1000 resultados para Gr
Resumo:
Ancien possesseur : Belbeuf, Louis Pierre François Godard Mis de
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Los más altos valores de producción durante el año 1964 se hallaron en las regiones de divergencia, de mezcla vertical y capa de mezcla poco profunda, o donde el agua superficial era enriquecida a través de los afloramientos favorecidos por la acción de los vientos. La distribución de producción primaria en superficie fue muy similar a la producción total. La producción diaria entre las latitudes 4-6° S tuvo un promedio de 0.27 gr C/m2 (0.04-1.51 gr C/m2), y entre las latitudes 6°-18°30 'S de 0.45 gr C/m2 (0.03-2.42 gr C/m2 ), o sea una producción anual de 97 y 162 gr C/m2 , respectivamente. La máxima producción hallada en la Corriente Costera Peruana correspondió al Verano, y la mínima al Invierno, con una producción promedio anual de 190 gr C/m2. Hubo una variación geográfica de la producción total en la faja costera de 60 millas de ancho. A lo largo del litoral peruano los mayores valores de producción se presentaron entre las latitudes 8-9° S y 16-17° S con valores promedio de 1.00 y 1.30 gr C/m2, respectivamente.
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Pour lever les contraintes multiples auxquelles le pays est confronté, et développer les différents secteurs de l’agriculture et de la pêche, le gouvernement a adopté plusieurs programmes qui sont à différents stades de mise oeuvre, notamment: (i) le Programme national pour l'environnement, (ii) le Programme national de lutte contre la désertification, (iii) le Programme national de lutte contre la pauvreté, (iv) le Plan d'action forestier national, (v) le Plan directeur des ressources hydriques, (vi) le programme national de sécurité alimentaire, (vii) le Plan directeur pour l'élevage, et (viii) le plan de développement de l’horticulture. Bien que pertinents individuellement, les différents programmes nationaux ne sont point reliés entre eux par une stratégie cohérente de développement agricole au sens large, à moyen et long terme. Une assistance avait été apportée par la FAO au Cap-Vert en 19961 pour appuyer le GEP dans la formulation d'une stratégie sectorielle, en vue de la préparation du 4ème plan national de développement pour la période 1997-2000. Les nouvelles autorités nationales, en place en 2001, voudraient disposer d’une stratégie de développement agricole de long terme, allant au-delà des programmes nationaux de développement élaborés tous les 4 ans, au gré des mandats politiques. Par ailleurs, plusieurs partenaires au développement du Cap-Vert ont également indiqué au Gouvernement que leur nouveau cadre de coopération orienté vers l’aide budgétaire, doit disposer d’un cadre stratégique cohérent à long terme, et d’un plan d'action opérationnel indiquant les actions à entreprendre et les moyens humains, institutionnels, et financiers nécessaires à leur mise en oeuvre. La stratégie de développement agricole, au sens large, s’appuie sur des politiques, initiatives et dynamiques en cours, parmi lesquelles : la vision stratégique de développement à moyen termes du Gouvernement, présentée dans les Grandes Options du Plan 2002-2005 (GOP), le document intérimaire de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) du pays, indiquant la sécurité alimentaire et la garantie de la cohésion sociale en milieu rural comme des axes stratégiques importants, le programme national de sécurité alimentaire du Cap-Vert, avec une orientation marquée pour la réduction de la pauvreté le PANA II en cours d’élaboration, le document UNDAF2 pour le Cap-Vert élaboré en septembre 2002, avec quatre axes d’intervention prioritaire et cinq dimensions transversales. la dimension genre, pour favoriser la participation effective de toutes les couches de la société (notamment les femmes) au processus de développement socio-économique du pays, particulièrement dans les politiques, stratégies et programmes du MAAP en cohérence avec la politique de décentralisation du Gouvernement. les dynamiques d’intégration sous-régionale en cours dans le cadre de la CEDEAO3, et du CILSS4, et continentales dans le cadre du NEPAD5. C'est en tenant compte de l’ensemble du cadre contextuel évoqué et de la complexité des tâches à accomplir que le Gouvernement a sollicité l'assistance de la FAO, au titre du programme de coopération technique, pour l’aider à élaborer une stratégie de développement agricole à long terme (horizon 2015) et préparer un Plan d’actions prioritaires à moyen terme. 1 TCP/CVI/6611 : “Appui technique et méthodologique pour la formulation d’une stratégie et des politiques de développement rural “. 2 Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement. 3 Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest. 4 Comité inter-états de lutte contre la sécheresse au Sahel. 5 Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique.
