999 resultados para chirurgie
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A consecutive series of 353 patients who underwent Lichtenstein mesh repair for inguinal hernia from the 1st of July 1994 to the 30th of July 1995 were studied. We analysed our indication, technique, complications, follow-up and outcome. Special consideration was given to the advantages and acceptance of day-case surgery. Our results suggest that the Lichtenstein repair should be considered as a new standard procedure, especially outside of hernia centres.
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Ce projet de thèse consiste en deux travaux sur le thème commun des thromboses veineuses mésentériques. Dans le premier travail, préliminaire au deuxième, nous avons décrit les signes d'évolution chronique des thromboses veineuses mésentériques. Les signes aigus sont bien connus et bien décrits (défaut de remplissage intra-luminal) contrairement aux signes chroniques dont la description manquait dans la littérature. Nous avons de plus cherché quels étaient les facteurs prédicateurs pour une évolution chronique. Pour se faire, nous avons sélectionné un collectif de patients avec un diagnostic de thromboses veineuses mésentériques aiguës et avons revu tous les scanners abdominaux en phase veineuse de ces patients à la recherche des signes d'évolution des thromboses. Cette étude a permis de mettre en évidence que les signes d'évolution chronique des thromboses veineuses mésentériques sont la sténose ou l'obstruction complète de la veine thrombosée et le développement d'un réseau de collatérales permettant de contourner la veine thrombosée. D'autre part, nous avons mis en évidence que la plupart des cas de thrombose veineuse mésentérique présente une évolution chronique, indépendamment de si le patient a reçu un traitement anticoagulant. Les thromboses étendues, situées dans des veines de petit calibre, auquel s'associe une infiltration de la graisse mésentérique au moment du diagnostic sont des facteurs favorisants pour une évolution chronique. La seconde étude a été réalisée grâce et avec la collaboration de la « Swiss Inflammatory Bowel Disease Cohort study » (SIBDCS). Les patients atteints de maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI) présentent un risque augmenté de complications thromboemboliques, principalement de thrombose veineuse périphérique et d'embolie pulmonaire mais également de thrombose veineuse mésentérique. La littérature à ce sujet est pauvre et la prévalence de cette complication n'est pas connue dans cette population. Les buts de cette étude étaient donc d'évaluer la prévalence des thromboses veineuses mésentériques chez les patients atteints de MICI et de corréler leur survenue avec l'évolution clinique des patients. Parmi les patients inclus dans la SIBDCS, suivis au CHUV, nous avons revu tous les scanners abdominaux réalisés en phase veineuse à la recherche de signes (aigus ou chroniques) de thrombose veineuse mésentérique. Nous avons ainsi créé deux groupes de patients : les patients avec ou sans thrombose veineuse mésentérique. Ces deux collectifs ont ensuite été corrélés à la présence de signes radiologiques d'activité de la maladie inflammatoire de l'intestin et à la survenue aux complications liées à la MICI. Ainsi, nous avons mis en évidence que les thromboses veineuses mésentériques sont fréquentes chez les patients atteints de MICI, soit près de 30% chez les patients atteints de maladie de Crohn et 20% chez les patients atteints de RCUH. D'autre part, dans le groupe de patients atteints de maladie de Crohn, nous avons trouvé une association entre la survenue de thrombose veineuse mésentérique et une évolution de la maladie de Crohn plus sévère (plus de signes d'activité radiologique) et plus compliquée (plus de sténose et de nécessité de recours à la chirurgie). Ces deux articles ont été publiés dans l'American Journal of Roentgenology au mois de juillet 2014 dans la rubrique Gastrointestinal imaging.
