707 resultados para victims of violence
Resumo:
O presente trabalho de investigação está subordinado ao tema “A Guarda Nacional Republicana e o Apoio à Vítima de Violência Doméstica: Estudo de Caso do Comando Territorial do Porto”. Com isto, pretende-se compreender de que forma a Guarda Nacional Republicana efetiva o seu apoio às vítimas de violência doméstica. Desta forma, o método utilizado é o dedutivo, uma vez que que se procedeu a uma pesquisa geral do tema para que, posteriormente se analizasse o caso específico do distrito do Porto, conseguindo desta forma conclusões do fenómeno num sítio concreto. Por conseguinte, a investigação partiu de uma análise documental e posteriormente, a realização de entrevistas aos profissionais das instituições da Rede Nacional de Apoio à Vítima de Violência Doméstica do distrito do Porto, e de inquéritos por questionário aos militares com formação em Investigação e Apoio a Vítimas Específicas do Comando Territorial do Porto. Feito isto, assume-se que o trabalho desenvolvido tanto pela Guarda Nacional Republicana do Comando Territorial do Porto como o das Instituições que integram a Rede Nacional de Apoio às Vítimas de Violência Doméstica do distrito do Porto, tem evoluído, o que demonstra a preocupação destes em melhorar o apoio à vítima, iniciando-se pela informação completa dos direitos e recursos existentes à vítima, até ao encaminhamento destas para as instituições competentes. Denota-se porém, uma diferença no apoio prestado numa zona urbana, daquele que é prestado numa zona rural, o que evidencia que é necessário intensificar o trabalho desenvolvido na zona rural, a fim de sensibilizar a população para esta temática e, aumentar o número de instituições de apoio e encaminhamento das vítimas. Em suma, o papel da Guarda Nacional Republicana no apoio à vítima de violência doméstica passa pela segurança, proteção e suporte da mesma.
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Au Québec, la médiation familiale en contexte de violence conjugale est controversée, mais la pratique est très peu documentée et est donc mal connue. L’objectif principal de ce mémoire est de comprendre comment les médiateurs familiaux composent avec la présence de violence conjugale dans le cadre de leur pratique. Les objectifs spécifiques sont les suivants : (1) connaître comment les médiateurs familiaux dépistent la violence conjugale ; (2) savoir comment ils interviennent en présence de violence conjugale une fois cette violence dépistée ; et (3) identifier les défis et les préoccupations rencontrées par les médiateurs dans ces dossiers. Cette étude qualitative fut menée auprès de 8 médiateurs issus des domaines juridique et psychosocial. Les participants furent rencontrés dans le cadre d’entrevues semi-dirigées. Les médiateurs rencontrés insistent sur l’importance d’offrir une formation avancée portant sur la problématique de la violence conjugale et sur les outils de dépistage à tous les médiateurs au Québec et de bonifier la formation actuelle en adressant la dangerosité, le risque de récidive et d'aggravation de la violence et l’appréciation du risque d’homicide conjugal. Les résultats de l’étude suggèrent également l’importance de bien différencier le terrorisme conjugal de la violence situationnelle et de mettre en place des pratiques d’interventions spécifiques à chacun de ces types de violence. La médiation familiale en présence de violence conjugale devrait être un champ de pratique spécialisé et le travail de collaboration avec les ressources spécialisées en violence conjugale nécessiterait d’être renforcé.
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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.
