990 resultados para douleur chronique


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Contient : Chronique universelle abrégée, en français, depuis Adam jusqu'à Artaxerxès ; précédée des Quinze signes du jugement ; « Miserere » et « Carités » du Rendus de Moiliens. — Voir l'édition de M. Van Hamel (1885), t. I, p. x ; Prière à la Vierge, en vers : « O bele dame, trespieue empereis... » Cf. Bulletin des anciens textes (1894), p. 54 ; Miracles de Notre-Dame, en vers. « Li tres grans misericorde et li grans douceurs que li douce Mere Diu fist pour le povre femme, et comment Nostre Sires prist trop cruel venjance del userier. Tout li Miracle Nostre Dame... » ; « Du clerc malade que Nostre Dame gari mervilleusement. Pour pluseurs cuers plus enflammer... » ; « Des Juis qui batirent le crucefis, et li .I. le feri el costé, s'en sali sans et iyauye. Des boins ist si biens par nature... » ; « Comment on se doit maintenir selonc les heures du jour qui sont contenues en la pasaiou Jhesucrist. Li sages dist : En l'amour de Nostre Signeur Jhesucrist, très chiers freres... » ; « Li Quinse signe qui avenront devan le jugement... Or escoutés communalment... » (En vers) ; « La vie et la conversations le Magdelaine... Haute cose est d'oïr et de retenir... » (En vers) ; « Li Sermons de le douce virge Marie, comment ele fu vestue u chiel, que maistres Guillames d'Auvergne, evesques de Paris, et maistres Philipes li canceliers disent, et fu fais par miracle. A l'emprendre de dire de le vierge Marie... » ; Miracles de Notre-Dame, en vers. « D'un hermite que li dyables cunchia, du coch et de le gheline. Ci après cont d'un autre hermite... » ; « Du frere l'Empereour qui ama sa serouge. Fols est qui aeroit souz ses piaus... » ; « De le roine qui tua son senescal et fist ardoir se cousine. Qui sens et raison a ensamble... » ; « Du chevalier qui vist Nostre Dame u pralet. Uns chevaliers jadis estoit. ; « D'un hermite qui s'acompaignaà l'angle. Un S. Pere en Egypte avoit... »

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Contient : 1 Mémoires d'OLIVIER DE LA MARCHE, sans commencement ni fin. Premiers mots : «... et vengance de leurs haultaines et grandes entreprinses... ». Derniers mots : « ... que on nommoit messire Jaques de Lalaing, natif du pays... » ; 2 « C'est le triste revel de messire OLIVIER DE LA MARCHE, en son temps chevallier d'honneur de madame Marie, duchesse de Bourgoingne, dit le chevalier deliberé ». Premier vers : « Au sorty de mon reveil de somme... ». Derniers mots : «... Par celluy qui a tant souffert. La Marche ». Tout ce poème est écrit au vermillon ; 3 « S'ensuit la Relacion de BOURGOINGNE, roy d'armes de l'empereur, contenant son besoigner, quant il pourta au roy de France la responce de son cartel et la seurté du camp ». Premiers mots : « Jehan Bourgoingne, roy d'armes... de l'empereur... Charles cinquiesme... » ; 4 « S'ensuit le double de la teneur du cartel du roy de France » FRANÇOIS Ier « envers l'empereur » ; Premiers mots : « Nous Françoys, par la grace de Dieu roy de France... ». 1528 ; 5 Chronique de Bourgogne. Premiers mots : « En l'an XIIIIe apres la Resurrection N.-S., la tres glorieuse Magdeleine,... convertix le roy et la royne de Bourgoigne... ». Derniers mots : «... Dudit monseigneur le duc Philippe descendit tres victorieulx, tres chrestien prince Charles, à present duc et conte de Bourgoingne, que Dieu veuille garder, donner victoyre contre ses ennemis ». Après ces mots vient la mention en latin du décès du duc Charles le Téméraire devant Nancy ; 6 « La dispute du droict de la duché de Bourgoingne ». Premiers mots : « Le roy estant en Espaingne furent commis et depputez certains notables personnaiges tant de France que d'Espaigne... » ; 7 « L'espitaphe du duc Philippe de Bourgoingne ». Premier vers : « Jehan fut nay de Philippe, qui du roy Jehan fust filz... » ; 8 « Election imperialle ». Premiers mots : « Comme vasquoit nagueres la saincte empire... » ; 9 « Anno Domini 1519 fuit electus rex Hyspanorum imperator Romanorum, vacante nuper sacro Romano imperio... » ; 10 Vers en latin sur le même sujet : « Postulat imperium Gallus, Germanus, Iberus,... » ; 11 Vers en français sur le même sujet : « Lyon rempant en tout honneur prospere... » ; 12 « A quodam etiam interpretatio nominis Karoli, secundum litteras ». Premier vers : « Cueur coraigeux, carboucle reluisant... » ; 13 « Questio theologa. Utrum voluntas status triplicis varietate insignis multiplici fuerit libertate decorata ». Premiers mots : « Voluntas divina prima... » ; 14 Autres questions théologiques, en latin ; 15 Prophétie. Premiers mots : « Une prophétie trouvée à Veronne... » ; 16 Autre prophétie : « Item au pays du Lyon se fera une grande et merveilleuse bataille... » ; 17 Vers moraux tirés d'une édition de la Danse macabre : « Qui à bien vivre veult entendre... » ; 18 Autres vers : « Depuis Adam, le premier homme... » ; 19 « 1536. Nota que en l'an 1536 furent mutacions et grandes emotions entre les souverains... » ; 20 « Du lundi XVe de janvier 1536. Le roy a assisté à l'audition du Palais, au siege real de la salle dorée ». C'est le procès-verbal du lit de justice tenu pour déclarer Charles d'Autriche félon et la réversion des comtés de Flandre, Artois, Charolais, etc. à la couronne, fiefs tenus par ledit Charles ; 21 « Charolus sic interpretatur : Cueur coraigeux, carboucle reluisant... » ; 22 « Nota. Triplici enim coronatur illustrissimus imperator, videlicet ferrea, argentea, aurea... » ; 23 « Versus. Postulat imperium Gallus, Germanus, Iberus... » ; 24 Vers. « Lyon rampant en tout honneur prospère... » ; 25 « Vacante nuper sacro romano imperio, per obitum quondam serenissimi principis domini domini nostri Maximiliani,... ego Laurentius Triesis, decanus Maguntinis (sic), mere prefatorum dominorum dominorum graciosissimorum principum electorum... quo universi cognoscant prefatum dominum Karolum electum in... futurum imperatorem... ». Proclamation de l'élection de Charles-Quint à l'empire ; 26 « Condempnatio domini nostri Jhesu Christi. Nos Pontius Pilatus,... Ite, tenete eum »

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Contient : 1 « Advis sur l'histoire genealogique de la maison de France des Srs de Saincte Marthe, envoiez le 4 mars, l'an 1635 » ; 2 « Memoires des chanceliers de France » ; 3 « Annotations sur les Memoires de M. Jean Du Tillet » ; 4 « Observatio de Conradi Salicis, imperatoris, et Giselae, ejus uxoris cognatione » et « de Henrico IV, imperatore » ; 5 « Chronologie des règnes des rois de France des deux premières lignées » ; 6 « Collection de plusieurs extraicts d'histoires, chroniques et tiltres touchant le mariage du roi Philippe Ier avec Bertrade de Montfort, son divorce, et l'excommunication qu'il encourut pour ce faict » ; 7 « Philippe Auguste. Sur la dissolution du mariage du roy Philippes Auguste avec Ingeburge de Dannemark » ; 8 « Memoires pour le Bearn », savoir : a. « Memoires de la souveraineté de Bearn » (fol. 127 à 138); b. « Bearn, ou traicté du Bearn et des seigneurs qui en ont tenu le tiltre » (fol. 139 à 153); c. Les feuillets 144 et 145, 146 à 148, 152 et 153 contiennent trois brouillons de lettres sur le même sujet, et le second est daté du « 1er novembre 1620 »; d. « Memoire des vicomtes de Bearn » (fol. 154-159); e. « Memoire des vicomtes de Bearn » (fol. 160-5) ; f. « Force braves seigneurs » (fol. 166-9); g. « Memoires du Bearn » (fol. 170-8) ; 9 Foix ; 10 Suite des Mémoires concernant le Bearn, savoir : h. « Fors et costumas de Bearn » (fol. 180); i. « Extraict d'un gros inventaire du tresor des cartes de Bearn » (fol. 181); j. Vicomtes de Bearn (fol. 183-4) ; 11 Comtes de Toulouse, chronique en provençal : « Aiso es comtes que ag d'Azam entro al diluvi... Anno Domini MCC