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AIM OF THE STUDY: To analyse the course of upper limb edema in patients with an arteriovenous fistula used for dialysis and to analyse the available therapeutic options. STUDY DESIGN: Retrospective study of patients with this type of edema, who were treated in our institution from 1992 to 1996. PATIENTS AND METHODS: Seven consecutive patients with an arterioveinous fistula treated for edema of the upper extremity, were reviewed. The fistula was created at the elbow in 6 patients and at the forearm in 1. The edema appeared immediately after operation in 4 patients and after a delay in 3 patients. Stenosis (3 patients) or occlusion (2 patients) of the subclavian vein was documented in 5 patients who were investigated by angiography. RESULTS: The edema regressed spontaneously in 4 patients because collaterals developed in 3 patients, and the fistula thrombosed in 1 patient. Surgical intervention allowed regression of the edema in the other 3 patients: excessive output of the fistula was reduced in 2 patients and an axillojugular bypass was performed in 1 patient. The fistula remained effective in 6 patients. Another fistula was performed on the contralateral arm in 1 patient. CONCLUSION: Non-operative management is recommended in patients who develop edema immediately after creation of the fistula, because spontaneous regression is likely. Measures aimed at reducing the output of the fistula or enhancing the venous capacities of the arm are required when edema appears at a later stage. The fistula can be saved in the majority of cases.
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The present study was undertaken to examine the cross-sectional vascular compliance at the anastomotic site. METHODS AND MATERIAL: We performed end-to-end anastomosis on the carotid artery of six pigs using continuous 6/0 polypropylene. Four carotid arteries were excised and mounted in a perfusion chamber while the remaining two were left in living animals. We used pulsed ultrasound (NIUS 02) to generate detailed longitudinal profiles of diameter and compliance in the proximity and on the anastomosis. RESULTS: On the anastomosis, the vessel diameter decreases (-1 to -2.6% of diastolic diameter) when blood pressure increases with an exponential correlation (R2 = 0.75). The arterial compliance at the anastomosis was negative: the vessel cross-section reduction for a pulse pressure of 1 up to 32 mmHg was 0.9 to 2% of diastolic vessel cross-section. CONCLUSIONS: Vessel movement generated a dynamic stenosis whose magnitude seems to depend on blood pressure level. Increasing blood pressure causes the retraction of vessel ends which causes vessel lumen reduction. These results suggest that continuous suture does not provide the continuity of mechanical properties of the artery.
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La typhlite est une entitée utilisée pour décrire une entérocolite iléo-caecale survenant chez des enfants neutropéniques ou immunosupprimés. Cependant, des enfants par ailleurs sains peuvent également présenter une typhlite. Nous rapportons le cas d'une jeune fille de 13,5 ans, sans autre pathologie, chez qui il a été possible de visualiser une typhlite par laparoscopie.
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Carcinoembryonic antigen (CEA) is a tumor marker defined by specific heterologous antisera. Elevated levels of circulating CEA can be detected by radioimmunoassay in most cases of colorectal carcinoma, depending on the degree of tumor spread. The fact that elevation of CEA level can also be observed in other types of carcinomas and in several nonmalignant conditions greatly limits the value of the CEA test for the early diagnosis of colorectal carcinomas. Repeated CEA measurements and their critical interpretation, however, appear to be of importance after tumor resection for the detection of tumor recurrence during the postoperative follow-up period.
