Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

A NAIRU assessment: an applied case to Colombia’s labor markets

Given the discrepancy over the optimum levels of employment for Colombia, this research targets both, the national and urban, Non-Accelerating Inflation Rate of Unemployment (NAIRU) for the Colombian markets -- In doing so, there is a strong pertinence in estimating the constant NAIRU through raw and minimally altered data and providing the reader with a complete brief of the theory in which the model is founded -- The introduction of supply shocks is considered to attain improved estimations and a more reliable assessment of the NAIRU to those that have previously been attempted -- The backbone of the analysis is conducted through the relationship established by the Phillips curve from 2001 until 2015

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

Ciclos económicos, capital bancario y nuevas opciones de política económica

El objetivo de este trabajo es utilizar algunos hechos estilizados de la "Gran recesión", específicamente la drástica caída en el nivel de capitalización bancario, para analizar la relación entre los ciclos financieros y los ciclos reales, así como la efectividad de la política monetaria no convencional y las políticas macroprudenciales. Para esto, en el primer capítulo se desarrolla una microfundamentación de la banca a partir de un modelo de Costly State Verification, que es incluido posteriomente en distintas especificaciones de modelos DSGE. Los resultados muestran que: (i) los ciclos financieros y los ciclos económicos pueden relacionarse a partir del deterioro del capital bancario; (ii) Las políticas macroprudenciales y no convencionales son efectivas para moderar los ciclos económicos, pero son costosas en términos de recursos e inflación.

Inflation Uncertainty, Exchange Rate Depreciation and Volatility: Evidence from Ghana, Mozambique and Tanzania

While flexible exchange rates facilitate stabilisation, exchange rate fluctuations can cause real volatility. This gives policy importance to the causal relationship between exchange rate depreciation and its volatility. An exchange rate may be expected to become more volatile when the underlying currency loses value. We conjecture that a reverse causation, which further weakens the currency, may be mitigated by price stability. Data from Ghana, Mozambique and Tanzania support this: depreciation makes exchange rate more volatile for all but volatility does not causes depreciation in Tanzania which has enjoyed a more stable inflation despite all countries adopting similar macro-policies since early 1990s.

Time Horizons And Smoothing In The Bank Of England’s Reaction Function: The Contrast Between The Standard GMM And Ex Ante Forecast Approaches

The monetary policy reaction function of the Bank of England is estimated by the standard GMM approach and the ex-ante forecast method developed by Goodhart (2005), with particular attention to the horizons for inflation and output at which each approach gives the best fit. The horizons for the ex-ante approach are much closer to what is implied by the Bank’s view of the transmission mechanism, while the GMM approach produces an implausibly slow adjustment of the interest rate, and suffers from a weak instruments problem. These findings suggest a strong preference for the ex-ante approach.

Time Horizons And Smoothing In The Bank Of England’s Reaction Function: The Contrast Between The Standard GMM And Ex Ante Forecast Approaches

The monetary policy reaction function of the Bank of England is estimated by the standard GMM approach and the ex-ante forecast method developed by Goodhart (2005), with particular attention to the horizons for inflation and output at which each approach gives the best fit. The horizons for the ex-ante approach are much closer to what is implied by the Bank’s view of the transmission mechanism, while the GMM approach produces an implausibly slow adjustment of the interest rate, and suffers from a weak instruments problem. These findings suggest a strong preference for the ex-ante approach.

Currency Forecast Errors at Times of Low Interest Rates: Evidence from Survey Data on the Yen/Dollar Exchange Rate

Using survey expectations data and Markov-switching models, this paper evaluates the characteristics and evolution of investors' forecast errors about the yen/dollar exchange rate. Since our model is derived from the uncovered interest rate parity (UIRP) condition and our data cover a period of low interest rates, this study is also related to the forward premium puzzle and the currency carry trade strategy. We obtain the following results. First, with the same forecast horizon, exchange rate forecasts are homogeneous among different industry types, but within the same industry, exchange rate forecasts differ if the forecast time horizon is different. In particular, investors tend to undervalue the future exchange rate for long term forecast horizons; however, in the short run they tend to overvalue the future exchange rate. Second, while forecast errors are found to be partly driven by interest rate spreads, evidence against the UIRP is provided regardless of the forecasting time horizon; the forward premium puzzle becomes more significant in shorter term forecasting errors. Consistent with this finding, our coefficients on interest rate spreads provide indirect evidence of the yen carry trade over only a short term forecast horizon. Furthermore, the carry trade seems to be active when there is a clear indication that the interest rate will be low in the future.