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Rates of survival of victims of sudden cardiac arrest (SCA) using cardio pulmonary resuscitation (CPR) have shown little improvement over the past three decades. Since registered nurses (RNs) comprise the largest group of healthcare providers in U.S. hospitals, it is essential that they are competent in performing the four primary measures (compression, ventilation, medication administration, and defibrillation) of CPR in order to improve survival rates of SCA patients. The purpose of this experimental study was to test a color-coded SMOCK system on:1) time to implement emergency patient care measures 2) technical skills performance 3) number of medical errors, and 4) team performance during simulated CPR exercises. The study sample was 260 RNs (M 40 years, SD=11.6) with work experience as an RN (M 7.25 years, SD=9.42).Nurses were allocated to a control or intervention arm consisting of 20 groups of 5-8 RNs per arm for a total of 130 RNs in each arm. Nurses in each study arm were given clinical scenarios requiring emergency CPR. Nurses in the intervention group wore different color labeled aprons (smocks) indicating their role assignment (medications, ventilation, compression, defibrillation, etc) on the code team during CPR. Findings indicated that the intervention using color-labeled smocks for pre-assigned roles had a significant effect on the time nurses started compressions (t=3.03, p=0.005), ventilations (t=2.86, p=0.004) and defibrillations (t=2.00, p=.05) when compared to the controls using the standard of care. In performing technical skills, nurses in the intervention groups performed compressions and ventilations significantly better than those in the control groups. The control groups made significantly (t=-2.61, p=0.013) more total errors (7.55 SD 1.54) than the intervention group (5.60, SD 1.90). There were no significant differences in team performance measures between the groups. Study findings indicate use of colored labeled smocks during CPR emergencies resulted in: shorter times to start emergency CPR; reduced errors; more technical skills completed successfully; and no differences in team performance.
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Au Québec, la médiation familiale en contexte de violence conjugale est controversée, mais la pratique est très peu documentée et est donc mal connue. L’objectif principal de ce mémoire est de comprendre comment les médiateurs familiaux composent avec la présence de violence conjugale dans le cadre de leur pratique. Les objectifs spécifiques sont les suivants : (1) connaître comment les médiateurs familiaux dépistent la violence conjugale ; (2) savoir comment ils interviennent en présence de violence conjugale une fois cette violence dépistée ; et (3) identifier les défis et les préoccupations rencontrées par les médiateurs dans ces dossiers. Cette étude qualitative fut menée auprès de 8 médiateurs issus des domaines juridique et psychosocial. Les participants furent rencontrés dans le cadre d’entrevues semi-dirigées. Les médiateurs rencontrés insistent sur l’importance d’offrir une formation avancée portant sur la problématique de la violence conjugale et sur les outils de dépistage à tous les médiateurs au Québec et de bonifier la formation actuelle en adressant la dangerosité, le risque de récidive et d'aggravation de la violence et l’appréciation du risque d’homicide conjugal. Les résultats de l’étude suggèrent également l’importance de bien différencier le terrorisme conjugal de la violence situationnelle et de mettre en place des pratiques d’interventions spécifiques à chacun de ces types de violence. La médiation familiale en présence de violence conjugale devrait être un champ de pratique spécialisé et le travail de collaboration avec les ressources spécialisées en violence conjugale nécessiterait d’être renforcé.
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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.
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In my eight years as a professional journalist, I have been a front line observer of the extreme level of violence which occurs everyday in our society. As victims, consumers or perpetrators of violence, this phenomenon is now a part of our existence. As a reporter for the Spanish national newspaper El País I have been witness to the most terrible acts of violence. In Venezuela, with one of the highest rates of criminality in the world, I saw piles of bodies stacked up in mortuaries. In Argentina, I reported on the most brutal crimes including the rape of children by policemen. I believe that my interest in the manifestations and causes of violence was aroused during my time as a journalist. On a personal level, I was deeply affected by the twin poles of attraction/repulsion which the violent images produced in me. The first time I visited New York in 2003, I talked to various people who were selling photos of the victims of the Twin Tower attacks. They had laid out their wares along the wire fence that separated Ground Zero from the main public areas. One particular photograph made an indelible impression on my mind: a ghost like corpse covered in white dust which was streaked with blood. It is an image I will never forget. If I remember well, a complete album of these gruesome images cost about ten dollars. At the same time, I also became interested in islamic terrorism: its complexity and the great impact it has made on Western society. One only has to look at the front page of the press around the world to read about war, terrorism or the constant violation of human rights. The words Al-Qaeda, Daesh, Boko Haram and Islamic State have sadly become parts of our everyday language. The nihilistic philosophy which promisess eternal life in exchange for self-inmolation is a new, highly worrying reality, especially painful when it involves young people who become indoctrinated through the social media. They have become the most loyal supporters of a fanatical and uncompromising version of Islam. The stark reality is that these young recruits to Jihad (holy war) were born in places like London, Paris, Rome or Madrid...
