquent, ils pourraient nourrir une campagne informative intéressante qui porterait sur la promotion de la santé mentale et physique des jeunes à travers ce rituel social.

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Contexte. Depuis quelques années, plusieurs études se sont intéressées aux effets protecteurs des repas en famille sur divers aspects du développement des enfants et des adolescents. Objectif. Identifier les associations prospectives entre l'environnement des repas en famille à 6 ans et le développement bio-psycho-social à 10 ans. Méthode. Les participants sont 1 085 filles et 1 138 garçons faisant partie de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ), qui a sélectionné un échantillon aléatoire et stratifié en utilisant le registre des naissances du Québec. Dans ce devis prospectif-longitudinal, les parents ont fourni une mesure sur l'environnement de leurs repas en famille à l'âge de 6 ans. Quatre années plus tard, les parents ont également fourni des mesures sur le niveau de condition physique de leur enfant ainsi que sa fréquence de consommation de boissons gazeuses; les enseignants ont mesuré la réussite en lecture et en mathématiques; les enfants ont auto-rapporté leurs niveaux d’agressivité physique globale, d’opposition, du trouble du comportement non agressif et d’agressivité réactive. Des analyses de régressions multiples ont été réalisées. Résultats. Un environnement plus sain lors des repas en famille à 6 ans a prédit les bénéfices suivants à 10 ans : une augmentation de la condition physique (β = 0,24; 95 % intervalle de confiance [IC], 0,12 à 0,36) ainsi qu'une diminution de la consommation de boissons gazeuses (β = -0,43; 95 % IC, -0,62 à -0,23), de l'agressivité physique globale (β = -0,38; 95 % IC, -0,58 à -0,18), de l'opposition (β = -0,72; 95 % IC, -1 à -0,4), du trouble du comportement non agressif (β = -0,33; 95 % IC, -0,50 à -0,17) et de l'agressivité réactive (β = -0,70; 95 % IC, -0,98 à -0,42). Contrairement à nos attentes, l'environnement des repas en famille n'était pas significativement relié au rendement scolaire. Conclusion. Les repas familiaux ont une forte influence à long terme sur le développement de l'enfant, par rapport à sa santé physique et à son ajustement social. Par conséquent, ils pourraient nourrir une campagne informative intéressante qui porterait sur la promotion de la santé mentale et physique des jeunes à travers ce rituel social.

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Background: Successful management of atopic dermatitis poses a significant and ongoing challenge to parents of affected children. Despite frequent reports of child behaviour problems and parenting difficulties, there is a paucity of literature examining relationships between child behaviour and parents' confidence and competence with treatment. Objectives: To examine relationships between child, parent, and family variables, parents' self-efficacy for managing atopic dermatitis, self-reported performance of management tasks, observed competence with providing treatment, and atopic dermatitis severity. Design: Cross-sectional study design. Participants A sample of 64 parent-child dyads was recruited from the dermatology clinic of a paediatric tertiary referral hospital in Brisbane, Australia. Methods: Parents completed self-report questionnaires examining child behaviour, parents' adjustment, parenting conflict, parents' relationship satisfaction, and parents' self-efficacy and self-reported performance of key management tasks. Severity of atopic dermatitis was assessed using the Scoring Atopic Dermatitis index. A routine home treatment session was observed, and parents' competence in carrying out the child's treatment assessed. Results: Pearson's and Spearman's correlations identified significant relationships (p< .05) between parents' self-efficacy and disease severity, child behaviour difficulties, parent depression and stress, parenting conflict, and relationship satisfaction. There were also significant relationships between each of these variables and parents' self-reported performance of management tasks. More profound child behaviour difficulties were associated with more severe atopic dermatitis and greater parent stress. Using multiple linear regressions, significant proportions of variation in parents' self-efficacy and self-reported task performance were explained by child behaviour difficulties and parents' formal education. Self-efficacy emerged as a likely mediator for relationships between both child behaviour and parents' education, and self-reported task performance. Direct observation of treatment sessions revealed strong relationships between parents' treatment competence and parents' self-efficacy, outcome expectations, and self-reported task performance. Less competent task performance was also associated with greater parent-reported child behaviour difficulties, parent depression and stress, parenting conflict, and relationship dissatisfaction. Conclusion: This study revealed the importance of child behaviour to parents' confidence and practices in the context of atopic dermatitis management. Children with more severe atopic dermatitis are at risk of presenting with challenging behaviour problems and their parents struggle to manage the condition successfully.