LXXV, iij die introitus mensis junii obiit nobilis vir dominus Sicardus Alamanni, cujus anima requiescat in pace » ; 12 Lettre signée : « Gaudineau » et adressée de « Luçon, le 24 may 1620... à M. l'advocat du roy et mayre, à Fontenay » ; 13 Factum contre « defuncte Jeh. de S. Martin, qui par son testament avait violé la coutume de Poitou » ; 14 Vicomtes de Bearn ; 15 « Project de l'origine de Hugues, roy d'Italie » ; 16 Poitou, Guyenne, Toulouse, ou histoire des comtes de Toulouse ; 17 Au feuillet 254 brouillon de lettre; au feuillet 255 dessins de sceaux : a. « S. Raimundi, Dei gra comitis Tolose, march. Provincie »; b. Autre figure, même légende. Dans a, le comte de Toulouse est représenté assis; dans b., il est représenté à cheval. Au feuillet 257 dessins de sceaux : a. « S. Alfonsus, fili. reg. Franc., comes Pict. et Tolose »; b. « S. R. Dalfini, comitis clr. ». Au feuillet 259 dessins de sceaux : a. Sigillum Ademari »; b. contresceau : « comitis Valemtinensis ». Au feuillet 261 dessins de sceaux : a. « S. comitis Provincie »; b. « Sigillum Raimundi Berengeri ». Au feuillet 262 dessins de sceaux : a. « S. comisse, uxoris Bereng., comitis et march. Provincie et comitis Forcalhari »; b. « Arma comitis a Sabaudie et marchis Italie » ; 18 « Mathildis comitissa » ; 19 Hugues, roi d'Italie, et Mathilde, la comtesse ; 20 Les mariages consanguins ; 21 Anthemius, etc., note adressée à l'év. de Poitiers, mise au net « le 16 fevrier 1640 » ; 22 « Regnante Christo », note sur cette formule ; 23 « Memoires pour Mr Du Chasteler-Barlot, contre les quatre tiltres qu'on luy oppose touchant la capitainerie de l'isle de Bouyn » ; 24 Lettre concernant les comtes d'Auvergne ; 25 Lettre ; 26 Lettre sur Chastelaillon et La Rochelle. Date : « A Fontenay le Comte, le 19 mars 1628 » ; 27 Lettre concernant Hugues Capet. Date : « A Paris, ce 7 mars 1633 ». Signé : « Besly » ; 28 « Galliae distributio » ; 29 Note sur la ville de « Vivonne » ; 30 Note sur Thouars et ses vicomtes ; 31 « De Melusine, dame de Lezignan » ; 32 « De S. Hilario Trevirensi » ; 33 Mémoire sur les comtes de Toulouse

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Contient : 1 « Cronicques abbregées, lesquelles commencent à la creation du monde et durent jusques à Philippes de Valois, qui fut couronné roy de France en l'an 1328 ». Premiers mots : « Au commencement, ainsy comme la saincte Escripture tesmoigne, Dieu crea le ciel et la terre, selon les docteurs et les sains, en une masse confuse... » ; derniers mots : «... dont il nous fut bien figuré par Aynâm (sic), qui fit faire ung gibet pour pandre Mardoichée et les autres juifz, mais par l'ordonnance de Dieu il fut celluy qui premierement fut pandu à celluy gibet qu'il avoit fait faire, et cetera » ; 2 « Ordonnances... sur les gaiges de bataille... faictes... par PHILIPPE » LE BEL. Ces ordonnances, qui sont précédées des lettres dudit roi données à Paris, le mercredi après la Trinité 1306, les concernant, commencent par : « La premiere que il soit chose notoire, certaine et evidante que la chose soit advenue, et ce signiffie la clause, où il apperra evidanment homicide...» et finissent par : «... Quant aux liches, le roy, qui les a fait faire à ses despens, les reprent pour les autres gaiges qui survenir porroient. Éxplicit » ; 3 « Cy commance le Breviaire des nobles, fait par maistre ALAIN CHARTIER ». Premier vers : « Je noblesse, dame de bon-vouloir » ; dernier vers : « Nobles hommes en ce livre » ; 4 « Cy commance le Psaultier des villains, fait par MICHAULT TAILLEVANT ». Premier vers : « Des nobles ay veu le breviaire » ; dernier vers : « La fin de tout est vraye experience » ; 5 Recueil de contes appelés moralités, parce que chaque conte est suivi de sa moralité ; Autre conte, sans titre. Premier vers : « Enmy l'eaue ung crout, le jour » ; dernier vers : « Auquel ilz firent deshonneur » ; « Compte des