942 resultados para Chu gokugo Bunpo .
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Introduction : Les soins dentaires des enfants autistes reprsentent un dfi pour les parents et les dentistes. Des efforts doivent tre faits afin damliorer les mesures prventives et lducation des parents. Recension des crits : Lautisme se dfinit comme un dsordre qualitatif de linteraction sociale et de la communication, par des comportements ou activits rptitifs et strotyps et par de lhypersensibilit aux stimuli corporels. Le manque de coopration pour le brossage des dents constitue un obstacle au maintien dune bonne hygine bucco-dentaire chez lenfant autiste. Problmatique : Lenfant autiste reprsente un dfi pour le dentiste, mais aussi pour ses parents lors des mesures quotidiennes dhygine. Peu dtudes cliniques se sont penches sur lutilit des pictogrammes dans la dispensation des soins dentaires quotidiens et professionnels de cette clientle. Hypothse de recherche : Lutilisation de pictogrammes amliore la coopration des enfants autistes pour les soins dentaires quotidiens et chez le dentiste, leur procurant une meilleure hygine bucco-dentaire. Matriels et mthodes : Selon un devis dtude exprimentale randomise, 17 participants exprimentaux (avec pictogrammes) et 18 participants contrles ont t recruts au CHU Sainte-Justine, puis valus 6 reprises sur 12 mois. Lhygine fut note par lindice de plaque et le comportement par lchelle de Frankl. Rsultats : Aucune diffrence significative na t note entre le groupe exprimental et contrle pour lindice de plaque et lchelle de Frankl. Globalement, une baisse de lindice de plaque et une amlioration du comportement ont t notes pour les deux groupes et ce, pendant la priode dtude de 12 mois. Conclusion : Les rsultats de la prsente tude ne permettent pas daffirmer que les pictogrammes contribuent amliorer lhygine bucco-dentaire et le comportement des enfants autistes lors des soins dentaires quotidiens et professionnels.
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Rapport de projet de matrise en gnie clinique au CHU Sainte-Justine
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En 2006, un hpital universitaire de la rgion de Montral a dcid dimplanter le projet Hpital Promoteur de Sant dans un contexte o les conditions de travail des infirmires taient particulirement difficiles. Une tude de cas a t mene dans le CHU, afin de mieux comprendre le contexte interne dimplantation du sous-projet milieu de travail promoteur de sant. Des entrevues ont t menes auprs de 7 acteurs-cls du niveau stratgique et 18 infirmires-chefs pour examiner leurs perceptions relativement limplantation du projet HPS, et plus particulirement dun milieu de travail promoteur de sant pour les infirmires. Un questionnaire a aussi t administr par entrevue quatre acteurs-cls stratgiques du CHU afin dvaluer la compatibilit des pratiques organisationnelles avec les critres dune des dimensions du projet HPS, le milieu de travail promoteur de sant. Les rsultats montrent des similitudes et des diffrences parmi les perceptions des acteurs stratgiques au sujet du contexte interne dimplantation. Les similitudes portent sur lutilit, la compatibilit du sous-projet milieu de travail promoteur de sant avec les valeurs de lorganisation, la ncessit dune implantation graduelle ainsi que sur lexistence dobstacles limplantation. Les diffrences ont men cinq discours d'acteurs stratgiques aux niveaux dengagement diffrents, en fonction de facteurs d'intelligibilit (i.e. comprhension du concept HPS, rle peru dans l'implantation, stratgie d'implantation, vision des implications du concept HPS). Les rsultats rvlent aussi que toutes les infirmires-chefs peroivent lutilit et la compatibilit du sous-projet milieu de travail promoteur de sant avec les valeurs, normes, stratgies et buts organisationnels, ainsi que les mmes obstacles son implantation perus par les acteurs stratgiques. Ils montrent aussi lexistence de deux groupes diffrents chez les infirmires-chefs quant aux stratgies proposes et utilises pour implanter un milieu de travail promoteur de sant. Ainsi, les stratgies des infirmires-chefs du groupe 1 peuvent tre assimiles celles de leaders transactionnels, tandis que les infirmires-chefs du groupe 2 peuvent tre assimiles celles de leaders transformationnels. Finalement, les rsultats de lanalyse