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Le surpoids (embonpoint et obésité) chez l’enfant est un problème préoccupant qui prend de plus en plus d’ampleur. Le rôle du parent dans cette problématique est prédominant, puisqu’il assure la disponibilité des aliments, choisit les mets présentés, joue le rôle de modèle dans l’acte alimentaire et interagit avec l’enfant durant les prises alimentaires pour guider son comportement alimentaire. Le parent offre et façonne l’environnement dans lequel évolue l’enfant. Cette thèse explore le rôle de la mère dans cet environnement. Le parent utilise diverses pratiques alimentaires pour guider l’alimentation de l’enfant. Certaines sont douces, comme encourager positivement l’enfant à essayer un aliment (ex. Goûtes-y, moi je trouve ça très bon!) et d’autres plus coercitives (ex. Tu ne sors pas de table sans avoir terminé ton assiette). Les interactions parent-enfant lors de la prise alimentaire sont susceptibles d’avoir différentes conséquences sur l’alimentation de l’enfant, modifiant possiblement les apports alimentaires, les préférences, la néophobie et le statut pondéral. Les interactions parent-enfant en général, donc hors du contexte précis de l’alimentation, peuvent aussi influencer les comportements alimentaires de l’enfant. L’objectif général de cette thèse est d’explorer les relations entre les interactions parent-enfant en général, aussi nommées « styles parentaux » (SP), les interactions parent-enfant dans le contexte alimentaire, portant le nom de «styles parentaux alimentaires» (SPA), les stratégies alimentaires utilisées par les parents pour guider l’alimentation de l’enfant, nommées « pratiques alimentaires parentales » (PAP), les comportements alimentaires de l’enfant et le statut pondéral de ce dernier. Cette thèse comprend 4 objectifs spécifiques. D’abord, d’examiner les relations entre les SP, les SPA et les PAP. Dans un deuxième temps, les relations entre les SPA, le comportement alimentaire de l’enfant (préférence et fréquence de consommation) et le statut pondéral de l’enfant seront explorées. Puis, l’existence de relations entre l’usage de PAP et le comportement alimentaire de l’enfant sera évaluée. Finalement, les relations entre les attitudes de la mère à l’égard de son poids et de celui de son enfant et du comportement néophobique de l’enfant seront explorées. Cent vingt-deux mères d’enfants d’âge préscolaire, de 3 à 5 ans, ont été recrutées par des milieux de garde de l’île de Montréal et ont complété et retourné un questionnaire auto-administré portant sur le style parental, style parental alimentaire, les PAP, les fréquences de consommation de l’enfant, les préférences de l’enfant pour certains aliments et groupe d’aliments, la néophobie de l’enfant, le poids et la taille de l’enfant, le régime actuel de la mère, la perception du poids de l’enfant, la préoccupation face au poids de l’enfant ainsi que la description du profil familial. Les SP, les SPA et les PAP montrent des corrélations. Les SPA, plus particulièrement les deux échelles qui les composent (exigence et sensibilité) montrent des corrélations avec la consommation et la préférence pour certains aliments. Des différences sont aussi notées entre les différents SPA et le statut pondéral de l’enfant et certains comportements alimentaires. La présente thèse suggère une implication de trois concepts, soient les SP, les SPA et les PAP, dans la dynamique alimentaire de la dyade mère-enfant. Des relations importantes entre les SPA et les préférences alimentaires sont suggérées. Les futures recherches dans ce domaine devront évaluer l’impact relatif des PAP, des SP et des SPA sur le comportement alimentaire (consommation et préférence) et le poids de l’enfant. Une intervention efficace visant des changements de comportements alimentaires auprès des familles devra adresser à la fois les PAP, mais aussi les SP et les SPA.