coulons, qui demendent seignour ». Premier vers : « Coullons demendent seigneur » ; dernier vers : « Jà n'en aura se honte non » ; « Compte du larron qui embla brebis ». Premier vers : « D'un larron compte qui ala » ; dernier vers : « Com le chien fist du larron » ; « Compte du loup et de la truye prains ». Premier vers : « Jadis advint que loup entra » ; dernier vers : « Ne laissent peril (sic) leur enffant » ; « Compte des lievres ». Premier vers : « Cy dit que les lievres s'assemblerent » ; dernier vers : « Ou sans traveil ou sans doulour » ; « Compte du lyon et de l'aigle ». Premier vers : « D'un lyon dist qui assembla » ; dernier vers : « Et si ne doit en court parler » ; « Compte du serf qui vit ses cornes en beuvant ». Premier vers : « Aussi advint qu'ung serf vivoit » ; dernier vers : « Forment amer se tant savoient » ; « Compte du larron et du chevalier ». Premier vers : « D'um homme compte ly escrips » ; dernier vers : « Tant faulx est le monde et fautif » ; « Compte du lyon ». Premier vers : « D'un lyon dist qu'il voult aler » ; dernier vers : « Com fist le loup du serment » ; « Compte du mire qui seigna l'omme ». Premier vers : « D'un mire compte, qui seigna » ; dernier vers : « Lors sont encombrez et occis » ; « Compte de l'omme et de l'escarbote ». Premier vers : « D'un villain dist qui se gisoit » ; dernier vers : « Ou vanité les trait et muet » ; « Compte de l'omme qui vit sa femme avec I. autre homme ». Premier vers : « D'un villain dit qu'il esgarda » ; dernier vers : « Que son avoir ne ses parens » ; « Compte du villain qui vit sa femme avec son amy ». Premier vers : « D'un villain vueil ycy raconter » ; dernier vers : « Plus ont ung art que ly diable » ; « Compte du Breton qui occist les brebis ». Premier vers : « Jadis advint qu'en I. patis » ; dernier vers : « Jusques ad ce qu'ilz en ont du pis » ; « Compte du singe et de l'empereur ». Premier vers : « Ung empereur nourry jà » ; dernier vers : « Et par mensonge formigier » ; « Compte de l'asne et du lyon » (sic). Premier vers de ce qui n'est qu'un fragment du conte indiqué plus bas sous la cote fol. 142-3 : « Puis a pensé à son couraige » ; dernier vers : « Dont il est mort et affolez » ; « Compte du loup, du corbel et de la brebis ». Premier vers : « D'un loup compte qui vit jadis » ; dernier vers : « Qu'il ne tourne ses fays à mal » ; « Compte du coq et du goupil ». Premier vers : « D'un coq racompte qui estoit » ; dernier vers : « Pour les nouvelles escouter » ; « Compte du lyon et du villain ». Premier vers : « Cy nous raconte d'un lyon » ; dernier vers : « Qui la verité en desqueuvre » ; « Compte d'une puce et d'ung chamel ». Premier vers : « Une puce, ce dit, monta » ; dernier vers : « Ne qu'elle luy feist ennuy » ; « Compte du timon et du fourmy ». Premier vers : « D'un timon compte la maniere » ; dernier vers : « Que se à autruy se veult actendre » ; « Compte des oyseaulx qui voulurent avoir pour roy le quoqu ». Premier vers : « Des oyseaulx dist qui s'asemblerent » ; dernier vers : « Et larges com doit estre roys » ; « Compte du larron et de la sorciere ». Premier vers : « D'un larron compte qui estoit » ; dernier vers : « Et l'ame va en grant peril » ; « Compte de la congnie et du boys et du fevre ». Premier vers : « Ung feuvre fist une congnie » ; dernier vers : « Qui plus les a au dessus mys » ; « Compte du villain qui vouloit vendre son cheval ». Premier vers : « D'un villain nous racompte cy » ; dernier vers : « Tourne souvent son tort à droit » ; « Compte du loup et du moton ». Premier vers : « Jadis advint qu'un loup promest » ; dernier vers : « Ne garderay veu ne promesse » ; « Compte de la singesse qui monstroit son faon aux autres bestes ». Premier vers : « Une singesse ala monstrant » ; dernier vers : « N'est pas li siecles trop loyaulx » ; « Compte du villain et du dragon ». Premier vers : « Cy nous racompte d'ung dragon » ; dernier vers : « Ne se doit nulz homs fier » ; « Compte d'un reclus et du villain ». Premier vers : « D'un reclus compte qui avoit » ; dernier vers : « Que mieulx devroit reprendre luy » ; « Compte du villain et de son cheval ». Premier vers : « D'un villain compte, qui entra » ; dernier vers : « Sy lui souffise en loyaulté » ; « Compte d'un villain qui prioit pour sa femme et ses enfans ». Premier vers : « Ung villain ala (sic) moustier » ; dernier vers : « Et qui à Dieu soit acceptable » ; « Compte du villain et de la choue ». Premier vers : « D'un villain compte qui avoit » ; dernier vers : « Car sa droicture en est perie » ; « Compte de goupil et de la lune ». Premier vers : « D'un goupil dit que par une nuyt » ; dernier vers : « Dont en la fin en est courcez » ; « Compte du loup et du mouton ». Premier vers : « D'ung loup nous raconte cy » ; dernier vers : « Et sans que... ». La fin de ce vers manque ; « Compte de la grue et du loup ». Premier vers, le seul qui soit écrit : « D'ung loup dit ly escris... ». L'écriture des feuillets 143-4 est postérieure à celle des feuillets précédents

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Contient : 1 Chronique abrégée des rois de France, allant de Charles le Chauve à Charles VI. Dans la première partie sont des extraits de Vincent de Beauvais, de Sigebert de Gembloux, de Guillaume de Malmesbury, etc. Le commencement manque ; voici les premiers mots de ce qui subsiste (fol. 1) : «... et avoir les yeulx crevez, et à recevoir mort; et ainsi fut fait. Cronographus. Cy doivent prendre exemple les seigneurs du sang des roys et par especial ceulx de la tres noble maison de France... ». Fin (fol. 29 v°) : «... L'an mil CCC IIIIXX et trois, le conte de Flandres trespassa. Et pour ce que je n'ay plus avant veu de l'histoire dudit roy Charles sixiesme, je faiz cy la fin de ce present euvre, quant aux genealogies et briefves incidences des temps ». Une suite de cette chronique commence, au fol. 30, par : « S'ensuivent aucunes choses notables, singulières et dignes de memoire pour aucune declaration et ampliation de ce present traicté, lesquelles n'y ont peu estre assises ne mises, parce que alors je ne les avoye pas. Et premierement de la dignité royal. La dignité royal est la premiere et souveraine entre toutes les autres dignitez ou puissances terriennes... ». L'ouvrage se termine par un traité sur la prudence, dont voici le début (fol. 36) : « Pour parvenir, à l'aide de Dieu, à la fin de ce present traictié, considerant que entre les autres vertuz cardinales dont Dieu de sa grace a ourné le roy... je finiray ce dit traictié en parlant briefment de prudence et ensuivant en ce, après le philosophe, la doctrine de saint Thomas d'Aquin, en la seconde partie de sa Somme, en la XLe question, en laquelle, en tractant de prudence, selon elle, il fait les articles qui s'ensuivent. En la principalle responce du premier, il dit que prudent est dit aussi comme provident... ». Fin (fol. 42 v°) : «... je le bailleray voulentiers, pour honneur du roy, à celui qui lui plaira commectre à ce faire. Et pour ce que l'ordre de ceste presente histoire de France abregée commancée aux princes, en laquelle abreviacion, à l'aide de Dieu... j'ay procedé jusques au temps du regne Charles VI de ce nom, jadiz roy de France, que Dieu absoille, et pour conclusion finale d'icelle, esperant que par la clemence divine je puisse gaigner dix jours de indulgence et pardon, que Innocent pape, quart de ce nom, a donnez à tous ceulx qui prient pour le roy de France... et aussi pour recongnoissance, non pas telle comme je suis tenu, maiz comme je la puis faire, de l'onneur qu'il a pleu au roy de sa bonté naturelle à moy faire, en moy retenant en son très humble serviteur, après mon exil par les Angloys, auquel service royal je fuz retenu, passé sont trente six ans. Je prie Dieu, qui est prince des roys