des donnes du questionnaire indiquent divers niveaux de compatibilit des pratiques de lhpital par rapport aux critres dun milieu de travail promoteur de sant. Ainsi, la compatibilit est leve pour les critres portant sur l'organisation apprenante et performante, les stratgies pour un milieu de travail sain et scuritaire, les activits lies la promotion de saines habitudes de vie ainsi que les modifications de l'environnement physique et social. Cependant, elle est faible pour les critres portant sur la politique de promotion de la sant et la participation des infirmires. Notre tude a soulign limportance de ltat de prparation dune organisation de sant limplantation dune innovation, un concept peu tudi dans les tudes sur limplantation efficace dinnovations dans les services de sant, plus particulirement du projet HPS. Nos rsultats ont galement mis en vidence limportance, pour un hpital souhaitant implanter un milieu de travail promoteur de sant, de former son personnel et ses gestionnaires au sujet du projet HPS, de disposer dun plan de communication efficace, et de raliser un tat des lieux pralablement limplantation.
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Lanalyse des anomalies gnomiques rcurrentes est importante pour tablir le diagnostic, le pronostic et pour orienter la thrapie des leucmies aigus pdiatriques. Lobjectif de notre tude est dlaborer une stratgie optimale pour dtecter les anomalies chromosomiques dans les leucmies aigus lymphoblastiques (LAL) et mylodes (LAM) des enfants. Pour ce faire, nous avons caractris au caryotype, avec des panels dhybridation in situ en fluorescence (FISH), par RT-PCR et par lindex dADN 253 leucmies de novo reues au CHU Sainte-Justine entre 2005 et 2011 (186 LAL-B, 27 LAL-T et 40 LAM). Nous avons russi optimiser la dtection des anomalies chromosomiques dans les trois types de leucmies, avec des frquences de 93,5% dans les LAL-B (174/186), 66,7% dans les LAL-T (18/27) et 90% dans les LAM (36/40). Nos rsultats suggrent dutiliser plusieurs tests gntiques concomitants afin doptimiser la dtection des anomalies gnomiques dans les LAL et les LAM de novo pdiatriques.
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Les transfusions de globules rouges (GR) sont frquentes aux soins intensifs pdiatriques (SIP). Cependant, il ny a pas de donne rcente sur les pratiques transfusionnelles aux SIP. Les objectifs de notre tude taient 1) de dcrire les pratiques transfusionnelles aux SIP du CHU Sainte-Justine en y dterminant la frquence des transfusions de GR et en caractrisant les dterminants de ces transfusions, 2) de comparer ces pratiques avec celles observes il y a dix ans, et 3) dvaluer le degr dadhrence la recommandation principale dune large tude randomise contrle, ltude TRIPICU, laquelle proposait une pratique prcise chez les patients stabiliss. Nous avons ralis une tude monocentrique prospective observationnelle dune dure dun an. Linformation requise a t extraite des dossiers mdicaux. Les dterminants des transfusions ont t recherchs quotidiennement jusqu la premire transfusion pour les cas transfuss, ou jusqu la sortie des SIP pour les cas non transfuss. Les justifications des transfusions dclares par les mdecins traitants ont t compiles laide dun questionnaire. Il y a eu 913 admissions conscutives durant la priode dtude, dont 842 ont t retenues. Au moins une transfusion a t donne 144 patients (17.1%). Le taux moyen dhmoglobine avant la premire transfusion tait de 77.327.2 g/L. Les dterminants dun premier vnement transfusionnel lanalyse multivarie taient le jeune ge (< 12 mois), la prsence dune cardiopathie congnitale, un nadir dhmoglobine 70 g/L, la gravit de la maladie, et certaines dysfonctions dorgane. Les trois justifications de transfusions les plus frquemment voques par les mdecins taient une hmoglobine basse, un transport en oxygne insuffisant et une instabilit hmodynamique. La recommandation principale de ltude TRIPICU a t applique dans 96.4% des premiers vnements transfusionnels. En conclusion, les transfusions de GR sont frquentes aux SIP. Jeune ge, cardiopathie congnitale, hmoglobine basse, gravit de la maladie et certaines dysfonctions dorganes sont des dterminants significatifs de transfusions de GR aux SIP. La plupart des premiers vnements transfusionnels furent prescrits en accord avec les rcentes recommandations.