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Theory and evidence relating parental incarceration, attachment, and psychopathology are reviewed. Parental incarceration is a strong risk factor for long-lasting psychopathology, including antisocial and internalizing outcomes. Parental incarceration might threaten children's attachment security because of parent-child separation, confusing communication about parental absence, restricted contact with incarcerated parents, and unstable caregiving arrangements. Parental incarceration can also cause economic strain, reduced supervision, stigma, home and school moves, and other negative life events for children. Thus, there are multiple possible mechanisms whereby parental incarceration might increase risk for child psychopathology. Maternal incarceration tends to cause more disruption for children than paternal incarceration and may lead to greater risk for insecure attachment and psychopathology. Children's prior attachment relations and other life experiences are likely to be of great importance for understanding children's reactions to parental incarceration. Several hypotheses are presented about how prior insecure attachment and social adversity might interact with parental incarceration and contribute to psychopathology. Carefully designed longitudinal studies, randomized controlled trials, and cross-national comparative research are required to test these hypotheses.

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Background: Although parent-proxy reports of health-related quality of life (HRQOL) are only moderately correlated with child reported HRQOL, it remains unknown why these scores differ. The aim of this study was to use a qualitative methodology to examine why parents and children report different levels of HRQOL.

Method: The sample consisted of 15 parent–child pairs. A think-aloud technique was used where parents and children were given a generic HRQOL instrument (KIDSCREEN) and instructed to share their thoughts with the interviewer. Qualitative analyses were conducted to assess whether parents and children base their answer on different experiences or reasoning, have different response styles, or interpret the items differently.

Results: There was discordance between parents and children, in terms of rating scale and in terms of the reasoning for their answer. Children tended to have different response styles to parents, where for example, children tended to provide extreme scores (highest or lowest score) and base their response on one single example, more than parents. Parents and children interpreted the meaning of the items very similarly.

Discussion: This study provides evidence to suggest that discordance among parent-child pairs on KIDSCREEN scores may be as a result of different reasoning and different response styles, rather than interpretation of items. These findings have important implications when parent-proxy reported HRQOL is used to guide clinical/treatment decisions.

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Thesis (Master's)--University of Washington, 2016-06

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This study examined the psychometric properties of the parent version of the Spence Children's Anxiety Scale (SCAS-P); 484 parents of anxiety disordered children and 261 parents in a normal control group participated in the study. Results of confirmatory factor analysis provided support for six intercorrelated factors, that corresponded with the child self-report as well as with the classification of anxiety disorders by DSM-IV (namely separation anxiety, generalized anxiety, social phobia, panic/agoraphobia, obsessive-compulsive disorder, and fear of physical injuries). A post-hoc model in which generalized anxiety functioned as the higher order factor for the other five factors described the data equally well. The reliability of the subscales was satisfactory to excellent. Evidence was found for both convergent and divergent validity: the measure correlated well with the parent report for internalizing symptoms, and lower with externalizing symptoms. Parent-child agreement ranged from 0.41 to 0.66 in the anxiety-disordered group, and from 0.23 to 0.60 in the control group. The measure differentiated significantly between anxiety-disordered children versus controls, and also between the different anxiety disorders except GAD. The SCAS-P is recommended as a screening instrument for normal children and as a diagnostic instrument in clinical settings. (C) 2003 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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A two-year longitudinal study was conducted to investigate late adolescents in transition. An initial investigation with senior high school students assessed students prior to leaving home for college and after college entrance. Of the original 131 participants recontacted two years after their graduation, 78 returned surveys. The study (a) explored changes in social network structure and function, (b) determined whether late adolescent-parent-peer relations change over time, and (c) identified prospectively the impact of social support, adolescent-parent-peer relations, and attachment security on well-being and feelings about the transition after high school. Students attending college locally reported an increase in total network support at Time 2. Regardless of location, more support from friends was received after the transition from high school, whereas family support did not vary across time. Parent relations were closer after the transition and were predictive of various well-being measures and feelings about the transition from high school. ^