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IntroductionNous avons diagnostiqué et traité un patient atteint de nocardiose oculaire endogène. Grâce à la chirurgie vitréo-rétinienne, le diagnostique définitif a pu être établi avec un résultat oculaire fonctionnel excellent. La nocardiose oculaire endogène étant une maladie rare, l'image clinique oculaire et la prise en charge n'ont pas encore été décrites systématiquement. Nous avons analysé tous les cas rapportés dans la littérature mondiale (38 cas, publiés jusqu'en 2007) pour trouver des indices sur la physiopathologie, la présentation oculaire, sur la meilleure façon d'établir le diagnostique et sur l'efficacité du traitement antibiotique systémique. Enfin, nous avons établit des directives pour la prise en charge oculaire.La nocardiose (défini comme maladie systémique ou locale) est une maladie touchant surtout des patients immunosupprimés ou immunocompromis comme les patients transplantés, avec maladie auto-immune, atteints du virus HIV sans HAART ou des patients ayant subit un trauma, une opération avec inoculation du germe. Aux Etats-Unis environs 500-1000 nouveaux cas sont diagnostiqués par année avec 20% de dissémination dans des autres organes, le plus fréquemment dans le cerveau. Environs 0.6-1% des patients (3-5 cas/année/US) auront un foyer dans l'oeil, c'est-à-dire la nocardiose oculaire endogène. Nocarida est un Actinomycète, classé comme bactérie, avec une morphologie et un comportement proche aux champignons, avec un cycle de reproduction lente, se trouvant dans la poussière (ubiquitaire) et la matière végétale se décomposant. Elle est sensible aux sulfamides avec émergence de résistances. La mortalité est environs de 25%.RésultatsLa moitié des patients présentait comme premier signe de la maladie systémique des problèmes oculaires, le plus souvent une baisse d'acuité visuelle progressive indolore. Un abcès choroïdien unilatéral unique dans la région maculaire associé ou non à un décollement rétinien séreux et/ou à une vitrite variable était la présentation dans 70% des cas. Nocardia dissémine au niveau des choriocapillaires, rarement, dans l'iris résultant dans un hypopyon isolé. Il y a deux modes de propagation locale: vers l'intérieur, par une nécrose de l'épithélium pigmentaire avec l'envahissement de la rétine et du corps vitré; vers l'extérieure, produisant une sclérite résultant dans une perforation du globe. Avant la séquestration au niveau du corps vitré, la réponse au traitement par antibiose voie générale est favorable: 75% des cas analysés. La rupture de la barrière hémato-oculaire externe (épithélium pigmentaire) peut être mis en évidence par la fluorescence angiographique : les images tardives montrent la diffusion de la fluorescéine dans le corps vitré. Si le corps vitré est atteint, au minimum des injections antibiotiques intravitréen (amikacin), mieux une vitréctomie sont indiqué pour diminuer la charge bactérienne et faciliter la pénétration des antibiotiques donnés par voie systémique. Signes d'une extériorisation d'un abcès choroïdien sont des douleurs intenses, l'exophthalmie et l'hypopyon associé.Soixante-deux pourcents des patients ont souffert d'une dissémination continue par retardement du diagnostique/traitement. La moitié des patients ont eu des abcès cérébraux avant, simultanément ou après présentation. Un quart des patients sont décédés suite de la nocardiose, 32% incluant la maladie de base (tumeur maligne hématologique) ou des autres infections opportunistiques (aspergillose). La morbidité oculaire est importante: un tiers des patients survivants ont retenu une acuité visuelle 0.5 ou mieux, un tiers une acuité visuelle égale ou inférieure à 0.1 et un tiers ont perdu l'oeil par énucléation/éviscération(l). La suspicion clinique et la biopsie de la lésion pour un examen microbiologique direct et des cultures sont cruciales pour la prise en charge. Les risques facteurs sont sexe masculin (4 :1), stéroïdes, immunosuppression pour transplantation ou maladie auto-immune et des tumeurs hématologiques malignes, plus rarement des accidents/ traumas graves. La ponction directe de la lésion assure les meilleures chances pour collectionner un spécimen contenant des bactéries: dans des petits abcès sous-rétiniens maculaires par ponction transvitréenne sous-rétinienne par aiguille fine décrit par le Prof. Augsburger (Référence 7) ou dans des lésions avancées par biopsie sous-rétinienne/rétinienne pendant une vitréctomie selon l'extension et la localisation de l'abcès. Le spécimen doit être préparé pour un examen direct (4 lames) et des cultures utilisant des plaques ordinaires sauf exceptions. La suspicion doit être communiquée au laboratoire et les cultures incubées de façon prolongée (4-6 semaines). Un bilan d'extension avec au minimum un CT scan thoracique et une IRM cérébrale sont indiqués.Le traitement de choix est un antibiotique du groupe des sulfamides à haute dose comme par exemple le co- trimoxazole à double dose. Le choix, le nombre et le dosage du/des médicaments doivent être adapté selon résistance, extension de la maladie, médicaments autres et état de santé général du patient (foie, reins). Les figures 6a et 6b illustrent la prise en charge de patients selon diagnostique établit (Fig. 6b) ou non (Fig 6a).