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A violência nas relações íntimas juvenis (VRIJ) constitui uma problemática socialmente relevante, transversal a diferentes culturas e com potencial desestruturante no bem-estar dos jovens. Além disso, é igualmente sabido que a forma como as vítimas respondem a este tipo de abuso íntimo pode determinar a expressão e as dificuldades de ajustamento. Tendo por base esta realidade, a presente dissertação tem por objetivo geral caraterizar as vivências amorosas abusivas dos jovens adultos, o (des)ajustamento psicossocial daqueles que admitiram ter sofrido algum tipo de violência e as estratégias de coping que utilizam para fazer face ao impacto da VRIJ, com recurso ao Questionário de Vivências Amorosas Abusivas (QVAA) e ao Brief COPE. Para tal, recorreu-se a uma amostra intencional de 287 indivíduos, com idades compreendidas entre os 18 e os 25 anos (M=22.08; DP=1.69). No total dos participantes envolvidos em relações amorosas, 13.9% dos jovens admitiram perpetrar atos abusivos contra o/a namorado/a, e 23.7% admitiram ter sido vítimas destes comportamentos, sendo a agressão psicológica a mais reportada tanto em termos de perpetração como de vitimação. Foi também possível verificar que as repercussões da VRIJ, nos jovens que admitiram a vitimação, se manifestam maioritariamente ao nível dos sentimentos e comportamentos, e que grande parte destes utilizam estratégias de coping do tipo ativo para lidarem com a situação. A partir dos dados obtidos pretende-se aprofundar o conhecimento sobre o fenómeno da VRIJ, procurando tecer algumas considerações sobre as estratégias interventivas a adotar na intervenção com as suas vítimas.
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The Maasai/Kikuyu agro-pastoral borderlands of Maiella and Enoosupukia, located in the hinterlands of Lake Naivasha’s agro-industrial hub, are particularly notorious in the history of ethnicised violence in the Kenya’s Rift Valley. In October 1993, an organised assault perpetrated by hundreds of Maasai vigilantes, with the assistance of game wardens and administration police, killed more than 20 farmers of Kikuyu descent. Consequently, thousands of migrant farmers were violently evicted from Enoosupukia at the instigation of leading local politicians. Nowadays, however, intercommunity relations are surprisingly peaceful and the cooperative use of natural resources is the rule rather than the exception. There seems to be a form of reorganization. Violence seems to be contained and the local economy has since recovered. This does not mean that there is no conflict, but people seem to have the facility to solve them peacefully. How did formerly violent conflicts develop into peaceful relations? How did competition turn into cooperation, facilitating changing land use? This dissertation explores the value of cross-cutting ties and local institutions in peaceful relationships and the non-violent resolution of conflicts across previously violently contested community boundaries. It mainly relies on ethnographic data collected between 2014 and 2015. The discussion therefore builds on several theoretical approaches in anthropology and the social sciences – that is, violent conflicts, cross-cutting ties and conflicting loyalties, joking relationships, peace and nonviolence, and institutions, in order to understand shared spaces that are experiencing fairly rapid social and economic changes, and characterised by conflict and coexistence. In the researched communities, cross-cutting ties and the split allegiances associated with them result from intermarriages, land transactions, trade, and friendship. By institutions, I refer to local peace committees, an attempt to standardise an aspect of customary law, and Nyumba Kumi, a strategy of anchoring community policing at the household level. In 