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This study investigated associations between parents' expressed emotion during a series of play tasks with their child, and psychological assessments of parent, child, and family functioning. Parent and child dyads included 41 families with a child between ages 4 and 12 who sought a developmental assessment at the Youth and Family Development Program laboratory at Florida International University. Videotaped dyadic play tasks were rated, using an Emotional Expressiveness Rating Scale (EERS) developed for this study, for parents' communication of criticism, hostility, emotional over-involvement, indifference, and warmth toward their child. Associations between parent expressed emotion and parent, child, and family functioning were assessed. Negative expressed emotion in parents, particularly criticism, was correlated with externalizing child problems, high parental stress, and family conflict; parent warmth was correlated with parents' feeling rewarded by their child, and with family cohesion. The implications for mental health research and practice with parents and children are discussed.

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De nombreuses études empiriques ont démontré que la qualité des relations parent-enfant est importante pour le développement des fonctions exécutives (FE) des enfants. Cependant, la majorité des études ont porté sur des échantillons de mères ou de pères, mais non des deux. Le présent mémoire contient un article empirique qui poursuit deux buts. Premièrement, l’article a examiné la contribution unique de la qualité des interactions mère-enfant et père-enfant avec leur bambin (toddler) à la prédiction des FE en milieu scolaire. Deuxièmement, l’article a investigué les effets d'interactions entre la qualité des relations mère-enfant et père-enfant. L’étude a été menée auprès de 46 familles intactes (mère-père-enfant). Lorsque les enfants avaient 18 mois, la qualité des interactions mère-enfant et père-enfant a été mesurée par observation de séquences indépendantes de jeu avec le Mutually Responsive Orientation scale. À la maternelle, les problèmes exécutifs des enfants furent rapportés par le professeur à l’aide du Behavior Rating Inventory of Executive Function. Les résultats indiquent que les enfants qui ont des interactions de meilleure qualité avec leur père à 18 mois sont ensuite considérés par leur professeur de maternelle comme ayant moins de déficits exécutifs. Cela suggère que la relation père-enfant peut être un facteur important à considérer en ce qui concerne le développement des FE des enfants. Les implications théoriques et empiriques ainsi que les implications pratiques, notamment celles concernant les professeurs, sont abordées lors de la conclusion de ce mémoire.

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De nombreuses études empiriques ont démontré que la qualité des relations parent-enfant est importante pour le développement des fonctions exécutives (FE) des enfants. Cependant, la majorité des études ont porté sur des échantillons de mères ou de pères, mais non des deux. Le présent mémoire contient un article empirique qui poursuit deux buts. Premièrement, l’article a examiné la contribution unique de la qualité des interactions mère-enfant et père-enfant avec leur bambin (toddler) à la prédiction des FE en milieu scolaire. Deuxièmement, l’article a investigué les effets d'interactions entre la qualité des relations mère-enfant et père-enfant. L’étude a été menée auprès de 46 familles intactes (mère-père-enfant). Lorsque les enfants avaient 18 mois, la qualité des interactions mère-enfant et père-enfant a été mesurée par observation de séquences indépendantes de jeu avec le Mutually Responsive Orientation scale. À la maternelle, les problèmes exécutifs des enfants furent rapportés par le professeur à l’aide du Behavior Rating Inventory of Executive Function. Les résultats indiquent que les enfants qui ont des interactions de meilleure qualité avec leur père à 18 mois sont ensuite considérés par leur professeur de maternelle comme ayant moins de déficits exécutifs. Cela suggère que la relation père-enfant peut être un facteur important à considérer en ce qui concerne le développement des FE des enfants. Les implications théoriques et empiriques ainsi que les implications pratiques, notamment celles concernant les professeurs, sont abordées lors de la conclusion de ce mémoire.