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En muqueuse malpighienne lisse, le Bleu de Toluidine présente un intérêt diagnostic considérable, non seulement lors de l'endoscopie, mais lors de la chirurgie d'exérèse des carcinomes intra-épithéliaux et micro-invasifs de la voie digestive supérieure (bouche, pharynx, oesophage). L'utilisation systématique de ce colorant vital nous a permis le diagnostic et l'étude morphologique endoscopique de 18 carcinomes « précoces » de l'oesophage (9 in situ, 3 dysplasies sévères, 1 microinvasif, 5 limités à la sous-muqueuse). La multicentricité et la multifocalité de ces lésions est fréquente (80 à 90 % des cas), ce qui impose leur exérèse chirurgicale sous Bleu de Toluidine, afin de détecter les foyers de carcinome in situ à distance de la lésion primaire. La connaissance exacte des faux positifs et négatifs permet de limiter les erreurs d'interprétation lors de la coloration.
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RAPPORT DE SYNTHESEBUTLe but de cette étude est de suivre prospectivement les résultats d'une sclérectomie profonde (SP) modifiée en utilisant le tube Ex-PRJESS LR-50, associée à une phacoémulsification avec implantation d'une lentille intraoculaire (LIO), dans la chirurgie combinée du glaucome et de la cataracte.METHODENous avons inclus dans l'étude 24 yeux de 24 patients présentant un glaucome médicalement non contrôlé et une cataracte justifiant son ablation.Une phacoémulsification avec implantation d'une LIO est effectuée. Puis le tube Ex-PRESS LR-50 est inséré au niveau du canal de Schlemm, dans la chambre antérieure, sous un volet scléral. Une SP postérieure partielle est ensuite pratiquée afin de créer une bulle de filtration intrasclérale.Le taux de succès complet a été défini par une pression intraoculaire (PIO) <18 mmHg sans traitement et le taux de succès relatif par une PIO <18 mmHg avec ou sans traitement. En cas de fibrose ou de kyste de la bulle de filtration, une injection sous-conjonctivale d'une solution de Mitomycin C à 0.02% est réalisée, avec ou sans needling.RESULTATSLe suivi moyen était de 40.1±10.8 [moyenne±DS] mois. En préopératoire, la PIO se situait à 18.1 ±5.3 mmHg; la meilleure acuité visuelle corrigée (MAVC) était mesurée à 0.6±0.3 (échelle de Snellen) et le nombre de médicaments hypotenseurs oculaires était de 2.3±1.1. La PIO a diminué de 25.4% à 24 mois et de 27.0% à 48 mois. A 24 mois, 19 patients (86.3%) avaient une MAVC supérieure ou égal à 0.5, et à 48 mois la MAVC était mesurée à 0.7±0.3. Lors de la dernière visite, le nombre moyen de médicaments se situait à 0.6±0.8 (p<0.05). Des injections sous conjonctivales d'une solution de Mitomycin C à 0.02% ont été nécessaires dans 5 yeux. Aucune érosion conjonctivale n'a été constatée. Deux complications majeures ont été observées. Une endophtalmie, deux jours après l'intervention chirurgicale avec phtisis secondaire du globe oculaire. Une obstruction du tube Ex-PRESS LR-50 par de la fibrine, ayant justifié son ablation avec SP classique en un autre site.CONCLUSIONLe tube Ex-PRESS LR-50 inséré dans la chambre antérieure avec une SP modifiée réduit efficacement la PIO dans la chirurgie combinée du glaucome et prévient l'érosion conjonctivale, une complication importante lorsque l'implant n'est pas couvert par un volet scléral.