2010, the state “implanted” these grassroots-level institutions and conferred on them the rights to handle specific conflicts and to prevent crime. I argue that the studied groups utilise diverse networks of relationships as adaptive responses to landlessness, poverty, and socio-political dynamics at the local level. Material and non-material exchanges and transfers accompany these social and economic ties and networks. In addition to being instrumental in nurturing a cohesive social fabric, I argue that such alliances could be thought of as strategies of appropriation of resources in the frontiers – areas that are considered to have immense agricultural potential and to be conducive to economic enterprise. Consequently, these areas are continuously changed and shaped through immigration, population growth, and agricultural intensification. However, cross-cutting ties and intergroup alliances may not necessarily prevent the occurrence or escalation of conflicts. Nevertheless, disputes and conflicts, which form part of the social order in the studied area, create the opportunities for locally contextualised systems of peace and non-violence that inculcate the values of cooperation, coexistence, and restraint from violence. Although the neo-traditional institutions (local peace committees and Nyumba Kumi) face massive complexities and lack the capacity to handle serious conflicts, their application of informal constraints in dispute resolution provides room for some optimism. Notably, the formation of ties and alliances between the studied groups, and the use of local norms and values to resolve disputes, are not new phenomena – they are reminiscent of historical patterns. Their persistence, particularly in the context of Kenya, indicates a form of historical continuity, which remains rather “undisturbed” despite the prevalence of ethnicised political economies. Indeed, the formation of alliances, which are driven by mutual pursuit of commodities (livestock, rental land, and agricultural produce), markets, and diversification, tends to override other identities. While the major thrust of social science literature in East Africa has focused on the search for root causes of violence, very little has been said about the conditions and practices of cooperation and non-violent conflict resolution. In addition, situations where prior violence turned into peaceful interaction have attracted little attention, though the analysis of such transitional phases holds the promise of contributing to applicable knowledge on conflict resolution. This study is part of a larger multidisciplinary project, “Resilience in East African Landscapes” (REAL), which is a Marie Curie Actions Innovative Training Networks (ITN) project. The principal focus of this multidisciplinary project is to study past, present, and future thresholds and sustainable trajectories in human-landscape interactions in East Africa over the last millennia. While other individual projects focus on long-term ecosystem dynamics and societal interactions, my project examines human-landscape interactions in the present and the very recent past (i.e. the period in which events and processes were witnessed or can still be recalled by today’s population). The transition from conflict to coexistence and from competition to cooperative use of previously violently contested land resources is understood here as enhancing adaptation in the face of social-political, economic, environmental, and climatic changes. This dissertation is therefore a contribution to new modes of resilience in human-landscape interactions after a collapse situation.
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Las víctimas de los paramilitares cuentan por qué no participaron de Justicia y Paz y cómo han aprendido a reconstruir el tejido social tras un historial de violencia.