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Problmatique : Le concept d Hpital promoteur de sant (HPS) a merg dans le sillon de la Charte dOttawa (1986) qui plaide notamment pour une rorientation des services de sant vers des services plus promoteurs de sant. Il cible la sant des patients, du personnel, de la communaut et de lorganisation elle-mme. Dans le cadre de la rforme du systme de sant au Qubec qui vise rapprocher les services de la population et faciliter le cheminement de toute personne au sein dun rseau local de services de sant et de services sociaux (RLS), ladoption du concept HPS semble constituer une fentre dopportunit pour les CHU, dsormais inclus dans des rseaux universitaires intgrs de soins de sant et rattachs aux RLS, pour oprer des changements organisationnels majeurs. Face au peu de donnes scientifiques sur limplantation des dimensions des projets HPS, les tablissements de sant ont besoin dtre accompagns dans ce processus par le dveloppement de stratgies claires et doutils concrets pour soutenir limplantation. Notre tude porte sur le premier CHU Montral qui a dcid dadopter le concept et dimplanter notamment un projet pilote HPS au sein de son centre prinatal. Objectifs : Les objectifs de la thse sont 1) danalyser la thorie dintervention du projet HPS au sein du centre prinatal; 2) danalyser limplantation du projet HPS et; 3) dexplorer lintrt de lvaluation dveloppementale pour appuyer le processus dimplantation. Mthodologie : Pour mieux comprendre limplantation du projet HPS, nous avons opt pour une tude de cas qualitative. Nous avons dabord analys la thorie dintervention, en procdant une revue de la littrature dans le but didentifier les caractristiques du projet HPS ainsi que les conditions ncessaires son implantation. En ce qui concerne lanalyse dimplantation, notre tude de cas unique a intgr deux dmarches mthodologiques : lune visant apprcier le niveau dimplantation et lautre, analyser les facteurs facilitants et les contraintes. Enfin, nous avons explor lintrt dune valuation dveloppementale pour appuyer le processus dimplantation. partir dun chantillonnage par choix raisonns, les donnes de ltude de cas ont t collectes auprs dinformateurs cls, des promoteurs du projet HPS, des gestionnaires, des professionnels et de couples de patients directement concerns par limplantation du projet HPS au centre prinatal. Une analyse des documents de projet a t effectue et nous avons procd une observation participante dans le milieu. Rsultats : Le premier article sur lanalyse logique prsente les forces et les faiblesses de la mise en oeuvre du projet HPS au centre prinatal et offre une meilleure comprhension des facteurs susceptibles dinfluencer limplantation. Le second article apprcie le niveau dimplantation des quatre dimensions du projet HPS. Grce la complmentarit des diffrentes sources utilises, nous avons russi cerner les russites globales, les activits partiellement implantes ou en cours dimplantation et les activits reposant sur une thorie dintervention inadquate. Le troisime article met en vidence linfluence des caractristiques de lintervention, des contextes externe et interne, des caractristiques individuelles sur le processus dimplantation partir du cadre danalyse de limplantation dvelopp par Damschroder et al. (2009). Enfin, le dernier article prsente les dfis rencontrs par la chercheure dans sa tentative dutilisation de lvaluation dveloppementale et propose des solutions permettant danticiper les difficults lies lintgration des exigences de recherche et dutilisation. Conclusion : Cette thse contribue enrichir la comprhension de limplantation du projet HPS dans les tablissements de sant et, particulirement, en contexte prinatal. Les rsultats obtenus sont intressants pour les chercheurs et les gestionnaires dhpitaux ou dtablissements de sant qui souhaitent implanter ou valuer les projets HPS dans leurs milieux.