de la terre... ». La suite manque. Le feuillet 43 r° est occupé par la fin d'un traité contre les prétentions d'Henri V d'Angleterre au trône de France. En voici les premiers et les derniers mots : « Maiz est icelle pretendue privacion... Cecy est escript veritablement soubz la benigne supportation et debonnaireté du roy, que Nostre Seigneur par sa grace vueille toujours garder et en ses affaires prosperer. Amen. Qui scripsit scribat, semper cum Domino vivat ». Cette partie du manuscrit est du XVe siècle ; 2 Copie des mémoires de THOMASSIN sur l'histoire des rois de Bourgogne et du Dauphiné. On lit, en effet, au fol. 54 v° : « Seconde partye de ce registre, contenant la genealogie des daulphins », et au fol. 67 : « Tiers livre des registres dudit Thomassin ». Cette copie commence (fol. 47) par : « Gontran, frère de Chilperic,... » et finit (fol. 72 v°) par : «... fust prinse par luy la possession, ledit an et le XIIIe aost ». On lit à la suite (fol. 72 v°-74) un « Extraict du livre en papier dudit Thomassin intitullé : Declaratio dignitatum, prerogativarum spectantium ac pertinentium illustrissimo principi Ludovico, regis Francorum primogenito, dalphino Vienensi. De comitibus Viennae. Tradunt scripturae antiquae... ». Cette partie du manuscrit est du XVIe siècle ; 3 « La vie, les miracles et les éminentes vertus de sainct Brieuc, premier evesque de l'evesché appellé de son nom Sainct Brieuc, et aussi de sainct Guillaume, evesque du mesme diocèse, ensemble la translation des relicques dudict sainct Brieuc et la canonisation dudict sainct Guillaume par nostre sainct père le pape Innocent quatriesme, plus quelques remarques et observations necessaires pour l'intelligence d'aucunes difficultés qui se trouvent en cet oeuvre, par L. G. DE LA DENISON, chanoine de l'eglise cathédrale de Sainct Brieuc »

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Contient : 1 Courtes mentions chronologiques ; 2 « Cy commance la lignée des roys de France et comment les generacions sont descendues l'une de l'autre » ; Après la répétition et le développement du titre qui précède, l'auteur de cette petite chronique entre en matière par les mots qui suivent : « A tous notables qui ayment beaux faiz et bonnes histoires vueil escripre et enseigner... ». Le récit s'arrête à Charles VII par : «... Et fut ce roy Charles couronné à Rains, en l'an mil CCCC XXIX. Et recouvra en celui an grant partie de son pais, qui estoit en la main des Anglois » ; 3 « Cy commancent les noms des roys qui ont regné en la Grande Bretaigne, à present Angleterre... » ; Après la répétition et le développement du titré qui précède, l'auteur de cette petite chronique entre en matière par les mots qui suivent : « Lud fut roy de la Grande Bretaigne XXX ans avant l'avenement de Jhesu Crist... » et le récit se termine par : « ... Celui Henry de Lencastre eut quatre filz, savoir est : Henry, qui morut en France » et eut par « Katherine, fille du roy Charles » VI, « Henry de Lenclastre, tiers roy de ce nom... lort Thomas, duc de Clerence,... Jehan, duc de Betdefork,... le duc de Glocestre » ; 4 « Cy commancent les debaz d'entre les roys de France et d'angleterre touchant les duchiés de Guienne et de Normandie »

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Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »

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Le titre est au fol. 4, où la chronique commence par : « Comment Troie la grant fut fondée et destruite. Troie la grant et le royaume qui tant furent... » ; elle finit (fol. 79) par : « ... Devant Troies vint le roy Charles de France, le mercredi VIe jour de juillet mil CCCC XXIX, et là mist siege de toutes pars... muraille laquelle il commanda faire ses bombardes getter ». Une table incomplète occupe les feuillets 1-3 ; il manque, en effet, en tête, un feuillet qui devait en contenir le commencement.