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Purpose of the study: Reconstruction of the anterior cruciate ligament (ACL) controls laxity but does not enable restoration of strictly normal 3D kinematics. The purpose of this study was to compare the kinematics of the pathological knee with that of the healthy knee after ACL plasty. This study applied a new ambulatory system using miniature captors. Material and method: Five patients with an isolated injury of the ACL participated in this study. The patients were assessed after injury (T1), at five months (T2), and at 14 months (T3) after surgery. The assessment included laxity (KT-1000), the IKDC score and the Lysholm score. The 3D angles of the knees were measured when walking 30 m on flat ground using a system composed of to small inertia units (3D accelerometer and 3D gyroscope) and a portable recorder. Functional settings were optimised and validating to ensure easy precise measurement of the 3D angles. Symmetry of the two knees was quantified using a symmetry index (SI) (difference in amplitude normalised in relation to mean amplitude) and the correlation coefficient CC. Results: Clinical indicators improved during the follow-up (IKDC T1: 3C, 2C; T2: 5B; T3: 2A, 3B; subjective IKD: 53-95; Lysholm 67-96). Mean laxity improved from 8.6m to 2.5 mm. The gait analysis showed increased symmetry in terms of amplitude for flexion-extension (SI: −17% at T1, −1% at T2, 1% at T3), and an increase in symmetry in terms of the rotation signature (CC: 0.16 at T1, 0.99 at T2, 0.99 at T3). There was no trend to varus-valgus. Discussion: This study demonstrates the clinical application of the new ambulatory system for measuring 3D angles of the knee joint. Joint symmetry increased after ACL plasty but still showed some perturbation at 14 months. The results observed here are in agreement with the literature. Other patients and other types of gait are being analysed. Conclusion: This portable system allows gait analysis outside the laboratory, before and after ACL injury. It is very useful for follow-up after surgery.
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0 Abstract L'incidence du mélanome est en nette augmentation en Europe et aux Etats-Unis. La Chirurgie peut être curative au stade précoce de la maladie,la radiothérapie se pratique À visée palliative, les chimiothérapies n'ont montré que peu d'effet. Les progress actuels se font via l'immunothérapie. Des traitements par l'interleukine-2 et l'interféron-α se sont montrés efficaces chez certains patients, mais leur utilisation est limitée par leur forte toxicité. Depuis 2011, en Suisse, une nouvelle molécule a été mise sur le marché, l'ipilimumab (Yervoy®). Il s'agit d'un anticorps! monoclonal humain dirigé contre le CTLA4. Il en résulte une activation non spécifique du système immunitaire. Une étude randomisée de phase IIIa été conduite au Etats-Unis. Elle démontre une augmentation de la survie chez les patients atteints de melanoma métastatique traits par ipilimumab, sans traitement préalable des métastases. Le but de cette etude est de determiner s'il est possible, par le biais de l'imagerie PET-CTau 18F-FDG, de prédire la réponse individuelle au traitement par ipilimumab, afin d'optimiser la prise en charge de ces patients. 0.1 Méthode Les patients atteints de mélanome métastatique sont exposés au traitement d'ipilimumab selon les recommandations de Bristol-Myers Squibb. Puis ils effectuent des PET-CT au F-18-FDG selon! le! protocole (CER 400/11, annexé) de l'étude. Les images sont!analysées selon les critères PERCIST (PETResponse Criterias In Solid Tumors) et le TLG (Total Lesion Glycolysis) est calculé. Parallèlement, des prises de sang sont effectuées et les échantillons sont analysés à l'institut Ludwig (LICR, Unil) selon les critères imRC qui determinant la réponse immunologique au traitement. 0.2 Résultats Nous notons une discrépance dans les résultats. Lorsque nous observons une maladie stable avec les critères immunologiques imRC, nous observons une maladie progressive avec lescritères PERCIST. 0.3 Discussion - Conclusion Nous n'avons pu faire entrer que cinq patients dans l'étude, dont trois étaient vivants à trois mois, ce qui a restreint le nombre de données analysables. Les discrépances que nous observons dans nos résultats pourraient être dues au fait que le PET-CT au 18FDG ne nous permet pas de différencier l'activité tumorale de l'activité inflammatoire péri-tumorale. Ce biais pourrait être à l'avenir prévenu en utilisant du 18FLT, un marqueur plus sélectif des cellules tumorales.L'analyse desimages avec les critères de total-lesion glycolysis a été impossible au vu du nombre de lésions que présentaient certains patients. Les critères PERCIST exigent un protocole d'acquisition très strict. La corrélation entre les images, les données immunologiques et la clinique mérite d'être suivie sur le long terme, car il pourrait y avoir une réponse positive plus tardive du traitement par ipilimumab.