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Introduction : Faute de tests diagnostiques prcis, une tude histologique est souvent ncessaire pour diagnostiquer les tumfactions latrales solides cervicales (TLSC) chez lenfant. Nous tudierons les modalits diagnostiques pour les TLSC afin de crer une approche diagnostique standardise intgrant de nouveaux outils diagnostics ceux actuellement offerts. Mthodologie : Aprs rvision des tiologies et des modalits diagnostiques, une revue de la littrature a t effectue. Une tude rtrospective entre 2002 2012 est prsente suivie dune tude de faisabilit de la cytoponction. Puis, un arbre dcisionnel est cr bas sur nos rsultats et sur lavis dun groupe dexperts de diffrentes disciplines mdicales. Rsultats : Le diagnostic diffrentiel des TLSC est vari, la littrature scientifique est dsute et la comparaison reste difficile. Pour nos 42 enfants avec un ge mdian de sept ans, les tumfactions inflammatoires reprsentent 59% (26/44 biopsies) des TLSC, surtout des lymphadnites mycobactrie atypique (13/26) qui ont un dpistage ardu et multimodal. La biopsie fut peu contributive la prise en charge dans 39% (17/44) des cas. La cytoponction sous choguidance est une technique diagnostique faisable et moins invasive que la biopsie. Larbre dcisionnel offre aux cliniciens une approche diagnostique standardise des TLSC appuye sur des faits scientifiques que nous souhaitons valider par une tude prospective. Conclusion : Les TLSC chez lenfant reprsentent un dfi diagnostic et notre arbre dcisionnel rpond au manque de standardisation dans lapproche diagnostique. Une tude prospective sur notre arbre dcisionnel est en voie dacceptation au CHU Sainte-Justine.
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La mise jour des connaissances par les infirmires et leur engagement dans un processus continu dapprentissage est garant de soins de qualit la population (Nesbitt, 2013; OIIQ, 2011b; Raelin, 2008; Wilson et al., 2015). Au Qubec depuis 2012, les infirmires doivent tre inscrites un minimum de 20 heures de formation annuellement (OIIQ, 2011a). Les milieux de soins offrent de la formation souvent ponctuelle. Garcia, Meek, et Wilson (2011) soulignent que limplantation dactivits prennes de dveloppement professionnel en milieu de travail demeure un dfi. La prsente tude avait pour but de documenter les caractristiques, le contexte et les processus dimplantation et de prennisation dune activit de dveloppement professionnel par une quipe dinfirmires. Il sagissait dun club de lecture dans un centre hospitalier universitaire (CHU) dune grande mtropole qubcoise. Fonde sur le modle de Pettigrew et Whipp (1991) Content, Context, and Process model of strategic change adapt par Stetler, Ritchie, Rycroft-Malone, Schultz, et Charns (2007), la mthode dtude de cas a t choisie. Des entrevues individuelles (n=7), des focus groups (n=2) et des priodes dobservation (n=2) ont t raliss afin de dcrire les lments de succs de limplantation et de la prennisation de cette activit. Il rsulte comme caractristique quune activit o les infirmires sont engages et actives est une stratgie gagnante. Le contexte, une quipe de gestionnaires qui valorise la pratique clinique et la pratique fonde sur les rsultats probants, soutient la prennit. Une trajectoire avec des retombes concrtes pour la pratique, les soins aux patients et lidentit professionnelle des participantes est llment principal du processus qui contribue ce que lactivit soit prenne.