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Article publié avec l'autorisation de la Chambre des notaires du Québec

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«Dans l'écosystème du numérique, le bibliothécaire doit redéfinir sa fonction en tant que médiateur entre le document et l'usager, non seulement au sein de son institution mais aussi à l'échelle de la société»

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La maladie de Wilson est une maladie héréditaire due à un déficit du transporteur du cuivre, l’ATP7B. Cette maladie se présente sous forme d’insuffisance hépatique aiguë ou chronique, pour lesquels le traitement médical actuel consiste en l’administration d’agents chélateurs, ce qui ne résulte cependant pas en une guérison complète de la maladie. La transplantation orthotopique du foie est le seul traitement définitif actuellement, avec tous les désavantages qu’elle comporte. Un traitement alternatif à cette option est donc souhaitable. Cette étude porte sur la faisabilité de la transplantation d’hépatocytes chez le modèle animal de la maladie de Wilson, le rat Long Evans Cinnamon (LEC), avec pour buts d’en déterminer la sécurité et l’efficacité tant sur le plan clinique (amélioration de la survie, prévention de l’hépatite) que pathologique. Douze rats LEC ont reçu une injection intrasplénique de 2,6 x 105 – 3,6 x 107 hépatocytes prélevés chez des rats donneurs de souche LE. Ils ont été suivis durant 6 mois puis sacrifiés. Ils ont ensuite été comparés à un groupe contrôle de douze autres rats LEC. Aucune différence significative n’a été notée au niveau du poids, du bilan hépatique et des concentrations de cuivre biliaire et hépatique. Cependant, une amélioration de l’activité oxydase de la céruloplasmine post-transplantation a été démontrée chez le groupe de rats transplantés (49,6 ± 31,5 versus 8,9 ± 11,7). Les rats transplantés ont aussi eu une amélioration sur tous les critères histologiques étudiés. Enfin, l’ARNm de l’atp7b a été retrouvé chez 58% des rats transplantés avec un taux d’expression de 11,9% ± 13,6 par rapport à un rat LE normal. L’immunohistochimie a quant à elle démontré la présence de l’atp7b chez tous les rats transplantés. Les résultats obtenus sont considérés favorables à ce traitement alternatif, et indiquent que la transplantation d’hépatocytes est une technique sécuritaire qui peut contribuer à renverser le processus pathologique en cours dans la maladie de Wilson.