Exchange rate pass-through inflation and wage differentials in late-industrializing economies: the Mexican case

This paper investigates exchange rate pass-through inflation, and the wage bargaining process, in a developing economy in which firms' market power is largely dependent on technical progress embodied in imported intermediates and capital goods. It develops a heterodox model of income distribution, based on theoretical contributions from Latin American structuralists, labor market segmentationists and post-Keynesian writers, and it presents supportive empirical evidence from the Mexican economy.

The Inflation Bias When the Central Bank Targets, the Natural Rate of Unemployment

This paper studies the proposition that an inflation bias can arise in a setup where a central banker with asymmetric preferences targets the natural unemployment rate. Preferences are asymmetric in the sense that positive unemployment deviations from the natural rate are weighted more (or less) severely than negative deviations in the central banker's loss function. The bias is proportional to the conditional variance of unemployment. The time-series predictions of the model are evaluated using data from G7 countries. Econometric estimates support the prediction that the conditional variance of unemployment and the rate of inflation are positively related.

Forecast uncertainty—ex Ante and ex Post: U.S. inflation and output growth

Survey respondents who make point predictions and histogram forecasts of macro-variables reveal both how uncertain they believe the future to be, ex ante, as well as their ex post performance. Macroeconomic forecasters tend to be overconfident at horizons of a year or more, but overestimate (i.e., are underconfident regarding) the uncertainty surrounding their predictions at short horizons. Ex ante uncertainty remains at a high level compared to the ex post measure as the forecast horizon shortens. There is little evidence of a link between individuals’ ex post forecast accuracy and their ex ante subjective assessments.

What happens after the central bank of Brazil increases the target interbank rate by 1%?

I start presenting an explicit solution to Taylorís (2001) model, in order to illustrate the link between the target interest rate and the overnight interest rate prevailing in the economy. Next, I use Vector Auto Regressions to shed some light on the evolution of key macroeconomic variables after the Central Bank of Brazil increases the target interest rate by 1%. Point estimates show a four-year accumulated output loss ranging from 0:04% (whole sample, 1980 : 1-2004 : 2; quarterly data) to 0:25% (Post-Real data only) with a Örst-year peak output response between 0:04% and 1:0%; respectively. Prices decline between 2% and 4% in a 4-year horizon. The accumulated output response is found to be between 3:5 and 6 times higher after the Real Plan than when the whole sample is considered. The 95% confidence bands obtained using bias-corrected bootstrap always include the null output response when the whole sample is used, but not when the data is restricted to the Post-Real period. Innovations to interest rates explain between 4:9% (whole sample) and 9:2% (post-Real sample) of the forecast error of GDP.

Micro evidence on brazilian price stickiness and its consequences for sectoral real exchange rate and inflation persistence

The purpose of this thesis is to investigate the price-setting behavior in Brazil and, in particular, the effects on inflation and good-level real exchange rate persistence. This thesis is composed by three Chapters. In the first Chapter, we present the main stylized facts about the behavior of retail prices in Brazil using micro data from the CPI index computed by the Fundação Getulio Vargas. Moreover we construct time series of price-setting statistics and relate them to macroeconomic variables using regression analyses. In Chapter 2, we investigated the relevance of heterogeneity in countries price stickiness on good-level real exchange rate persistence, considering a newly constructed panel data set of relative prices of 115 common products between the U.S. and Brazil. Chapter 3 is devoted to the relation between sectoral price stickiness and inflation persistence.

Forecasting Brazilian inflation by its aggregate and disaggregated data: a test of predictive power by forecast horizon

This work aims to compare the forecast efficiency of different types of methodologies applied to Brazilian Consumer inflation (IPCA). We will compare forecasting models using disaggregated and aggregated data over twelve months ahead. The disaggregated models were estimated by SARIMA and will have different levels of disaggregation. Aggregated models will be estimated by time series techniques such as SARIMA, state-space structural models and Markov-switching. The forecasting accuracy comparison will be made by the selection model procedure known as Model Confidence Set and by Diebold-Mariano procedure. We were able to find evidence of forecast accuracy gains in models using more disaggregated data