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OBJECTIF: valuer si la prclampsie (PE) rcidivante prsente un taux de prmaturit (< 37 semaines de gestation) plus lev qu'une premire PE. Les critres de jugement secondaires taient le retard de croissance intra-utrin (RCIU) et la morbidit maternelle. MTHODES: Il s'agit d'une tude rtrospective de cohorte conduite sur 383 femmes avec un diagnostic de prclampsie et ayant accouch au CHU Sainte-Justine Montral (Canada) entre 2001 et 2011. Parmi elles, 128 ont dvelopp une rcidive de PE la grossesse successive. RSULTATS: Chez les femmes rcidivantes (n = 128), les taux de prmaturit et de RCIU taient similaires dans les 2 pisodes de PE, bien que plus atteintes d'hypertension chronique (p = 0.001) et de diabte gestationnel (p = 0.021) dans leur seconde PE. Comparativement aux femmes non rcidivantes (n = 255), les rcidivantes (n = 128) prsentaient, leur premire PE, un profil clinique caractris par un taux lev de PE svre (p < 0.001), clampsie et critres adverses (p = 0.007). Le risque relatif de rcidive de PE chez une femme avec ce profil clinique sa premire PE a t valu 1, 60 (95%IC: 1, 17 2, 18). CONCLUSION: La rcidive de PE est associe des taux similairement levs de prmaturit et de RCIU comparativement la premire PE. Les femmes qui leur premire PE ont un profil clinique dfini par prclampsie svre, clampsie ou prsence de critres adverses sont plus risque de rcidive de PE la grossesse subsquente. Mots cls: prclampsie, rcidive, issues prinatales, prmaturit
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Introduction : La croissance maxillo-mandibulaire des enfants avec une squence de Pierre Robin (SPR) est controverse dans la littrature. Certains auteurs croient que la croissance mandibulaire est acclre aprs la naissance, mais peu se sont penchs sur la croissance du maxillaire suprieur. Cette tude rtrospective sur dossier vise analyser la croissance maxillo-mandibulaire des enfants atteints de la SPR. Dans un deuxime temps, nous aurions aim valuer la svrit et lvolution de lapne du sommeil en lien avec la croissance des maxillaires, mais un manque de donnes a empch latteinte de cet objectif. Matriel et mthode : Les dossiers mdicaux et orthodontiques de 93 patients (82 volet apne et 40 volet croissance) du CHU Ste-Justine avec une SPR isole ont t rviss puis compars au groupe contrle compos denfants normaux de lUniversit du Michigan. Lanalyse statistique de modle mixte pour mesures rptes de mme que celle de Brunner-Langer furent effectues. Rsultats : Lvaluation orthodontique a montr un changement statistiquement significatif pour la relation molaire droite, la prsence de chevauchement et de diastme au maxillaire et le surplomb vertical. Lanalyse des donnes cphalomtriques nous montre que le maxillaire suprieur, la branche montante et le corps de la mandibule sont tous rduits par rapport la normale. Ce dernier montre une diminution significative avec lge (p = 0,03). Langle gonial, le SNA, SNB, ANB, langle de convexit faciale et linclinaison de lincisive suprieure par rapport FH sont tous normaux. Par contre, on remarque une augmentation statistiquement significative de cette dernire avec lge (p = 0,04). Langle Y est augment tandis que les hauteurs faciales suprieure (HFS) et infrieure (HFI) sont diminues bien que cette dernire montre une tendance sapprocher de la normale avec lge (p 0,001). Discussion : Les dimensions des maxillaires sont similaires plusieurs tudes. En ce qui concerne la mandibule, la croissance est soit plus lente, soit diminue. Cette observation est plus marque lorsque lon sapproche du pic de croissance puisque lcart par rapport la normale sagrandit. On voit une tendance la croissance hyperdivergente qui pourrait expliquer laugmentation de la HFI avec lge. Le fait que SNA et SNB soient dans la normale pourrait sexpliquer par une diminution de la longueur de la base crnienne. Conclusion : Il ny a pas de rattrapage de croissance maxillaire et mandibulaire. Les maxillaires restent micrognathes quoique proportionnels lun envers lautre et le profil est convexe tout au long de la croissance. La comparaison des donnes cphalomtriques et des traitements orthodontiques avec ceux des patients prsentant une fente palatine isole devrait se faire sous peu. Nous navons pas t en mesure datteindre nos objectifs concernant lapne du sommeil. Une tude prospective serait prvoir pour y arriver.