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La dysfonction de l’endothélium vasculaire, associée à une diminution de ses propriétés vasorelaxantes et anti-thrombogéniques, survient avec le vieillissement mais également chez de plus jeunes patients athérosclérotiques présentant plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire. Au niveau cellulaire, le vieillissement des cellules endothéliales (CE) mène à un état irréversible de non division cellulaire appelé sénescence. Ces cellules sénescentes présentent des changements spécifiques au niveau de leur morphologie et de l’expression génique, menant à leur dysfonction. La sénescence dite réplicative est déclenchée par le raccourcissement des télomères survenant à chaque division cellulaire, mais peut également être induite prématurément par le stress oxydant (SIPS). L’objectif principal de cette étude est de caractériser la sénescence de CE vasculaires isolées à partir de patients athérosclérotiques, et d’observer l’impact des facteurs de risque sur cette sénescence. Afin de confirmer la contribution des deux principales voies de la sénescence, nous avons par la suite étudié conjointement ou séparément, l’impact d’un traitement chronique avec un antioxydant sur la sénescence de CE, et d’une surexpression de la sous-unité catalytique de la télomérase (hTERT), une enzyme responsable de l’allongement des télomères. Nous avons isolé et cultivé des CE provenant d’artères mammaires internes prélevées lors de pontages coronariens. Selon les études, les cellules ont été infectées ou non avec un lentivirus surexprimant la hTERT, et cultivées in vitro jusqu’à sénescence, en présence ou en absence de l’antioxydant N-acétyl-L-cystéine (NAC). Différents marqueurs des deux principales voies de la sénescence (réplicative ou SIPS) ont été quantifiés. La sénescence cellulaire se développe exponentiellement avec le temps et est associée à une réduction de la viabilité et de la prolifération cellulaires. Chez les patients athérosclérotiques, le vieillissement des CE passe par les deux principales voies de la sénescence : des télomères courts initialement en culture et la durée d’exposition in vivo aux facteurs de risque cardiovasculaire prédisent une apparition prématurée de la sénescence. Toutefois, chez les fumeurs, la sénescence est exclusivement du type SIPS. Ces facteurs de risque cardiovasculaire et principalement l’hypertension, semblent accélèrer le vieillissement biologique et favoriser la dysfonction des CE. Lorsque traitées chroniquement avec le NAC, les CE présentant initialement de moindres dommages cellulaires et moléculaires ainsi qu’une meilleure défense antioxydante développent une sénescence retardée. Lorsque le NAC est combiné à une surexpression de la hTERT, les deux voies de la sénescence sont bloquées et une immortalisation cellulaire est observée. À l’inverse, dans les CE les plus endommagées par les ROS in vivo, le NAC n’a aucun effet sur le développement de la sénescence, la hTERT, seule ou en combinaison avec le NAC, retarde légèrement la sénescence mais aucune immortalisation n’est observée lorsque ces traitements sont combinés. En conclusion, nos études démontrent que l’exposition chronique au stress oxydant associé aux facteurs de risque cardiovasculaire accélère le développement de la sénescence de CE vasculaires, contribuant potentiellement à l’athérogénèse. Dans les cellules de patients athérosclérotiques, il semble exister un seuil de dommages cellulaires et moléculaires subis in vivo au-delà duquel, aucun traitement (antioxydant ou hTERT) ne peut être bénéfique.

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Le trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) est un des troubles comportementaux le plus commun chez les enfants. TDAH a une étiologie complexe et des traitements efficaces. Le médicament le plus prescrit est le méthylphénidate, un psychostimulant qui bloque le transporteur de la dopamine et augmente la disponibilité de la dopamine dans la fente synaptique. Des études précliniques et cliniques suggèrent que le cortisol peut potentialiser les effets de la dopamine. Un dysfonctionnement du système hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS) est associé avec plusieurs maladies psychiatriques comme la dépression, le trouble bipolaire, et l’anxiété. Nous avons fait l’hypothèse que le cortisol influence l’efficacité du traitement des symptômes du TDAH par le méthylphénidate. L’objectif de cette étude est de mesurer les niveaux de cortisol le matin au réveil et en réponse à une prise de sang dans un échantillon d’enfants diagnostiqué avec TDAH âgé de 8 ans. Le groupe était randomisé dans un protocole en chassé croisé et en double aveugle avec trois doses de méthylphénidate et un placebo pour une période de quatre semaines. Les enseignants et les parents ont répondu aux questionnaires SWAN et à une échelle d’évaluation des effets secondaires. Les résultats ont démontrés qu’un niveau de cortisol élevé au réveil prédit les sujets qui ne répondent pas au traitement du TDAH, si on se fie aux rapports des parents. En plus, la réactivité au stress élevé suggère un bénéfice additionnel d’une dose élevée de méthylphénidate selon les enseignants. Aussi, les parents rapportent une association entre la présence de troubles anxieux co-morbide avec le TDAH et une meilleure réponse à une dose élevée. Cette étude suggère qu’une forte réactivité de l’axe HHS améliore la réponse clinique à des doses élevées, mais qu’une élévation chronique du niveau de cortisol pourrait être un marqueur pour les non répondeurs. Les résultats de cette étude doivent être considérés comme préliminaires et nécessitent des tests plus approfondis des interactions possibles entre les médicaments utilisés pour traiter le TDAH et l’axe HHS.