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Pour lever les contraintes multiples auxquelles le pays est confronté, et développer les différents secteurs de l’agriculture et de la pêche, le gouvernement a adopté plusieurs programmes qui sont à différents stades de mise oeuvre, notamment: (i) le Programme national pour l'environnement, (ii) le Programme national de lutte contre la désertification, (iii) le Programme national de lutte contre la pauvreté, (iv) le Plan d'action forestier national, (v) le Plan directeur des ressources hydriques, (vi) le programme national de sécurité alimentaire, (vii) le Plan directeur pour l'élevage, et (viii) le plan de développement de l’horticulture. Bien que pertinents individuellement, les différents programmes nationaux ne sont point reliés entre eux par une stratégie cohérente de développement agricole au sens large, à moyen et long terme. Une assistance avait été apportée par la FAO au Cap-Vert en 19961 pour appuyer le GEP dans la formulation d'une stratégie sectorielle, en vue de la préparation du 4ème plan national de développement pour la période 1997-2000. Les nouvelles autorités nationales, en place en 2001, voudraient disposer d’une stratégie de développement agricole de long terme, allant au-delà des programmes nationaux de développement élaborés tous les 4 ans, au gré des mandats politiques. Par ailleurs, plusieurs partenaires au développement du Cap-Vert ont également indiqué au Gouvernement que leur nouveau cadre de coopération orienté vers l’aide budgétaire, doit disposer d’un cadre stratégique cohérent à long terme, et d’un plan d'action opérationnel indiquant les actions à entreprendre et les moyens humains, institutionnels, et financiers nécessaires à leur mise en oeuvre. La stratégie de développement agricole, au sens large, s’appuie sur des politiques, initiatives et dynamiques en cours, parmi lesquelles : la vision stratégique de développement à moyen termes du Gouvernement, présentée dans les Grandes Options du Plan 2002-2005 (GOP), le document intérimaire de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) du pays, indiquant la sécurité alimentaire et la garantie de la cohésion sociale en milieu rural comme des axes stratégiques importants, le programme national de sécurité alimentaire du Cap-Vert, avec une orientation marquée pour la réduction de la pauvreté le PANA II en cours d’élaboration, le document UNDAF2 pour le Cap-Vert élaboré en septembre 2002, avec quatre axes d’intervention prioritaire et cinq dimensions transversales. la dimension genre, pour favoriser la participation effective de toutes les couches de la société (notamment les femmes) au processus de développement socio-économique du pays, particulièrement dans les politiques, stratégies et programmes du MAAP en cohérence avec la politique de décentralisation du Gouvernement. les dynamiques d’intégration sous-régionale en cours dans le cadre de la CEDEAO3, et du CILSS4, et continentales dans le cadre du NEPAD5. C'est en tenant compte de l’ensemble du cadre contextuel évoqué et de la complexité des tâches à accomplir que le Gouvernement a sollicité l'assistance de la FAO, au titre du programme de coopération technique, pour l’aider à élaborer une stratégie de développement agricole à long terme (horizon 2015) et préparer un Plan d’actions prioritaires à moyen terme. 1 TCP/CVI/6611 : “Appui technique et méthodologique pour la formulation d’une stratégie et des politiques de développement rural “. 2 Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement. 3 Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest. 4 Comité inter-états de lutte contre la sécheresse au Sahel. 5 Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique.
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Collection : Répertoire dramatique des auteurs contemporains ; N° 212
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In Brazil, almost nothing is known about the thrips fauna associated with rice crops. This is especially true for Rio Grande do Sul State (RS), the major rice producer in Brazil, where no systematic surveys have been conducted. Thus, this work records preliminarily the species of suborder Terebrantia inhabitanting irrigated rice (RC) and three nearby habitats: the area selected for rice, before cultivation (BR), grassland (GR) and forest border (FB) in Cachoeirinha, RS (50º58'21"W; 29º55'30"S). Eight field trips were carried out between October/2004 and February/2005 to Estação Experimental do Arroz in Cachoeirinha. Thrips specimens were collected with sweeping net and transported to laboratory for identification. A total of 623 adults terebrantians were recorded, belonging to two families and 18 species. Frankliniella rodeos (55.5%), Neohydatothrips cf. paraensis (30.3%) and Frankliniella schultzei (5.6%), were the most abundant, comprising more than 90% of the individuals. FB showed the highest species richness (S=15), followed by GR (S=10), RC (S=9) and BR (S=6). FB presented a low number of individuals (14.0%), contrasting with GR (44.8%) and BR (36.7%). In general, thrips abundance in RC was low at EEA (4.5%), and few species seems to effectively use rice as a host-plant. Two species previously considered of economic importance were found, F. rodeos and F. schultzei, the latter a new record for rice in Brazil. Five species are new records to RS.
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The analysis of conservation between the human and mouse genomes resulted in the identification of a large number of conserved nongenic sequences (CNGs). The functional significance of this nongenic conservation remains unknown, however. The availability of the sequence of a third mammalian genome, the dog, allows for a large-scale analysis of evolutionary attributes of CNGs in mammals. We have aligned 1638 previously identified CNGs and 976 conserved exons (CODs) from human chromosome 21 (Hsa21) with their orthologous sequences in mouse and dog. Attributes of selective constraint, such as sequence conservation, clustering, and direction of substitutions were compared between CNGs and CODs, showing a clear distinction between the two classes. We subsequently performed a chromosome-wide analysis of CNGs by correlating selective constraint metrics with their position on the chromosome and relative to their distance from genes. We found that CNGs appear to be randomly arranged in intergenic regions, with no bias to be closer or farther from genes. Moreover, conservation and clustering of substitutions of CNGs appear to be completely independent of their distance from genes. These results suggest that the majority of CNGs are not typical of previously described regulatory elements in terms of their location. We propose models for a global role of CNGs in genome function and regulation, through long-distance cis or trans chromosomal interactions.