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Au cours de la grossesse et dans les premires annes de vie de lenfant, plusieurs facteurs externes, tels que le stress maternel ou le lien maternel, peuvent interfrer avec son dveloppement et avoir des consquences court et long terme. Bien que le stress maternel prinatal ait souvent t tudi, plusieurs facteurs pr et postnataux potentiellement confondants (comme le stress paternel, la dpression, la prise dantidpresseurs, etc.) nont pas systmatiquement t pris en compte. Comparativement lattachement de lenfant ( sa mre), moins de recherches se sont intresses au lien maternel, en particulier chez des femmes ayant un diagnostic de dpression et/ou danxit et exposes des antidpresseurs. Notre thse visait donc tudier ces deux facteurs et leur association avec le dveloppement du jeune enfant g dun an, dans un contexte o la sant mentale maternelle (prsence ou non de troubles psychologiques) et de traitements pharmacologiques associs taient aussi considrs. Afin damliorer le dpistage de retards dveloppementaux, nous avons galement valu ladministration au tlphone de deux instruments de pr-dpistage et dpistage actuellement utiliss. Notre thse tait constitue de quatre phases dont les objectifs taient: la dtermination des proprits psychomtriques de lchelle de stress peru de quatre items (en franais et en anglais) au sein de la population de femmes enceintes (premire tude); valuer leffet du stress maternel prnatal et parental postnatal sur le dveloppement de lenfant g dun an (deuxime tude); estimer lassociation entre le lien maternel et le dveloppement de lenfant g dun an, en stratifiant sur la prise maternelle dantidpresseurs (troisime tude); et valuer ladministration au tlphone du Ages and Stages Questionnaire (ASQ, version de 12 mois) et du Revised Pre-screening Denver Questionnaire(R-PDQ, version de 9-24 mois),deux questionnaires utiliss pour le pr-dpistage et le dpistage du dveloppement infantile (quatrime tude). Ce projet faisait partie dune plus grande tude, nomme le projet OTIS (TheOrganization of Teratology Information Specialists Antidepressant in Pregnancy cohort study), qui visait valuer limpact de larrt versus la continuation de la prise dantidpresseurs au cours de la grossesse sur les comportements maternels et sur le dveloppement de lenfant g de un trois ans. Ainsi, entre 2006 et 2010, la cohorte prospective OTIS de femmes enceintes a t construite et suivie jusqu trois ans postpartum. partir de 2008, lvaluation du stress et du lien maternel (thmatiques de ce projet de thse) a t incorpore au projet initial. Aussi, partir de l, toute femme nouvellement recrute pour la cohorte OTIS pouvait faire partie des tudes de cette thse. Notre population source tait compose des femmes enceintes ayant eu recours un service nord-amricain dinformation sur les tratognes ou ayant t suivies la clinique d'obsttrique et de gyncologie du CHU Ste Justine. Pour tre admissibles, les femmes devaient 1) tre ges dau moins 18 ans, 2) tre enceinte dau maximum 14 semaines (le dbut de la grossesse tant dfini comme tant le premier jour des dernires rgles); 3) tre exposes un antidpresseur depuis au moins le premier jour de grossesse (pour le groupe expos un antidpresseur), 4) savoir lire et comprendre langlais ou le franais. Pour les tudes deux, trois et quatre, les femmes devaient habiter dans un rayon de 250 km autour de Montral pour recevoir notre visite domicile, ncessaire lvaluation psychomtrique du dveloppement infantile. Les pres des enfants ont t recruts deux mois postpartum pour valuer leur stress. Les donnes ont t collectes par entrevue tlphonique, auto-administration de questionnaires, et valuation psychomtrique du dveloppement infantile. Dans le cadre de cette thse, les femmes taient suivies depuis le premier trimestre de grossesse jusqu un an postpartum. Les rsultats de nos travaux dmontrent que le recours lchelle de stress peru de quatre items est une mesure fiable et valide pour mesurer le stress au cours de la grossesse (en recherche ou en clinique). Ensuite, le stress postnatal maternel et paternel serait dfavorable au dveloppement moteur et socio-motionnel de lenfant dun an, respectivement. Par contre le stress maternel prnatal favoriserait le dveloppement moteur. Un lien maternel optimal est associ un meilleur dveloppement socio-motionnel un an chez lenfant, en particulier pour les femmes exposes des antidpresseurs. Enfin, ladministration au tlphone de lASQ et des sous-chelles de langage, de motricit fine et motricit globale du R-PDQ serait une alternative possible au mode auto-administr pour dpister et pr-dpister les retards de dveloppement chez les enfants.