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La protección general atribuida en los conflictos armados no internacionales por el artículo 3 común a la población civil, de la que las niñas menores de 15 años forman parte, no depende de su filiación con alguna de las partes en el conflicto, y se extiende, en principio, a todos los actos de violencia, entre los que se encuentran los de naturaleza sexual cometidos por cualquiera de las mismas, incluyendo aquellos cometidos por los miembros de la parte en el conflicto con la que se encuentren afiliadas. Los casos contra Thomas Lubanga y Bosco Ntaganda muestran que, como regla general, las niñas menores de 15 años no desarrollan de manera prolongada actividades de participación directa en las hostilidades, por lo que, a pesar de acompañar permanente al grupo y de ser “esposas” o “compañeras” de sus comandantes, no asumen una función continua de combate y no pueden ser consideradas como miembros del mismo. Además, los actos de naturaleza sexual coercitivamente desarrollados por las niñas menores de 15 años reclutadas por las FPLC en favor de los comandantes y miembros del grupo con las que se encuentran esposadas, no cumple ninguno de los tres requisitos exigidos por el concepto de participación directa en las hostilidades porque: (a) no son idóneos para causar directamente por sí mismos el umbral de daño requerido; (b) no forman parte integral de ninguna operación militar que pudiera generar dicho umbral de daño; y (c) no poseen el nexo beligerante requerido, puesto que no están específicamente diseñados para causar un menoscabo a la parte adversa de las FLPC. Tampoco las demás actividades desarrolladas por las niñas menores de 15 años alistadas o reclutadas por las FLPC, incluyendo trabajo doméstico (donde principalmente desempeñaron tareas culinarias), transporte de comida a bases aéreas y acompañamiento a las esposas de los comandantes, cumplen, según la Sala de Primera Instancia I en el caso Lubanga, con los tres requisitos necesarios para su consideración como participación directa en las hostilidades. De ahí, que las niñas no hayan perdido en ningún momento su protección general. A todo lo anterior hay que añadir que los niños y niñas menores de 15 años, al ser una población particularmente vulnerable, gozan de una especial protección durante los conflictos armados (con independencia de su naturaleza), tal y como se manifiesta en la Convención de los Derechos del Niño de 1989, los Convenios de Ginebra de 1949 y de sus Protocolos adicionales de 1977, el Estatuto de la Corte Penal Internacional de 1998 y las Resoluciones 1882 de 2009, 1960 de 2010 y 2106 de 2013 del Consejo de Seguridad de las Naciones Unidas. Esta protección especial se extiende a los actos de violencia sexual cometidos por los miembros de las fuerzas armadas nacionales o grupos armados organizados que los alistan o reclutan. En consecuencia, la protección general y especial a que son acreedoras las niñas menores de 15 años, no se limita a las agresiones provenientes de las partes adversas en el conflicto, sino que se extiende también a la violencia sexual ejercida contra ellas por los miembros del propio grupo que las alistó o reclutó, incluso en el caso de que ésta sea ejercida por los comandantes que las tomaron como esposas o compañeras. Las niñas menores de 15 años alistadas o reclutadas entre 2002 y 2003 por las FPLC de Thomas Lubanga y Bosco Ntaganda eran sin duda acreedoras de dicha protección.
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Introducción: Desde los años 80 se viene haciendo énfasis en el acoso laboral, conocido en otros países como Mobbing, describiéndose como una forma de abuso y violencia psicológica en el lugar de trabajo, realizado ya sea por una sola persona o por un grupo de personas y que por sus implicaciones se estima de alto impacto para los trabajadores, y las organizaciones. Considerando la importancia y prevalencia del mobbing en la sociedad actual, se convierte en un tema relevante para el área de salud ocupacional. Objetivo: El objetivo de este estudio fue identificar los efectos del acoso laboral generados en la salud del trabajador. Metodología: Se realizó una revisión sistemática utilizando el método PRISMA, de las publicaciones vigentes entre los años 2006 a 2016 sobre los efectos del acoso laboral en la salud del trabajador. En la búsqueda se obtuvieron 778 artículos de los cuales 27 cumplían con los criterios de inclusión. Resultados: se encontró que la prevalencia del acoso laboral puede ser diferente de acuerdo a la definición utilizada, instrumento de medida y población estudiada, la cual fluctúa entre el 7% al 88% según el estudio analizado. Además se evidenció que la prevalencia también difiere dependiendo de quién sea el perpetrador del acoso, si el líder o jefe es el acosador es mayor (60,3%) que cuando es causado por colegas o por clientes (41,5%). El impacto del acoso laboral, según la mayoría de los estudios, es que provoca efectos negativos en la salud emocional del trabajador siendo la depresión una de las principales consecuencias con una relación estadísticamente significativa (p<0,001). Las enfermedades del aparato respiratorio y del sistema musculo esquelético y del tejido conectivo fueron las que se presentaron con mayor frecuencia en los trabajadores que sufren de acoso con un 43,5% y un 37.8% respectivamente. Conclusiones: éstos resultados demuestran que el acoso laboral no solamente es un problema desde el punto de vista organizacional, sino que conlleva consecuencias en la salud mental y física de los trabajadores que lo sufren. Palabras clave: Mobbing, workplace, acoso laboral, acoso psicológico, bullying, harassment, salud ocupacional, occupational health.