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Rrésumé: La première description dans une publication médicale des douleurs neuropathiques remonte à 1872, le Dr S.W. Mitchell les résumant ainsi [...]" la causalgie est la plus terrible des tortures qu'une lésion nerveuse puisse entraîner "[...]. Par définition, la douleur neuropathique est une douleur chronique faisant suite à une lésion ou dysfonction du système nerveux. Malgré les progrès faits dans la compréhension de ce syndrome, le détail des mécanismes impliqués nous échappe encore et son traitement reste insuffisant car moins de 50% des patients sont soulagés par les thérapies actuelles. Différents modèles expérimentaux ont été élaborés chez l'animal de laboratoire, en particulier des modèles de lésion de nerfs périphériques chez le rat, permettant des investigations tant moléculaires que fonctionnelles des mécanismes impliqués dans le développement de ces douleurs. En revanche, peu de modèles existent chez la souris, alors que cet animal, grâce à la transgénèse, est très fréquemment utilisé pour l'approche fonctionnelle ciblée sur un gène. Dans l'étude présentée ici, nous avons évalué chez la souris C57BL/6 l'adaptation d'un modèle neuropathique, proposé une nouvelle modalité de mesure de la sensibilité douloureuse adaptée à la souris et défini une méthode d'analyse performante des résultats. Ce modèle, dit de lésion avec épargne nerveuse (spared Werve injury, SNI), consiste en la lésion de deux des trois branches du nerf sciatique, soit les nerfs peronier commun et tibial. La troisième branche, le nerf sural est laissé intact et c'est dans le territoire cutané de ce dernier que la sensibilité douloureuse à des stimulations mécaniques est enregistrée. Des filaments calibrés de force croissante sont appliqués sur la surface de la patte impliquée et la fréquence relative de retrait de la patte a été modélisée mathématiquement et analysée par un modèle statistique intégrant tous les paramètres de l'expérience (mixed-effects model). Des variantes chirurgicales lésant séquentiellement les trois branches du nerf sciatique ainsi que la réponse en fonction du sexe de l'animal ont également été évaluées. La lésion SNI entraîne une hypersensibilité mécanique marquée comparativement aux souris avec chirurgie contrôle; cet effet est constant entre les animaux et persiste durant les quatre semaines de l'étude. De subtiles différences entre les variables, y compris une divergence de sensibilité mécanique entre les sexes, ont été démontrées. La nécessité de léser le nerf tibial pour le développement des symptômes a également été documentée par notre méthode d'évaluation et d'analyse. En conclusion, nous avons validé le modèle SNI chez la souris par l'apparition d'un symptôme reproductible et apparenté à l'allodynie mécanique décrite par les patients souffrant de douleurs neuropathiques. Nous avons développé des méthodes d'enregistrement et d'analyse de la sensibilité douloureuse sensibles qui permettent la mise en évidence de facteurs intrinsèques et extrinsèques de variation de la réponse. Le modèle SNI utilisé chez des souris génétiquement modifiées, de par sa précision et reproductibilité, pourra permettre la discrimination de facteurs génétiques et épigénétiques contribuant au développement et à la persistance de douleurs neuropathiques.
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Fifty-eight infants and children with a severe subglottic stenosis underwent a partial cricotracheal resection with primary thyrotracheal anastomosis. There were 2 grade II, 40 grade III, and 16 grade IV stenoses according to the Myer-Cotton classification. A 100% subglottic lumen was formed in 34 cases and a better than 80% lumen in 23 cases. Fifty-four of the 58 (93%) patients are presently decannulated; one patient sustained a complete restenosis and three patients with a better than 80% subglottic airway still await decannulation for the following reasons: severe tracheomalacia, bilateral cricoarytenoïd joint fixation and laryngeal malformation with fusion of the vocal cords in each case respectively. Forty-four patients have no exercise intolerance, 8 live fully normally but present a slight exertional dyspnea, one patient with a laryngeal malformation is decannulated but suffers from a severe exertional dyspnea, and 4 patients are still not decannulated. The voice is normal in 20 cases, a slight dysphonia is present in 17, a moderate to severe dysphonia in another 17 and 4 patients are still not decannulated.