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This paper provides an overview of work done in recent years by our research group to fuse multimodal images of the trunk of patients with Adolescent Idiopathic Scoliosis (AIS) treated at Sainte-Justine University Hospital Center (CHU). We first describe our surface acquisition system and introduce a set of clinical measurements (indices) based on the trunk's external shape, to quantify its degree of asymmetry. We then describe our 3D reconstruction system of the spine and rib cage from biplanar radiographs and present our methodology for multimodal fusion of MRI, X-ray and external surface images of the trunk We finally present a physical model of the human trunk including bone and soft tissue for the simulation of the surgical outcome on the external trunk shape in AIS.
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We discuss the relation between continuum bound states (CBSs) localized on a defect, and surface states of a finite periodic system. We model an experiment of Capasso et al. [F. Capasso, C. Sirtori, J. Faist, D. L. Sivco, S-N. G. Chu, and A. Y. Cho, Nature (London) 358, 565 (1992)] using the transfer-matrix method. We compute the rate for intrasubband transitions from the ground state to the CBS and derive a sum rule. Finally we show how to improve the confinement of a CBS while keeping the energy fixed.
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In this work we have made significant contributions in three different areas of interest: therapeutic protein stabilization, thermodynamics of natural gas clathrate-hydrates, and zeolite catalysis. In all three fields, using our various computational techniques, we have been able to elucidate phenomena that are difficult or impossible to explain experimentally. More specifically, in mixed solvent systems for proteins we developed a statistical-mechanical method to model the thermodynamic effects of additives in molecular-level detail. It was the first method demonstrated to have truly predictive (no adjustable parameters) capability for real protein systems. We also describe a novel mechanism that slows protein association reactions, called the gap effect. We developed a comprehensive picture of methioine oxidation by hydrogen peroxide that allows for accurate prediction of protein oxidation and provides a rationale for developing strategies to control oxidation. The method of solvent accessible area (SAA) was shown not to correlate well with oxidation rates. A new property, averaged two-shell water coordination number (2SWCN) was identified and shown to correlate well with oxidation rates. Reference parameters for the van der Waals Platteeuw model of clathrate-hydrates were found for structure I and structure II. These reference parameters are independent of the potential form (unlike the commonly used parameters) and have been validated by calculating phase behavior and structural transitions for mixed hydrate systems. These calculations are validated with experimental data for both structures and for systems that undergo transitions from one structure to another. This is the first method of calculating hydrate thermodynamics to demonstrate predictive capability for phase equilibria, structural changes, and occupancy in pure and mixed hydrate systems. We have computed a new mechanism for the methanol coupling reaction to form ethanol and water in the zeolite chabazite. The mechanism at 400C proceeds via stable intermediates of water, methane, and protonated formaldehyde.