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Describe the prevalence of IPV during pregnancy in the Central Region of Portugal. Reflect on the need to improve the effectiveness of communication between nurse or midwife and pregnant woman or couple, for easier identification of violence exposure during pregnancy.
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This symposium aims to address some studies on violence in adults, as well as address the job done in an intervention network in domestic violence and a project on the study of violence in the elderly, in Alentejo. Communications: - PREVALÊNCE OF VIOLENCE IN ADULTS- Zangão, Maria Otília; Serra, Isaura; Gemito, Maria Laurência; Pinheiro, Felícia Tavares; Magalhães, Dulce; Marques, Maria de Fátima - SOCIAL REPRESENTATION OF DOMESTIC VIOLENCE - Gemito, Maria Laurência; Pinheiro, Felícia Tavares; Zangão, Maria Otília; Serra, Isaura; Magalhães, Dulce; Marques, Maria de Fátima - DOMESTIV VIOLENCE IN THE PERSPECTIVE OF WOMEN WHO LIVE IT - Magalhães, Dulce; Marques, Maria de Fátima; Zangão, Maria Otília; Serra, Isaura; Gemito, Maria Laurência; Pinheiro, Felícia Tavares - INTEGRATED INTERVENTION NETWORK OF DISTRICT OF ÉVORA (RIIDE): A multidisciplinary response to violence - Gemito, Maria Laurência; Pinheiro, Felícia Tavares; Lopes, Manuel - ESACA - Ageing Safely in Alentejo – Understanding for Action - Mendes, Felismina; Gemito, Maria Laurência; Zangão, Maria Otilia; Chora, Maria Antónia; Pereira, Catarina Symposium goal(s): - To present studies on violence in Alentejo. - To discuss the importance of networks in the problem of violence. - To present Project underway on how to age with security in Alentejo. Symposium moderator(s): Maria Otília Brites Zangão Project affiliation:All three studies have resulted in an intervention project against domestic violence "Love me, love me not- Why does the violence exist and why does it not choose ages?" funded by POPH. ESACA Project - Aging Safely in Alentejo - Understanding to act, co-funded by: Alentejo 2020 Portugal 2020 and the European Union.
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Victims of cardiac arrest need immediate Basic Life Support, in order to preserve as much as possible, the flow of blood to the brain and heart and other vital organs, it is essential to gain time pending differentiated help, performing simple acts and practical (BLS) to save lives. Learn how to perform RPC is an interactive process that requires knowledge and skills, but at the same time an act of solidarity, social responsibility, civic consciousness, and a duty of citizenship. Because no one revives alone, it requires a coordinated work of a team, all citizens must join forces in a single goal: Save Lives, the massification of the BLS (RPC, 2014). We conducted an exploratory study that aimed to identify the social representations of basic life support in the general population. We used the technique of free association of words through a short questionnaire, we obtained a sample of 45 participants. The results show that participants were mostly female and 27 that fashion of age was in the age group 40 to 59 years. With regard to social representations, we find an organized structure follows the core: help, help to revive, and save is giving life, are in fact structural and consensual elements in basic life support. In more peripheral elements we find extremely important elements, which can be worked in a way so that the core is more efficient such as to act coordinately as a team in face of an accident, it can thus be successful in practice. The social representation of basic life support does not differ from that referred in the literature on the subject, but it is common knowledge that these skills can only be acquired if they are systematically trained, because they obey an algorithm that if it is not settled theoretical and instrumentally it is not effective in practice.