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The aim of this study was to assess the association between parent and child sodium (Na) and potassium (K) intake as assessed by 24-h urinary excretion (24hUE). Primary school children and their parent(s) provided one 24-h urine sample and information on cooking and children's discretionary salt use. Valid urine samples were provided by 108 mothers (mean age 41.8 (5.1) (SD) years, Na 120 (45) mmol/day) (7.0 g/day salt equivalent) and 40 fathers (44.4 (4.9) years, Na 152 (49) mmol/day (8.9 g/day salt), and 168 offspring (51.8% male, age 9.1 (2.0) years, Na 101 (47) mmol/day (5.9 g/day salt). When adjusted for parental age, child age and gender a 17 mmol/day Na (1 g/day salt) increase in mother's 24hUE was associated with a 3.4 mmol/day Na (0.2 g/day salt) increase in child's salt 24hUE (p = 0.04) with no association observed between father and child. Sixty-seven percent of parents added salt during cooking and 37% of children added salt at the table. Children who reported adding table salt had higher urinary excretion than those who did not (p = 0.01). The association between mother and child Na intake may relate to the consumption of similar foods and highlights the importance of the home environment in influencing total dietary sodium intake.

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The relationship between the quality of parent-child interactions and positive child developmental trajectories is well established (Guralnick, 2006; Shonkoff & Meissels, 2000; Zubrick et al., 2008). However, a range of parental, family, and socio-economic factors can pose risks to parents’ capacity to participate in quality interactions with their children. In particular, families with a child with a disability have been found to have higher levels of parenting stress, and are more likely to experience economic disadvantage, as well as social isolation. The importance of early interventions to promote positive parenting and child development for these families is widely recognised (Shonkoff & Meissels, 2000). However, to date, there is a lack of evidence about the effectiveness of early parenting programs for families who have a young child with a disability. This thesis investigates the impact of a music therapy parenting program, Sing & Grow, on 201 parent-child dyads who attended programs specifically targeted to parents who had a young child with a disability. Sing & Grow is an Australian national early parenting intervention funded by the Australian Government Department of Families, Housing, Community Services and Indigenous Affairs and delivered by Playgroup Queensland. It is designed and delivered by Registered Music Therapists for families with children aged from birth to three years. It aims to improve parenting skills and confidence, improve family functioning (positive parent-child interactions), enhance child development, and provide social networking opportunities to socially isolated families. The intervention targets a range of families in circumstances that have the potential to impact negatively on family functioning. This thesis uses data from the National Evaluation Study of Sing & Grow from programs which were targeted at families who had a young child with a disability. Three studies were conducted to address the objectives of this thesis. Study 1 examines the effects of the Sing & Grow intervention on parent reported pre and post parent mental health, parenting confidence, parenting skills, and child development, and other parent reported outcomes including social support, use of intervention resources, satisfaction with the intervention and perceived benefits of and barriers to participation. Significant improvements from pre to post were found for parent mental health and parent reported child communication and social skills, along with evidence that parents were very satisfied with the program and that it brought social benefits to families. Study 2 explored the pre to post effects of the intervention on children’s developmental skills and parent-child interactions using observational ratings made by clinicians. Significant pre to post improvements were found for parenting sensitivity, parental engagement with child and acceptance of child as well as for child responsiveness to parent, interest, and participation in the intervention, and social skills. Study 3 examined the nature of child and family characteristics that predicted better outcomes for families while taking account of the level of participation in the program. An overall outcome index was calculated and served as the dependent variable in a logistic regression analysis. Families who attended six or more sessions and mothers who had not completed high school were more likely to have higher outcome scores at post intervention than those who attended fewer sessions and those with more educated mothers respectively. The findings of this research indicate that the intervention had a positive impact on participants’ mental health, parenting behaviours and child development and that level of attendance was associated with better outcomes. There was also evidence that the program reached its target of high risk families (i.e., families in which mothers had lower educational levels) and that for these families better outcomes were achieved. There were also indications that the program was accessible and highly regarded by families and that it promoted social connections for participants. A theoretical model of how the intervention is currently working for families is proposed to explain the connections between early parenting, child development and maternal wellbeing. However, more research is required to further elucidate the mechanisms by which the intervention creates change for families. This research presents promising evidence that a short term group music therapy program can elicit important therapeutic benefits for families who have a child with a disability.